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uisse, quand l’entrée en guerre des États-Unis me
bloqua
sur place. J’avais constaté que les conférences n’étaient pas un très
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aisse, ce qui empêcherait les trains de rouler et
bloquerait
le ravitaillement. Quant aux gaullistes, ils ne font pas la guerre co
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on, le faux problème des souverainetés aigrira ou
bloquera
les débats. L’éducation fédéraliste de l’opinion me paraît donc la pr
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Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe
bloquée
(mai 1954)q Notre Courrier, depuis des mois, s’est tu. Les lettres
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q. « Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe
bloquée
», Courrier fédéral, Genève, n° 6-7, mai 1954, p. 1-5.
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a substitué au principe de non-contradiction qui
bloquait
le progrès des sciences physiques, le principe de complémentarité. Qu
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rer par ces puissances, soit en marge de leur jeu
bloqué
, soit dans ce jeu s’il devait repartir. d) L’Europe neutre et unie de
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s élisent. Et les institutions européennes seront
bloquées
par les parlements si ceux-ci ne subissent pas une pression populaire
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de mire et la cible après avoir assuré la hausse,
bloquer
le souffle, enfin tirer. Je faisais tout cela et ratais tout. La veil
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s moteurs remis en marche. Mais les roues étaient
bloquées
dans la boue. Il fallut évacuer l’avion à deux reprises, creuser sous
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Je sais bien que ce souci « quasi obsessionnel »
bloque
beaucoup d’esprits dans nos cantons romands. Un seul en a tiré une œu
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eut pour effet immédiat de ralentir et presque de
bloquer
tout le processus économique de la consommation, de l’investissement
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mes inventées par nos sciences ait tout d’un coup
bloqué
ce processus d’interaction conduisant à des destructions toujours plu
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ur met fin, et aujourd’hui les freine ou même les
bloque
. III Ceci dit, reconnaissons que la guerre bloquée, ce n’est pa
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. III Ceci dit, reconnaissons que la guerre
bloquée
, ce n’est pas encore la vraie paix. Celle-ci ne peut naître qu’à la f
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ait dire qu’elle n’est pas souhaitable, se trouve
bloqué
de nos jours par un sophisme. Les partisans de l’union immédiate exig
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it étrangère à notre tradition — l’on décidait de
bloquer
le processus au niveau de cet État pris pour terme absolu de l’évolut
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aux autres. Je prenais avec soin le cran d’arrêt,
bloquais
mon souffle, visais d’un œil, reposant l’arme de temps à autre pour r
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Tel est le malentendu tragique et ridicule qui
bloque
depuis vingt ans tous les efforts d’union, parce qu’il paralyse la pe
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us devons constater que la formule de l’État, qui
bloque
la construction de l’Europe, est elle-même en crise. Les exemples ne
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n. Tel est le malentendu tragique et ridicule qui
bloque
tous les efforts d’union, parce qu’il paralyse la pensée politique, n
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ouvert notre question trente ans après, sans être
bloquée
, elle, par la guerre des empires totalitaires qui fermait notre horiz
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ne peut plus rien animer si elle peut encore tout
bloquer
, amènent à constater que si l’on veut faire l’Europe il faut ouvrir l
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is en fait toujours plus illusoire — sauf qu’elle
bloque
tout. C’est ici que nous rejoignons la culture. Car c’est bien la cu
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imitée, illusoire d’ailleurs, à cela près qu’elle
bloque
tout ! L’école, aux trois degrés, nous fait croire que l’État-nation
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ais en fait toujours plus illusoire, sauf qu’elle
bloque
tout. Cet obstacle politique, en retour, est fomenté par la culture.
