1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 nt, une intrigue puissante, des personnages d’une belle richesse psychologique. En fermant le livre on a presque l’impression
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 ms puissants de l’Asie sauront encore éveiller de beaux rêves. Il y a ceux qui repoussent une Asie ignorante du thomisme et c
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
3 ion les possède, les exalte, les affole. Les plus beaux types créés par Unamuno sont ces femmes dures et passionnées, Raquel
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
4 meurs ? Déjà un Mac Orlan, un Kessel ont donné de beaux exemples du parti que peut tirer le nouveau romantisme de ce chaos. S
5 aise de l’énorme cri de délivrance du peuple fou. Belles étincelles échappées d’un brasier. Pour les causes de l’incendie, voi
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
6 Adieu, beau désordre… (mars 1926)o L’époque s’en va très vite vers on ne sait
7 , tout de même nous avons un corps, et c’est très beau , Breton, de crier « Révolution toujours » — tant qu’il y a des gens p
8 des gens pour vous faire du pain ; et c’est très beau , Aragon, de ne plus rien attendre du monde, mais on voudrait que de m
9 re Drieu la Rochelle, s’il voulait…) o. « Adieu, beau désordre… (Notes sur la jeune littérature et la morale) », Bibliothèq
6 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
10 ut bien dire du diable et se termina sous le plus beau soleil de printemps. Libre à qui veut d’y voir un symbole. On ne saur
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
11 it de créer à notre vie moderne un décor utile et beau . Or « la grande ville, phénomène de force en mouvement, est aujourd’h
8 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
12 esprit… Créer, ou glisser au plaisir ? Êtes-vous belle , mon amie, — et vous, ma vie ? Certes, mais je vous aime moins que je
9 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
13 Jérusalem : le christianisme n’est-il pas le plus beau don de l’Orient à l’Europe ? Il y a là des pages d’un accent très nob
10 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
14 nquises. Il n’empêche que son livre manifeste une belle unité de pensée, et qu’il propose quelques directions très nettes de
11 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
15 avait la vie des hommes pour demain, et il était beau d’y songer un peu avant de nous abandonner à l’oubli luxueux des rues
16 être seul parmi la foule, lève les yeux, au plus beau ciel du monde. h. « Soir de Florence », La Semaine littéraire, Genè
12 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
17 à la Grande salle des Conférences, devant un très bel auditoire, est un des plus passionnants et des plus controversés de l
18 que de « déplaire au roi » vont reprendre de plus belle  : la guerre civile succède aux dragonnades. M. Esmonin s’abstient d’e
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
19 de vous trouver peut-être assise en face de votre bel ami laqué, souriante… Enfin, un peu après 6 heures, je suis sorti. Il
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
20 atroce spectacle que celui d’une maîtresse jadis belle et diserte qui tombe au ruisseau en prononçant de séniles calembours…
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
21 Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)j Ah ! je sens qu’une puissance étrangère s’
22 ont les plaidoyers, tissus des mensonges les plus beaux et des plus mélodieuses palinodies, font encore rêver les anges écœur
23 es tentatives de libération les plus violentes et belles — malgré tant de maladresses dédaigneuses, de bravades et de faciles
24 n plus haute de l’angoisse humaine, et vous aurez beau rire, pharisiens, et dire qu’elle est née dans un café de Paris. « Je
25 profond. En somme, et avant tout, un écrivain, un bel écrivain, comme on dit. Et qui sait tirer un admirable parti littérai
26 J’appartiens à la grande race des torrents. » Une belle phrase, n’est-ce pas ? Je ne sais qu’un Montherlant qui pourrait l’os
27 nage. Sous une certaine rhétorique — mais la plus belle , — ce qui tressaille et m’atteint au vif, c’est tout de même un déses
28 ordre politique par exemple. Parce que c’est très beau , ridiculement, spirituellement, juvénilement, incontestablement beau.
