1
pas une éclatante mise au point ? Et venant de l’
auteur
du Songe, d’un de ces hommes qui « descendirent » du front dans notre
2
auptmann et Maeterlinck. On trouve au tableau des
auteurs
édités depuis lors les grands noms de la littérature européenne d’ava
3
iennois, Hesse, Hofmannsthal… Les extraits de ces
auteurs
qui composent l’Almanach Fischer donnent une juste idée de ce que fut
4
e la raison. C’est à lui que va la sympathie de l’
auteur
et la nôtre. h. « Otto Flake : Der Gute Weg (S. Fischer Verlag, Ber
5
la vertu de rendre contagieuse la curiosité de l’
auteur
à l’endroit de cette âme irlandaise en laquelle s’allient une fantais
6
oule ne réagit pas autrement que les individus. L’
auteur
, qui est l’un de ces Anglais, tombe malade avec à-propos et perd conn
7
: ils ne sont que les projections du moi de leurs
auteurs
. Or l’égoïsme est vertu cardinale pour le créateur. Mais quel est ce
8
ulina au couvent valent les meilleurs poèmes de l’
auteur
de Tragiques et de Vous êtes des hommes. p. « Pierre Jean Jouve : P
9
ez piquante de ses péripéties. Quel dommage que l’
auteur
l’ait alourdi d’une idéologie, souvent plus généreuse que neuve, et q
10
donne à « la vie », laquelle — un peu aidée par l’
auteur
— lui révèlera peu à peu le sens divin de la destinée. Ce livre à thè
11
mation — trait commun à presque toutes les femmes
auteur
, et qui plaît aux lectrices — m’agace un peu ? C’est une vétille. s
12
l’éprouve d’abord trop vivement pour le juger. L’
auteur
l’appelle un « poème solaire », l’éditeur un roman, parce que ça se v
13
se dans la même mesure, — et aussi la figure de l’
auteur
: car il n’est guère de comparaison valable qu’entre individus, et co
14
es thèses subtiles, d’autant que la position de l’
auteur
dans cet essai me paraît encore ambiguë : on peut se demander s’il ni
15
entes, on voit beaucoup moins l’œuvre d’art que l’
auteur
; dans ce portrait de Montherlant toréador, à 16 ans, c’est surtout l
16
pitz, La Croisière indécise (décembre 1926)y L’
auteur
veut amuser en nous quelques idées graves en leur présentant les miro
17
transparaît parfois et nous fait regretter que l’
auteur
ne se soit pas mieux abandonné à son sujet, d’un pathétique assez neu
18
e sait pas tout sur le personnage. Mais quant à l’
auteur
, il n’y a pas de gratuité. Le geste le plus incongru du héros n’est j
19
liquide tourbillonnant à l’intérieur. Un arrêt (l’
auteur
se met à se regarder vivre, le personnage à douter du sens de sa vie)
20
e raison d’une perpétuelle attente »), — ce que l’
auteur
découvre c’est ce « merveilleux contraire » de l’élan vital qu’il nom
21
Nuits d’octobre de Nerval ; forme qui permet à l’
auteur
de divaguer de la philosophie au lyrisme le plus échevelé en passant
22
parc public. Ce n’est pas le meilleur livre de l’
auteur
d’Anicet. C’est pourtant un des plus significatifs du romantisme nouv
23
orand » : Billet circulaire pour Paul Morand,
auteur
de « Lewis et Irène » L’auteur de maint roman de caractère gras quit
24
pour Paul Morand, auteur de « Lewis et Irène » L’
auteur
de maint roman de caractère gras quitte Charing-Cross, songeant aux t
25
nsatisfaction qu’elle leur laisse. Montclar est l’
auteur
de vers de jeunesse auxquels il ne tient guère, et l’on comprend que
26
et « artiste » on hésite à en faire reproche à l’
auteur
. Cette espèce de modestie de l’allure est rare autant que sympathique
27
« Le véritable symbole n’est jamais prévu par l’
auteur
», écrivait Cocteau dans la préface des Mariés de la tour Eiffel. Et
28
par où elle pèche contre les principes chers à l’
auteur
du Secret professionnel et de la préface des Mariés — principes dont
29
. Dans Orphée, le mystère ne peut plus dépasser l’
auteur
: il l’a trop bien organisé. En somme, ce qu’il faut reprocher à Coct
30
t décantée, profonde et délicieuse, gagnera à son
auteur
beaucoup d’amis inconnus. af. « Edmond Jaloux : Ô toi que j’eusse a
31
ait, en dépit des prétentions désobligeantes de l’
auteur
, son incontestable « séduction ». Pour un peu, je découvrais une mani
32
Vinet — laissons s’esclaffer du rapprochement les
auteurs
de manuels de littérature — : « Un mysticisme creux et affamé est le
34
certain milieu bourgeois, et l’on voit bien que l’
auteur
n’est pas encore détaché de la matière pour en tirer une œuvre d’art.
