1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 pour ses erreurs plus encore que pour celles de l’ adversaire , ce qui est beaucoup dire. Il y avait dans le Paradis je ne sais quel
2 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
2 ernel ne fait que reprendre la défense contre ses adversaires de tous bords. Je voudrais souligner seulement la beauté de l’effort
3 ui permettent de triompher syllogistiquement de l’ adversaire , sinon de la difficulté elle-même. Mais pour gênante que soit souvent
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
4 e un mépris vraiment exagéré pour la jugeote de l’ adversaire ou s’il traduit simplement cette mauvaise foi pas même consciente, ce
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
5 ette idée que j’ai l’honneur de partager avec mes adversaires se trouve correspondre à des faits patents et simples ; il serait vra
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
6   NOTE A On est toujours tenté d’attribuer à ses adversaires des intentions noires et consciemment criminelles. Ce travers a été d
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
7 un mépris vraiment exagéré pour la jugeotte de l’ adversaire ou s’il traduit simplement cette mauvaise foi pas même consciente, ce
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
8 ette idée que j’ai l’honneur de partager avec mes adversaires se trouve correspondre à des faits patents et simples ; il serait vra
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
9   NOTE A On est toujours tenté d’attribuer à ses adversaires des intentions noires et consciemment criminelles. Ce travers a été d
9 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
10 peut dire précisément de Kassner qu’il réfute ses adversaires — Freud en particulier, dans Christ et l’âme du monde — mais bien plu
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
11 lentendus perpétuellement renaissants, et que les adversaires de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l
11 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
12 r libéralement d’être radicalement supprimé par l’ adversaire . Si au contraire il dure, c’est qu’il s’est défendu par des moyens qu
12 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
13 exprime le désir de déconsidérer à peu de frais l’ adversaire , plutôt que de porter un jugement objectif sur ses doctrines. Ce que
13 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
14 autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’ adversaire à une paix avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
14 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
15 aires. Cette volonté a scandalisé certains de nos adversaires , qui prétendent partir des faits concrets et matériels. L’un d’entre
15 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
16 és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’ adversaires . Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
16 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
17 t, mais bien celui, intéressé, de certains de ses adversaires , de certains de ses louangeurs. L’esprit ne saurait désigner que la t
17 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
18 pouvoir choisir ses résistances, et provoquer des adversaires plus nobles. Est-ce que tout se ramène à des querelles de gros sous ?
18 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
19 5.) Ignorance héritée, si l’on peut dire, par les adversaires du capitalisme fascistes ou staliniens.
19 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
20 és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’ adversaires . Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
20 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
21 autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’ adversaire à une paix avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
21 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
22 en en présence des thèses communistes. Il y a des adversaires que l’on ne peut honorer dignement qu’en se mettant « en garde » dès
22 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
23 sme, en France, ignore la véritable nature de son adversaire . 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les politiciens, croien
24 réalistes quand ils empruntent leur tactique à l’ adversaire . Les conséquences de ces deux faits sont faciles à prévoir : la tacti
25 s assez contradictoires. Il satisfait d’abord les adversaires de l’individualisme50 ; ceux de droite parce qu’il propose un chef, u
26 de l’homme. Le marxisme est pour le chrétien un adversaire plus noble, plus représentatif de l’athéisme conséquent, que le fasci
23 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
27 t, mais bien celui, intéressé, de certains de ses adversaires , de certains de ses louangeurs. L’esprit ne saurait désigner que la t
24 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
28 pouvoir choisir ses résistances, et provoquer des adversaires plus nobles. Est-ce que tout se ramène à des querelles de gros sous ?
25 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
29 5.) Ignorance héritée, si l’on peut dire, par les adversaires du capitalisme fascistes ou staliniens.
