1
pour ses erreurs plus encore que pour celles de l’
adversaire
, ce qui est beaucoup dire. Il y avait dans le Paradis je ne sais quel
2
ernel ne fait que reprendre la défense contre ses
adversaires
de tous bords. Je voudrais souligner seulement la beauté de l’effort
3
ui permettent de triompher syllogistiquement de l’
adversaire
, sinon de la difficulté elle-même. Mais pour gênante que soit souvent
4
e un mépris vraiment exagéré pour la jugeote de l’
adversaire
ou s’il traduit simplement cette mauvaise foi pas même consciente, ce
5
ette idée que j’ai l’honneur de partager avec mes
adversaires
se trouve correspondre à des faits patents et simples ; il serait vra
6
NOTE A On est toujours tenté d’attribuer à ses
adversaires
des intentions noires et consciemment criminelles. Ce travers a été d
7
un mépris vraiment exagéré pour la jugeotte de l’
adversaire
ou s’il traduit simplement cette mauvaise foi pas même consciente, ce
8
ette idée que j’ai l’honneur de partager avec mes
adversaires
se trouve correspondre à des faits patents et simples ; il serait vra
9
NOTE A On est toujours tenté d’attribuer à ses
adversaires
des intentions noires et consciemment criminelles. Ce travers a été d
10
peut dire précisément de Kassner qu’il réfute ses
adversaires
— Freud en particulier, dans Christ et l’âme du monde — mais bien plu
11
lentendus perpétuellement renaissants, et que les
adversaires
de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l
12
r libéralement d’être radicalement supprimé par l’
adversaire
. Si au contraire il dure, c’est qu’il s’est défendu par des moyens qu
13
exprime le désir de déconsidérer à peu de frais l’
adversaire
, plutôt que de porter un jugement objectif sur ses doctrines. Ce que
14
autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’
adversaire
à une paix avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
15
aires. Cette volonté a scandalisé certains de nos
adversaires
, qui prétendent partir des faits concrets et matériels. L’un d’entre
16
és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’
adversaires
. Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
17
t, mais bien celui, intéressé, de certains de ses
adversaires
, de certains de ses louangeurs. L’esprit ne saurait désigner que la t
18
pouvoir choisir ses résistances, et provoquer des
adversaires
plus nobles. Est-ce que tout se ramène à des querelles de gros sous ?
19
5.) Ignorance héritée, si l’on peut dire, par les
adversaires
du capitalisme fascistes ou staliniens.
20
és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’
adversaires
. Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
21
autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’
adversaire
à une paix avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
22
en en présence des thèses communistes. Il y a des
adversaires
que l’on ne peut honorer dignement qu’en se mettant « en garde » dès
23
sme, en France, ignore la véritable nature de son
adversaire
. 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les politiciens, croien
24
réalistes quand ils empruntent leur tactique à l’
adversaire
. Les conséquences de ces deux faits sont faciles à prévoir : la tacti
25
s assez contradictoires. Il satisfait d’abord les
adversaires
de l’individualisme50 ; ceux de droite parce qu’il propose un chef, u
26
de l’homme. Le marxisme est pour le chrétien un
adversaire
plus noble, plus représentatif de l’athéisme conséquent, que le fasci
27
t, mais bien celui, intéressé, de certains de ses
adversaires
, de certains de ses louangeurs. L’esprit ne saurait désigner que la t
28
pouvoir choisir ses résistances, et provoquer des
adversaires
plus nobles. Est-ce que tout se ramène à des querelles de gros sous ?
29
5.) Ignorance héritée, si l’on peut dire, par les
adversaires
du capitalisme fascistes ou staliniens.
