1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 de visions nouvelles, et qui résiste le mieux à l’ analyse . Seulement nous y perdons graduellement l’intelligence de nos instinc
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 su tirer des complexes de famille freudiens, ou d’ analyses de démences mystiques ; mais tout cela est sublimé dans un monde poét
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
3 fuser à l’élan vital qui nous crée sans cesse : l’ analyse de sa solitude le laisse en face de quelques réactions physiologiques
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
4 leur effort, il puise dans l’échec même de leurs analyses les éléments de sa synthèse, qui se trouve ainsi continuer leur œuvre
5 ilosophie. Pour nous prémunir contre le pouvoir d’ analyse — une analyse qui retient les éléments de la personnalité moins le « 
6 r nous prémunir contre le pouvoir d’analyse — une analyse qui retient les éléments de la personnalité moins le « principe unifi
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
7 laid que nature. Faut-il conclure avec Gide : « L’ analyse psychologique a perdu pour moi tout intérêt du jour où je me suis avi
8 l imagine d’éprouver. » Non. Car à supposer que l’ analyse nous crée, elle ne nous crée pas n’importe comment, mais selon certai
9 t fournies par le sens de son intérêt propre, une analyse sincère ne puisse faire découvrir quelques richesses et ne serve parf
10 er, une confiance dans l’élan qui échappe à toute analyse préalable et sans quoi le saut paraît impossible, absurde.) Enfin, dé
11 .) Enfin, désagrégation de la personnalité, car l’ analyse la plus savante, comme l’a fort bien dit Ramon Fernandez, « retient t
12 minute de ma joie est plus réel que celui qu’une analyse désolée s’imaginait retenir. Dès lors, ce n’est pas lâcher la proie p
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
13 e mêle étroitement au premier… Mais combien cette analyse trahit Barbey : son art est justement de voiler les intentions du réc
14 le livre de Barbey, on oublie la justesse de son analyse pour n’évoquer plus que des visions où se condense le sentiment du ré
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
15 ections générales. « Hamlétisme », pouvoir aigu d’ analyse qui conduit à la dispersion autant qu’à l’approfondissement du moi, s
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
16 mortel » que décrivait Mon Corps et Moi. Quand l’ analyse féroce de Crevel fouille les pensées de Pierre ou de Diane, les geste
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
17 moindre vol. » J’ajouterai, cher Monsieur, que l’ analyse psychologique n’est pas mon fort. Je me contente de quelques observat
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
18 t était nécessaire à la sécurité de cette sorte d’ analyse , — encore que Bopp ait prouvé dans son Amiel qu’il était de taille à
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
19 la tâche des instituteurs : Faire de ces belles analyses logiques, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
20 moyen de gesticulations appropriées : foin de ces analyses de textes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots en « al 
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
21 la tâche des instituteurs : Faire de ces belles analyses logiques, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
22 moyen de gesticulations appropriées : foin de ces analyses de textes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots en « al 
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
23 la révolte de l’homme contre son Créateur — et il analyse les principaux thèmes de l’œuvre avec une intelligence que l’on renco
16 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
24 publie dans son numéro du 15 février15. M. Marcel analyse trois attitudes typiquement sécularistes : la philosophie des lumière
25 de procéder en ce qui le concerne lui-même, à des analyses ou à des réductions du même ordre. Lui est des pieds à la tête un hom
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
26 L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe, d’ Analyse spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de l’Amérique, le célèbre phil
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
27 Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’ analyses précises, de citations, de planches hors-texte ? C’est un repos de l’
28 (Librairie Dardel, Chambéry.) 23. Dans Essais et Analyses . (Crès, 1926.) i. « Littérature alpestre », Foi et Vie, Paris, n° 29
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
29 té frappante. Cela éclate particulièrement dans l’ analyse des motifs de ses actions journalières. Par là, il fait souvent pense
20 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
30 listique. La férocité réfléchie qui préside à son analyse de l’indiscret nous vaut une description inégalable du mal du siècle.
