1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
1 de, En souffrance mes baisers. L’amour est un alibi Nos lèvres sitôt que jointes, Ô dernier mensonge tu, Je m’enfuis
2 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
2 asion hors de cette société maussade, défaite, un alibi pour la mauvaise humeur de ceux qui n’ont plus de « prochains » ? 6
3 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
3 conformisme pour les libérer de l’ancien ; — et l’ alibi d’une action politique à laquelle ils n’entendent goutte. 1. Deux p
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
4 u conformisme pour les libérer de l’ancien ; et l’ alibi d’une action politique à laquelle ils n’entendent goutte. Je ne sais
5 entaires ou poèmes, la fiction n’étant plus qu’un alibi , ou peut-être une dernière pudeur… Il faut que l’esprit descende quel
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
6 e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’ alibi — où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puis
6 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
7 la passion est accréditée par Tristan. Excuse et alibi qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
8 ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’ alibi de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
7 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
9 saire14. Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’ alibi de la passion. C’est ce qui permet aux malheureux amants de dire : « 
8 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
10 se du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi  : les amants ne se veulent responsables de rien, leur passion étant i
9 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
11 Ici, comme dans le mythe, le « Destin » servira d’ alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l
12 » de la maîtresse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom romantique de « fatalité de
10 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
13 e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’ alibi  — où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puis
11 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
14 la passion est accréditée par Tristan. Excuse et alibi qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
15 ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’ alibi de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
16 saire16. Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’ alibi de la passion. C’est ce qui permet aux malheureux amants de dire : « 
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
17 se du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi  : les amants ne se veulent responsables de rien, leur passion étant i
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
18 Ici, comme dans le mythe, le « Destin » servira d’ alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l
19 » de la maîtresse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom romantique de « fatalité de
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
20 e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’ alibi  — où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, puis
16 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
21 la passion est accréditée par Tristan. Excuse et alibi qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
22 ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’ alibi de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
23 mythe.) Qu’est-ce alors que le philtre ? C’est l’ alibi de la passion. C’est ce qui permet aux malheureux amants de dire : « 
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
24 se du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi  : les amants ne se veulent responsables de rien, leur passion étant i
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
25 Ici, comme dans le mythe, le « Destin » servira d’ alibi à la responsabilité de ceux qui aiment, et du même coup, à celle de l
26 » de la maîtresse sur l’épouse. Quant au philtre, alibi de la responsabilité, on lui donne le nom romantique de « fatalité de
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
27 e fini. Mais la passion dite « fatale » — c’est l’ alibi  —, où se complaisent les modernes, ne sait plus même être fidèle, pui
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
28 la passion est accréditée par Tristan. Excuse et alibi qui ne peuvent tromper que celui qui veut être trompé, parce qu’il y
29 ourquoi l’on aime croire à la fatalité, qui est l’ alibi de la culpabilité : « Ce n’est pas moi qui ai commis la faute, je n’y
22 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
30 Deuxième partieHitler ou l’ alibi 13. Où paraît la nécessité d’un alibi Il est étrange de consta
31 er ou l’alibi 13. Où paraît la nécessité d’un alibi Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen Âge, depuis
32 c cet insoutenable incognito pour quelque prudent alibi … La fausse piste la plus tentante… 14. Le deuxième tour Et c’es
23 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
33 une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’ alibis à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
24 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
34 ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’ alibi du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
35 nsion à se vouloir irresponsable. Tout lui sert d’ alibi , tout lui est bon pour prouver qu’il n’y était pas, que ce n’est pas
36 complaisances, leurs volontés secrètes ? C’est l’ alibi rêvé : « Je n’y étais pas, la fatalité seule est responsable. » Il fa
25 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
37 Deuxième partieHitler ou l’ alibi 15. Où paraît la nécessité d’un alibi Il est étrange de const
38 r ou l’alibi 15. Où paraît la nécessité d’un alibi Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen Âge, depuis
