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poésie. Que la poésie ne soit plus uniquement cet
angélisme
« démoniaque », cette nostalgie de l’infini ou des passions sauvages
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poésie. Que la poésie ne soit plus uniquement cet
angélisme
« démoniaque », cette nostalgie de l’infini ou des passions sauvages
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e à Jacopone da Todi ou à son entourage, et cet «
angélisme
» rappelle d’une manière inquiétante celui des cathares. D’autres lau
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e à Jacopone da Todi ou à son entourage, et cet «
angélisme
» rappelle d’une manière précise celui des cathares. D’autres laudes,
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e à Jacopone da Todi ou à son entourage, et cet «
angélisme
» rappelle d’une manière précise celui des cathares. D’autres laudes,
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emps décisif de cette vie dans la chair, dans son
angélisme
essentiel, la passion ne peut rêver d’autre horizon d’espoir que celu
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n du Démiurge. D’où l’ascétisme, le monachisme, l’
angélisme
, qui méprisant matière, chair et Nature, ne peuvent conduire qu’à la
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emps décisif de cette vie dans la chair, dans son
angélisme
essentiel, la passion ne peut rêver d’autre horizon d’espoir que celu
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n du Démiurge. D’où l’ascétisme, le monachisme, l’
angélisme
, qui méprisant matière, chair et Nature, ne peuvent conduire qu’à la
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e Tristan et de Don Juan62. André Walter, ou l’
angélisme
Dès le premier livre de Gide, toutes les « notes » de Tristan sont