21 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
31 français). Cela pouvait donner soit des œuvres d’ analyse tendant à dissoudre les affirmations massives de la foi ; soit des œu
32 est-à-dire à son pire ennemi. Morne triomphe de l’ analyse psychologique. Un siècle de ce régime suffit à nous mener à ce troubl
33 la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’ analyse d’états d’âme dans le doute, il est permis d’attendre de la violence
22 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
34 pont étant toute verbale, ne relève donc que de l’ analyse logique, et doit être rejetée à ce titre comme impliquant une contrad
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
35 d’application : la personne. Tel est en dernière analyse , le fondement, l’enjeu de la révolution nouvelle. Ici, je ne dirai pl
24 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
36 ique. Ainsi se dessineraient, si nous étendions l’ analyse , deux « natures » fondamentalement divergentes, dont il serait facile
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
37 ique. Ainsi se dessineraient, si nous étendions l’ analyse , deux « natures » fondamentales divergentes, dont il serait facile de
26 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
38 acilement entraînés. Une Main nous donne ainsi l’ analyse élémentaire d’un des phénomènes les plus importants d’aujourd’hui : l
27 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
39 t nous parlions, à quoi se suspend-il en dernière analyse  ? Vers quelles fins dernières nous conduit le dépassement qu’il perme
28 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
40 e reste à marquer la dépendance théologique d’une analyse qui peut paraître strictement humaine. On peut parler en termes de ph
29 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
41 octrine. Cartésien par l’audace méthodique de son analyse , il refusait pourtant la distinction rationaliste et libérale entre l
30 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
42 pitoyable maîtrise que Kierkegaard apporte dans l’ analyse psychologique du désespoir, considéré comme une maladie universelle n
43 ur le dessein du livre. Nul romantisme dans cette analyse , aucune exaltation de nos démons obscurs. Au fond du désespoir, et qu
44 leine signification. On trouvera, d’ailleurs, une analyse détaillée des Stades sur le chemin de la vie, dont In Vino Veritas co
31 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
45 entiment d’un tel péril qui explique, en dernière analyse , la méfiance réciproque dont je viens d’indiquer l’un des symptômes l
46 la coutume de ces philosophes est de fonder leurs analyses sur des totalités, sur des unités d’expérience sensible, saisies tell
32 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
47 est pourquoi, sans vouloir en rien sous-estimer l’ analyse qu’Aron et Dandieu nous proposent des notions d’échange10 et de trava
33 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
48 acte pris comme point de départ 18 se fondent ses analyses du pouvoir et des valeurs, et sa critique du travail. Cette critique
49 nne par le moyen du service civil de travail19. L’ analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une conception de l’organisation po
34 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
50 ûr, à lire Déat, qu’il ait poussé très loin cette analyse . Et alors on ne peut s’empêcher de partager dans une certaine mesure
35 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
51 is, les Allemands, les Scandinaves, et le roman d’ analyse français, de Rousseau jusqu’à Gide, en passant par Constant. Quand on
36 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
52 s que cette confusion désirée revient en dernière analyse au refus pur et simple d’agir et de créer, j’entends, de se poser com
37 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
53 ’est dans ce jusqu’au bout que réside en dernière analyse la différence irréductible entre un chrétien et un marxiste convaincu
38 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
54 ohérence de ses affirmations polémiques et de ses analyses théoriques. Que les thèses marxistes reposent sur une constatation hi
39 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
55 d’application : la personne. Tel est, en dernière analyse , le fondement, l’enjeu de la révolution nouvelle. Ici, je ne dirai p
40 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
56 tion de l’homme actif et créateur, se fondent une analyse du pouvoir et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique
57 ienne par le moyen du service civil de travail. L’ analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une conception de l’organisation po
58 dans l’édition originale. 77. Voir plus loin une analyse de ce livre. 78. N’est-ce pas ainsi que l’Évangile définit la notio
41 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
59 est pourquoi, sans vouloir en rien sous-estimer l’ analyse qu’Aron et Dandieu nous proposent des notions d’échange80 et de trava
42 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
60 ’est dans ce jusqu’au bout que réside en dernière analyse la différence irréductible entre un chrétien et un marxiste convaincu
43 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
61 ohérence de ses affirmations polémiques et de ses analyses théoriques. Que les thèses marxistes reposent sur une constatation hi
44 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
62 d’application : la personne. Tel est, en dernière analyse , le fondement, l’enjeu de la révolution nouvelle. Ici ; je ne dirai p
45 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
