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anarchiques. Le thème commun, c’est sans doute l’
atrocité
de la « vie normale », ou si l’on préfère, l’amertume du cœur humain
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oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’
atrocité
de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon livre. Et la foule
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oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’
atrocité
de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon livre. « Et la foul
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s autres : Franco est arrêté devant Madrid, les «
atrocités
» paraissent équivalentes des deux côtés. Unamuno qui avait parlé « à
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héroïsme et de vertu5 comparables en grandeur aux
atrocités
rigoureuses produites par l’hitlérisme au nom d’Hitler. Ce qui a paru
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éroïsme et de vertu12 comparables en grandeur aux
atrocités
rigoureuses produites par l’hitlérisme au nom d’Hitler. Ce qui a paru
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éroïsme et de vertu14 comparables en grandeur aux
atrocités
rigoureuses produites par l’hitlérisme au nom d’Hitler. Ce qui a paru
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oh ! la pauvre interrogation des visages devant l’
atrocité
de notre vie sociale ! Je baisse les yeux sur mon livre. Et la foule
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on à la démonstration des philosophes… Ce que les
atrocités
de Serbie mettent hors de doute, c’est qu’il faut à l’Europe une nati
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t intrinsèquement compréhensibles… « Si de telles
atrocités
sont possibles, il n’y a pas de Dieu » ou « En face de telles atrocit
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es, il n’y a pas de Dieu » ou « En face de telles
atrocités
, Dieu seul peut sauver le sens de la vie7. » Croissance urbaine :