1
lisation américaine éveille chez un Européen ? En
arrivant
là-bas, on a l’impression très nette de pénétrer dans une autre civil
2
it dans une gloire de lumière le premier appareil
arrivant
de New York. Il repartit trente minutes plus tard, emportant un espoi
3
’est qu’un faubourg de Boston. Le premier soir en
arrivant
dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je t
4
Oui, vous avez rêvé que vous dormiez. Un réfugié
arrivant
à New York me dit : — Puisqu’ils ne croient qu’à l’argent, dans ce pa
5
’est qu’un faubourg de Boston. Le premier soir en
arrivant
dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je t
6
ui, vous avez rêvé que vous dormiez. Un réfugié
arrivant
à New York me dit : — Puisqu’ils ne croient qu’à l’argent, dans ce pa
7
plus qu’un faubourg de Boston. Le premier soir en
arrivant
dans ce logis pour étudiants où un ami me prêtait sa chambrette, je t
8
nterview. ⁂ Bombay, porte des Indes, présente à l’
arrivant
l’architecture et le puissant trafic d’une grande cité de l’Occident
9
fayette, à La Havane. Il lui restait 4 dollars en
arrivant
au port. Il prit un taxi, dit au chauffeur de lui faire voir tout ce
10
bérés. Mais que proposions-nous pour les nouveaux
arrivants
, les moins de 18 ans d’alors, et pour les générations suivantes ? Le
11
la guerre ou vouloir la mort de l’autre, mais en
arrivant
à des accords où chacun reste autant que possible intact. C’est ainsi