29 spirituellement, juvénilement, incontestablement beau . Mais alors, Aragon, pourquoi se faire marchand des œuvres complètes
30 . 13. Le Paysan de Paris. j. « Louis Aragon, le beau prétexte », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribou
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
31 sait : « Je suis né pour la mort. » Il fait assez beau pour que s’ouvre ce cœur de l’après-midi, comme un camélia de tendre
17 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
32 core aussi plantureuse que les formes, il y a une belle richesse de lueurs sur une matière traitée largement et d’une abondan
33 irs et assurés, le cou robuste, les mains d’un si beau dessin, qui ont du poids et nulle lourdeur, tout cela communique une
34 avoir faite lui-même. Car il est artisan, dans le beau sens ancien du terme, tout comme son frère Charles Barraud, qui lui,
35 que les visages qui s’y reflèteront soient aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle, le soir, à la lampe, en compagnie de
36 insi qu’il atteint d’emblée dans ses statues à un beau style dépouillé et hardi. Mais il y avait quelque lourdeur dans des m
18 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
37 ines herbes. Capitale de la douleurak, ce sont de belles syllabes sereines, et dans cette ville, Éluard est le plus séduisant,
19 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
38 et adonné à mal » (Calvin). Le tableau n’est pas beau , mais on y sent une « patte » qui révèle encore dans le fond quelque
20 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
39 t assez pour me permettre d’entreprendre quelques beaux vols… » Dès lors, je vécus, comme vous me voyez vivre encore, dans un
21 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
40 je n’y échapperai pas plus qu’un autre : et qu’un beau soir il faille écrire pour vivre, possible ; mais, pour sûr, jamais v
41 , que « ceci, c’est une autre histoire, une autre belle histoire, une autre très belle histoire ». (Et vous verriez à quoi ce
42 istoire, une autre belle histoire, une autre très belle histoire ». (Et vous verriez à quoi cela peut servir, une citation.)
22 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
43 ve, et pas embarrassé du tout pour vous lâcher un beau pavé mathématique au milieu d’une effusion « lyrique », histoire de n
23 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
44 isir ! (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle rose.) Le tambour livra un homme élégant et tragique, qui se tint un
45 n ivresses avec la même joie, mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue et part sitôt que je vais m’endormir, ah ! galope, car
24 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
46 à l’oublier dans le rêve, dans l’utopie, dans une belle doctrine… Il faudrait d’abord prendre conscience du péril. Nous ne te
25 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
47 laudissait chaque soir entre deux airs anglais Le Beau Danube bleu, en commémoration polie d’un passé imaginaire, ou peut-êt
48 où l’on quitte ce visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Voilà que la forme blanche, sous un brusque
49 x acteurs. Puis Gérard embrassa paternellement la belle effarée, et nous sortîmes, après avoir délivré le homard qui, laissé
26 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
50 r, a dit conséquemment beaucoup de choses vraies ( belles ). Il est même un des très rares parmi les jeunes qui ait vraiment don
51 traité de clown, cela ne va pas loin.) C’est une belle rage (ô combien partagée !) vainement passée (quitte à renaître heure
52 onner l’air bête à ceux qui le sont en créant une belle œuvre serait, par exemple, plus efficace. Aragon se retourne sans ces
27 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
53 sticulations, de gros mots et de discours en très beau style contre un monde très laid dont ils n’ont pas encore renoncé à c
28 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
54 t Barrès, mais ne l’ait point trompé : « Avec son beau regard de rêve, — lit-on dans l’Ennemi des Lois — son expression amou
29 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
55 e où l’on ne sait plus créer avec joie des formes belles , ce monde qui devient impuissant. Impossible d’évoquer un personnage
30 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
56 amais ! » Officiers élégants, tout de noir vêtus, belles femmes aux voix agréablement rauques… Sortez pour en suivre une, arrê
31 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
57 lement grave ; une voix douce et virile ; et quel beau titre ! « Saisir » n’est-ce point l’acte essentiel de la poésie ? Tou
32 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
58 omme elle paraît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indu
33 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
59 l s’apprête à cracher sur ce que je dirai de plus beau … Oh ! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez-lui les mains sur la bo
34 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
60 us » de la tâche des instituteurs : Faire de ces belles analyses logiques, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de c
61 grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux problèmes d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer les c
62 comprend pas, la prière du soir pour qu’il fasse beau demain, Michel Strogoff et Rémy un fils de vaincus, les tours de carr
35 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
63 cole les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va supprimer les leçons de calligraphie. La disciplin