26 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
30 és, le rôle d’incroyants, de sceptiques ou même d’ adversaires . Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’incroyants, et ce
27 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
31 autre façon de vaincre, et que c’est de réduire l’ adversaire à une paix avantageuse, à une paix dont ils s’imaginent pouvoir tirer
28 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
32 en en présence des thèses communistes. Il y a des adversaires que l’on ne peut honorer dignement qu’en se mettant « en garde » dès
29 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
33 sme, en France, ignore la véritable nature de son adversaire . 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les politiciens, croien
34 réalistes quand ils empruntent leur tactique à l’ adversaire . Les conséquences de ces deux faits sont faciles à prévoir : la tacti
35 s assez contradictoires. Il satisfait d’abord les adversaires de l’individualisme44 ; ceux de droite parce qu’il propose un chef, u
36 e de l’homme. Le marxisme est pour le chrétien un adversaire plus noble, plus représentatif de l’athéisme conséquent, que le fasci
30 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
37 ine en Russie, au début de 1917, à l’heure où ses adversaires socialistes triomphent apparemment, appuyés par les masses. Ce sont c
31 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
38 ’agent « non historique ». Il faut croire que cet adversaire de Hegel était encore bien mal purgé de ses superstitions pseudo-scie
32 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
39 le jour où le peuple français aura compris que l’ adversaire unique est le capitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à dro
33 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
40 par une erreur assez inexplicable. Mais les pires adversaires de l’Église ne sont pas toujours au-dehors. Voici ceux qui préfèrent
41 sé dans l’attaque de Calvin : il a su prendre à l’ adversaire ses meilleures armes. Au sujet de ce style, dont l’exemple n’est pas
34 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
42 che, à gauche comme à droite, de nommer les vrais adversaires . (Je ne vois que Chamson qui ait dénoncé l’équivoque dont vit la droi
35 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). À propos du 14 juillet (juillet-août 1935)
43 le jour où le peuple français aura compris que l’ adversaire unique est le capitalisme centralisateur, anonyme aujourd’hui — à dro
36 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
44 fera au hasard, sous la pression de la peur d’un adversaire dont on surestime de part et d’autre les forces. Mais nous sommes pay
37 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
45 voient un trait de cette « volonté de rabaisser l’ adversaire  » que M. Miéville me reproche, sans apparence de « justice », je croi
38 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
46 hose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas sérieux. L’ adversaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de
47 n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un vrai adversaire , comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un advers
48 uerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vraiment dangereux, il nous faut cela pour provoquer le déploiement d
39 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
49 à peu près aussi intelligent que de se déclarer l’ adversaire des avalanches et des marées, pour des raisons idéologiques. On enten
40 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
50 es d’être très généralement approuvé même par les adversaires du régime. (Les 3 plébiscites hitlériens.) Dans les deux cas, il s’ag
51 que la paresse d’esprit ou la mauvaise foi de nos adversaires nous assimilent pour autant à un « fascisme » contre lequel toute la
41 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
52 us ne sommes pas « favorables au fascisme », mais adversaires du fascisme, qu’il soit hitlérien (rural) ou stalinien (industrialist
42 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
53 de départ de notre auteur. Contre l’un et l’autre adversaire — l’athée et l’orthodoxe desséché — M. Monod recourt au fait de son e
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
54 r le Moyen Âge. La vraie foi est pour la magie un adversaire d’une autre taille que la raison. 10. Ici encore, c’est Diderot qu’i
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
55 sure où elle provoque. Tournons sa pointe vers un adversaire qui va se désigner lui-même sans retard. Toute l’astuce d’une certain
56 uffisance de ses vertus qu’il s’agit d’éclairer l’ adversaire . Et c’est au succès même de ses efforts qu’il faut le prendre. Car il
45 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
57 r le Moyen Âge. La vraie foi est pour la magie un adversaire d’une autre taille que la raison. 11. Ici encore, c’est Diderot qu’i
46 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
58 sure où elle provoque. Tournons sa pointe vers un adversaire qui va se désigner lui-même sans retard. Toute l’astuce d’une certain
59 uffisance de ses vertus qu’il s’agit d’éclairer l’ adversaire . Et c’est au succès même de ses efforts qu’il faut le prendre. Car il
47 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
60 ement des guerres modernes et l’armement des deux adversaires simultanément. D’autres que nous ont dit le nécessaire sur ce point.
