1
de visions nouvelles, et qui résiste le mieux à l’
analyse
. Seulement nous y perdons graduellement l’intelligence de nos instinc
2
su tirer des complexes de famille freudiens, ou d’
analyses
de démences mystiques ; mais tout cela est sublimé dans un monde poét
3
fuser à l’élan vital qui nous crée sans cesse : l’
analyse
de sa solitude le laisse en face de quelques réactions physiologiques
4
leur effort, il puise dans l’échec même de leurs
analyses
les éléments de sa synthèse, qui se trouve ainsi continuer leur œuvre
5
ilosophie. Pour nous prémunir contre le pouvoir d’
analyse
— une analyse qui retient les éléments de la personnalité moins le «
6
r nous prémunir contre le pouvoir d’analyse — une
analyse
qui retient les éléments de la personnalité moins le « principe unifi
7
laid que nature. Faut-il conclure avec Gide : « L’
analyse
psychologique a perdu pour moi tout intérêt du jour où je me suis avi
8
l imagine d’éprouver. » Non. Car à supposer que l’
analyse
nous crée, elle ne nous crée pas n’importe comment, mais selon certai
9
t fournies par le sens de son intérêt propre, une
analyse
sincère ne puisse faire découvrir quelques richesses et ne serve parf
10
er, une confiance dans l’élan qui échappe à toute
analyse
préalable et sans quoi le saut paraît impossible, absurde.) Enfin, dé
11
.) Enfin, désagrégation de la personnalité, car l’
analyse
la plus savante, comme l’a fort bien dit Ramon Fernandez, « retient t
12
minute de ma joie est plus réel que celui qu’une
analyse
désolée s’imaginait retenir. Dès lors, ce n’est pas lâcher la proie p
13
e mêle étroitement au premier… Mais combien cette
analyse
trahit Barbey : son art est justement de voiler les intentions du réc
14
le livre de Barbey, on oublie la justesse de son
analyse
pour n’évoquer plus que des visions où se condense le sentiment du ré
15
ections générales. « Hamlétisme », pouvoir aigu d’
analyse
qui conduit à la dispersion autant qu’à l’approfondissement du moi, s
16
mortel » que décrivait Mon Corps et Moi. Quand l’
analyse
féroce de Crevel fouille les pensées de Pierre ou de Diane, les geste
17
moindre vol. » J’ajouterai, cher Monsieur, que l’
analyse
psychologique n’est pas mon fort. Je me contente de quelques observat
18
t était nécessaire à la sécurité de cette sorte d’
analyse
, — encore que Bopp ait prouvé dans son Amiel qu’il était de taille à
19
la tâche des instituteurs : Faire de ces belles
analyses
logiques, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux
20
moyen de gesticulations appropriées : foin de ces
analyses
de textes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots en « al
21
la tâche des instituteurs : Faire de ces belles
analyses
logiques, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux
22
moyen de gesticulations appropriées : foin de ces
analyses
de textes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots en « al
23
la révolte de l’homme contre son Créateur — et il
analyse
les principaux thèmes de l’œuvre avec une intelligence que l’on renco
24
publie dans son numéro du 15 février15. M. Marcel
analyse
trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des lumière
25
de procéder en ce qui le concerne lui-même, à des
analyses
ou à des réductions du même ordre. Lui est des pieds à la tête un hom
26
L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe, d’
Analyse
spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le célèbre phil
27
Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’
analyses
précises, de citations, de planches hors-texte ? C’est un repos de l’
28
(Librairie Dardel, Chambéry.) 23. Dans Essais et
Analyses
. (Crès, 1926.) i. « Littérature alpestre », Foi et Vie, Paris, n° 29
29
té frappante. Cela éclate particulièrement dans l’
analyse
des motifs de ses actions journalières. Par là, il fait souvent pense
30
listique. La férocité réfléchie qui préside à son
analyse
de l’indiscret nous vaut une description inégalable du mal du siècle.
