1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 le coup de grâce à cet esthétisme énervant qu’on appelle symbolisme ; et elle a donné naissance à la doctrine de M. de Monther
2 que valent toutes les simplifications, qu’on les appelle ou non idées générales, et j’avoue bien volontiers qu’il n’est pas un
3 in de roman catholique. » C’est ce qu’on pourrait appeler une « morale constructive » : porter l’effort sur ce qui doit être, e
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
4 sa vie comme une ardente aventure. Les épisodes s’ appellent  : collège, guerre, sport… la Relève du Matin, le Songe, les Olympique
5 raires s’unissent dans la grandeur. La paix qu’il appelle , c’est autre chose que l’absence de guerre, c’est une paix que travai
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
6 orts… « … Cette chose haute à la voix grave qu’on appelle un père dans les maisons. » Comme Valéry, ce poète sait « des complic
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
7 a pas sans plaisir ce livre où l’on voit un homme appeler en vain le vent du large, parmi des gens qui craignent de s’enrhumer.
5 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
8 je dois feindre d’avoir résolus : c’est ce qui s’ appelle vivre. Problème de Dieu, à la base. J’aurai garde de m’y perdre au dé
6 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
9 e d’abord trop vivement pour le juger. L’auteur l’ appelle un « poème solaire », l’éditeur un roman, parce que ça se vend mieux.
7 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
10 ue chose qui m’a retenu d’accomplir ce que l’élan appelait .   Second exemple. — J’éprouve le besoin de faire le point : à quoi
11 de mon dégoût pour ce que beaucoup continuaient d’ appeler sincérité et qui me devenait inintelligible en même temps qu’odieux.
12 tenir sur lui-même. (Marcel Jouhandeau.) Ce qu’on appelle une œuvre sincère est celle qui est douée d’assez de force pour donne
13 tensité d’un sentiment intime, ce moi idéal que j’ appelle en chaque minute de ma joie est plus réel que celui qu’une analyse dé
14 moins vulgaire que cette agilité offensive qu’on appelle dans la vie publique arrivisme, et séduction dans les salons. Consta
15 ti. La sincérité crée en nous un fait accompli. J’ appelle hypocrisie envers soi-même une volonté — si profonde qu’elle n’a pas
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
16 e ! », et de se détourner de ce qu’on a coutume d’ appeler notre « désordre ». Mais on est toujours le fils de quelqu’un… Et, pe
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
17 et réciproque des conjoints. » On sait que Beyle appelait cristallisation une fièvre d’imagination qui orne de beautés illusoir
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
18 mbre qui s’en dégage, sagesse qui veut « que nous appelions les âmes à la vie après seulement toutes les morts du plaisir », car
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
19 pouviez paraître enfin où mon désir surmené vous appelait encore, haletant. Et le temps passait, à la fois si lent — jusqu’à l’
20 paupières lourdes, et ce chant désespéré qui vous appelait , assourdissant mes pensées ; et ces élans réticents, maladroits, cont
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
21 Zimmer, dans la Gazette de Lausanne . Et même il appelait Orphée « une tragédie de l’amour conjugal ». Vraiment, nous n’en dema
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
22 s’aperçut que cette chose avait recommencé, qu’on appelle , sans doute par antiphrase, la vie. 6. Revue ou prologue. h. « L’
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
23 ures fascinantes de la sainteté, seules vous nous appelez encore hors de cette voix de l’infini où chancellent parmi les éclair
24 a grâce, parce qu’ils sont la vie, même quand ils appellent la mort, parce qu’ils ont la passion et l’incommunicable secret de l’
25 fut une très grande joie. Saint-John Perse. Nous appelions une Révolution perpétuelle une perpétuelle insurrection contre tout c
15 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
26 peintres dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes, c’est par leurs œuvres avant tout. D’autre part je préfère la
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
27 non dénuée d’ironie, de mon mépris pour ce qu’ils appellent , ridiculement, les fondements mêmes de la société. » C’est avec le pr
28 uter, c’est que je cherche ce qu’on est convenu d’ appeler — pardonnez la lourdeur de l’expression — une règle de vie. Mais, je
17 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
29 quoi, ce délice furtif, ce que l’auteur lui-même appelle « cette vague poésie involontaire, intermittente, un peu émiettée, év
18 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
30 ux ce goût du rêve préféré à la vie, — à ce qu’on appelle la vie. Jaloux, qui a rencontré plusieurs fois Rilke, trace de lui un