64 fice administratif. Et c’est ce qui s’appelle une belle carrière. Mais ces brillants météores ne troublent pas beaucoup ma su
36 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
65 ouer au prophète, on nous promet de tous côtés de belles catastrophes. Je suis de ceux qui s’en réjouissent mauvaisement. (« C
37 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
66 7. L’Instruction publique contre le progrès Un beau titre. Et qui a meilleure façon que le reste, pensez-vous. Il faut av
38 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
67 quipe d’idéalistes pratiques d’en faire sortir le beau miracle d’une civilisation aux ordres de l’Esprit. Mais il faudrait q
39 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
68 l s’apprête à cracher sur ce que je dirai de plus beau … Oh ! oh ! oh ! il va parler, de grâce mettez-lui les mains sur la bo
40 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
69 us » de la tâche des instituteurs : Faire de ces belles analyses logiques, et grammaticales, où tout retombait droit… Et de c
70 grammaticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux problèmes d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer les c
71 comprend pas, la prière du soir pour qu’il fasse beau demain, Michel Strogoff et Rémy un fils de vaincus, les tours de carr
41 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
72 cole les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va supprimer les leçons de calligraphie. 3.e. La disc
73 fice administratif. Et c’est ce qui s’appelle une belle carrière. Mais ces brillants météores ne troublent pas beaucoup ma su
42 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
74 ouer au prophète, on nous promet de tous côtés de belles catastrophes. Je suis de ceux qui s’en réjouissent mauvaisement. (« C
43 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
75 7. L’instruction publique contre le progrès Un beau titre. Et qui a meilleure façon que le reste, pensez-vous. Il faut av
44 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
76 quipe d’idéalistes pratiques d’en faire sortir le beau miracle d’une civilisation aux ordres de l’Esprit. Mais il faudrait q
45 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
77 er regard, dans un matin plein de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me fait un ciel » — la vaporeuse beauté du lac de Neuch
78 li. Ce peintre se montre plus occidental dans les beaux volumes pleins de ces paysages, que dans ses dessins, dont Kikou Yama
79 précision… À la dernière page, l’artiste fait une belle grimace : le lecteur ne l’imitera pas. be. « Kikou Yamata : Saisons
46 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
80 raconte l’histoire suivante qui est une des plus belles du monde :   Un prince italien ayant commandé à Pergolèse un Stabat
81 s une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur le thème des pleurs de la vieille, et mourut comme il l’ac
82 barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses larmes le s
47 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
83 e. Car on ne voit que ce qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plus réels, ce sont les anges. Mais ceux-là seuls pa
48 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
84 retraite que de fauteuils. Et on me regarde. J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la rive, ils
85 regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir. Sans avoir
86 atafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec des caractères turcs brodés en or. L’h
87 armi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce caf
88 ite, et devient extrêmement exigeant, car le plus beau mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et s
89 Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’eau jusqu’à mi-corps, myt
90 erse Ilonka Babits (elle est aussi poète, et très belle ), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend
91 zon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air…
49 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
92 uf les demi-juifs — mais laids comme des paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ivresse, leurs yeux s’agrandissent.
93 ’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus q
94 Il faut choisir entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pouvoir de s’enivrer, ils
95 ’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau , en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, tandis
96 Magda, toutes ces Maritza rieuses et déjà presque belles dans leurs petits sweaters — vais-je pour vous m’arrêter quelques jou
50 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
97 . Je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie… — Où était placé notre mal ? dans quelle partie de not
98 sécularisme que répond M. Gabriel Marcel dans une belle conférence prononcée au Foyer des étudiants protestants, et que la No
99 it il pratique cet étrange sectionnement, il aura beau se recommander de la Raison ou de l’Esprit, nous resterons inquiets,
51 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
100 Gobelins, aux poteries de Palissy. Ce goût de la belle matière mise en valeur dans sa pureté, sa nudité, ce sens de l’artisa
101 trompe-l’œil, ne dissocie jamais la recherche du beau et le goût intransigeant du vrai, c’est le trait le plus évidemment «
52 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
102 s neuf dans cette trilogie philosophique, mais un bel ensemble d’observations justes et souvent profondes sur les grandeurs
