1 ransition des pages passionnément ambivalentes ou apocalyptiques consacrées par les Russes à l’Europe, aux ouvrages sereins, objectifs

2 el est le drame, plus que shakespearien, vraiment apocalyptique , auquel nous assistons. L’enjeu en sera demain l’existence même de no

3 i est peut-être plus effrayant que les prévisions apocalyptiques des écologistes, quelque chose qui est là parmi nous, bel et bien là,

4 i me paraît beaucoup plus inquiétant que les vues apocalyptiques des écologistes, quelque chose qui est là déjà, bel et bien là, et qu

5 i me paraît beaucoup plus inquiétant que les vues apocalyptiques des écologistes, quelque chose qui est là déjà, bel et bien là, et qu

6 simistes, gradualistes ou révolutionnaires, voire apocalyptiques . Les orateurs jouaient le jeu sincère de s’opposer les uns aux autres

7 ation que m’a faite Denis de Rougemont, la menace apocalyptique qui pèse sur l’avenir est une conséquence du passage d’Hitler sur la

8 ui a dit de mon livre que c’était la « méditation apocalyptique d’un optimiste ». C’est également une belle formule. 18. L’Avenir es

9 L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)k C’est le philosophe E. M. Cior

10 L’Avenir est notre affaire comme la « méditation apocalyptique d’un optimiste ». Je me demande, après avoir achevé votre livre, quel

11 nu dans une telle définition. Non, je ne suis pas apocalyptique  ! Ou si je le suis, c’est dans la mesure où j’affirme que, si l’on n’

12 k. « L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste », Hachette-Informations, Paris, n° 11, février-mars 1

13 i est peut-être plus effrayant que les prévisions apocalyptiques des écologistes, quelque chose qui est déjà parmi nous, bel et bien l