19 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
31 dans le jardin des songeries les plus étranges qu’ appelle la musique. Je me gardai donc d’ouvrir le journal. Les Petites nouvel
20 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
32 ligner ce hiatus étrange : l’homme qu’on pourrait appeler le plus actif du monde, l’un de ceux qui influent le plus sur notre c
33 sité. Ennui, fatigue, sommeil sans prière. Cela s’ appelle encore vivre. Mais l’homme qui était un membre vivant dans le corps d
34 de sable. Ils se réfugient dans ce qu’on pourrait appeler les classes privilégiées de l’esprit : fortunes oisives ou misères sa
21 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
35 st toi, parce que c’est bien toi de nouveau qui m’ appelles et qui vas me quitter… — C’est une chose singulière, prononce une voi
36 vie ressemble surtout à un film où les épisodes s’ appellent par le simple jeu des images, se voient par transparence au travers d
37 n. » Nous sortîmes. Seules des trompes d’autos s’ appelaient dans la nuit froide. Gérard ne disait presque plus rien ; à peine, de
38 croquant une de ces saucisses à la moutarde qu’on appelle ici « Frankfurter » et ailleurs « Wienerli ». Soudain les autos se mi
22 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
39 ne revanche de la poésie — mais à Chicago on doit appeler ça du bluff — fait de lui sans doute le plus méridional des conteurs
23 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
40 te poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’ appellent , combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacré ? Cette la
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
41 traiterai de cet aspect du problème que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tirent toute leur force dan
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
42 ins rationalisé. Son instrument le plus parfait s’ appelle le manuel. Un bon manuel est un résumé clair et portatif des résultat
43 che de l’édifice administratif. Et c’est ce qui s’ appelle une belle carrière. Mais ces brillants météores ne troublent pas beau
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
44 bliée sur le « problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon
45 s de 3 à 4 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’ appelle de l’école pratique. Plus tard on fait apprendre à ces mêmes enfants,
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
46 ution, soupçonnaient-ils que la république qu’ils appelaient serait livrée cent ans plus tard à peine à la folie démocratique, à c
47 pticisme à l’endroit de la forme sociale que nous appelons sans la connaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
48 é les mots14, des anarchistes et des utopistes. J’ appelle anarchiste, tout ce qui est violemment et intégralement humain. L’ana
49 is, qu’il en fasse ce qu’il voudra. Les Orientaux appellent yoga cette culture des facultés physiques, intellectuelles et mystiqu
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
50 traiterai de cet aspect du problème que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tirent toute leur force dan
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
51 ins rationalisé. Son instrument le plus parfait s’ appelle le manuel. Un bon manuel est un résumé clair et portatif des résultat
52 che de l’édifice administratif. Et c’est ce qui s’ appelle une belle carrière. Mais ces brillants météores ne troublent pas beau
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
53 bliée sur le « problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement où l’on s’efforce d’enseigner selon
54 s de 3 à 4 ans à lacer leurs souliers ; et cela s’ appelle l’école pratique. Plus tard, on fait apprendre à ces mêmes enfants, e
32 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
55 ution, soupçonnaient-ils que la république qu’ils appelaient serait livrée cent ans plus tard à peine à la folie démocratique, cet
56 pticisme à l’endroit de la forme sociale que nous appelons sans la connaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et
33 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
57 les mots 14, des anarchistes et des utopistes. J’ appelle anarchiste, tout ce qui est violemment et intégralement humain. L’ana
58 is, qu’il en fasse ce qu’il voudra. Les Orientaux appellent yoga cette culture des facultés physiques, intellectuelles et mystiqu
34 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
59 e sait presque rien de Lautréamont, sinon qu’il s’ appelait Isidore Ducasse et qu’il composa vers sa vingtième année un vaste poè
60 l’orthodoxie instaurée par les surréalistes, elle appelle notre impertinence. Nous adorons ailleurs. bg. « Léon Pierre-Quint 
35 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
61 spèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appelle , je crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison c