53 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
103 n peu les autres. M. Charles Du Bos, dans la très belle préface qu’il a donnée à la traduction française note avec raison que
104 iscussions, et qu’en tant d’autres pages de cette belle œuvre, d’une simple indication tranquille et profonde sur l’état d’âm
54 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
105 s victoires. » Nous empruntons ces lignes au très bel essai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les hauteurs 23, et qu
55 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
106 uchement idéaliste et pourtant jamais dupe de ses beaux sentiments lorsqu’il s’y mêle des motifs tout matériels. Ses larmes
107 par moments. C’est là qu’il retrouve Tsuruko, la belle jeune fille qu’il aimait dans son adolescence. Et l’idylle passionnée
108 s ; de rentrer bien vite dans sa maison garnie de belles nattes et de se plonger dans ses livres de philosophie. Il entendait
109 le tableau, ou au contraire en s’excitant sur ses belles actions. Il les note, simplement, sans oublier d’indiquer ses hésitat
56 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
110 bert Thibaudet, nous ont fait penser qu’il existe bel et bien un Loti vu de Genève, non pas sous la forme d’un ouvrage comp
57 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
111 utrage, voire à une impudeur. » À l’opposition du Beau objectif et de l’Intéressant sentimental qui pour Schiller et surtout
58 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
112 dont cette œuvre serait comme le frontispice (aux beaux noirs et gris profonds). Un critique fort écouté29, à son propos, fit
113 otre foi originale. Le siècle, hélas, décorait du beau nom de libéralisme l’absence de toute exigence unifiante entre la pen
59 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
114 Swedenborg, lectures de son adolescence, figurent bel et bien dans son évolution une de ces crises où l’être spirituel déco
115 e, cela convient aux gens du monde et surtout aux belles dames qui n’ont rien à faire. Mais un homme supérieur, qui a déjà con
60 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
116 he et la part active qu’il prit aux réunions de «  belles âmes » suscitées par l’apostolat du comte de Zinzendorf. C’était le t
117 nts, et que les adversaires de la religion eurent beau jeu d’exploiter, on le sait. Mais, comme l’établit fort justement Cur
61 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
118 souvent manifeste ? Ce serait faire la part trop belle au monde, que nous refusons. Mais il peut être utile d’en dégager ce
62 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
119 tirait comme une étrangère. Néanmoins, j’eusse un beau jour cédé à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps,
63 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
120 laudissait chaque soir entre deux airs anglais Le Beau Danube bleu, en commémoration polie d’un passé imaginaire, ou peut-êt
121 où l’on quitte ce visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais inconnus. Et voici que la forme blanche, sous un brus
122 x acteurs. Puis Gérard embrassa paternellement la belle effarée, et nous sortîmes, non sans avoir délivré le homard qui, lais
64 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
123 riez ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en vain ! Et quelle tenue. Ici l’on sait encore qu’un Amé
124 nique fait encore des enfants et ils sont grands5 beaux et nombreux, racés et fades. Cette société n’a peut-être pas encore o
65 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
125 retraite que de fauteuils. Et on me regarde. J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la rive, ils
126 regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir. Sans avoir
127 atafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec des caractères turcs brodés en or. L’h
128 armi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce caf
129 ite, et devient extrêmement exigeant, car le plus beau mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et s
130 Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’eau jusqu’à mi-corps, myt
131 lline (pour que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est demeurer vraiment « en pleine
132 erse Ilonka Babits (elle est aussi poète, et très belle ), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend
133 zon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air…
134 uf les demi-juifs — mais laids comme des paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ivresse, leurs yeux s’agrandissent.
135 ’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus q
136 Il faut choisir entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pouvoir de s’enivrer, ils
137 ’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau , en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, tandis
138 Magda, toutes ces Maritza rieuses et déjà presque belles dans leurs petits sweaters — vais-je pour vous m’arrêter quelques jou
66 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
139 omme elle paraît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indu
67 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
140 emous dans l’eau. Un char traverse lentement. Une belle auto derrière s’impatiente, tandis que les collégiens vont flairer sa
141 omme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel assortiment de monstres ! (J’ai lu le journal après dîner.) Et tous l
142 s’en retourne avec cette conviction : « Ce fut un bel enterrement ! » Et de même, ceux qui auront pris soin de moi au momen
