1 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
1 rculent à gauche, et au lieu de dire au téléphone allô , on dit : olla / Je vais regarder, demain matin, si le soleil ne se l
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
2 ulent à gauche, et au lieu de dire au téléphone : Allô , on dit : Olla ! Il y a là quelque chose d’important. Que le Nord dom
3 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
3 hone retentit. J’entendis une voix qui me dit : «  Allô  ! Ici Einstein ». Je n’en croyais pas mes oreilles ; c’est un peu com
4 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
4 porte capitonnée, en s’annonçant par un profond «  Allô  ! Allô ! » et me demandera de passer chez lui pour quelques instants.
5 apitonnée, en s’annonçant par un profond « Allô ! Allô  ! » et me demandera de passer chez lui pour quelques instants. Et, ch
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
6 porte capitonnée, en s’annonçant par un profond «  Allô  ! Allô ! » et me demandera de passer chez lui pour quelques instants.
7 apitonnée, en s’annonçant par un profond « Allô ! Allô  ! » et me demandera de passer chez lui pour quelques instants. Chaque
6 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
8 et bombarde la ville de lettres aux ménagères : «  Allô , allô, Migros vous salue du ciel parce qu’il n’y a plus de place pour
9 barde la ville de lettres aux ménagères : « Allô, allô , Migros vous salue du ciel parce qu’il n’y a plus de place pour elle
7 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
10 ez lui pour causer. Il s’annonçait d’un profond «  allô allô ». Il me dit un jour ces phrases qui m’émurent profondément : « 
11 i pour causer. Il s’annonçait d’un profond « allô allô  ». Il me dit un jour ces phrases qui m’émurent profondément : « C’est