62 is bien que j’obéissais à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe i
63 ulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’ appelait en vérité Kehl Baba, ce qui signifie le Prophète chauve. Les Hongrois
64 er, ne fût-ce que de loin, — c’est alors ce qu’on appelait un paradoxe, du temps des petites manières. Cependant, la réalité d’u
65 r sur l’heure. (En petit et intéressé, ce geste s’ appelle coquetterie ; en grand et gratuit, sacrifice.) … feuilletons un peu m
36 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
66 s d’éveiller le sentiment rare et grandiose que j’ appellerais celui du tragique de la pensée. « Insensé, — penses-tu de figure en f
37 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
67 es actions précises et courageuses, tout ce qui t’ appelle là-bas, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perd
68 ie n’est-il pas comparable à ce que les mystiques appellent leur désert, — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir
69 oir, apparaît la « Loge » invisible. J’attends, j’ appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la main. Ainsi je quitte la Hongr
38 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
70 e des génies qu’elle « approche » : on pourrait l’ appeler une critique des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos parvien
39 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
71 périls en une résultante qui est la civilisation. Appelons humanisme l’art de composer pour la défense de l’homme et son illustr
40 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
72 cle qui consiste dans une large mesure à éviter d’ appeler les choses par leur nom, à préférer toujours le « distingué » et le «
73 gion. C’est une forme aiguë de ce que les Anglais appellent « sécularisme ». Ce terme qui sans doute reviendra souvent dans les c
41 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
74 leusement sans jamais aucune excentricité. » Elle appelle ceux qui passent à l’Église romaine des « pervertis » : « Nous en avo
75 s la vérité, elle, est indifférente à ce que nous appelons bonheur ou malheur. Et c’est la vérité seule qu’il s’agit d’attendre.
42 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
76 rocs et de glace. » Sénancour éprouvait ce qu’il appela , d’un mot admirable, « la lenteur des choses ». C’est qu’il a pénétré
43 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
77 ntisme, ceux d’un Frommel sur les écrivains qu’il appelle « positivistes » restent à peu près les seuls valables, à nos yeux, q
44 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
78 visa de défendre la religion mériterait-il d’être appelé Judas numéro deux. Car il ne s’agit pas de professer une chose mais d
45 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
79 , mais à ce dont ils ont souffert. 34. Tout ceci appellerait une foule de nuances. Mais il ne s’agit pas d’édulcorer. 35. Cf. A.-
46 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
80 gouvernent trop puissamment dans son âme » qu’il appelle les arts d’une magie maîtrisée, c’est-à-dire incarnée. La question se
81 e, qu’elle soit marxiste ou nietzschéenne, elle l’ appelle « l’arrière-monde » et le rejette, en ceci plus chrétienne, plus trag
47 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
82 aux limites du monde nouent leur effroi je t’ appelle à grande voix sans un son sans un écho le silence autour de toi
48 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
83 rons un doute. De quel droit refusons-nous donc d’ appeler chrétien, un homme qui se prétendit tel en maintes occasions, de la f
49 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
84 , je le sais, éveille un même « accord » profond, appelle une même « résolution » concrète chez les meilleurs esprits de notre
85 i nous vivons. Autour de nous tout craque et nous appelle . Sur les tenants d’un ordre délabré, le Souci tend son aile mortifère
50 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
86 pression plus serrée, M. Duhamel cherche ce qu’on appelait jadis le morceau de bravoure, la page sur « les bruits de mon village
51 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
87 ngs de ceux que les rédacteurs de l’Ami du Peuple appellent des révolutionnaires en peau de lapin, comme si cela, notons-le en pa
52 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
88 andes questions que la pensée moderne a convenu d’ appeler « naïves », parce qu’elles sont trop gênantes. Le livre est mal compo
89 dénonce le péril d’une pensée que l’on peut bien appeler scolastique, pensée purement conceptuelle et dépourvue d’intérêt huma
90 M. Brunschvicg. L’homme en général, même si on l’ appelle avec Marx, l’homme concret (ce qui n’est encore qu’une formule), l’ho
53 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
91 te vertu qui « supprime la morale », Jouhandeau l’ appelle imprudence ou générosité. Et ces mots ne désignent pas autre chose qu
