1
de, En souffrance mes baisers. L’amour est un
alibi
Nos lèvres sitôt que jointes, Ô dernier mensonge tu, Je m’enfuis
2
asion hors de cette société maussade, défaite, un
alibi
pour la mauvaise humeur de ceux qui n’ont plus de « prochains » ? 6
3
conformisme pour les libérer de l’ancien ; — et l’
alibi
d’une action politique à laquelle ils n’entendent goutte. 1. Deux p
4
u conformisme pour les libérer de l’ancien ; et l’
alibi
d’une action politique à laquelle ils n’entendent goutte. Je ne sais
5
entaires ou poèmes, la fiction n’étant plus qu’un
alibi
, ou peut-être une dernière pudeur… Il faut que l’esprit descende quel
6
e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’
alibi
— où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puis
7
la passion est accréditée par Tristan. Excuse et
alibi
qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
8
ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’
alibi
de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
9
saire14. Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’
alibi
de la passion. C’est ce qui permet aux malheureux amants de dire : «
10
se du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un
alibi
: les amants ne se veulent responsables de rien, leur passion étant i
11
Ici, comme dans le mythe, le « Destin » servira d’
alibi
à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l
12
» de la maîtresse sur l’épouse. Quant au philtre,
alibi
de la responsabilité, on lui donne le nom romantique de « fatalité de
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e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’
alibi
— où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puis
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la passion est accréditée par Tristan. Excuse et
alibi
qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
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ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’
alibi
de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
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saire16. Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’
alibi
de la passion. C’est ce qui permet aux malheureux amants de dire : «
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se du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un
alibi
: les amants ne se veulent responsables de rien, leur passion étant i
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Ici, comme dans le mythe, le « Destin » servira d’
alibi
à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l
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» de la maîtresse sur l’épouse. Quant au philtre,
alibi
de la responsabilité, on lui donne le nom romantique de « fatalité de
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e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’
alibi
— où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puis
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la passion est accréditée par Tristan. Excuse et
alibi
qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
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ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’
alibi
de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
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mythe.) Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’
alibi
de la passion. C’est ce qui permet aux malheureux amants de dire : «
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se du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un
alibi
: les amants ne se veulent responsables de rien, leur passion étant i
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Ici, comme dans le mythe, le « Destin » servira d’
alibi
à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l
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» de la maîtresse sur l’épouse. Quant au philtre,
alibi
de la responsabilité, on lui donne le nom romantique de « fatalité de
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e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’
alibi
—, où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, pui
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la passion est accréditée par Tristan. Excuse et
alibi
qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
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ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’
alibi
de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
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er ou l’alibi 13. Où paraît la nécessité d’un
alibi
Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen Âge, depuis
32
c cet insoutenable incognito pour quelque prudent
alibi
… La fausse piste la plus tentante… 14. Le deuxième tour Et c’es
33
une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’
alibis
à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
34
ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’
alibi
du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
35
nsion à se vouloir irresponsable. Tout lui sert d’
alibi
, tout lui est bon pour prouver qu’il n’y était pas, que ce n’est pas
36
complaisances, leurs volontés secrètes ? C’est l’
alibi
rêvé : « Je n’y étais pas, la fatalité seule est responsable. » Il fa
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r ou l’alibi 15. Où paraît la nécessité d’un
alibi
Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen Âge, depuis
39
c cet insoutenable incognito pour quelque prudent
alibi
… La fausse piste la plus tentante, l’image la plus trompeuse du mal q
40
res secrètes. En Hitler, le diable avait trouvé l’
alibi
le plus populaire qu’il eût jamais imaginé. C’est une partie perdue,
41
une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’
alibis
à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
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ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’
alibi
du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
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nsion à se vouloir irresponsable. Tout lui sert d’
alibi
, tout lui est bon pour prouver qu’il n’y était pas, que ce n’est pas
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complaisances, leurs volontés secrètes ? C’est l’
alibi
rêvé : « Je n’y étais pas, la fatalité seule est responsable. » Il fa
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er ou l’alibi 15. Où paraît la nécessité d’un
alibi
Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen Âge, depuis
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c cet insoutenable incognito pour quelque prudent
alibi
… La fausse piste la plus tentante, l’image la plus trompeuse du mal q
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res secrètes. En Hitler, le diable avait trouvé l’
alibi
le plus populaire qu’il eût jamais imaginé. C’est une partie perdue,
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une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’
alibis
à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
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ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’
alibi
du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
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nsion à se vouloir irresponsable. Tout lui sert d’
alibi
, tout lui est bon pour prouver qu’il n’y était pas, que ce n’est pas
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complaisances, leurs volontés secrètes ? C’est l’
alibi
rêvé : « Je n’y étais pas, la fatalité seule est responsable. » Il fa
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une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’
alibis
à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
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ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’
alibi
du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
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u point où il devient difficile de le cacher. Nos
alibis
ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
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u point où il devient difficile de le cacher. Nos
alibis
ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
57
ssivité que l’on allègue, ne serait-elle point un
alibi
? Je ne parle que du vrai coup de fondre, celui qui est suivi d’incen
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u point où il devient difficile de le cacher. Nos
alibis
ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
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u point où il devient difficile de le cacher. Nos
alibis
ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
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u conformisme pour les libérer de l’ancien ; et l’
alibi
d’une action politique à laquelle ils n’entendent goutte. Je ne sais
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entaires ou poèmes, la fiction n’étant plus qu’un
alibi
, ou peut-être une dernière pudeur… Il faut que l’esprit descende que
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ssivité que l’on allègue, ne serait-elle point un
alibi
? Je ne parle que du vrai coup de foudre, celui qui est suivi d’incen
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upart d’entre eux, une démission de la pensée, un
alibi
. Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’une vertu agissante, il
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upart d’entre eux, une démission de la pensée, un
alibi
. Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’une vertu agissante, il
65
sychologie, la sociologie, nous servent en fait d’
alibis
. Nous sommes tentés de justifier en leur nom des attitudes qu’en d’au
66
és. L’un nourrit l’autre, parce qu’il y trouve un
alibi
. Cette passion ne recourt à ce mythe que pour garder quelque moyen d’
67
e que l’on invoque, et la vraie. L’une qui sert d’
alibi
aux démagogues, et l’autre qui les laisse tomber ; l’une qui fait des
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e que l’on invoque, et la vraie. L’une qui sert d’
alibi
aux démagogues, et l’autre qui les laisse tomber ; l’une qui fait des
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és. L’un nourrit l’autre, parce qu’il y trouve un
alibi
. Cette passion ne recourt à ce mythe que pour garder quelque moyen d’
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e que l’on invoque, et la vraie. L’une qui sert d’
alibi
aux démagogues, et l’autre qui les laisse tomber ; l’une qui fait des
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e vécue, gage de son honnêteté, devient aussi son
alibi
. Du point de vue de nos débats politiques, pour se borner à un problè
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répond à une nécessité plus impérieuse : c’est l’
alibi
de la dictature, devenue difficile à défendre, mais qu’il faut mainte
73
reste est conjectures, affirmations sans preuves,
alibis
transparents, wishful thinking, ou construction d’experts à la Deutsc
74
jecte humiliation du moi, l’orgueil fou trouve un
alibi
. L’Évolution fatale est en réalité celle que l’on voudrait imposer. L
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oqués par ceux qui trouvent dans la neutralité un
alibi
décent de « l’apaisement » mal famé. Plus obscur, ou peut-être refoul
76
ême, et le « mouvement de l’histoire » un mauvais
alibi
pour nos démissions personnelles. Le droit d’opposition redevient cré
77
elles. Cessons de chercher le sens de l’Histoire,
alibi
du refus de notre vocation ; apprenons à le décider. Troisième illus
78
jecte humiliation du moi, l’orgueil fou trouve un
alibi
. L’Évolution fatale est en réalité celle que l’on voudrait imposer. L
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a fatalité. On aime croire à une « fatalité » — l’
alibi
de la culpabilité — mais de combien de complaisances secrètes se comp
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ême, et le « mouvement de l’histoire » un mauvais
alibi
pour nos démissions personnelles. Le droit d’opposition redevient cré
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elles. Cessons de chercher le sens de l’Histoire,
alibi
du refus de notre vocation ; apprenons à le décider. Troisième illus
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ra, ce n’est pas ma faute. » La fatalité, c’est l’
alibi
. Et il est nécessaire d’en avoir un, de pouvoir accuser le sort, puis
83
ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’
alibi
des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
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ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’
alibi
des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
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euse pour l’Europe, dans la mesure où elle sert d’
alibi
à la volonté fanatique d’opposer les fameuses « souverainetés nationa
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u spontané du « mouvement de l’histoire », triste
alibi
de nos refus d’être libres. Il faudra que la succession, le remplacem
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ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’
alibi
des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
88
ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’
alibi
des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
89
dissez sans remarquer qu’il vient de crever votre
alibi
. b) « Seul compte le combat de la gauche. » La corrosion des champs
90
iéresque. Elles ne sont, trop évidemment, que les
alibis
, soit de la volonté de puissance des États et de leurs grandes agence
91
iéresque. Elles ne sont, trop évidemment, que les
alibis
, soit de la volonté de puissance des États et de leurs grandes Agence
92
cela chimérique mais mesurable, qui ne serait qu’
alibi
des vocations reniées. De fait, la prospective n’aurait plus de raiso
93
s essayons de nous cacher, et qui ne sont que les
alibis
de nos vrais désirs. 130. Bertrand de Jouvenel, L’Art de la conjec
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ci, comme pour Tristan, « le Destin » va servir d’
alibi
à la responsabilité (culpabilité) des amants et, du même coup, à cell
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n économique. Car le hasard, ici, ne serait que l’
alibi
du refus d’être responsable, tout comme il va de ces « nécessités » q
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vice commandé ou mensonges délibérés — masques et
alibis
d’une volonté de puissance qui voudrait s’exercer sans s’avouer, parc
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Objectivée, « impérative », elle n’est plus que l’
alibi
de nos lâchetés, et cache bien mal un nihilisme foncier, celui de tou
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veut cacher, ou que l’on se cache à soi-même, les
alibis
de notre lâcheté, j’entends de notre peur d’être libres : telle est b
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nation, bouc émissaire, ne doit pas devenir notre
alibi
, le « ils » que l’on accuse de tous les maux, le fatum des Anciens, e
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sychologie, la sociologie, nous servent en fait d’
alibis
. Nous sommes tentés de justifier en leur nom des attitudes qu’en d’au
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apper… » et qui ne sont que masques et prétextes,
alibis
de la libido sentiendi, sciendi ou dominandi, selon Bacon. Quand nous
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cela chimérique mais mesurable, qui ne serait qu’
alibi
des vocations reniées. De fait, la prospective n’aurait plus de raiso
103
s essayons de nous cacher, et qui ne sont que les
alibis
de nos vrais désirs. Les deux plus grands fléaux du siècle J’en
104
dissez sans remarquer qu’il vient de crever votre
alibi
: eux savent très bien ce qu’est un Européen ! (N.B. — « Les jeunes
105
t petit ! » … En Hitler, le diable avait trouvé l’
alibi
le plus populaire qu’il eût jamais imaginé. C’est une partie perdue,
106
re américaine, ils ne se contenteraient plus de l’
alibi
du « parapluie », ils verraient à l’évidence la nécessité de s’unir a