1
s naturelles de la Suisse, l’eau des montagnes) l’
aluminium
, dont les usages se multiplient dans les domaines les plus divers, de
2
de téléphone, les routes bétonnées, les wagons en
aluminium
, les distributeurs automatiques et les quais fleuris, composent un dé
3
n nez rose à travers l’aura sombre de l’hélice. L’
aluminium
des ailes luit dans l’ombre, sur le fond de la plaine embrumée. Un lé
4
. Arrêt dans une auberge faite d’un vieux wagon d’
aluminium
déposé au bord de la route, dans une clairière et l’on est ami du pat
5
te par l’eau des Alpes) permirent de travailler l’
aluminium
extrait de la bauxite importée. Peu à peu, les textiles ont cédé le p
6
de téléphone, les routes bétonnées, les wagons en
aluminium
, les distributeurs automatiques et les quais fleuris composent un déc
7
uillon de culture. Les cheminées de deux usines d’
aluminium
lâchent le fluor par tonnes. Les aiguilles de pin brunissent à 20 km
8
taires. Mais si la vallée de la Maurienne subit l’
aluminium
, elle lui doit aussi sa richesse. Fermer les usines condamnerait la v
9
1 ou 50 ans, du cuivre pour 21 ou 48 ans, et de l’
aluminium
pour 31 ou 160 ans ; que le pétrole existant et à trouver sous les me
10
terre étaient illimitées, comme s’il y avait de l’
aluminium
, du pétrole, de l’uranium pour mille ans ! Au fond, qu’est-ce que le
11
avait simplement pas assez de pétrole, d’acier, d’
aluminium
et de cuivre sur toute la Terre pour fabriquer la quantité d’autos, d