54 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
92 saire de la Marne, la mesure de ce qu’on pourrait appeler la politique des « laquais de forges ». On nous entendra. Six grandes
93 lace M. Hermann, tout Allemand a le crâne rasé, s’ appelle Fritz, a volé des pendules et violé pour le moins une chaste fille de
55 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
94 Mais il peut être utile d’en dégager ce que l’on appellerait l’équation de décadence, dans certains cas où cette absurdité essenti
56 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
95 bécile qu’elle honore sur les « places » et qui s’ appelle Production, il y a lieu et ordre d’attester qu’« une seule chose est
57 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
96 (Il y avait aussi l’attitude cynique — faussement appelée esthétique, qui consistait à dire : comme elles sont bien peintes ! (
58 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
97 nal du terme, et aussi à son sens de « misère qui appelle  ». Nous ne sommes pas des « bourgeois-dégoûtés » ou des « prolétaires
98 eur. Ils opposent à nos « rêveries » l’action. Qu’ appellent -ils l’action ? Est-ce un opportunisme purement tactique, d’allure éle
59 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
99 idité, la preuve d’humanité pourrait-on dire. (On appelle inhumain l’être qui ne sent rien.) Selon l’autre, elle indique seulem
60 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
100 st toi, parce que c’est bien toi de nouveau qui m’ appelles et qui vas me quitter… — C’est une chose singulière, prononce une voi
101 vie ressemble surtout à un film où les épisodes s’ appellent par le simple jeu des images, se voient par transparence l’un au trav
102 . »   Nous sortîmes. Seules des trompes d’autos s’ appelaient dans la nuit froide. Gérard ne disait presque plus rien ; à peine, de
103 croquant une de ces saucisses à la moutarde qu’on appelle ici « Frankfurter » et ailleurs « Wienerli ». Soudain les autos se mi
61 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
104 spèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appelle , je crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison c
105 is bien que j’obéissais à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe i
106 ulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’ appelait en vérité KehlBaba, ce qui signifie le Prophète chauve. Les Hongrois,
107 er, ne fût-ce que de loin, — c’est alors ce qu’on appelait un paradoxe, du temps des petites manières. Cependant, la réalité d’u
108 er sur l’heure. En petit et intéressé, ce geste s’ appelle coquetterie ; en grand et gratuit sacrifice.) … feuilletons un peu ma
109 es actions précises et courageuses, tout ce qui t’ appelle là-bas, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perd
110 ie n’est-il pas comparable à ce que les mystiques appellent leur désert, — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir
111 oir, apparaît la « Loge invisible ». J’attends, j’ appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la main. Ainsi je quitte la Hongr
62 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
112 te poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’ appellent , combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacré ? Cette la
63 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
113 idité, la preuve d’humanité pourrait-on dire. (On appelle inhumain l’être qui ne sent rien.) Selon l’autre, elle indique seulem
64 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
114 spèce de tendresse pour tous les possibles, qu’on appelle , je crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison c
115 is bien que j’obéissais à ce que nos psychologues appellent une conduite magique. Or il est délicieux de réaliser une idée fixe i
116 ulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’ appelait en vérité Kehl Baba, ce qui signifie le Prophète chauve. Les Hongrois
117 es actions précises et courageuses, tout ce qui t’ appelle là-bas, maintenant, maintenant, où tu n’es pas — et tant d’amour perd
118 ie n’est-il pas comparable à ce que les mystiques appellent leur désert, — cette zone vide qu’il faut traverser avant de parvenir
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
119 s. Il veut la renaissance du Reich allemand. Ça s’ appelle le Horst Wessel Lied. Surtout ne dis rien à mes parents ! » Ebo a un
66 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
120 te poésie. Mais dans ce siècle, où tant de voix l’ appellent , combien sont dignes de s’attendre au don du langage sacré ? Cette la
67 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
121 r que nous prolongeons une existence que nos fils appelleront douceur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une
122 nen ». Quelque chose d’indéfinissable et que nous appelions Paris. C’est ici l’impuissance tragique de ce conquérant victorieux :
