1 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
1 cupent le plus, et à très juste titre, nos jeunes barthiens , kierkegaardiens et « réacteurs » de diverses nuances. Je m’étonne se
2 édifiante ! (Se tournant vers un groupe de jeunes barthiens très excités qui échangent dans un coin des coups de coude significat
3 plus mordantes et plus sèches, du côté des jeunes barthiens . Nicodème, au contraire, devenait de plus en plus sentimental et, par
4 ansformé en pylône émetteur ! » — À quoi l’un des barthiens s’empressa d’ajouter : « Quoi qu’il en soit, d’ailleurs, de toutes ce
5 prêtait guère, me semblait-il : entre ces jeunes barthiens d’une part, si convaincus et si merveilleusement inconscients de l’in
6 oudain, plutôt confus de ma véhémence. Les jeunes barthiens se consultaient du regard. Était-ce de ma part une palinodie ? J’éta
7 érance. ⁂ Nous nous séparâmes sur ces mots. Les «  barthiens  » qui avaient parlé regagnèrent leur lieu véritable : inventés par Wi
2 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
8 disputations ! On voit bien ce qu’en diraient les barthiens dont je fus : Ansermet, partant de Husserl, réinvente le libéralisme
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
9 ès les promesses de grâce.) Notons que les jeunes barthiens , malgré la méfiance que Karl Barth continue d’afficher à l’égard de l