39 c cet insoutenable incognito pour quelque prudent alibi … La fausse piste la plus tentante, l’image la plus trompeuse du mal q
40 res secrètes. En Hitler, le diable avait trouvé l’ alibi le plus populaire qu’il eût jamais imaginé. C’est une partie perdue,
26 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
41 une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’ alibis à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
27 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
42 ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’ alibi du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
43 nsion à se vouloir irresponsable. Tout lui sert d’ alibi , tout lui est bon pour prouver qu’il n’y était pas, que ce n’est pas
44 complaisances, leurs volontés secrètes ? C’est l’ alibi rêvé : « Je n’y étais pas, la fatalité seule est responsable. » Il fa
28 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
45 Deuxième partieHitler ou l’ alibi 15. Où paraît la nécessité d’un alibi Il est étrange de consta
46 er ou l’alibi 15. Où paraît la nécessité d’un alibi Il est étrange de constater que depuis la fin du Moyen Âge, depuis
47 c cet insoutenable incognito pour quelque prudent alibi … La fausse piste la plus tentante, l’image la plus trompeuse du mal q
48 res secrètes. En Hitler, le diable avait trouvé l’ alibi le plus populaire qu’il eût jamais imaginé. C’est une partie perdue,
29 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
49 une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’ alibis à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
30 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
50 ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’ alibi du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
51 nsion à se vouloir irresponsable. Tout lui sert d’ alibi , tout lui est bon pour prouver qu’il n’y était pas, que ce n’est pas
52 complaisances, leurs volontés secrètes ? C’est l’ alibi rêvé : « Je n’y étais pas, la fatalité seule est responsable. » Il fa
31 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VII : La cinquième colonne (26 novembre 1943)
53 une liberté indéfinie d’action, d’incognito et d’ alibis à perte de vue. Vulgaire et séduisant, pharisien et voyou, hypocrite
32 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
54 ph, charpentier de village. Mais l’incognito et l’ alibi du diable sont exactement inverses : c’est dans l’image de nos dieux
33 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
55 u point où il devient difficile de le cacher. Nos alibis ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
34 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
56 u point où il devient difficile de le cacher. Nos alibis ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
35 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
57 ssivité que l’on allègue, ne serait-elle point un alibi  ? Je ne parle que du vrai coup de fondre, celui qui est suivi d’incen
36 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
58 u point où il devient difficile de le cacher. Nos alibis ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
37 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
59 u point où il devient difficile de le cacher. Nos alibis ne trompent plus que nous-mêmes. Pour moi, je poursuivrai ma lutte, q
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
60 u conformisme pour les libérer de l’ancien ; et l’ alibi d’une action politique à laquelle ils n’entendent goutte. Je ne sais
61 entaires ou poèmes, la fiction n’étant plus qu’un alibi , ou peut-être une dernière pudeur… Il faut que l’esprit descende que
39 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
62 ssivité que l’on allègue, ne serait-elle point un alibi  ? Je ne parle que du vrai coup de foudre, celui qui est suivi d’incen
40 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
63 upart d’entre eux, une démission de la pensée, un alibi . Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’une vertu agissante, il
41 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
64 upart d’entre eux, une démission de la pensée, un alibi . Pour qu’une pensée soit efficace et douée d’une vertu agissante, il
42 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
65 sychologie, la sociologie, nous servent en fait d’ alibis . Nous sommes tentés de justifier en leur nom des attitudes qu’en d’au
43 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
66 és. L’un nourrit l’autre, parce qu’il y trouve un alibi . Cette passion ne recourt à ce mythe que pour garder quelque moyen d’
44 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
67 e que l’on invoque, et la vraie. L’une qui sert d’ alibi aux démagogues, et l’autre qui les laisse tomber ; l’une qui fait des
45 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
68 e que l’on invoque, et la vraie. L’une qui sert d’ alibi aux démagogues, et l’autre qui les laisse tomber ; l’une qui fait des
46 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
69 és. L’un nourrit l’autre, parce qu’il y trouve un alibi . Cette passion ne recourt à ce mythe que pour garder quelque moyen d’
47 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
70 e que l’on invoque, et la vraie. L’une qui sert d’ alibi aux démagogues, et l’autre qui les laisse tomber ; l’une qui fait des
48 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
71 e vécue, gage de son honnêteté, devient aussi son alibi . Du point de vue de nos débats politiques, pour se borner à un problè
49 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
72 répond à une nécessité plus impérieuse : c’est l’ alibi de la dictature, devenue difficile à défendre, mais qu’il faut mainte
73 reste est conjectures, affirmations sans preuves, alibis transparents, wishful thinking, ou construction d’experts à la Deutsc
50 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
