1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 s attachés surtout à des instants parfaits de nos affections  ; parce que le sentiment ne souffre pas une ascension continue, mais
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
2 e d’une vie toute pleine de nobles penchants et d’ affections élevées, tandis que déjà la conscience éteinte ne la dirige plus et q
3 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
3 sentiment de l’existence dépouillé de toute autre affection  » (entendons : dégagé de toute passion, comme aussi de toute responsa
4 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
4 ent pas naturellement unis par cette communauté d’ affections et d’idées qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-
5 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
5 s François de nature comme vous, mieux que vous d’ affection , s’il est vrai que l’humanité est la propre affection des François… B
6 ction, s’il est vrai que l’humanité est la propre affection des François… Bon Dieu ! parmi quels tigres vivons-nous… qu’une cour
6 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
7 . Vit-on jamais pareille faculté d’incorporer les affections de l’âme ? Pas trace de « psychologie » dans cette œuvre qui cependan
7 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
8 présente l’amour de Tristan et d’Iseut comme une affection spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plu
9  ; elle, la princesse, etc. Comment concevoir une affection humaine entre deux types à ce point simplifiés ? L’« amistié » dont i
8 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
10 ropension à s’adresser à Dieu dans le langage des affections humaines : attrait sexuel, faim et soif, volonté. Exaltation en terme
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
11 le suscite sa propre ardeur et brûle de sa propre affection , ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à voir avec l’ardeur divin
12 e, et sa perfection N’approche point encor de son affection  ; Point de refus pour moi, point d’heures inégales ; Accablé de faveu
10 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
13 s fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’ affection pour elle », plus ou moins. Quant aux rapports entre la femme et l’en
14 ime vraiment cette femme, ou est-ce que j’ai de l’ affection pour elle ? Est-ce que j’aime Dieu ou est-ce que j’ai seulement envie
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
15 présente l’amour de Tristan et d’Iseut comme une affection spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plu
16  ; elle, la princesse, etc. Comment concevoir une affection humaine entre deux types à ce point simplifiés ? L’« amistié » dont i
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
17 ropension à s’adresser à Dieu dans le langage des affections humaines : attrait sexuel, faim et soif, volonté. Exaltation en terme
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
18 le suscite sa propre ardeur et brûle de sa propre affection , ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à voir avec l’ardeur divin
19 e, et sa perfection N’approche point encor de son affection  ; Point de refus pour moi, point d’heures inégales : Accablé de faveu
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
20 présente l’amour de Tristan et d’Iseut comme une affection spontanée, apparue dès la scène du bain. Eilhart, Gottfried et la plu
21  ; elle, la princesse, etc. Comment concevoir une affection humaine entre deux types à ce point simplifiés ? L’« amistié » dont i
15 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
22 ropension à s’adresser à Dieu dans le langage des affections humaines : attrait sexuel, faim et soif, volonté. Exaltation en terme
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
23 le suscite sa propre ardeur et brûle de sa propre affection , ardeur qui lui est propre et qui n’a rien à voir avec l’ardeur divin
24 e, et sa perfection N’approche point encor de son affection  ; Point de refus pour moi, point d’heures inégales ; Accablé de faveu
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
25 s fils. Le mari n’aime pas la femme : « il a de l’ affection pour elle », plus ou moins. Quant aux rapports entre la femme et l’am
26 ime vraiment cette femme, ou est-ce que j’ai de l’ affection pour elle ? Est-ce que j’aime Dieu ou est-ce que j’ai seulement envie
18 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
27 les de psychanalyse. Un théologien répondit : — L’ affection de la chair, c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien avant Freud, et mi
19 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
28 ste à un croissant étalage en public de marques d’ affection du genre communément appelé necking 4. S’il est vrai que tout le mond
20 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
29 les de psychanalyse. Un théologien répondit : « L’ affection de la chair, c’est la mort. Saint Paul l’a vu bien avant Freud, et mi
21 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
30 ste à un croissant étalage en public de marques d’ affection du genre communément appelé necking 3. S’il est vrai que tout le mond
22 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
31 nvahi mon âme ! Et elle, de son côté, avec quelle affection elle me faisait accueil et me regardait comme sa propre fille. Ah ! f
23 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — L’amour et la personne dans le monde christianisé
32 hilia désignait tout sentiment d’attachement et d’ affection entre deux personnes, mais les philosophes distinguèrent entre quatre
33 ’éros : eunoïa désignant le dévouement ; Agapè, l’ affection désintéressée ; storgè, la tendresse ; pothos, l’amour de désir ; cha
24 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
34 nvahi mon âme ! Et elle, de son côté, avec quelle affection elle me faisait accueil et me regardait comme sa propre fille. Ah ! f
25 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
35 r des peuples qui sont si séparez de volonté et d’ affection , comme le Turc et le Persan, le François et l’Espagnol, le Chinois et
26 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
36 ensemble leur devient indifférent, parce que leur affection ne peut se reposer sur aucune de ses parties. La variété, c’est de l’
27 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Goethe
37 de fer feront le reste. … Qu’elle soit une dans l’ affection des uns pour les autres et contre l’ennemi du dehors… Qu’elle soit un
28 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
38 ilà Genève qui le rappelle. « Contre mon désir et affection la nécessité me fut imposée de retourner à ma première charge… ce que
29 1969, Articles divers (1963-1969). « La lecture des Nourritures terrestres… » [réponse à un questionnaire sur l’influence d’André Gide] (printemps 1969)
39 r de la moyenne barométrique « variable à beau » ( affection et réserve réciproques). Sa pensée n’a pour moi rien d’actuel et je d
30 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
40 écho : On a l’impression que les Celtes ont une affection particulière pour les histoires qui se terminent mal… La Queste du Gr
41 pas à priori l’idée que l’amour-passion soit une affection constitutive de l’esprit humain. Il se pourrait fort bien, comme l’a
31 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
42 s de qualité, je ne connais pas un seul exemple d’ affection réciproque ni de fidélité. Le mariage n’est donc plus un obstacle, l
32 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
43  Le tyran cherche à inspirer la crainte, le roi l’ affection . » La maxime de Pompidou, lue par Érasme, ne définit fort heureusemen
33 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
44 ensemble leur devient indifférent, parce que leur affection ne peut se reposer sur aucune de ses parties. La variété, c’est de l’