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és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’
adversaires
. Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
31
autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’
adversaire
à une paix avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
32
en en présence des thèses communistes. Il y a des
adversaires
que l’on ne peut honorer dignement qu’en se mettant « en garde » dès
33
sme, en France, ignore la véritable nature de son
adversaire
. 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les politiciens, croien
34
réalistes quand ils empruntent leur tactique à l’
adversaire
. Les conséquences de ces deux faits sont faciles à prévoir : la tacti
35
s assez contradictoires. Il satisfait d’abord les
adversaires
de l’individualisme44 ; ceux de droite parce qu’il propose un chef, u
36
e de l’homme. Le marxisme est pour le chrétien un
adversaire
plus noble, plus représentatif de l’athéisme conséquent, que le fasci
37
ine en Russie, au début de 1917, à l’heure où ses
adversaires
socialistes triomphent apparemment, appuyés par les masses. Ce sont c
38
’agent « non historique ». Il faut croire que cet
adversaire
de Hegel était encore bien mal purgé de ses superstitions pseudo-scie
39
le jour où le peuple français aura compris que l’
adversaire
unique est le capitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à dro
40
par une erreur assez inexplicable. Mais les pires
adversaires
de l’Église ne sont pas toujours au-dehors. Voici ceux qui préfèrent
41
sé dans l’attaque de Calvin : il a su prendre à l’
adversaire
ses meilleures armes. Au sujet de ce style, dont l’exemple n’est pas
42
che, à gauche comme à droite, de nommer les vrais
adversaires
. (Je ne vois que Chamson qui ait dénoncé l’équivoque dont vit la droi
43
le jour où le peuple français aura compris que l’
adversaire
unique est le capitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à dro
44
fera au hasard, sous la pression de la peur d’un
adversaire
dont on surestime de part et d’autre les forces. Mais nous sommes pay
45
voient un trait de cette « volonté de rabaisser l’
adversaire
» que M. Miéville me reproche, sans apparence de « justice », je croi
46
hose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas sérieux. L’
adversaire
n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de
47
n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un vrai
adversaire
, comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un advers
48
uerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un
adversaire
vraiment dangereux, il nous faut cela pour provoquer le déploiement d
49
à peu près aussi intelligent que de se déclarer l’
adversaire
des avalanches et des marées, pour des raisons idéologiques. On enten
50
es d’être très généralement approuvé même par les
adversaires
du régime. (Les 3 plébiscites hitlériens.) Dans les deux cas, il s’ag
51
que la paresse d’esprit ou la mauvaise foi de nos
adversaires
nous assimilent pour autant à un « fascisme » contre lequel toute la
52
us ne sommes pas « favorables au fascisme », mais
adversaires
du fascisme, qu’il soit hitlérien (rural) ou stalinien (industrialist
53
de départ de notre auteur. Contre l’un et l’autre
adversaire
— l’athée et l’orthodoxe desséché — M. Monod recourt au fait de son e
54
r le Moyen Âge. La vraie foi est pour la magie un
adversaire
d’une autre taille que la raison. 10. Ici encore, c’est Diderot qu’i
55
sure où elle provoque. Tournons sa pointe vers un
adversaire
qui va se désigner lui-même sans retard. Toute l’astuce d’une certain
56
uffisance de ses vertus qu’il s’agit d’éclairer l’
adversaire
. Et c’est au succès même de ses efforts qu’il faut le prendre. Car il
57
r le Moyen Âge. La vraie foi est pour la magie un
adversaire
d’une autre taille que la raison. 11. Ici encore, c’est Diderot qu’i
58
sure où elle provoque. Tournons sa pointe vers un
adversaire
qui va se désigner lui-même sans retard. Toute l’astuce d’une certain
59
uffisance de ses vertus qu’il s’agit d’éclairer l’
adversaire
. Et c’est au succès même de ses efforts qu’il faut le prendre. Car il
60
ement des guerres modernes et l’armement des deux
adversaires
simultanément. D’autres que nous ont dit le nécessaire sur ce point.
61
6. Et l’on y lit que les fascistes sont les pires
adversaires
« de la personne humaine, cette grande force spirituelle ». Et aussi
62
le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des
adversaires
du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dil
63
en argent liquide, chez son beau-frère. Il était
adversaire
du prêt à intérêt, condamné par l’église primitive. Il donnait à qui
64
ièges dans lesquels tombent les neuf dixièmes des
adversaires
du marxisme — et combien de marxistes eux-mêmes !) Si maintenant j’es
65
Allemagne, théologiens de l’école hégélienne, ou
adversaires
du christianisme, tous, dans un commun accord, enseignaient ou laissa
66
leur caractère fondamental, par opposition à nos
adversaires
qui le niaient, et nous n’eûmes pas toujours le temps ni l’occasion d
67
utomatiquement la réalité humaine. Obligé par ses
adversaires
à proclamer la primauté du matériel, Marx ne se rendit pas compte qu’
68
le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des
adversaires
du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dil
69
leur temps et leurs forces à discuter avec leurs
adversaires
». Il leur demande ensuite de prendre le pouvoir. Mais avant de prend
70
les malentendus, désarmer autant que possible les
adversaires
, donc discuter. Au surplus, je ne sais pas si le terme d’adversaire c
71
iscuter. Au surplus, je ne sais pas si le terme d’
adversaire
convient à M. Pierre Beausire. Il approuve notre réaction (qu’il dit
72
en argent liquide, chez son beau-frère. Il était
adversaire
du prêt à l’intérêt, condamné par l’église primitive. Il donnait à qu
73
Idéalisme et réalisme ont fait faillite. Le seul
adversaire
du régime demeure, en fait, l’Église confessionnelle ; c’est-à-dire q
74
le Cheval de Troie. Car pour s’armer autant que l’
adversaire
, il faudrait imposer au pays une discipline équivalente à celle qui r
75
es ni de lances : ils trichèrent donc au jeu où l’
adversaire
devait gagner, et se défendirent avec leurs moyens propres : des quar
76
e devant l’inconnu… Pour ma part, je ne suis pas
adversaire
de la violence en soi, mais bien de cette forme mécanique qu’elle rev
77
vous dis pas cela seulement comme personnaliste,
adversaire
du stalinisme et du fascisme ; je ne vous le dis pas seulement comme
78
hrétienne, pour les mystiques idolâtres, c’est un
adversaire