31
français). Cela pouvait donner soit des œuvres d’
analyse
tendant à dissoudre les affirmations massives de la foi ; soit des œu
32
est-à-dire à son pire ennemi. Morne triomphe de l’
analyse
psychologique. Un siècle de ce régime suffit à nous mener à ce troubl
33
la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’
analyse
d’états d’âme dans le doute, il est permis d’attendre de la violence
34
pont étant toute verbale, ne relève donc que de l’
analyse
logique, et doit être rejetée à ce titre comme impliquant une contrad
35
d’application : la personne. Tel est en dernière
analyse
, le fondement, l’enjeu de la révolution nouvelle. Ici, je ne dirai pl
36
ique. Ainsi se dessineraient, si nous étendions l’
analyse
, deux « natures » fondamentalement divergentes, dont il serait facile
37
ique. Ainsi se dessineraient, si nous étendions l’
analyse
, deux « natures » fondamentales divergentes, dont il serait facile de
38
acilement entraînés. Une Main nous donne ainsi l’
analyse
élémentaire d’un des phénomènes les plus importants d’aujourd’hui : l
39
t nous parlions, à quoi se suspend-il en dernière
analyse
? Vers quelles fins dernières nous conduit le dépassement qu’il perme
40
e reste à marquer la dépendance théologique d’une
analyse
qui peut paraître strictement humaine. On peut parler en termes de ph
41
octrine. Cartésien par l’audace méthodique de son
analyse
, il refusait pourtant la distinction rationaliste et libérale entre l
42
pitoyable maîtrise que Kierkegaard apporte dans l’
analyse
psychologique du désespoir, considéré comme une maladie universelle n
43
ur le dessein du livre. Nul romantisme dans cette
analyse
, aucune exaltation de nos démons obscurs. Au fond du désespoir, et qu
44
leine signification. On trouvera, d’ailleurs, une
analyse
détaillée des Stades sur le chemin de la vie, dont In Vino Veritas co
45
entiment d’un tel péril qui explique, en dernière
analyse
, la méfiance réciproque dont je viens d’indiquer l’un des symptômes l
46
la coutume de ces philosophes est de fonder leurs
analyses
sur des totalités, sur des unités d’expérience sensible, saisies tell
47
est pourquoi, sans vouloir en rien sous-estimer l’
analyse
qu’Aron et Dandieu nous proposent des notions d’échange10 et de trava
48
acte pris comme point de départ 18 se fondent ses
analyses
du pouvoir et des valeurs, et sa critique du travail. Cette critique
49
nne par le moyen du service civil de travail19. L’
analyse
du pouvoir aboutit d’autre part à une conception de l’organisation po
50
ûr, à lire Déat, qu’il ait poussé très loin cette
analyse
. Et alors on ne peut s’empêcher de partager dans une certaine mesure
51
is, les Allemands, les Scandinaves, et le roman d’
analyse
français, de Rousseau jusqu’à Gide, en passant par Constant. Quand on
52
s que cette confusion désirée revient en dernière
analyse
au refus pur et simple d’agir et de créer, j’entends, de se poser com
53
’est dans ce jusqu’au bout que réside en dernière
analyse
la différence irréductible entre un chrétien et un marxiste convaincu
54
ohérence de ses affirmations polémiques et de ses
analyses
théoriques. Que les thèses marxistes reposent sur une constatation hi
55
d’application : la personne. Tel est, en dernière
analyse
, le fondement, l’enjeu de la révolution nouvelle. Ici, je ne dirai p
56
tion de l’homme actif et créateur, se fondent une
analyse
du pouvoir et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique
57
ienne par le moyen du service civil de travail. L’
analyse
du pouvoir aboutit d’autre part à une conception de l’organisation po
58
dans l’édition originale. 77. Voir plus loin une
analyse
de ce livre. 78. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile définit la notio
59
est pourquoi, sans vouloir en rien sous-estimer l’
analyse
qu’Aron et Dandieu nous proposent des notions d’échange80 et de trava
60
’est dans ce jusqu’au bout que réside en dernière
analyse
la différence irréductible entre un chrétien et un marxiste convaincu
61
ohérence de ses affirmations polémiques et de ses
analyses
théoriques. Que les thèses marxistes reposent sur une constatation hi
62
d’application : la personne. Tel est, en dernière
analyse
, le fondement, l’enjeu de la révolution nouvelle. Ici ; je ne dirai p
63
tion de l’homme actif et créateur, se fondait une
analyse
du pouvoir et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique
64
nne par le moyen du service civil de travail78. L’
analyse
du aboutissait d’autre part à une conception de l’organisation politi
65
paraît inséparable de l’amour qui les domine. Une
analyse