123 rt des acheteurs payent leurs achats, les clients appellent le garçon pour régler leurs consommations. C’est beaucoup d’ordre enc
68 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
124 nt traduits dans toute l’Europe, et qui le firent appeler par Newton « le plus chrétien de tous les hommes », vir omnium christ
69 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
125 sans aucune retenue, et cette vanité collective s’ appelle , on ne sait pourquoi, patriotisme ; mais que si l’on parle de soi, on
126 on confesse uniquement ses faiblesses, et cela s’ appelle sincérité. (Quand il s’agit de la famille, ce moyen terme entre l’ind
70 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
127 goût des « romans qui posent des problèmes ». On appelait cela de la « littérature difficile », non pas qu’une intelligence moy
71 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
128 l parce qu’on prend au sérieux des fumistes. Nous appelons fumistes ces messieurs qui nous interrogent avec politesse sur nos in
72 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
129 éologie typiquement bourgeoise. C’est là ce qu’on appelle sa révolution ! 3° Raisons mystiques Car il y a parmi eux des m
130 s croyons. C’est quelque chose comme… ce que nous appelions l’esprit, la réalité réelle. Ils sont tolérants et doux, non dépourvu
73 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
131 e l’homme. ⁂ Un jour, l’empereur de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre. « Peins-moi sur ce rouleau un crabe ». — «
132 e l’on y met dès l’origine. 10. On aura beau l’ appeler « travail de choc ». Ultime tentative pour faire aimer aux hommes une
74 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
133 certaine attitude humaine. Cette attitude, qu’on appelle capitaliste, est, en réalité, pour qui va au fond des choses, matéria
75 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
134 é équilibrée, incombe à l’État, c’est ce que nous appelons le domaine du plan ; de l’autre, il a à protéger l’action de tout ce
76 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
135 rsonnage égoïste et, en somme, assez lâche, qu’on appelle l’individu. Il faut aller plus loin : les mythes collectifs n’exprime
136 acte unique d’obéissance à l’ordre de Dieu, qui s’ appelle l’amour du prochain. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessu
77 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
137 ous nous adressons à des hommes réveillés. Nous n’ appelons pas un chef, ni des meneurs, mais des hommes humains. On ne refait un
78 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
138 Rhin, s’avance l’antique ennemi de l’homme. On l’ appellera État, matérialisme, racisme ou tyrannie ; mais son essence est plus p
79 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
139 te à certaines confusions : l’œuvre, en danois, s’ appelle La Maladie mortelle, et cette maladie, c’est le péché. L’impitoyable
80 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
140 ils disent qu’il ordonne cette soumission : ils l’ appellent Dieu). Ce qu’il y a d’inoffensif chez l’être faible, sa lâcheté, cett
141 e lâcheté se pare ici d’un nom bien sonnant, et s’ appelle « patience », parfois même « vertu » sans plus ; « ne pas pouvoir se
81 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
142 de parti, — de tout acte. C’est ce qu’on pourrait appeler la vision métaphysique. Tous les efforts des hommes — y compris les p
82 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
143 des mythes modernes, dont l’expression suprême s’ appelle l’État. Là où l’homme veut être total, l’État ne sera jamais totalita
83 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
144 r — seulement, il sait que cette transformation s’ appelle le Royaume de Dieu, non le royaume de l’homme moyen. Contre le réacti
145 réelle et humainement bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour du prochain. Ni ange, ni bête, ni droite ni gauche. Pessimism
146 nouveau, ce n’est pas seulement parce qu’ils sont appelés à jouer un rôle de plus en plus important dans la vie politique et in
84 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
147 es. Ils voyagent beaucoup et vont où l’Esprit les appelle . Ils partent bien souvent sans autre raison que la certitude qui leur
85 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
148 Nécessité de Kierkegaard (août 1934)t On appelle l’esprit… De quoi se plaint l’intelligence ? Si l’on en croit les
149 réclame de l’esprit, ou qui fait profession de l’ appeler . « Le Nouveau Testament ressemble à une satire de l’homme. Il contien
150 dieux ? Mais sont-ils des faux dieux pour nous ? Appelons -nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous appelons le « règne de l’espr
151 Appelons-nous vraiment l’esprit ? Mais non, nous appelons le « règne de l’esprit », c’est bien moins dangereux ; tous en seront