63 tion de l’homme actif et créateur, se fondait une analyse du pouvoir et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique
64 nne par le moyen du service civil de travail78. L’ analyse du aboutissait d’autre part à une conception de l’organisation politi
46 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
65 paraît inséparable de l’amour qui les domine. Une analyse racinienne des sentiments s’unit ici à la rigueur d’un idéal orgueill
66 ni sans quelque fatras, ni sans préciosité dans l’ analyse de soi… j. « André Rouveyre, Singulier, Mercure de France », Esprit,
47 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
67 métaphysiques, c’est un irrationalisme concret. L’ analyse de l’homme intérieur ou social, telle que l’ont inlassablement repris
68 galement possibles ; les échanges heureux entre l’ analyse et les actes, singulièrement probables : pensée merveilleusement exci
48 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
69 à ses contradicteurs, de critique littéraire ou d’ analyses des « actualités ». Non que cela nous paraisse le moins du monde nuis
49 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
70 pourrait en dire autant de la plupart des autres analyses nietzschéennes portant sur les valeurs morales. Il attaque l’altruism
50 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
71 s 45. ⁂ Ainsi la mythologie, chez Ramuz, déloge l’ analyse abstraite des psychologues. Et l’on découvre à chacune de ses œuvres
51 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
72 e l’idée de Progrès aux débuts du xxe siècle. Il analyse quelques-unes de ses causes. Enfin, il définit sans équivoques la sol
52 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
73 lettres, de fragments de sermons, de boutades, d’ analyses philosophiques, de poèmes, d’anecdotes, d’aphorismes. On s’y perd bie
53 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
74 bourgeois confus de l’être encore, habiles dans l’ analyse du désordre, fascinés par les subversions prochaines, mais incapables
54 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
75 ription historique de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’origine marxiste : elle aboutit à mettre en évidence
76 usement si ce premier progrès suffit, et si cette analyse morale conduit au cœur du conflit véritable. Là où Marx se contente d
55 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
77 restauration d’une commune mesure Au cours des analyses historiques qui précèdent, nous avons vu comment les grandes cultures
56 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
78 cela revient à une contre-épreuve par le fait des analyses internes qui précèdent. La dictature de cette crise sur nos esprits e
57 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
79 et doctrines étatistes Au terme de cette brève analyse de la logique interne du désordre régnant, il sera bon d’insister que
58 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
80 ité. Enchaînement des valeurs Partant d’une analyse impatiente de la logique interne du désordre régnant — la pensée prol
59 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
81 arce que cela affecte, peut-être, notre tout. Nos analyses ne nous donnent en elles-mêmes et d’une façon précise rien de suffisa
82 et cette volonté sont déjà présents, avant toute analyse , dans le sentiment que nous disions tout à l’heure éprouver en face d
83 ste alors qu’à se consoler par la certitude que l’ analyse philosophique est avec celui qui ne peut pas sauter. Et c’est peut-êt
84 la précède, d’autre part, n’est pas épuisée par l’ analyse de ses effets. L’acte est à la fois créateur, et transcendant à sa cr
60 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
85 bourgeois confus de l’être encore, habiles dans l’ analyse du désordre, fascinés par les subversions prochaines, mais incapables
61 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
86 ription historique de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’origine marxiste : elle aboutit à mettre en évidence
87 usement si ce premier progrès suffit, et si cette analyse morale conduit au cœur du conflit véritable. Là où Marx se contente d
62 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
88 restauration d’une commune mesure Au cours des analyses historiques qui précèdent, nous avons vu comment les grandes cultures
63 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
89 cela revient à une contre-épreuve par le fait des analyses internes qui précèdent. La dictature de cette crise sur nos esprits e
64 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
90 et doctrines étatistes Au terme de cette brève analyse de la logique interne du désordre régnant, il sera bon d’insister que
65 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
91 ité. Enchaînement des valeurs Partant d’une analyse impatiente de la logique interne du désordre régnant — la pensée prol
66 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
92 lui de Staline… Mais si vigoureuse que soit cette analyse — et si utile sa lecture pour tous les possédants chrétiens — elle ne
67 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
93 iècle, il n’y a plus de grands mythes, il y a des analyses . On part de « faits d’observation » et l’on essaie d’en tirer de la v
94 tout l’effort de l’écrivain se porte alors sur l’ analyse des motifs secrets d’une action. La méthode consistant trop souvent,
95  » sont de ces illusions qui ne résistent pas à l’ analyse , et qu’un auteur sincère se doit de démasquer. Tout se ramènerait à l
96 ez complexes pour notre goût moderne ! Et que l’«  analyse des motifs » est ici d’une fort malicieuse lucidité. Mais elle s’opèr