35
udrait bien nous faire croire que le diable est l’
auteur
. Beaucoup d’oiseaux volètent, se balancent au bord des verres, se pos
36
ns la Revue de Belles-Lettres sont propres à leur
auteur
et qu’elles n’engagent pas sa responsabilité. (N. de la R.) »
37
foudres de votre paradis poétique. Si je cite tel
auteur
dont nous fîmes notre nourriture une saison de naguère, voilà le rict
38
s ; il y a trop de monde ici. 14. Paul Morand,
auteur
d’Ouvert et de Fermé la nuit, titres également scandaleux. Le Grand É
39
he s’il s’agit d’une erreur ou d’une volonté de l’
auteur
. 15. Variante : des puissances d’action. 16. J’en vois certains qui
40
de l’observation autant que par la sympathie de l’
auteur
pour ses héros. Indulgence et regrets, un ton qui permet le tact dans
41
ci ce je ne sais quoi, ce délice furtif, ce que l’
auteur
lui-même appelle « cette vague poésie involontaire, intermittente, un
42
Bopp, Interférences (décembre 1927)ap Un jeune
auteur
raconte dans une lettre à une amie comment il a écrit, sur commande,
43
étonnent de la part d’une femme aussi femme que l’
auteur
du Perroquet Vert. Mais là-dessus, le roman repart dans une troisième
44
’un de ces chefs (c’est lui qui parle au nom de l’
auteur
, je pense) : « Il me semble que je lutte contre l’absurde humain, en
45
(décembre 1928)aw Au hasard d’une rencontre, l’
auteur
de ce récit se lie avec un inconnu qui se dit prince russe et entreti
46
d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît pas son
auteur
. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes une sérénité pres
47
plus spirituelle du monde. La thèse que défend l’
auteur
de cet essai — la voyance de Rimbaud — est une de ces évidences qu’il
48
t exactement celles qu’il fallait attendre de ces
auteurs
. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est son dur amour de
49
r toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier,
auteur
de manuels d’histoire et de géographie bien connus, pour l’esprit le
50
r toutes si vous tenez, oui ou non, M. W. Rosier,
auteur
de manuels d’histoire et de géographie bien connus, pour l’esprit le
51
rme des fleurs, que les animaux qui circulent. Un
auteur
qui n’imite personne court bientôt le risque de s’imiter soi-même : i
52
d’une sorte de poésie fatale, où se mêle, selon l’
auteur
un peu ou pas mal de littérature. Et c’est à un tel amour qu’on va de
53
le sort de l’esprit. À côté d’eux, s’écrient nos
auteurs
, « qu’on nous montre un seul Français qui n’ait pas le cœur sur les l
54
ent presque à situer la position d’attaque de nos
auteurs
: « Tout créateur néglige sa personnalité » et « Kant est un peu plus
55
arrir. Et auparavant, j’aimerais lire un peu. Mes
auteurs
? Goethe en tout temps ; Rodolphe Toepffer (admiré par Goethe) ou Jér
56
s, le 28 avril. 18. ……………… (N. de la R.) 19. L’
auteur
nous promet pour le numéro 6 de nouveaux détails apocryphes. (N. de l
57
qui construisirent le premier pont sur le Danube,
auteurs
ainsi du trait d’union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freuden
58
es légères de Molnár, qui n’ont de hongrois que l’
auteur
, d’ailleurs israélite. Il y a, bien entendu, une littérature officiel
59
vue, mais à la complexion, à la nature même de l’
auteur
, — laissant à l’approfondissement psychologique et aux inflexions var
60
mesure, elle risque de nous laisser l’image d’un
auteur
plus conscient de ses propres difficultés que ne saurait l’être le cr
61
énements qui précédèrent l’aventure chinoise de l’
auteur
. C’est un roman plus dépouillé, plus inégal aussi à certains égards e
62
sans doute irrégulière, dans le Siam, et auquel l’
auteur
prête des caractéristiques qui le rapprochent du Garine des Conquéran
63
eures, et c’est sans doute le tempérament de leur
auteur
. Qui n’a pas remarqué que les portraits des meilleurs peintres ressem
64
ssent vraisemblablement pas fait encourir à notre
auteur
pareil ostracisme. Mais notre monde ne connaît plus de sacré que la p
65
. Ayant ainsi esquissé ses positions éthiques, l’
auteur