48 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
61 6. Et l’on y lit que les fascistes sont les pires adversaires « de la personne humaine, cette grande force spirituelle ». Et aussi
49 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
62 le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dil
50 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
63 en argent liquide, chez son beau-frère. Il était adversaire du prêt à intérêt, condamné par l’église primitive. Il donnait à qui
51 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
64 ièges dans lesquels tombent les neuf dixièmes des adversaires du marxisme — et combien de marxistes eux-mêmes !) Si maintenant j’es
65 Allemagne, théologiens de l’école hégélienne, ou adversaires du christianisme, tous, dans un commun accord, enseignaient ou laissa
66 leur caractère fondamental, par opposition à nos adversaires qui le niaient, et nous n’eûmes pas toujours le temps ni l’occasion d
67 utomatiquement la réalité humaine. Obligé par ses adversaires à proclamer la primauté du matériel, Marx ne se rendit pas compte qu’
52 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
68 le vrai tragique du débat. Mais le plus grand des adversaires du christianisme dans les temps modernes, Nietzsche, aboutit à un dil
53 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
69 leur temps et leurs forces à discuter avec leurs adversaires  ». Il leur demande ensuite de prendre le pouvoir. Mais avant de prend
70 les malentendus, désarmer autant que possible les adversaires , donc discuter. Au surplus, je ne sais pas si le terme d’adversaire c
71 iscuter. Au surplus, je ne sais pas si le terme d’ adversaire convient à M. Pierre Beausire. Il approuve notre réaction (qu’il dit
54 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
72 en argent liquide, chez son beau-frère. Il était adversaire du prêt à l’intérêt, condamné par l’église primitive. Il donnait à qu
55 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
73 Idéalisme et réalisme ont fait faillite. Le seul adversaire du régime demeure, en fait, l’Église confessionnelle ; c’est-à-dire q
74 le Cheval de Troie. Car pour s’armer autant que l’ adversaire , il faudrait imposer au pays une discipline équivalente à celle qui r
56 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
75 es ni de lances : ils trichèrent donc au jeu où l’ adversaire devait gagner, et se défendirent avec leurs moyens propres : des quar
76 e devant l’inconnu… Pour ma part, je ne suis pas adversaire de la violence en soi, mais bien de cette forme mécanique qu’elle rev
77 vous dis pas cela seulement comme personnaliste, adversaire du stalinisme et du fascisme ; je ne vous le dis pas seulement comme
78 hrétienne, pour les mystiques idolâtres, c’est un adversaire plus sérieux que les canons et que les railleries. C’est le seul adve
79 e les canons et que les railleries. C’est le seul adversaire irréductible, — et pourtant charitable. Car nous ne condamnons pas de
57 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
80 nt, dans le fait, au service de grandes religions adversaires de la foi chrétienne : Prolétariat, Empire, Race, Droits de l’homme,
58 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
81 hose. Ce n’est pas assez, ce n’est pas sérieux. L’ adversaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la guerre. Nous avons besoin de
82 n’est pas sérieux. L’adversaire n’est pas un vrai adversaire , comme à la guerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un advers
83 uerre. Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vraiment dangereux, il nous faut cela pour provoquer le déploiement d
59 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
84 Idéalisme et réalisme ont fait faillite. Le seul adversaire du régime demeure, en fait, l’Église chrétienne ; c’est-à-dire qu’à l
85 le Cheval de Troie. Car pour s’armer autant que l’ adversaire , il faudrait imposer au pays une discipline équivalente à celle qui r
60 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
86 es d’être très généralement approuvé même par les adversaires du régime. (Les 3 plébiscites hitlériens.) Dans les deux cas, il s’ag
61 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
87 it, et donc la force autant que la faiblesse de l’ adversaire . Il écrivait à ce sujet (dans un langage qui, selon lui, ne devait po
88 rcevraient qu’en réalité, ils sont tout près de l’ adversaire , et qu’ils partagent sinon toutes ses vues, du moins sa manière de vo
89 on inavouable, qui est identique à celle de son «  adversaire  ». Alors il dit que je suis très méchant… ⁂ Vous êtes hitlérien ! — N
90 tler, c’est le « tabouer », le considérer comme l’ adversaire sacré. Le sacré, c’est ce qu’on ne discute pas. Mais le sacré est tou
62 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
91 politique de Nicolas, Pacificateur des cantons et adversaire du régime des pensions, la Contre-Réformation insistait exclusivement
63 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
92 et l’inertie. Peut-être vont-ils découvrir que l’ adversaire fanatisé les défie mieux que le sceptique et les ramène mieux à leur
93 e du voisin. Il faut surtout répondre mieux que l’ adversaire au problème qu’il tentait de résoudre, à ce problème du vide social,
64 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
94 ur. ⁂ Nietzsche s’est dressé face au siècle. Et l’ adversaire qu’il s’est choisi, c’est l’esprit de lourdeur, notre poids naturel,
95 puis exaspéré par le silence ou les lâchetés de l’ adversaire . Les idées se retournent au caprice de l’esprit : il n’y a plus de vé
65 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
96 s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’ adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
97 Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses adversaires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
66 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
98 ’à nos jours émanent presque exclusivement de ses adversaires . Ensuite, il semble bien que la doctrine de Mani (qui était originair
99 sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
67 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
100 ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre adversaire  : savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
