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itte plus, attiré par les premiers sophismes de l’
aurore
, ces corniches de craie où t’accoudant tu mêles tes traits purs et la
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ne femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’
aurore
, voici l’heure que nous attendions. Les escaliers s’abaissent dans le
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ne femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’
aurore
, voici l’heure que nous attendions. Les escaliers s’abaissent dans le
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quements de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une
aurore
boréale nous avait arrêtés, non point que sa beauté nous eût cloués s
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’Éternel des armées célestes Sur les sommets de l’
aurore
Réveillez-vous dans l’ombre des vallées Répondez à nos chants ! (Le
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’Éternel des armées célestes Sur les sommets de l’
aurore
Réveillez-vous dans l’ombre des vallées Échos profonds de nos chants.
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e Sur la terre étrangère Marchons encore Vers ton
aurore
Ô Christ ! ô roi de lumière. (Ad libitum.) 3. Marchons sans fin Pau
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paraissent des présages. Nous, d’ici, voyons une
aurore
éclatante de gloire et d’or. Toi, de là-haut, vois l’orage futur et l
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enir ? Ouvre les yeux ! Vois l’énorme incendie, l’
aurore
de notre puissance ! (Des feux rouges balayent la scène.) Une autr
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nte est descendue, oh ! oh ! oh !… Qu’apportera l’
aurore
maléfique ? Ah ! hélas ! ah ! hélas ! ah ! hélas ! ô… tentation comp
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! Ô sentinelle, guetteur aux yeux fermés, Avant l’
aurore
, avant la rouge aurore, Sauve-nous, suspends la colère ! Dans la nuit
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r aux yeux fermés, Avant l’aurore, avant la rouge
aurore
, Sauve-nous, suspends la colère ! Dans la nuit, vois notre misère ! É
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civile ! Haimo. — Si rien n’est fait avant l’
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, frère Claus, ce jour sera le dernier jour de notre Confédération. Et
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’œil indifférent d’un seul chien du même nom. Une
aurore
boréale nous avait arrêtés toute une nuit, non point que sa beauté no
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uements de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une
aurore
boréale nous avait arrêtés, non point que sa beauté nous eût cloués s
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ne femme qui tremble… Comtesse Adélaïde en soie d’
aurore
, voici l’heure que nous attendions. Les escaliers s’abaissent dans le
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ient, et le cri de Brengaine du haut de la tour d’
aurore
: « Habet acht ! Habet acht ! — Schon weicht dem Tag — die Nacht66 !
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quements de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une
aurore
boréale nous avait arrêtés, non point que sa beauté nous eût cloués s
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ivant, formé de quatorze antithèses : Orient : l’
aurore
, le matin, le haut, la droite, l’extrême raffinement, la lumière, l’A
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ivant, formé de quatorze antithèses : Orient : l’
aurore
, le matin, le haut, la droite, l’extrême raffinement, la lumière, l’A
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où commence le troisième tiers de la nuit et où l’
aurore
est proche, l’heure où le sommeil, plus doux que le miel, posé sur le
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ant formé de quatorze antithèses26 : Orient : l’
aurore
, le matin, le haut, la droite, l’extrême raffinement, la lumière, l’A
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aque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux
aurores
, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre
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dans le nouveau décor de Bayreuth, cette frileuse
aurore
jaune au bas du ciel, c’est un jour qui renaît, non pas le jour des h
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aque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux
aurores
, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre
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aque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux
aurores
, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre
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où commence le troisième tiers de la nuit et où l’
aurore
est proche, l’heure où le sommeil, plus doux que le miel, posé sur le
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ant formé de quatorze antithèses40 : Orient : l’
aurore
, le matin, le haut, la droite, l’extrême raffinement, la lumière, l’A
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2.Crépuscule ou nouvelle
aurore
? Les diagnostics qu’on vient de lire sont tous sévères, mais on a
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mbre qui sépare le déclin de l’Empire romain et l’
aurore
de « l’unité médiévale » (ve au xie siècle). Il ne croit pas que l’
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es moments forts sont au futur prochain (« Et à l’
aurore
… nous entrerons aux splendides villes »), Apollinaire hante la marge
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Rien de plus spécifique de l’Europe — depuis l’
aurore
des temps, bien avant l’homme ! — que ce réseau de fleuves et de rivi
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dans le nouveau décor de Bayreuth, cette frileuse
aurore
jaune au bas du ciel, c’est un jour qui renaît, non pas le jour des h
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aque, « dans un décor de montagnes flamboyant aux
aurores
, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité »19, au centr
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ns les périodes principales de ces échanges. De l’
aurore
des civilisations jusqu’à l’Empire d’Alexandrie, on peut bien dire av