part pour Aden. Quel n’est pas son étonnement de découvrir que ce lie
66
une Genève de l’islam. » Il semble, à lire notre
auteur
, que ce mélange de représentants de ne ordre de toutes les races comp
67
s Européens. Autre trait plus édifiant encore : l’
auteur
rentrant à Marseille voit de loin le château d’If et N.-D. de la Gard
68
pages, sur toutes les choses. Nous écrivions aux
auteurs
, nous recevions des livres, des lettres. Van Gogh, en qui nous aimion
69
onférences du comte Keyserling (avril 1931)f L’
auteur
du Journal de voyage d’un philosophe, d’Analyse spectrale de l’Europe
70
oir comment cela s’applique à mon histoire, dit l’
auteur
dans sa préface, lisez-la, et si vous la lisez, ne dites pas à vos am
71
à l’extrême, mais internationale. Cela permet à l’
auteur
autant qu’aux personnages de ne pas s’attarder à des considérations m
72
proprement parler de morale, malgré ce que dit l’
auteur
dans sa préface. Bien plutôt, elle est l’expression concrète d’une lo
73
dans l’agencement des incidents. Ce n’est pas un
auteur
qui s’arroge un petit jugement dernier de ses personnages, comme le m
74
ersante. Il est pourtant un endroit du roman où l’
auteur
intervient visiblement, force les faits, agit comme un « moraliste »
75
e par quoi se termine un précédent livre de notre
auteur
: « La veille de la Chandeleur 1909, je fus reçu dans le sein de l’Ég
76
nation. On goûtera les citations nombreuses que l’
auteur
a su introduire et commenter avec la discrétion et souvent l’ironie l
77
e et significative. On regrettera seulement que l’
auteur
ait dû se borner à confronter les réactions anglaises et françaises.
78
lui frayait la voie », note fort justement notre
auteur
. L’homme seul en face des sommets, qu’écrira-t-il ? — Shelley : « L’i
79
’un roman dont le héros, Eiichi, est évidemment l’
auteur
lui-même, le récit de l’adolescence et de la jeunesse de notre héros
80
ères pages, c’est l’extrême minutie du récit. Les
auteurs
qui écrivent leurs mémoires s’attachent d’ordinaire aux faits pittore
81
d’un conte de fées. Il n’y a là, de la part de l’
auteur
, nul parti pris de « réalisme » littéraire, mais bien le signe d’une
82
e qui, sans doute, fut l’objet déterminant de son
auteur
. Elle concerne la question sociale. Il s’attache à cette expression u
83
e me récrie pas et ne compte nullement désigner l’
auteur
de l’Immoraliste à la vindicte des « honnêtes gens ». D’abord parce q
84
fication obsédante que les derniers écrits de cet
auteur
reprennent et fignolent avec un talent disproportionné à son objet. Q
85
t plus touchante qu’elle figure, je pense, pour l’
auteur
, une sorte de consolation un peu forcée que le cœur s’accorde en dépi
86
rallié tous les suffrages féminins, et classe son
auteur
dans la lignée de ces fameux « moralistes français » auxquels nous pa
87
aisons d’ordre général et comme indépendantes des
auteurs
et des œuvres. Délimiter un « parti protestant » dans nos Lettres, n’
88
ous trahit Partons du cas concret de nos trois
auteurs
. Le problème, à vrai dire, les dépasse, mais il n’est pas mauvais de
89
entiment d’indifférence et d’inutilité. Quant à l’
auteur
de Saint-Saturnin, il semble qu’une véritable préméditation — où l’on
90
Un cantique nouveau Nous voici loin de nos
auteurs
. Si loin qu’en somme ils ne sont guère atteints par tout ceci. Mais q
91
s apportent entre deux tours repris des meilleurs
auteurs
, une de ces approximations vulgaires qui « rendraient » mieux sous la
92
oup de leurs techniques. On dira sans doute que l’
auteur
exagère quand il dénonce le péril d’une pensée que l’on peut bien app
93
Tout aveu de cet ordre concourt à la ruine de ses
auteurs
. Un régime fort, usant de ses pouvoirs dans un style adéquat à ses fi
94
ossible, d’une vérité dont nous ne sommes pas les
auteurs
, mais dont l’essence même implique notre effort pour la réaliser. Vér
95
égaré par les mœurs éditoriales attend des jeunes
auteurs
qu’ils se présentent avec l’assurance et l’optimisme pressant du comm
96
sez prétentieuse modestie. Comment, après cela, l’