143 se. Va-t-elle apostropher le destin ou pousser de beaux cris raciniens ? Elle envoie le capitaine au château puis songe qu’il
144 barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses larmes le s
145 ons bon, félicitons l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture, — la question fondamentale, et
68 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
146 raconte l’histoire suivante qui est une des plus belles du monde : Un prince italien ayant commandé à Pergolèse un Stabat Ma
147 s une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa plus belle œuvre, sur le thème des pleurs de la vieille, et mourut comme il l’ac
148 à mi-voix. 20. Depuis lors a paru Samsara — un beau livre baroque — et dont le titre explique tout ce qui peut être expli
69 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
149 inq minutes je ne saurai plus même voir s’il fait beau ou s’il fait vilain. Lord Artur. — Je pense sérieusement que vous ne
150 indifférents. C’est pourquoi vous admettez que «  beau  » temps est le contraire de « mauvais » temps, et vous n’avez jamais
151 être le « bon » temps, ni si les tempêtes sont «  belles  ». C’est pourquoi vous pensez encore que le bonheur peut exister en d
152 me faisait souhaiter dans ma prière « qu’il fasse beau demain », je pensais en dessous que j’aimais mieux les herbes mouillé
153 l temps ferait-il pour vous ? Lord Artur. — … Le beau mot : courtisane… Ce n’est pas qu’elle soit belle, peut-être, mais qu
154 beau mot : courtisane… Ce n’est pas qu’elle soit belle , peut-être, mais qu’elle pleure, qui me réchauffe. Parce qu’elle se t
70 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
155 tirait comme une étrangère. Néanmoins, j’eusse un beau jour cédé à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps,
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
156 riez ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en vain ! Et quelle tenue. Ici, plus qu’ailleurs, l’origi
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
157 retraite que de fauteuils. Et on me regarde. J’ai beau feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la rive, ils
158 regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir. Sans avoir
159 atafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec des caractères turcs brodés en or. L’h
160 armi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce ca
161 Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’eau jusqu’à mi-corps, myt
162 colline pour que les vents ne l’emportent pas, un beau nid de poète : car demeurer ici, c’est demeurer vraiment en « pleine
163 erse Ilonka Babits (elle est aussi poète, et très belle ), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend
164 zon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air…
165 uf les demi-juifs — mais laids comme des paysans, beaux hommes aux traits lourds. Dans l’ivresse, leurs yeux s’agrandissent.
166 ’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus q
167 Il faut choisir entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pouvoir de s’enivrer, ils
168 ’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau , en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, tandis
169 Magda, toutes ces Maritza rieuses et déjà presque belles dans leurs petits sweaters — vais-je pour vous m’arrêter quelques jou
73 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
170 omme elle paraît ici bien établie, triomphante, à beau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux, ces âmes indu
74 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
171 emous dans l’eau. Un char traverse lentement. Une belle auto derrière s’impatiente, tandis que les collégiens vont flairer sa
172 omme ne saurait plus les désigner sans fraude. Un bel assortiment de monstres ! (J’ai lu le journal après dîner.) Et tous l
173 s’en retourne avec cette conviction : « Ce fut un bel enterrement ! » Et de même, ceux qui auront pris soin de moi au momen
174 se. Va-t-elle apostropher le destin ou pousser de beaux cris raciniens ? Elle envoie le capitaine au château puis songe qu’il
175 barbe en crin de cheval du diable. L’héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses larmes le s
176 ons bon, félicitons l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question de nourriture, — la question fondamentale, et
75 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
177 u’on a cessé de penser qu’il est meilleur ou plus beau que tout autre, mais avec lui l’on se sent bien. Ses défauts crèvent
178 . Mais dans cette relation, vous existez. J’aurai beau faire, ils me diront encore : « Vous estimez vraiment que l’Amérique
179 eils plus délicats que les sens de l’homme. Cette belle crise radio-poétique s’étant heureusement dénouée dans les hauteurs d
180 Et des fleurs vraies ! Ah mon cher, ici tout est beau  !… — Mais tout ici a été fait par les Américains pendant la guerre… —
181 mme un bon vin. Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se demande quels talents les méritent. Ce qu’il y a de plus int
182 . Alertés, je n’en suis pas sûr. L’ennui, avec ce beau pays, ce n’est pas qu’il soit si propre et bien tenu, trait dont s’ég
76 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
183 et malgré la Restauration, l’on s’aperçut que ce beau mouvement d’horlogerie fine retardait sans espoir sur l’heure du sièc
77 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
184 n singe au naturel, en guise d’armes parlantes du beau mythe de l’Égalité… Et pourtant si le « grand Ostervald », si Corneil