racinienne des sentiments s’unit ici à la rigueur d’un idéal orgueill
66
ni sans quelque fatras, ni sans préciosité dans l’
analyse
de soi… j. « André Rouveyre, Singulier, Mercure de France », Esprit,
67
métaphysiques, c’est un irrationalisme concret. L’
analyse
de l’homme intérieur ou social, telle que l’ont inlassablement repris
68
galement possibles ; les échanges heureux entre l’
analyse
et les actes, singulièrement probables : pensée merveilleusement exci
69
à ses contradicteurs, de critique littéraire ou d’
analyses
des « actualités ». Non que cela nous paraisse le moins du monde nuis
70
pourrait en dire autant de la plupart des autres
analyses
nietzschéennes portant sur les valeurs morales. Il attaque l’altruism
71
s 45. ⁂ Ainsi la mythologie, chez Ramuz, déloge l’
analyse
abstraite des psychologues. Et l’on découvre à chacune de ses œuvres
72
e l’idée de Progrès aux débuts du xxe siècle. Il
analyse
quelques-unes de ses causes. Enfin, il définit sans équivoques la sol
73
lettres, de fragments de sermons, de boutades, d’
analyses
philosophiques, de poèmes, d’anecdotes, d’aphorismes. On s’y perd bie
74
bourgeois confus de l’être encore, habiles dans l’
analyse
du désordre, fascinés par les subversions prochaines, mais incapables
75
ription historique de de Man se fonde en dernière
analyse
sur une thèse d’origine marxiste : elle aboutit à mettre en évidence
76
usement si ce premier progrès suffit, et si cette
analyse
morale conduit au cœur du conflit véritable. Là où Marx se contente d
77
restauration d’une commune mesure Au cours des
analyses
historiques qui précèdent, nous avons vu comment les grandes cultures
78
cela revient à une contre-épreuve par le fait des
analyses
internes qui précèdent. La dictature de cette crise sur nos esprits e
79
et doctrines étatistes Au terme de cette brève
analyse
de la logique interne du désordre régnant, il sera bon d’insister que
80
ité. Enchaînement des valeurs Partant d’une
analyse
impatiente de la logique interne du désordre régnant — la pensée prol
81
arce que cela affecte, peut-être, notre tout. Nos
analyses
ne nous donnent en elles-mêmes et d’une façon précise rien de suffisa
82
et cette volonté sont déjà présents, avant toute
analyse
, dans le sentiment que nous disions tout à l’heure éprouver en face d
83
ste alors qu’à se consoler par la certitude que l’
analyse
philosophique est avec celui qui ne peut pas sauter. Et c’est peut-êt
84
la précède, d’autre part, n’est pas épuisée par l’
analyse
de ses effets. L’acte est à la fois créateur, et transcendant à sa cr
85
bourgeois confus de l’être encore, habiles dans l’
analyse
du désordre, fascinés par les subversions prochaines, mais incapables
86
ription historique de de Man se fonde en dernière
analyse
sur une thèse d’origine marxiste : elle aboutit à mettre en évidence
87
usement si ce premier progrès suffit, et si cette
analyse
morale conduit au cœur du conflit véritable. Là où Marx se contente d
88
restauration d’une commune mesure Au cours des
analyses
historiques qui précèdent, nous avons vu comment les grandes cultures
89
cela revient à une contre-épreuve par le fait des
analyses
internes qui précèdent. La dictature de cette crise sur nos esprits e
90
et doctrines étatistes Au terme de cette brève
analyse
de la logique interne du désordre régnant, il sera bon d’insister que
91
ité. Enchaînement des valeurs Partant d’une
analyse
impatiente de la logique interne du désordre régnant — la pensée prol
92
lui de Staline… Mais si vigoureuse que soit cette
analyse
— et si utile sa lecture pour tous les possédants chrétiens — elle ne
93
iècle, il n’y a plus de grands mythes, il y a des
analyses
. On part de « faits d’observation » et l’on essaie d’en tirer de la v
94
tout l’effort de l’écrivain se porte alors sur l’
analyse
des motifs secrets d’une action. La méthode consistant trop souvent,
95
» sont de ces illusions qui ne résistent pas à l’
analyse
, et qu’un auteur sincère se doit de démasquer. Tout se ramènerait à l
96
ez complexes pour notre goût moderne ! Et que l’«
analyse
des motifs » est ici d’une fort malicieuse lucidité. Mais elle s’opèr
97
marge de l’action, sous forme de méditation ou d’
analyse
. Toutes les ressources du conte populaire et de l’imagerie sentimenta
98
r dans un « journal » des effusions lyriques, des
analyses
du moi, j’ai cru qu’il serait plus discret de donner, par exemple, me
99
borg du vivant de ce grand mystique. L’excellente
analyse
qu’il nous donne des principaux écrits de son compatriote ne prend qu
100
ins désintéressé dans ses mobiles. Sans doute une