auteur
du Paysan du Danube oserait-il assurer qu’il considère ces petits écr
97
qui construisirent le premier pont sur le Danube,
auteurs
ainsi du trait d’union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freuden
98
es légères de Molnar, qui n’ont de hongrois que l’
auteur
, d’ailleurs israélite. Il y a, bien entendu, une littérature officiel
99
d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît pas son
auteur
. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes une sérénité pres
100
t les manchettes et le jabot. C’est bien l’un des
auteurs
les plus constamment provocants de son siècle, — il faudra s’y remett
101
vahies par les sapins. C’est dans une lettre de l’
auteur
de la Rose de Thuringe. J’ai répondu : Je ne sais pas si vous avez co
102
qui construisirent le premier pont sur le Danube,
auteurs
ainsi du trait d’union de Buda-Pest. Il y a trois semaines, à Freuden
103
es légères de Molnar, qui n’ont de hongrois que l’
auteur
, d’ailleurs israélite. Il y a, bien entendu, une littérature officiel
104
signalons l’écart, probablement une volonté de l’
auteur
pour la présente édition. b. La version parue en 1968 dans le Journ
105
signalons l’écart, probablement une volonté de l’
auteur
pour la présente édition. c. La version parue en 1968 dans le Journa
107
d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît pas son
auteur
. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes une sérénité pres
108
t les manchettes et le jabot. C’est bien l’un des
auteurs
les plus constamment provoquants de son siècle, — il faudra s’y remet
109
envahies par les sapins. » C’est une lettre de l’
auteur
de la Rose de Thuringe, Pierre Girard. J’ai répondu : « Je ne sais pa
110
uit que possible. William Coxe, voyageur anglais,
auteur
de Lettres sur l’état politique, civil et naturel de la Suisse, écrit
111
ald », traducteur de la Bible admiré par Fénelon,
auteur
de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie qui furen
112
Vattel. Nous avons eu d’excellents historiens : l’
auteur
de la Chronique des Chanoines (apocryphe), Chambrier pour l’ancien ré
113
rtaine « culture », il ne semble pas que ces deux
auteurs
aient eu le courage d’aller jusqu’aux dernières conséquences de leur
114
eau d’une certaine presse. Si l’on ne voit dans l’
auteur
d’Adam et Ève qu’une sorte de folkloriste, il faudra considérer l’aut
115
’une sorte de folkloriste, il faudra considérer l’
auteur
de Phèdre comme un archéologue, auteur de drames historiques. Que che
116
nsidérer l’auteur de Phèdre comme un archéologue,
auteur
de drames historiques. Que cherche Ramuz ? Une connaissance du partic
117
retourne aussitôt contre notre bonheur. Depuis l’
auteur
de l’Ecclésiaste jusqu’au romancier le plus moderne, la littérature u
118
llemagne, à peu près, la terminologie propre à un
auteur
. d. « Dialectique des fins dernières », Hic et Nunc, Paris, n° 3-4,
119
ctobre 1933)m Il est plaisant de voir un jeune
auteur
obtenir de nos jours un effet de surprise par l’emploi d’un style pol
120
é, et c’est une des observations capitales de nos
auteurs
, les jeunesses soviétique et fasciste sont bien moins révolutionnaire
121
ignité proprement humaine. Où est le remède ? Les
auteurs
de Jeune Europe n’hésitent pas à le voir dans l’esprit libertaire et
122
serait ici mesquin, on l’accordera volontiers à l’
auteur
. Ehrenbourg a utilisé pêle-mêle une masse de documents qui parlent d’
123
pit du bon sens. Pourquoi ne pas glisser, entre l’
auteur
d’Adolphe et celui des Discours religieux, par exemple, cet excellent
124
irage limité. N’allez pas croire qu’il s’agisse d’
auteurs
comiques : il s’agit d’abord de poètes. Je crains même de leur faire
125
ée du comique de Cingria. Un humour romand… Trois
auteurs
seulement, me dira-t-on ? Trois dimensions plutôt. Cela suffit pour c
126
er cette réalité, c’était du même coup pour notre
auteur
, échapper aux faux problèmes du modernisme et revenir à l’orthodoxie
127
emment des mêmes principes exégétiques. Certes, l’
auteur
