1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie . Le silence de Goethe n’est pas moins dangereux, pour qui sait l’ente
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
2 de glaces et d’acajous polis. On entend le rythme assourdi , mais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui passent.
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
3 de glaces et d’acajous polis. On entend le rythme assourdi , mais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui passent.
4 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
4 lice. Ils se disputent tous tellement qu’ils vous assourdissent . Ils ne suivent pas la règle du jeu et je ne sais même pas s’ils save
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
5 lice. Ils se disputent tous tellement qu’ils vous assourdissent . Ils ne suivent pas la règle du jeu et je ne sais même pas s’ils save
6 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
6 lice. Ils se disputent tous tellement qu’ils vous assourdissent . Ils ne suivent pas la règle du jeu et je ne sais même pas s’ils save
7 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
7 quoi l’armée se reforme et les luttes sociales s’ assourdissent  ? C’est bien ce qu’on me disait à Paris… 11 novembre 1935 Renc
8 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
8 ige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie . Le silence de Goethe n’est pas moins dangereux, pour qui sait l’ente
9 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
9 nos têtes, les lampes en veilleuse, et le ronron assourdi des moteurs. Une petite secousse, des lumières, une longue promenade
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
10 nos têtes, les lampes en veilleuses, et le ronron assourdi des moteurs. Une petite secousse, une longue promenade sur des pistes
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
11 de glaces et d’acajous polis. On entend le rythme assourdi , mais non la mélodie d’une danse, au-dessus, et des voix qui passent.
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
12 ige la réelle puissance d’une voix volontairement assourdie . Le silence de Goethe n’est pas moins dangereux, pour qui sait l’ente
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
13 quoi l’armée se reforme et les luttes sociales s’ assourdissent  ? C’est bien ce qu’on me disait à Paris… 11 novembre 1935 Renc
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
14 têtes, que les lampes en veilleuses, et le ronron assourdi des moteurs. Une petite secousse, une longue promenade sur des pistes
15 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
15 ent des pieds nus, des saris roses, violets, vert assourdi . Des yeux brillent dans les portes sombres. Çà et là, un homme prie,
16 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
16 s vont se poser derrière le bois tout proche, qui assourdit tout d’un coup leur grondement. Vous voyez que ce pays est le centre
17 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
17 s vont se poser derrière le bois tout proche, qui assourdit tout d’un coup leur grondement. Vous voyez que ce pays est le centre
18 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
18 par cet horizon de délivrance que dénude la chute assourdie de la strophe. Le monde humain lui apparaissait lourd et fluent, info