analyse
un peu poussée révélerait-elle à l’origine de la recherche la plus ab
101
nication nous oriente utilement vers une nouvelle
analyse
de la transcendance dans son rapport aux puissances de l’imagination
102
Du secret, il tira une partie de son œuvre : son
analyse
du désespoir considéré comme une révolte contre Dieu. De sa fortune,
103
ce titre : L’Amour et l’Occident . Partant d’une
analyse
approfondie des cinq légendes primitives de Tristan et Iseut, l’auteu
104
nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates
analyses
psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
105
à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos
analyses
: jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
106
phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des
analyses
qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
107
e fonder une science des rapports conjugaux. Jung
analyse
le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
108
, et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’
analyse
des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
109
confondre avec des vérités psychologiques. Notre
analyse
du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu
110
er l’un de ses discours dont Gardère nous donne l’
analyse
. Il s’agit de répondre à cette question : « Les spectacles ou leur in
111
de publier une revue entièrement consacrée à des
analyses
de rêves, Moritz écrivit deux romans autobiographiques qui nous perme
112
ue nous venons de dégager pourraient guider notre
analyse
. Le mouvement hitlérien, dans son essence, m’apparaît comme un romant
113
t tort au sens profond du mythe. Entraîné par mes
analyses
dans des domaines réservés d’ordinaire aux « spécialistes », j’ai pro
114
zsche. 3.Actualité du mythe ; raisons de notre
analyse
Nul besoin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier,
115
stin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette
analyse
du mythe primitif livre quelques secrets dont l’importance est appréc
116
fantaisies individuelles des cinq auteurs. Dans l’
analyse
du contenu de la légende qu’on trouvera au chapitre 5, ces variantes
117
L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre
analyse
du mythe, n’est-il pas d’origine toute naturelle ? Retarder le plaisi
118
omment, d’une science qui se donnait pour objet l’
analyse
et la cure des névroses, aurait pu naître une rhétorique de la folie,
119
erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’
analyse
du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi : les amants ne
120
tifice de ses pompes, le sentiment. Aussi bien, l’
analyse
de la passion telle que la conduit un Descartes, sa réduction à des c
121
libération cosmique. Il retombe, désenchanté, à l’
analyse
de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabu
122
es, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’
analyse
de la profanation du mythe. Voici un homme que le besoin de la passio
123
les autres formes littéraires, aboutisse à cette
analyse
marécageuse de nos doutes et de notre vide ? Que signifie cette libér
124
ise. (Paris 1932.) 167. Qu’on se reporte à notre
analyse
du mythe de Tristan : on y trouvera quelques illustrations typiques d
125
nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates
analyses
psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
126
à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos
analyses
: jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
127
phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des
analyses
qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
128
e fonder une science des rapports conjugaux. Jung
analyse
le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
129
, et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’
analyse
des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
130
confondre avec des vérités psychologiques. Notre
analyse
du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu
131
éviter tout malentendu, je préciserai ici que mon
analyse
se borne à la légende écrite de Tristan. C’est d’elle seule que je pa
132
utes ces raisons que je ne tiens compte, dans mon
analyse
, que de la légende rédigée, et réinventée quant au sens, par les poèt
133
, etc., son désespoir quand il découvre après une
analyse
acharnée, que non il n’aime pas cette femme ; il a seulement envie de
134
r le sadisme Je trouve une confirmation de mon
analyse
du crime sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski :
135
une antithèse entre l’instinct de mort et Éros. L’
analyse