plus sérieux que les canons et que les railleries. C’est le seul adve
79
e les canons et que les railleries. C’est le seul
adversaire
irréductible, — et pourtant charitable. Car nous ne condamnons pas de
80
nt, dans le fait, au service de grandes religions
adversaires
de la foi chrétienne : Prolétariat, Empire, Race, Droits de l’homme,
81
hose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas sérieux. L’
adversaire
n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de
82
n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un vrai
adversaire
, comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un advers
83
uerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un
adversaire
vraiment dangereux, il nous faut cela pour provoquer le déploiement d
84
Idéalisme et réalisme ont fait faillite. Le seul
adversaire
du régime demeure, en fait, l’Église chrétienne ; c’est-à-dire qu’à l
85
le Cheval de Troie. Car pour s’armer autant que l’
adversaire
, il faudrait imposer au pays une discipline équivalente à celle qui r
86
es d’être très généralement approuvé même par les
adversaires
du régime. (Les 3 plébiscites hitlériens.) Dans les deux cas, il s’ag
87
it, et donc la force autant que la faiblesse de l’
adversaire
. Il écrivait à ce sujet (dans un langage qui, selon lui, ne devait po
88
rcevraient qu’en réalité, ils sont tout près de l’
adversaire
, et qu’ils partagent sinon toutes ses vues, du moins sa manière de vo
89
on inavouable, qui est identique à celle de son «
adversaire
». Alors il dit que je suis très méchant… ⁂ Vous êtes hitlérien ! — N
90
tler, c’est le « tabouer », le considérer comme l’
adversaire
sacré. Le sacré, c’est ce qu’on ne discute pas. Mais le sacré est tou
91
politique de Nicolas, Pacificateur des cantons et
adversaire
du régime des pensions, la Contre-Réformation insistait exclusivement
92
et l’inertie. Peut-être vont-ils découvrir que l’
adversaire
fanatisé les défie mieux que le sceptique et les ramène mieux à leur
93
e du voisin. Il faut surtout répondre mieux que l’
adversaire
au problème qu’il tentait de résoudre, à ce problème du vide social,
94
ur. ⁂ Nietzsche s’est dressé face au siècle. Et l’
adversaire
qu’il s’est choisi, c’est l’esprit de lourdeur, notre poids naturel,
95
puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’
adversaire
. Les idées se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vé
96
s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’
adversaire
qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
97
Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses
adversaires
et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
98
’à nos jours émanent presque exclusivement de ses
adversaires
. Ensuite, il semble bien que la doctrine de Mani (qui était originair
99
sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses
adversaires
que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
100
ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre
adversaire
: savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
101
eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’
adversaire
d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
102
aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses
adversaires
parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
103
. Lorsque après des manœuvres compliquées, un des
adversaires
a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
104
nées et non dans l’anéantissement des forces de l’
adversaire
. Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
105
gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses
adversaires
pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a
106
git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’
adversaire
afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
107
ur rester fort, il faut en premier lieu vaincre l’
adversaire
en soi-même, et pour cela, savoir le dépister. Connaître la religion
108
l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables
adversaires
, les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
109
rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’
adversaire
le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
110
s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’
adversaire
qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
111
Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses
adversaires
et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
112
’à nos jours émanent presque exclusivement de ses
adversaires
. Ensuite, il semble bien que la doctrine de Mani (qui était originair
113
sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses
adversaires
que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
114
et de la procréation, selon le catharisme ?) Les
adversaires
du vrai Amour sont les « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteur
115
nchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les
adversaires
les plus virulents de cette hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le s
116
ette simplification tout à fait abusive, dont mes
adversaires
sont plus responsables que moi — en dépit de certaines imprudences d’
117
ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre
adversaire
: savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
118
eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’
adversaire
d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
119
aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses
adversaires
parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
120
. Lorsque après des manœuvres compliquées, un des
adversaires
a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
121
nées et non dans l’anéantissement des forces de l’
adversaire
. Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
122
gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses
adversaires
pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a
123
s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’
adversaire
qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
124
Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses
adversaires
et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
125
’à nos jours émanent presque exclusivement de ses
adversaires
. Ensuite, il semble bien que la doctrine de Manès (qui était originai
126
sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses
adversaires
que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
127
et de la procréation, selon le catharisme ?) Les
adversaires
du vrai Amour sont les « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteur
128
nchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les