152 le d’une manière si touchante, et c’est ce qu’ils appellent l’amour.57 » Rire du solitaire, qui ressemble peut-être à la pitié én
153 La loi du Créateur. Le solitaire que Kierkegaard appelle , c’est l’homme seul devant son Dieu. Mais comment cela se peut-il, si
154 sinon par l’effet de la foi ? Il faut que Dieu l’ appelle , qu’il le nomme et par là le sépare, autrement l’homme n’est rien qu’
155 ent cette dédicace fameuse : « Au solitaire que j’ appelle avec joie et reconnaissance : mon lecteur. » Kierkegaard savait bien
156  », comme disait Nietzsche, et c’est là ce qu’ils appellent leur petit train-train journalier. La fameuse « vie quotidienne » n’e
86 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
157 ui dans une science que je n’aime guère, et qui s’ appelle la sociologie. La grande faiblesse de la littérature actuelle, c’est
87 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
158 oup d’État renverse le gouvernement qui les avait appelés officieusement. Ils hésitent à poursuivre. L’un d’entre eux se laisse
159 ralement humain. Destin allemand pourrait aussi s’ appeler « La condition humaine ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les p
88 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
160 unauté d’affections et d’idées qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-dire la nation elle-même. Or c’est bie
89 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
161 mal, petite fille. — Puis ils m’ont dit : — Je m’ appelle Whitman. Je m’appelle Thoreau. Voilà le camarade Hamsun, qui arrive a
162 Puis ils m’ont dit : — Je m’appelle Whitman. Je m’ appelle Thoreau. Voilà le camarade Hamsun, qui arrive avec son violon. Dresse
163 toire, vous devriez lire ça, Clochemerle que ça s’ appelle , je ne sais plus le nom du type qui a écrit le bouquin. Ah ça alors !
90 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
164 e délibérément de côté tout ce que l’abbé Bremond appelait l’histoire du sentiment religieux, et il nous sera permis de souhaite
91 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
165 t assujetti à l’impulsion indescriptible que nous appelons l’éternel. La personne est le témoignage d’une vocation reçue et obé
166 onne Et maintenant, si nous savons ce que nous appelons  : personne, si nous savons qu’elle est la lumière de nos lumières, et
167 mais sa grandeur pourtant n’est pas un nombre. J’ appelle esprit cette surprise pure de mon corps qui se voit conduit où rien e
168 nduit où rien en lui n’était nécessité d’aller. J’ appelle esprit la plénitude de l’instant où dans l’oubli de tout ce que je pe
92 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
169 bien, pour les raisons qu’on vient de voir. Ils n’ appellent pas une sagesse, mais un homme. Ils délèguent au chef inconnu le droi
93 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
170 l’un des prodromes du mal dont la crise finale s’ appelle dictature, réside dans notre culte du « pratique », dans la confiance
94 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
171 est une politique dont le principe de cohérence s’ appelle la responsabilité de la personne humaine. En d’autres termes, c’est u
95 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
172 rsonnage égoïste et, en somme, assez lâche, qu’on appelle l’individu. Il faut aller plus loin : les mythes collectifs n’exprime
173 acte unique d’obéissance à l’ordre de Dieu, qui s’ appelle l’amour du prochain. Je dis bien : acte, et il faut insister là-dessu
96 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
174 t très fermement à la mission de leur vie : ils l’ appellent leur dignité. Ils savent que c’est là ce qu’ils ont en eux de plus hu
97 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
175 mer. Seulement il sait que cette transformation s’ appelle le Royaume de Dieu, non le royaume de l’homme moyen. Contre le réacti
176 ncrète et humainement bienfaisante que l’Évangile appelle l’amour du prochain. Ni ange ni bête, ni droite ni gauche26. Pessimis
98 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
177 Les promesses du marxisme elles aussi ont pu être appelées eschatologiques. Mais dans un tout autre sens, dans le sens futur. La
99 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
178 t ce que tu crains, tout ce que tu détestes, ça s’ appelle fascisme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime, la guerre et l’op
179 n fils du peuple. Le triomphe de l’antifascisme s’ appelle le fascisme français. Cette hypothèse n’est pas gratuite. Elle s’appu
180 epuis l’origine du monde, les hommes ont toujours appelé « dieu » le principe de cohérence de leur vie sociale et privée. Le f
100 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
181 nal du terme, et aussi à son sens de « misère qui appelle  ». Nous ne sommes pas « des bourgeois-dégoûtés » ou des « prolétaires
182 eur. Ils opposent à nos « rêveries » l’action. Qu’ appellent -ils l’action ? Est-ce un opportunisme purement tactique, d’allure éle