68 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
101 eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’ adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
102 aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses adversaires parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
103 . Lorsque après des manœuvres compliquées, un des adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
104 nées et non dans l’anéantissement des forces de l’ adversaire . Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
105 gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a
69 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
106 git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’ adversaire afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
107 ur rester fort, il faut en premier lieu vaincre l’ adversaire en soi-même, et pour cela, savoir le dépister. Connaître la religion
108 l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables adversaires , les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
109 rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’ adversaire le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
110 s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’ adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
111 Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses adversaires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
112 ’à nos jours émanent presque exclusivement de ses adversaires . Ensuite, il semble bien que la doctrine de Mani (qui était originair
113 sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
114 et de la procréation, selon le catharisme ?) Les adversaires du vrai Amour sont les « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteur
115 nchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de cette hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le s
116 ette simplification tout à fait abusive, dont mes adversaires sont plus responsables que moi — en dépit de certaines imprudences d’
72 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
117 ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre adversaire  : savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
73 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
118 eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’ adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
119 aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses adversaires parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
120 . Lorsque après des manœuvres compliquées, un des adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
121 nées et non dans l’anéantissement des forces de l’ adversaire . Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
122 gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
123 s ? Et ne peut-on vraiment livrer bataille qu’à l’ adversaire qu’on porte en soi ? J’avoue que j’ai moi-même éprouvé du dépit à voi
124 Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses adversaires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
125 ’à nos jours émanent presque exclusivement de ses adversaires . Ensuite, il semble bien que la doctrine de Manès (qui était originai
126 sémite. Du moins sait-on par les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèm
127 et de la procréation, selon le catharisme ?) Les adversaires du vrai Amour sont les « homicides, traîtres, simoniaques, enchanteur
128 nchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de cette hypothèse sont ceux qui n’ont pas vu le s
129 ette simplification tout à fait abusive, dont mes adversaires sont plus responsables que moi — en dépit de certaines imprudences d’
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
130 ente, et sur les chefs précis dont Otto le montre adversaire  : savoir l’union essentielle et l’abandon des œuvres. On est toujours
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
131 eur suprême réussite — ils parvenaient à battre l’ adversaire d’une manière vraiment radicale : ils détruisaient l’ensemble de ses
132 aolo Vitelli fit même crever les yeux d’un de ses adversaires parce que le misérable avait osé soutenir la légitimité de l’emploi d
133 . Lorsque après des manœuvres compliquées, un des adversaires a perdu ou gagné plusieurs pièces — villes ou places fortes — alors v
134 nées et non dans l’anéantissement des forces de l’ adversaire . Le monde militaire est toujours tombé dans ces erreurs quand il s’es
135 gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et décapités, et si possible tranchés en deux de la tête a
78 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
136 autes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l’ adversaire …54 On l’y retrouve naturaliste à la manière goethéenne, et musicien c
137 où nos cadets nous opposeront l’exemple du probe adversaire des orthodoxies orgueilleuses, « André Gide à n’en plus finir » ! 5
79 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
138 vaste, la millénaire bataille de la culture. L’ adversaire est en nous Mais d’abord, essayons d’écarter un malentendu menaçan
139 vous parler n’est pas une bataille politique. Les adversaires ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’est pas question,
140 maison. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’ adversaire , est devant eux, à l’extérieur. Or, notre civilisation, sous l’influe
141 mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos adversaires ne diffèrent pas essentiellement de nous. Tout homme porte en soi les
142 e contre les préjugés du siècle : « Le plus grand adversaire de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le
80 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
143 moins par tolérance réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, chez nous, ne se fréquentent pas, ne se parl
81 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
144 uand une troupe est réduite à l’impuissance par l’ adversaire , on ne dit pas qu’elle est neutre, on dit qu’elle est neutralisée. Ta
82 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
145 vité de l’heure favorisait la rencontre d’anciens adversaires . Les préjugés tombaient devant le péril. L’opinion, tout d’abord déso
83 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). V. Des hommes nouveaux !
146 une collaboration sans arrière-pensée avec leurs adversaires d’hier. Des hommes qui mettent l’intérêt national au-dessus des intér
84 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
147 sidèrent que leurs fauteurs, elles démasquent nos adversaires et nous permettent de mesurer les forces contre lesquelles tout mouve
85 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
148 git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’ adversaire afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
149 l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables adversaires , les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
150 rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’ adversaire le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
86 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
151 vaste, la millénaire bataille de la culture. L’ adversaire est en nous S’il y a bataille, c’est donc qu’il y a deux adversair
152 s S’il y a bataille, c’est donc qu’il y a deux adversaires . Quels sont-ils ? Mais d’abord, essayons d’écarter un malentendu mena
153 vous parler n’est pas une bataille politique. Les adversaires ne sont nullement les actuels belligérants, et il n’est pas question,
154 maison. Toujours, la cause du mal, c’est-à-dire l’ adversaire , est devant eux, à l’extérieur. Or, notre civilisation, sous l’influe
155 mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos adversaires ne diffèrent pas essentiellement de nous. Tout homme porte en soi les
156 vraie bataille dont j’entends vous parler. Or cet adversaire intérieur, je ne voudrais pas le définir théoriquement avant de l’avo
157 e contre les préjugés du siècle : « Le plus grand adversaire de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus prêcher le
87 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
158 moins par tolérance réelle que par prudence. Les adversaires politiques ou religieux, chez nous, se fréquentent peu, ne se parlent
88 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
159 uand une troupe est réduite à l’impuissance par l’ adversaire , on ne dit pas qu’elle est neutre, on dit qu’elle est neutralisée. Ta
89 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
160 git des choses de l’esprit — c’est de connaître l’ adversaire afin de reconnaître et de tuer les plus secrètes complicités qu’il a
161 l’État. Ces personnes-là, ce sont ses véritables adversaires , les seuls sérieux, et il le sait ! Si Niemöller est dans un camp de
162 rotestant, les faits le prouvent, sera toujours l’ adversaire le plus efficace de l’esprit totalitaire. Déjà, beaucoup d’entre nous
90 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
163 lement les points marqués par l’un et l’autre des adversaires  : c’est le meilleur qui gagnera. Bien que la presse, à peu d’exceptio
91 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
164 peut-elle défendre avec succès un pays contre un adversaire cinquante fois mieux équipé ? Le premier acte du « blitzkrieg » est d
92 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
165 ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos adversaires ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
166 fatigue, ou de quelque déséquilibre temporaire. L’ adversaire est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
167 e consiste à semer la confusion dans le camp de l’ adversaire en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
93 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
168 d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’ adversaire . Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous
94 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
169 ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos adversaires ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
170 art de nous, la part du diable dans nos cœurs. L’ adversaire est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
171 consistait à semer la confusion dans le camp de l’ adversaire en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
95 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
172 d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’ adversaire . Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous
96 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
173 ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos adversaires ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
174 part de nous, la part du diable dans nos cœurs. L’ adversaire est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri
175 consistait à semer la confusion dans le camp de l’ adversaire en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
97 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
176 d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’ adversaire . Voilà la vérité qui nous éclaire, mais nous condamne aussi, car nous
98 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
177 ue c’est moi qui ne suis rien. Ainsi Dieu est mon adversaire . C’est lui seul qui s’oppose à ma gloire, et qui me sauve malgré moi
99 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VII : La cinquième colonne (26 novembre 1943)
178 e consiste à semer la confusion dans le camp de l’ adversaire en y répandant alternativement de vraies et de fausses nouvelles. Voi
100 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
179 ons ce fait fondamental : c’est qu’en réalité nos adversaires ne diffèrent pas essentiellement de nous. Car tout homme porte dans s
180 fatigue, ou de quelque déséquilibre temporaire. L’ adversaire est toujours en nous. Et c’est pourquoi je pense que le chrétien véri