1
e expérience fasciste signifie pour une nation un
appauvrissement
spirituel dont les conséquences peuvent être séculaires : car c’est a
2
e expérience fasciste signifie pour une nation un
appauvrissement
spirituel dont les conséquences peuvent être séculaires : car c’est a
3
de l’une ou de l’autre — mais qui peut mesurer l’
appauvrissement
concret que représente cette opération ? (Il y aurait une espèce de p
4
plus qu’on importe : « autarchie » qui fait de l’
appauvrissement
du voisin la cause même de l’enrichissement national. Une fois de plu
5
normale — et normative — doive se traduire par un
appauvrissement
de notre curiosité intellectuelle. Bien au contraire. Il est totaleme
6
ion, c’est alors le contraire de vivre ! C’est un
appauvrissement
de l’être, une ascèse sans au-delà, une impuissance à aimer le présen
7
omme sur un sentiment de déception et d’indicible
appauvrissement
. Le monde rationnel est rassurant, mais beaucoup de questions y demeu
8
a vie. Mais cette perte n’est pas sentie comme un
appauvrissement
, bien au contraire. On s’imagine que l’on vit davantage, plus dangere
9
et dénuante, oui vraiment, un amer dénuement, un
appauvrissement
de la conscience vidée de toute diversité, une obsession de l’imagina
10
tant vantée, ne va pas, quoi qu’on dise, sans un
appauvrissement
métaphysique, générateur de confusions incalculables. Car enfin cette
11
ion, c’est alors le contraire de vivre ! C’est un
appauvrissement
de l’être, une ascèse sans au-delà, une impuissance à aimer le présen
12
a vie. Mais cette perte n’est pas sentie comme un
appauvrissement
, bien au contraire. On s’imagine que l’on vit davantage, plus dangere
13
et dénuante, oui vraiment, un amer dénuement, un
appauvrissement
de la conscience vidée de toute diversité, une obsession de l’imagina
14
tant vantée, ne va pas, quoi qu’on dise, sans un
appauvrissement
métaphysique, générateur de confusions incalculables. Car enfin cette
15
ion, c’est alors le contraire de vivre ! C’est un
appauvrissement
de l’être, une ascèse sans au-delà, une impuissance à aimer le présen
16
a vie. Mais cette perte n’est pas sentie comme un
appauvrissement
, bien au contraire. On s’imagine que l’on vit davantage, plus dangere
17
et dénuante, oui vraiment, un amer dénuement, un
appauvrissement
de la conscience vidée de toute diversité, une obsession de l’imagina
18
tant vantée, ne va pas, quoi qu’on dise, sans un
appauvrissement
métaphysique, générateur de confusions incalculables. Car enfin cette
19
ion, c’est alors le contraire de vivre ! C’est un
appauvrissement
de l’être, une ascèse sans au-delà, une impuissance à aimer le présen
20
omme sur un sentiment de déception et d’indicible
appauvrissement
. Le monde rationnel est rassurant, mais beaucoup de questions y demeu
21
t signe de lourdeur d’esprit, de paresse d’âme, d’
appauvrissement
de la vitalité. En politique, c’est le respect des complexités organi
22
x d’une sorte de paralysie de l’histoire, et d’un
appauvrissement
peut-être irréparable des perspectives de l’aventure humaine. Cette d
23
t signe de lourdeur d’esprit, de paresse d’âme, d’
appauvrissement
de la vitalité. En politique, c’est le respect des complexités organi
24
archies, sont taxés d’« hypocrisie »41. L’extrême
appauvrissement
des formes culturelles, chez les protestants suisses, ne saurait être
25
sans entraîner ni dépendance, ni humiliation, ni
appauvrissement
? … Enfin, l’espèce humaine doit-elle s’améliorer, soit par des nouve
26
riginale, après avoir subi depuis deux siècles un
appauvrissement
parfois comparable à celui des Églises calvinistes. Mais c’est précis
27
figées, ou n’ont plus varié que dans le sens d’un
appauvrissement
continuel. Mais c’est peut-être l’excès même de cet appauvrissement,
28
ntinuel. Mais c’est peut-être l’excès même de cet
appauvrissement
, parallèle à la dissolution des réalités communautaires, qui donne na
29
hiérarchies sont taxés d’hypocrisie127. L’extrême
appauvrissement
des formes cultuelles, chez les protestants suisses, ne saurait être
30
la culture dans l’Hexagoneaf. C’est au prix d’un
appauvrissement
très certain de la langue, qui se mesure par la comparaison du vocabu