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lisme, qui selon les cas interdit expressément ou
bloque
en fait : — la mobilité des étudiants et des enseignants ; — l’équiva
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n, les ondes, les tempêtes, la propagande ; elles
bloquent
les échanges qu’il faudrait favoriser, mais sont impuissantes contre
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aux autres. Je prenais avec soin le cran d’arrêt,
bloquais
mon souffle, visais d’un œil, reposant l’arme de temps à autre pour r
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ne peut plus rien animer si elle peut encore tout
bloquer
) amènent à constater que si l’on veut faire l’Europe il faut ouvrir l
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anges avec elle brimées, ralenties, pénalisées ou
bloquées
par un cordon douanier qui ne sert à rien ni à personne, mais qui sym
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is en fait toujours plus illusoire — sauf qu’elle
bloque
tout. Mais c’est ici aussi que l’on rejoint la culture. Car c’est bie
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anges avec elle brimées, ralenties, pénalisées ou
bloquées
par un cordon douanier qui ne sert à rien ni à personne, mais qui sym
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anges avec elle brimées, ralenties, pénalisées ou
bloquées
par un cordon douanier qui ne sert à rien ni à personne, mais qui sym
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créer. On ne peut rien animer, si l’on peut tout
bloquer
… Si donc on veut unir l’Europe, il faut partir d’autre chose que des
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e qui garde sa raison d’être dès lors que cela ne
bloque
plus l’évolution fédérative et peut même lui servir par exemple de re
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ues lents progrès dans le sens de l’union. Ce qui
bloque
tout, c’est la prétention à une souveraineté nationale absolue, qui s
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ême à l’écologie. Or, dans la mesure où la Suisse
bloque
à ses frontières le processus fédéraliste, c’est-à-dire l’attribution
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e fédéralisme dans un seul pays est impraticable.
Bloquer
le processus fédéraliste aux frontières de notre État, c’est d’une pa
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te aux frontières de notre État, c’est d’une part
bloquer
la vie même du fédéralisme à l’intérieur, et d’autre part faire de no
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ridiques de la fédération. Ensuite en renonçant à
bloquer
aux frontières de la Suisse de 1848 le processus fédéraliste fondamen
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endra par la peau. À l’inverse, quand de Gaulle a
bloqué
la construction de l’Europe, ce fut pour des raisons strictement poli
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e et qui interagissent entre eux sont aujourd’hui
bloqués
: que ce soit l’énergie, le chômage, l’inflation. La crise de l’Occid
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par la crainte de voir les mécanismes urbains se
bloquer
d’une manière dramatique à bref délai. Énumérons quelques symptômes.
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ce qui fausse ou fixe un équilibre écologique, ou
bloque
un cycle naturel, ou au contraire l’ouvre indûment. Pas seulement ces
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oir leur partie sur le tout, ils demeurent ce qui
bloque
l’avenir ; ce qui promet, par conséquent, de transformer la plupart d
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lité que les expressions durcies, fixées et comme
bloquées
, de ceux de nos désirs que nous tenons pour avouables devant la socié
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. Peu d’actions communes à ce jour : la frontière
bloque
tout. On nous disait : Votre région n’est qu’une vue de l’esprit (mer
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i conserve sa raison d’être, dès lors que cela ne
bloque
plus l’évolution fédérative et peut même lui servir, cas échéant, de
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quelques années plus tard dans l’un des Six, pour
bloquer
les mécanismes communautaires. Dès avant le retour au pouvoir du géné
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’ethnie, les possibilités économiques, etc., mais
bloquée
par la souveraineté des États régnant de part et d’autre de la fronti
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mes qui s’y posent, les États-nations à tout coup
bloquent
les solutions de bon sens. C’est qu’il s’agit, pour la capitale, de s
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qui garde sa raison d’être, dès lors que cela ne
bloque
plus l’évolution fédérative et peut même lui servir, le cas échéant,
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ion européenne. Cette politique est actuellement
bloquée
tant à Bruxelles qu’à Strasbourg, par les souverainetés nationales, a
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s, ont été à maintes reprises faussés, enrayés ou
bloqués
par l’intervention des souverainetés nationales. « Ils avaient été co
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yait habillé comme un gardien de but, en train de
bloquer
un ballon. Au dos de celle-ci, il avait écrit de sa grande écriture,
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e décrocher un seul penny ». Elle se propose de «
bloquer
l’accroissement des ressources de la Communauté si la Grande-Bretagne
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e opérationnelle démontrable hormis sa faculté de
bloquer
les issues souhaitables et possibles en fait. Certes « rien n’existe
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endant des États constamment susceptibles de tout
bloquer
au nom de leur « souveraineté » sacrée, quoique de moins en moins vér