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occidental est, à l’origine, ternaire et non pas
bipolaire
, de même que la théologie de l’Occident n’est pas dualiste, mais trin
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t une forme de pensée, une structure de relations
bipolaires
dont le « modèle » nous est connu : c’est celui qu’ont élaboré les fo
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çons une conception de l’homme analogue au modèle
bipolaire
posé par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, notion dédui
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t une forme de pensée, une structure de relations
bipolaires
dont le « modèle » nous est connu : c’est celui qu’ont élaboré les fo
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çons une conception de l’homme analogue au modèle
bipolaire
posé par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, notion dédui
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t une forme de pensée, une structure de relations
bipolaires
, dont le « modèle » nous est connu : c’est celui qu’ont élaboré les f
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çons une conception de l’homme analogue au modèle
bipolaire
posé par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, notion dédui
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t une forme de pensée, une structure de relations
bipolaires
dont le « modèle » nous est connu : c’est celui qu’ont élaboré les fo
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çons une conception de l’homme analogue au modèle
bipolaire
posé par le concile de Chalcédoine. La personne humaine, notion dédui
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e, qui se déduisent immédiatement de la structure
bipolaire
de la personne et de ses exigences antinomiques, mais en réalité insé
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e, qui se déduisent immédiatement de la structure
bipolaire
de la personne et de ses exigences antinomiques, mais en réalité insé
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des solutions ainsi défini, étant donc de ce type
bipolaire
, constitue ce que j’appellerai maintenant la politique fédéraliste, a
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munes et communautés, où ce type d’homme nouveau,
bipolaire
, se manifeste. Ce n’est plus tout à fait le citoyen des cités grecque
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munautaire, reflétant ainsi en lui-même la nature
bipolaire
de tout régime, de tout problème, de toute solution de type fédéralis
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s le fédéralisme, parce que ce sont deux réalités
bipolaires
, les mêmes possibilités de double déviation permanente dont on a pass