78 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
185 dit qu’Andersen écrivit quelques-uns de ses plus beaux contes pendant le séjour qu’il fit au Locle, dans la neige… Neuchâtel
186 Il a fallu le prix Nobel pour qu’on s’aperçût un beau jour qu’il était parmi nous, caché dans sa pèlerine. Une semaine plus
79 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
187 des Mohicans de mon enfance. Je le trouvais bien beau . Pourquoi l’ai-je quitté ? …Et nous n’irons jamais au lac d’Amatitlán
80 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
188 es entassées avec art. Nous passions les clédars ( beau mot celtique, l’un des rares qui subsistent chez nous) et les refermi
189 ore ému par ce petit être tremblant. C’était trop beau … Le lièvre détala. Combien d’occasions merveilleuses ai-je laissées d
81 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
190 riotarde, riche et peureuse, les églises auraient beau multiplier les manifestations publiques, les assemblées pacifistes, l
82 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
191 ion de mots ? Dans l’un et l’autre cas, il s’agit bel et bien de savoir quel sens l’homme veut donner à sa vie, comment il
192 t contraire à la sienne ?) Prier pour qu’il fasse beau demain, ce n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœu d’humaniste
83 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
193 aisse s’étendre l’empire de la nécessité. On aura beau l’intensifier10 : la tâche grandira d’autant. Et la tristesse. « L
194 e ce que l’on y met dès l’origine. 10. On aura beau l’appeler « travail de choc ». Ultime tentative pour faire aimer aux
84 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
195 ces sociales. Que devenaient, dans tout cela, les belles synthèses de la théologie libérale ? L’arrière-plan de bourgeoisie et
85 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
196 vérités éternelles (1932-1933)x La lecture du bel article de M. Arnold Reymond, paru dans votre n° 1, me met la plume à
86 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
197 guée, des grands prêtres de l’Insoluble. Mais, un beau jour, les événements nous réveillent brusquement. Maintenant, il va f
198 s dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j’ai beau ne pas croire, pour mon compte, à la réalité de tous ces mythes, j’ai
199 mon compte, à la réalité de tous ces mythes, j’ai beau ne pas croire qu’ils aient le droit de disposer de nos vies, je suis
87 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
200 t d’un préjugé romantique, la décadence n’est pas belle , ni la mort. Ce qui est beau, c’est la lutte contre la mort. Ce qui e
201 décadence n’est pas belle, ni la mort. Ce qui est beau , c’est la lutte contre la mort. Ce qui est grandiose, c’est la victoi
88 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
202 une chose au monde plus difficile à réussir qu’un beau roman : c’est un roman chrétien. Qu’est-ce donc qu’un roman chrétien 
203 gré d’un moraliste qui se donne l’air de l’avoir bel et bien sondée ? Ce serait un conte bleu, ou un volume de la Biblioth
89 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
204 u toute commune mesure. Que se passerait-il si un beau jour le public se mettait à l’école des penseurs ? On verrait éclater
90 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
205 ndé de pouvoir dans une banque, se voit arrêté un beau matin par deux inspecteurs. Ces messieurs lui apprennent qu’il est in
91 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
206 nante de cette vue d’origine purement doctrinale. Bel exemple du pouvoir des philosophes. Encore faut-il que les philosophe
92 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
207 e éducation piétiste, un secret terrifiant et une belle aisance matérielle. Du secret il tira son œuvre ; sa fortune, il la c
93 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
208 maladie mortelle (le péché)54. L’homme naturel a beau dénombrer tout l’horrible, et tout épuiser, le chrétien se rit du bil
94 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
209 u n’ont rien fait de mieux. Ils ont eu parfois de beaux cris, mais à qui les adressaient-ils ? À la galerie plus qu’à eux-mêm
95 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
210 ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus belles peut-être — pourraient s’appliquer au destin de n’importe quelle nati
211 ttement supérieure. J’ajouterai même que c’est un bel éloge du talent de M. Malraux que de constater que ses livres sont le
96 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
212 gré d’un moraliste qui se donne l’air de l’avoir bel et bien sondée ? Ce serait un conte bleu, ou un volume de la Biblioth
97 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
213 . Johan Bojer, et s’il était là, je lui ferais ma belle révérence paysanne et je lui dirais : — Asseyez-vous. — Et je lui fer
214 ferais le café, et j’irais lui chercher mon plus beau pot de confitures… Elle voudrait voir aussi Reymont, et Gorki. « Dit
98 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
215 e de travail que M. Goguel adopte au départ revêt bel et bien la forme d’une explication de cause à effet. On pense couramm
99 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
216 après quinze autres meurtriers, un Ravaillac… Le bel irénisme de Viénot, la réserve qu’il observe avec constance dans son
100 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
217 ui, rien n’est plus vicieux pour la raison que ce beau cercle indivisible, irréfutable, du concret. Mais le jugement sceptiq