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le est ma chanson. Par monts, par vaux, par les
alpages
— Sifflez, dansez, sonnez sonnailles — De nos travaux que Dieu protèg
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s transpercent comme un petit vent du matin sur l’
alpage
. 1er valet. — Moi, je dis qu’on n’est pas des saints, nous autres
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e dégringolade de deux-mille mètres à travers les
alpages
dénudés, puis les forêts de châtaigniers, et finalement dans la pouss
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utour de nous, modelait largement les croupes des
alpages
, et donnait à ce haut désert sa réalité la plus dure, ses dimensions