1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 nts, comme tant d’autres à cet âge, logé, nourri, blanchi , mais non point diverti. J’étais bon, Monsieur, normalement bon. L’id
2 oir. Le lendemain, ses cheveux avaient légèrement blanchi . Il me regardait avec une terreur ou je crus distinguer je ne sais qu
2 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
3 e des palmiers et des lauriers. Très haute aussi, blanchie , presque sans fenêtres. Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
4 fond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai,
5 couverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis , quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir, et joliment
4 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
6 fond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai,
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
7 son luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie , où les volets d’un bleu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est un
6 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
8 fond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai,
9 couverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis , quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir, et joliment
10 es fleurs partout, la grande lumière sur nos murs blanchis . J’ai travaillé au jardin, tous ces jours. Labouré et dessiné des pla
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
11 e des palmiers et des lauriers. Très haute aussi, blanchie , presque sans fenêtres. Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on
8 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
12 her époux. (Elle lui tend un baluchon. Une lueur blanchit derrière le plan 3.) Nicolas. —  Adieu. (Il l’embrasse et s’en va
9 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
13 e et rassurant de noircir le voisin pour mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos adversaires ne diffèrent pas essentiel
10 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
14 e et rassurant de noircir le voisin pour mieux se blanchir soi-même. Mais en réalité, nos adversaires ne diffèrent pas essentiel
11 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
15 a choisi pour domicile permanent « les sépulcres blanchis  » que maudissait le Christ. Je lui donne rendez-vous dans nos vertus.
12 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
16 a choisi pour domicile permanent « les sépulcres blanchis  » que maudissait le Christ. Je lui donne rendez-vous dans nos vertus.
13 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
17 à l’intérieur de ses courettes et de ses chambres blanchies à la chaux, où l’on voudrait passer sa vie, où le peintre E. B. passe
14 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
18 laissent au bord des routes de grands squelettes blanchis , seuls ornements des grises étendues. Paysage de brumes dorées au ras
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
19 son luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie , où les volets d’un bleu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est un
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
20 fond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide et gai,
21 couverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis , quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir, et joliment
22 es fleurs partout, la grande lumière sur nos murs blanchis . J’ai travaillé au jardin, tous ces jours. Labouré et dessiné des pla
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
23 e des palmiers et des lauriers. Très haute aussi, blanchie , presque sans fenêtres. Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
24 à l’intérieur de ses courettes et de ses chambres blanchies à la chaux, où l’on voudrait passer sa vie, où le peintre E. B… passe
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
25 laissent au bord des routes ces grands squelettes blanchis , seuls ornements des grises étendues. Dans les brumes dorées le solei
20 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
26 erlin, entre leurs façades sur le vide, les blocs blanchis aux petites fenêtres myopes des privilégiés du régime, le palais de m
21 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
27 erlin, entre leurs façades sur le vide, les blocs blanchis aux petites fenêtres myopes des privilégiés du régime, le palais de m
22 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
28 noircit la mémoire de son chef à seule fin de se blanchir lui-même ; que K. ne récuse d’ailleurs que certains des « excès » cla
23 1978, Cadmos, articles (1978–1986). L’Intellectuel contre l’Europe (été 1978)
29 pçon. Je ne commettrai pas l’erreur de vouloir la blanchir de toutes les fautes et de tous les crimes qu’elle a pu — et qu’elle