n’est pas de ceux qui conçoivent le commentaire comme une effervescen
128
hellénisme style Empire — voilà peut-être le seul
auteur
qui situe le problème dans sa réalité. Lisons ses Réflexions sur le T
129
la funeste doctrine de l’analogia entis empêche l’
auteur
de conclure dans le sens paulinien, et « naturalise » les réalités es
130
je veux dire moins d’apparent lyrisme que chez l’
auteur
de Gösta Berling : mais une sobriété qui vous saisit le cœur, à chaqu
131
’introduction : « Je suis et j’ai toujours été un
auteur
religieux ; toute ma carrière littéraire se rapporte au christianisme
132
que le héros adresse à « son muet confident », l’
auteur
. Peut-être avons-nous ici les pages les plus éloquentes et les plus i
133
. 2. Point de vue explicatif sur ma carrière d’
auteur
, non traduit. 3. Trad. J. Gateau et K. Ferlov. Gallimard, collec. Le
134
du moins de fait — dût s’exercer au bénéfice des
auteurs
réputés « difficiles ». Car les autres s’en passent fort bien. Or, c’
135
’ils n’étaient pas eux-mêmes en jeu ! Mais, dit l’
auteur
, « je ne puis me dispenser de me demander du même coup : qui suis-je,
136
tion qu’elle soit soutenue par une fidélité que l’
auteur
définit comme « une présence activement perpétuée ». Et tout cela ten
137
idéaliste, d’autre part, il faut vivement louer l’
auteur
de conserver à chaque page le souci des références à l’actuel. La des
138
rie d’erreurs assez grossières sur Luther. 48. L’
auteur
entend : relativement à la possibilité universelle du désespoir. Un r
139
c, crédit, taylorisme), les liens étroits que les
auteurs
ont su nouer entre leurs positions philosophiques et leurs conclusion
140
nterprétations personnelles que nous en propose l’
auteur
. (Begbie est un de ces « informateurs » brillants et cordiaux, un peu
141
me ses seuls moyens. Elle comprend la plupart des
auteurs
qui se gaussent des deux premières, ceux qui méprisent la vie bourgeo
142
la communauté, vous recréerez le lien vivant de l’
auteur
avec son public. Une fois posés ces fondements spirituels d’une litté
143
d’ailleurs. Il s’agit d’une œuvre allemande, d’un
auteur
inconnu en France jusqu’ici, d’un roman qui veut dire quelque chose —
144
sur le point de vue strictement « allemand » de l’
auteur
, qu’il est peu de problèmes plus graves pour notre avenir immédiat. M
145
t, sous la plume de Jules Romains, que les jeunes
auteurs
de ce plan ont eu pour « méthode » de « foncer sur les problèmes » !
146
es privées ». Difficultés politiques ensuite. Les
auteurs
du plan commencent par condamner le Parlement, « dont le fonctionneme
147
je veux dire moins d’apparent lyrisme que chez l’
auteur
de Gösta Berling ; mais une sobriété qui vous saisit le cœur, à chaqu
148
qui naît des faits, jamais d’un commentaire de l’
auteur
. La danse de la petite Eva Margareta, chaussée de galoches trop grand
149
présence, une plainte juste, une voix d’homme. L’
auteur
entre dans les confidences d’une femme non mariée (on ne voudrait pas
150
mois dernier. Ah ! nous sommes loin — (avec ces
auteurs
-là) — de ceux qui écrivent merde cent fois la ligne pour faire croire
151
s études, est déjà fort importante et fait de son
auteur
le maître incontesté de nos critiques du Nouveau Testament. C’est l’œ
152
’instruction qui aurait choisi comme prévenus les
auteurs
anonymes des évangiles et du livre des Actes. La méfiance règne en pe
153
isé. Si l’on voit bien ce qui pouvait pousser les
auteurs
primitifs à colorer leur relation, on voit mieux encore le préjugé mo
154
e de la foi vivante, les postulats critiques de l’
auteur
n’ont aucune force de contrainte. C’est l’Écriture et le dogme qui le
155
t de paraître10 témoigne de la volonté qu’avait l’
auteur
de ne décrire que les effets sociaux, politiques et culturels de la R
156
Définition de la personne (décembre 1934)h L’
auteur
de cet essai fait partie du comité directeur de L’Ordre nouveau . D’
157
pour exprimer une conscience philosophique que l’
auteur
voudrait d’ailleurs considérer comme le bien commun de sa génération.