du mythe nous a montré que cette antithèse est purement apparente. Ma
136
zsche. 3.Actualité du mythe ; raisons de notre
analyse
Nul besoin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier,
137
stin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette
analyse
du mythe primitif livre quelques secrets dont l’importance est appréc
138
fantaisies individuelles des cinq auteurs. Dans l’
analyse
du contenu de la légende qu’on trouvera au chapitre 5, ces variantes
139
L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre
analyse
du mythe, n’est-il pas d’origine toute naturelle ? Retarder le plaisi
140
omment, d’une science qui se donnait pour objet l’
analyse
et la cure des névroses, aurait pu naître une rhétorique de la folie,
141
erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’
analyse
du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi : les amants ne
142
tifice de ses pompes, le sentiment. Aussi bien, l’
analyse
de la passion telle que la conduit un Descartes, sa réduction à des c
143
libération cosmique. Il retombe, désenchanté, à l’
analyse
de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabu
144
es, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’
analyse
de la profanation du mythe. Voici un homme que le besoin de la passio
145
les autres formes littéraires, aboutisse à cette
analyse
marécageuse de nos doutes et de notre vide ? Que signifie cette libér
146
ise (Paris, 1932). 185. Qu’on se reporte à notre
analyse
du mythe de Tristan : on y trouvera quelques illustrations typiques d
147
nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates
analyses
psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
148
à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos
analyses
: jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
149
phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des
analyses
qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
150
e fonder une science des rapports conjugaux. Jung
analyse
le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
151
, et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’
analyse
des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
152
confondre avec des vérités psychologiques. Notre
analyse
du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu
153
ort au sens profond du mythe. ⁂ Entraîné par mes
analyses
dans des domaines réservés d’ordinaire aux « spécialistes », j’ai pro
154
version, quelques outrances de plume par quelques
analyses
dont je sens qu’elles aggravent mon cas. Les historiens ont déploré m
155
zsche. 3.Actualité du mythe ; raisons de notre
analyse
Nul besoin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier,
156
stin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette
analyse
du mythe primitif livre quelques secrets dont l’importance est appréc
157
L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre
analyse
du mythe, n’est-il pas d’origine toute naturelle ? Retarder le plais
158
omment, d’une science qui se donnait pour objet l’
analyse
et la cure des névroses, aurait pu naître une rhétorique de la folie,
159
erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’
analyse
du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi : les amants ne
160
tifice de ses pompes, le sentiment. Aussi bien, l’
analyse
de la passion telle que la conduit un Descartes, sa réduction à des c
161
libération cosmique. Il retombe, désenchanté, à l’
analyse
de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabu
162
es, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’
analyse
de la profanation du mythe. Voici un homme que le besoin de la passio
163
les autres formes littéraires, aboutisse à cette
analyse
marécageuse de nos doutes et de notre vide ? Que signifie cette libér
164
nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates
analyses
psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
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à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos
analyses
: jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
166
phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des
analyses
qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
167
e fonder une science des rapports conjugaux. Jung
analyse
le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
168
, et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’
analyse
des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
169
confondre avec des vérités psychologiques. Notre
analyse
du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu