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s attachés surtout à des instants parfaits de nos
affections
; parce que le sentiment ne souffre pas une ascension continue, mais
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e d’une vie toute pleine de nobles penchants et d’
affections
élevées, tandis que déjà la conscience éteinte ne la dirige plus et q
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sentiment de l’existence dépouillé de toute autre
affection
» (entendons : dégagé de toute passion, comme aussi de toute responsa
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ent pas naturellement unis par cette communauté d’
affections
et d’idées qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-
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s François de nature comme vous, mieux que vous d’
affection
, s’il est vrai que l’humanité est la propre affection des François… B
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ction, s’il est vrai que l’humanité est la propre
affection
des François… Bon Dieu ! parmi quels tigres vivons-nous… qu’une cour
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. Vit-on jamais pareille faculté d’incorporer les
affections
de l’âme ? Pas trace de « psychologie » dans cette œuvre qui cependan
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présente l’amour de Tristan et d’Iseut comme une
affection
spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plu
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; elle, la princesse, etc. Comment concevoir une
affection
humaine entre deux types à ce point simplifiés ? L’« amistié » dont i
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ropension à s’adresser à Dieu dans le langage des
affections
humaines : attrait sexuel, faim et soif, volonté. Exaltation en terme
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le suscite sa propre ardeur et brûle de sa propre
affection
, ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à voir avec l’ardeur divin
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e, et sa perfection N’approche point encor de son
affection
; Point de refus pour moi, point d’heures inégales ; Accablé de faveu
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s fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’
affection
pour elle », plus ou moins. Quant aux rapports entre la femme et l’en
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ime vraiment cette femme, ou est-ce que j’ai de l’
affection
pour elle ? Est-ce que j’aime Dieu ou est-ce que j’ai seulement envie
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présente l’amour de Tristan et d’Iseut comme une
affection
spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plu
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; elle, la princesse, etc. Comment concevoir une
affection
humaine entre deux types à ce point simplifiés ? L’« amistié » dont i
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ropension à s’adresser à Dieu dans le langage des
affections
humaines : attrait sexuel, faim et soif, volonté. Exaltation en terme
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le suscite sa propre ardeur et brûle de sa propre
affection
, ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à voir avec l’ardeur divin
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e, et sa perfection N’approche point encor de son
affection
; Point de refus pour moi, point d’heures inégales : Accablé de faveu
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présente l’amour de Tristan et d’Iseut comme une
affection
spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plu
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; elle, la princesse, etc. Comment concevoir une
affection
humaine entre deux types à ce point simplifiés ? L’« amistié » dont i
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ropension à s’adresser à Dieu dans le langage des
affections
humaines : attrait sexuel, faim et soif, volonté. Exaltation en terme
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le suscite sa propre ardeur et brûle de sa propre
affection
, ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à voir avec l’ardeur divin
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e, et sa perfection N’approche point encor de son
affection
; Point de refus pour moi, point d’heures inégales ; Accablé de faveu
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s fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’
affection
pour elle », plus ou moins. Quant aux rapports entre la femme et l’am
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ime vraiment cette femme, ou est-ce que j’ai de l’
affection
pour elle ? Est-ce que j’aime Dieu ou est-ce que j’ai seulement envie
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les de psychanalyse. Un théologien répondit : — L’
affection
de la chair, c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien avant Freud, et mi
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ste à un croissant étalage en public de marques d’
affection
du genre communément appelé necking 4. S’il est vrai que tout le mond
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les de psychanalyse. Un théologien répondit : « L’
affection
de la chair, c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien avant Freud, et mi
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ste à un croissant étalage en public de marques d’
affection
du genre communément appelé necking 3. S’il est vrai que tout le mond
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nvahi mon âme ! Et elle, de son côté, avec quelle
affection
elle me faisait accueil et me regardait comme sa propre fille. Ah ! f
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hilia désignait tout sentiment d’attachement et d’
affection
entre deux personnes, mais les philosophes distinguèrent entre quatre
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’éros : eunoïa désignant le dévouement ; Agapè, l’
affection
désintéressée ; storgè, la tendresse ; pothos, l’amour de désir ; cha
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nvahi mon âme ! Et elle, de son côté, avec quelle
affection
elle me faisait accueil et me regardait comme sa propre fille. Ah ! f
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r des peuples qui sont si séparez de volonté et d’
affection
, comme le Turc et le Persan, le François et l’Espagnol, le Chinois et
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ensemble leur devient indifférent, parce que leur
affection
ne peut se reposer sur aucune de ses parties. La variété, c’est de l’
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de fer feront le reste. … Qu’elle soit une dans l’
affection
des uns pour les autres et contre l’ennemi du dehors… Qu’elle soit un
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ilà Genève qui le rappelle. « Contre mon désir et
affection
la nécessité me fut imposée de retourner à ma première charge… ce que
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r de la moyenne barométrique « variable à beau » (
affection
et réserve réciproques). Sa pensée n’a pour moi rien d’actuel et je d
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écho : On a l’impression que les Celtes ont une
affection
particulière pour les histoires qui se terminent mal… La Queste du Gr
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pas à priori l’idée que l’amour-passion soit une
affection
constitutive de l’esprit humain. Il se pourrait fort bien, comme l’a
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s de qualité, je ne connais pas un seul exemple d’
affection
réciproque ni de fidélité. Le mariage n’est donc plus un obstacle, l
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Le tyran cherche à inspirer la crainte, le roi l’
affection
. » La maxime de Pompidou, lue par Érasme, ne définit fort heureusemen
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ensemble leur devient indifférent, parce que leur
affection
ne peut se reposer sur aucune de ses parties. La variété, c’est de l’