97 marge de l’action, sous forme de méditation ou d’ analyse . Toutes les ressources du conte populaire et de l’imagerie sentimenta
68 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
98 r dans un « journal » des effusions lyriques, des analyses du moi, j’ai cru qu’il serait plus discret de donner, par exemple, me
69 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
99 borg du vivant de ce grand mystique. L’excellente analyse qu’il nous donne des principaux écrits de son compatriote ne prend qu
70 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
100 ins désintéressé dans ses mobiles. Sans doute une analyse un peu poussée révélerait-elle à l’origine de la recherche la plus ab
71 1937, Articles divers (1936-1938). « Subjectivité et transcendance », Lettre de M. Denis de Rougemont (décembre 1937)
101 nication nous oriente utilement vers une nouvelle analyse de la transcendance dans son rapport aux puissances de l’imagination
72 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
102 Du secret, il tira une partie de son œuvre : son analyse du désespoir considéré comme une révolte contre Dieu. De sa fortune,
73 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
103 ce titre : L’Amour et l’Occident . Partant d’une analyse approfondie des cinq légendes primitives de Tristan et Iseut, l’auteu
104 nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates analyses psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
105 à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos analyses  : jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
106 phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des analyses qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
107 e fonder une science des rapports conjugaux. Jung analyse le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
74 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
108 , et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’ analyse des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
109 confondre avec des vérités psychologiques. Notre analyse du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu
75 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
110 er l’un de ses discours dont Gardère nous donne l’ analyse . Il s’agit de répondre à cette question : « Les spectacles ou leur in
76 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
111 de publier une revue entièrement consacrée à des analyses de rêves, Moritz écrivit deux romans autobiographiques qui nous perme
112 ue nous venons de dégager pourraient guider notre analyse . Le mouvement hitlérien, dans son essence, m’apparaît comme un romant
77 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
113 t tort au sens profond du mythe. Entraîné par mes analyses dans des domaines réservés d’ordinaire aux « spécialistes », j’ai pro
78 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
114 zsche. 3.Actualité du mythe ; raisons de notre analyse Nul besoin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier,
115 stin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette analyse du mythe primitif livre quelques secrets dont l’importance est appréc
116 fantaisies individuelles des cinq auteurs. Dans l’ analyse du contenu de la légende qu’on trouvera au chapitre 5, ces variantes
79 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
117 L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre analyse du mythe, n’est-il pas d’origine toute naturelle ? Retarder le plaisi
118 omment, d’une science qui se donnait pour objet l’ analyse et la cure des névroses, aurait pu naître une rhétorique de la folie,
80 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
119 erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’ analyse du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi : les amants ne
81 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
120 tifice de ses pompes, le sentiment. Aussi bien, l’ analyse de la passion telle que la conduit un Descartes, sa réduction à des c
121 libération cosmique. Il retombe, désenchanté, à l’ analyse de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabu
122 es, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’ analyse de la profanation du mythe. Voici un homme que le besoin de la passio
123 les autres formes littéraires, aboutisse à cette analyse marécageuse de nos doutes et de notre vide ? Que signifie cette libér
82 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
124 ise. (Paris 1932.) 167. Qu’on se reporte à notre analyse du mythe de Tristan : on y trouvera quelques illustrations typiques d
83 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
125 nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates analyses psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
126 à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos analyses  : jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
127 phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des analyses qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
128 e fonder une science des rapports conjugaux. Jung analyse le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
84 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
129 , et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’ analyse des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
130 confondre avec des vérités psychologiques. Notre analyse du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu
85 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
131 éviter tout malentendu, je préciserai ici que mon analyse se borne à la légende écrite de Tristan. C’est d’elle seule que je pa