158
isqu’il est manifeste que l’acte est le perpétuel
auteur
de notre humanité, nous ne pouvons connaître cette humanité, sinon da
159
ai visage, un nom et une autorité, une attitude d’
auteur
de son propre destin ? C’est ce que l’on ne voit point. C’est ce que
160
que impersonnelle. Ils ne sont pas les actes d’un
auteur
, mais les contrecoups nécessaires d’un procès initié par d’autres, d’
161
logie de laboratoire. Il s’agit, dans l’idée de l’
auteur
, de dévaloriser (ou de transcender ? ) « la distinction du subjectif
162
d’agir et de créer, j’entends, de se poser comme
auteur
responsable de son acte ? Alors qu’elle ne repose que sur l’espoir du
163
ion d’une expression qui en dit plus long que son
auteur
ne voulait sans doute lui faire dire. 15. L’Histoire au sens hégélie
164
ilisation, dont on ne voit pas quel dieu serait l’
auteur
, et que rien dans le passé de l’humanité ne peut permettre même d’ima
165
maine, et qui supposent une Personne divine comme
auteur
. Si l’on refuse cet acte de foi en la dialectique marxiste, il reste
166
ion due à M. Nizan, dans Europe (avril 1933). Cet
auteur
veut « commencer par le commencement », ce que chacun lui accordera v
167
et les maçons pourraient très bien s’en tirer. L’
auteur
et le préjugé en question voudraient qu’il y ait d’abord la locomotiv
168
rtaine « culture », il ne semble pas que ces deux
auteurs
aient été jusqu’aux dernières conséquences de leur refus du transcend
169
oc, crédit, taylorisme) les liens étroits que les
auteurs
ont su nouer entre leurs positions philosophiques et leurs conclusion
170
st de toi, lecteur, qu’il s’agit, et non pas d’un
auteur
nouveau. Koch n’a pas simplifié ce qui n’est pas simple chez Kierkega
171
ion d’une expression qui en dit plus long que son
auteur
ne voulait sans doute lui faire dire. 10. L’Histoire au sens hégéli
172
ilisation, dont on ne voit pas quel dieu serait l’
auteur
, et que rien dans le passé de l’humanité ne peut permettre même d’ima
173
maine, et qui supposent une Personne divine comme
auteur
. Si l’on refuse cet acte de foi en la dialectique marxiste, il reste
174
ion due à P. Nizan, dans Europe (avril 1933). Cet
auteur
veut « commencer par le commencement », ce que chacun lui accordera v
175
et les maçons pourraient très bien s’en tirer. L’
auteur
et le préjugé en question voudraient qu’il y ait d’abord la locomotiv
176
rtaine « culture », il ne semble pas que ces deux
auteurs
aient été jusqu’aux dernières conséquences de leur refus du transcend
177
s l’amertume « désertique » d’un tête-à-tête de l’
auteur
avec sa mort. Négation de l’humain trop purement humain dans son effo
178
on effort le plus « spirituel » ? On ne sait si l’
auteur
veut nous pousser vers cette conclusion. Peut-être n’est-ce ici qu’un
179
ris, n° 28, janvier 1935, p. 676-677. Le nom de l’
auteur
de l’ouvrage recensé étant mal orthographié (« Ronveyre »), on a corr
180
ie, dans une communion de révolte. Par malheur, l’
auteur
a voulu romancer ce documentaire authentique, et il en a saboté le ry
181
he ou l’Idiot seraient aujourd’hui des « compte d’
auteur
». l. « Albert Soulillou, Nitro, Gallimard », Esprit, Paris, n° 29,