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le rapprochement qu’on nous invite à faire entre
barthisme
, thomisme et réaction. Barth, croyons-nous, n’a jamais proposé ni prô
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ttente. Qu’on n’aille pas croire cependant que le
barthisme
est un « retour » à quelque orthodoxie, ou par exemple une sorte de p
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nève moderne ! Il faudrait parler longuement du «
barthisme
» d’une telle œuvre, — plus réel sans doute, parce qu’il est plus inc