adversaires
les plus virulents de cette hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le s
129
ette simplification tout à fait abusive, dont mes
adversaires
sont plus responsables que moi — en dépit de certaines imprudences d’
130
ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre
adversaire
: savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
131
eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’
adversaire
d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
132
aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses
adversaires
parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
133
. Lorsque après des manœuvres compliquées, un des
adversaires
a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
134
nées et non dans l’anéantissement des forces de l’
adversaire
. Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
135
gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses
adversaires
pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a
136
autes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l’
adversaire
…54 On l’y retrouve naturaliste à la manière goethéenne, et musicien c
137
où nos cadets nous opposeront l’exemple du probe
adversaire
des orthodoxies orgueilleuses, « André Gide à n’en plus finir » ! 5
138
vaste, la millénaire bataille de la culture. L’
adversaire
est en nous Mais d’abord, essayons d’écarter un malentendu menaçan
139
vous parler n’est pas une bataille politique. Les
adversaires
ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’est pas question,
140
maison. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’
adversaire
, est devant eux, à l’extérieur. Or, notre civilisation, sous l’influe
141
mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Tout homme porte en soi les
142
e contre les préjugés du siècle : « Le plus grand
adversaire
de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le
143
moins par tolérance réelle que par prudence. Les
adversaires
politiques ou religieux, chez nous, ne se fréquentent pas, ne se parl
144
uand une troupe est réduite à l’impuissance par l’
adversaire
, on ne dit pas qu’elle est neutre, on dit qu’elle est neutralisée. Ta
145
vité de l’heure favorisait la rencontre d’anciens
adversaires
. Les préjugés tombaient devant le péril. L’opinion, tout d’abord déso
146
une collaboration sans arrière-pensée avec leurs
adversaires
d’hier. Des hommes qui mettent l’intérêt national au-dessus des intér
147
sidèrent que leurs fauteurs, elles démasquent nos
adversaires
et nous permettent de mesurer les forces contre lesquelles tout mouve
148
git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’
adversaire
afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
149
l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables
adversaires
, les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
150
rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’
adversaire
le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
151
vaste, la millénaire bataille de la culture. L’
adversaire
est en nous S’il y a bataille, c’est donc qu’il y a deux adversair
152
s S’il y a bataille, c’est donc qu’il y a deux
adversaires
. Quels sont-ils ? Mais d’abord, essayons d’écarter un malentendu mena
153
vous parler n’est pas une bataille politique. Les
adversaires
ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’est pas question,
154
maison. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’
adversaire
, est devant eux, à l’extérieur. Or, notre civilisation, sous l’influe
155
mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Tout homme porte en soi les
156
vraie bataille dont j’entends vous parler. Or cet
adversaire
intérieur, je ne voudrais pas le définir théoriquement avant de l’avo
157
e contre les préjugés du siècle : « Le plus grand
adversaire
de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le
158
moins par tolérance réelle que par prudence. Les
adversaires
politiques ou religieux, chez nous, se fréquentent peu, ne se parlent
159
uand une troupe est réduite à l’impuissance par l’
adversaire
, on ne dit pas qu’elle est neutre, on dit qu’elle est neutralisée. Ta
160
git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’
adversaire
afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
161
l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables
adversaires
, les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
162
rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’
adversaire
le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
163
lement les points marqués par l’un et l’autre des
adversaires
: c’est le meilleur qui gagnera. Bien que la presse, à peu d’exceptio
164
peut-elle défendre avec succès un pays contre un
adversaire
cinquante fois mieux équipé ? Le premier acte du « blitzkrieg » est d
165
ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
166
fatigue, ou de quelque déséquilibre temporaire. L’
adversaire
est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
167
e consiste à semer la confusion dans le camp de l’
adversaire
en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
168
d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’
adversaire
. Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous
169
ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
170
art de nous, la part du diable dans nos cœurs. L’
adversaire
est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
171
consistait à semer la confusion dans le camp de l’
adversaire
en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
172
d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’
adversaire
. Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous
173
ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
174
part de nous, la part du diable dans nos cœurs. L’
adversaire
est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
175
consistait à semer la confusion dans le camp de l’
adversaire
en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
176
d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’
adversaire
. Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous
177
ue c’est moi qui ne suis rien. Ainsi Dieu est mon
adversaire
. C’est lui seul qui s’oppose à ma gloire, et qui me sauve malgré moi
178
e consiste à semer la confusion dans le camp de l’
adversaire
en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
179
ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos
adversaires
ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
180
fatigue, ou de quelque déséquilibre temporaire. L’
adversaire
est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri