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rie. Car c’est ici la vraie nature de la tragédie
algérienne
, au-delà de ses aspects politiques. Les reproches mutuels, les scanda
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l’avons bien vu depuis deux ans à propos du drame
algérien
. Mais l’affaire a mûri, dans les esprits, tout en se détériorant dans
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é plus « colonialiste » que d’autres que le drame
algérien
s’est noué. Ce n’est pas une politique de gauche ou de droite ou de n
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pas d’internationaliser (comme on dit) l’affaire
algérienne
, par une décision qui condamnerait la France injustement et vainement
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ment. Mais il s’agit de reconnaître que l’affaire
algérienne
n’est plus (si elle le fut jamais) une affaire nationale, ni même int
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. L’Amérique saura-t-elle comprendre que le drame
algérien
l’intéresse vitalement, étant celui de l’aventure occidentale tout en