132 utes ces raisons que je ne tiens compte, dans mon analyse , que de la légende rédigée, et réinventée quant au sens, par les poèt
133 , etc., son désespoir quand il découvre après une analyse acharnée, que non il n’aime pas cette femme ; il a seulement envie de
134 r le sadisme Je trouve une confirmation de mon analyse du crime sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski :
135 une antithèse entre l’instinct de mort et Éros. L’ analyse du mythe nous a montré que cette antithèse est purement apparente. Ma
86 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
136 zsche. 3.Actualité du mythe ; raisons de notre analyse Nul besoin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier,
137 stin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette analyse du mythe primitif livre quelques secrets dont l’importance est appréc
138 fantaisies individuelles des cinq auteurs. Dans l’ analyse du contenu de la légende qu’on trouvera au chapitre 5, ces variantes
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
139 L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre analyse du mythe, n’est-il pas d’origine toute naturelle ? Retarder le plaisi
140 omment, d’une science qui se donnait pour objet l’ analyse et la cure des névroses, aurait pu naître une rhétorique de la folie,
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
141 erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’ analyse du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi : les amants ne
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
142 tifice de ses pompes, le sentiment. Aussi bien, l’ analyse de la passion telle que la conduit un Descartes, sa réduction à des c
143 libération cosmique. Il retombe, désenchanté, à l’ analyse de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabu
144 es, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’ analyse de la profanation du mythe. Voici un homme que le besoin de la passio
145 les autres formes littéraires, aboutisse à cette analyse marécageuse de nos doutes et de notre vide ? Que signifie cette libér
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
146 ise (Paris, 1932). 185. Qu’on se reporte à notre analyse du mythe de Tristan : on y trouvera quelques illustrations typiques d
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
147 nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates analyses psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
148 à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos analyses  : jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
149 phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des analyses qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
150 e fonder une science des rapports conjugaux. Jung analyse le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
151 , et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’ analyse des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
152 confondre avec des vérités psychologiques. Notre analyse du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
153 ort au sens profond du mythe. ⁂ Entraîné par mes analyses dans des domaines réservés d’ordinaire aux « spécialistes », j’ai pro
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Préface à l’édition de 1956
154 version, quelques outrances de plume par quelques analyses dont je sens qu’elles aggravent mon cas. Les historiens ont déploré m
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
155 zsche. 3.Actualité du mythe ; raisons de notre analyse Nul besoin d’avoir lu le Tristan de Béroul, ou celui de M. Bédier,
156 stin qui fut subi et qui est enfin racheté. Cette analyse du mythe primitif livre quelques secrets dont l’importance est appréc
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
157 L’obstacle dont on a vu le jeu au cours de notre analyse du mythe, n’est-il pas d’origine toute naturelle ? Retarder le plais
158 omment, d’une science qui se donnait pour objet l’ analyse et la cure des névroses, aurait pu naître une rhétorique de la folie,
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
159 erreur fatale du philtre bu. Nous avons vu, par l’ analyse du mythe, que cette fatalité joue le rôle d’un alibi : les amants ne
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
160 tifice de ses pompes, le sentiment. Aussi bien, l’ analyse de la passion telle que la conduit un Descartes, sa réduction à des c
161 libération cosmique. Il retombe, désenchanté, à l’ analyse de sa tristesse et de son impuissance lucide. Romantisme mûri, désabu
162 es, Stendhal nous offre un exemple parfait pour l’ analyse de la profanation du mythe. Voici un homme que le besoin de la passio
163 les autres formes littéraires, aboutisse à cette analyse marécageuse de nos doutes et de notre vide ? Que signifie cette libér
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
164 nfusion. L’adultère devient un sujet de délicates analyses psychologiques, ou de plaisanteries vaudevillesques. La fidélité dans
165 à la psychologie de la jalousie, qui envahit nos analyses  : jalousie désirée, provoquée, sournoisement favorisée, et non plus c
166 phénomène, c’est à quoi se résume l’ambition des analyses qui précèdent ; mais je sens bien qu’elles m’ont porté déjà aux limit
167 e fonder une science des rapports conjugaux. Jung analyse le « conflit psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’ori
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
168 , et qui croit être un vrai amour pour l’autre. L’ analyse des légendes courtoises nous a révélé que Tristan n’aime pas Iseut ma
169 confondre avec des vérités psychologiques. Notre analyse du mythe nous a fait voir pourquoi l’on aime croire à la fatalité, qu