74 jecte humiliation du moi, l’orgueil fou trouve un alibi . L’Évolution fatale est en réalité celle que l’on voudrait imposer. L
51 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
75 oqués par ceux qui trouvent dans la neutralité un alibi décent de « l’apaisement » mal famé. Plus obscur, ou peut-être refoul
52 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
76 ême, et le « mouvement de l’histoire » un mauvais alibi pour nos démissions personnelles. Le droit d’opposition redevient cré
77 elles. Cessons de chercher le sens de l’Histoire, alibi du refus de notre vocation ; apprenons à le décider. Troisième illus
53 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
78 jecte humiliation du moi, l’orgueil fou trouve un alibi . L’Évolution fatale est en réalité celle que l’on voudrait imposer. L
54 1963, Articles divers (1963-1969). L’amour ? le mariage ? la fidélité ? l’adultère ? la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)
79 a fatalité. On aime croire à une « fatalité » — l’ alibi de la culpabilité — mais de combien de complaisances secrètes se comp
55 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
80 ême, et le « mouvement de l’histoire » un mauvais alibi pour nos démissions personnelles. Le droit d’opposition redevient cré
81 elles. Cessons de chercher le sens de l’Histoire, alibi du refus de notre vocation ; apprenons à le décider. Troisième illus
56 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
82 ra, ce n’est pas ma faute. » La fatalité, c’est l’ alibi . Et il est nécessaire d’en avoir un, de pouvoir accuser le sort, puis
57 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
83 ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’ alibi des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
58 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
84 ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’ alibi des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
59 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
85 euse pour l’Europe, dans la mesure où elle sert d’ alibi à la volonté fanatique d’opposer les fameuses « souverainetés nationa
60 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
86 u spontané du « mouvement de l’histoire », triste alibi de nos refus d’être libres. Il faudra que la succession, le remplacem
61 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
87 ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’ alibi des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
62 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
88 ntenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’ alibi des raisons de vivre inexistantes. La réponse à la contestation de la
63 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
89 dissez sans remarquer qu’il vient de crever votre alibi .   b) « Seul compte le combat de la gauche. » La corrosion des champs
64 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
90 iéresque. Elles ne sont, trop évidemment, que les alibis , soit de la volonté de puissance des États et de leurs grandes agence
65 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
91 iéresque. Elles ne sont, trop évidemment, que les alibis , soit de la volonté de puissance des États et de leurs grandes Agence
66 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
92 cela chimérique mais mesurable, qui ne serait qu’ alibi des vocations reniées. De fait, la prospective n’aurait plus de raiso
93 s essayons de nous cacher, et qui ne sont que les alibis de nos vrais désirs. 130. Bertrand de Jouvenel, L’Art de la conjec
67 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
94 ci, comme pour Tristan, « le Destin » va servir d’ alibi à la responsabilité (culpabilité) des amants et, du même coup, à cell
68 1977, L’Avenir est notre affaire. Introduction. Crise de l’avenir
95 n économique. Car le hasard, ici, ne serait que l’ alibi du refus d’être responsable, tout comme il va de ces « nécessités » q
69 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
96 vice commandé ou mensonges délibérés — masques et alibis d’une volonté de puissance qui voudrait s’exercer sans s’avouer, parc
97 Objectivée, « impérative », elle n’est plus que l’ alibi de nos lâchetés, et cache bien mal un nihilisme foncier, celui de tou
70 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
98 veut cacher, ou que l’on se cache à soi-même, les alibis de notre lâcheté, j’entends de notre peur d’être libres : telle est b
71 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
99 nation, bouc émissaire, ne doit pas devenir notre alibi , le « ils » que l’on accuse de tous les maux, le fatum des Anciens, e
72 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Un « Essai sur l’avenir » en 1948
100 sychologie, la sociologie, nous servent en fait d’ alibis . Nous sommes tentés de justifier en leur nom des attitudes qu’en d’au
73 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
101 apper… » et qui ne sont que masques et prétextes, alibis de la libido sentiendi, sciendi ou dominandi, selon Bacon. Quand nous
74 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
102 cela chimérique mais mesurable, qui ne serait qu’ alibi des vocations reniées. De fait, la prospective n’aurait plus de raiso
103 s essayons de nous cacher, et qui ne sont que les alibis de nos vrais désirs. Les deux plus grands fléaux du siècle J’en
75 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
104 dissez sans remarquer qu’il vient de crever votre alibi  : eux savent très bien ce qu’est un Européen ! (N.B. — « Les jeunes
76 1978, Articles divers (1978-1981). Le diable en Suisse (1er janvier 1978)
105 t petit ! » … En Hitler, le diable avait trouvé l’ alibi le plus populaire qu’il eût jamais imaginé. C’est une partie perdue,
77 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
106 re américaine, ils ne se contenteraient plus de l’ alibi du « parapluie », ils verraient à l’évidence la nécessité de s’unir a