1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
1 seuse, font une ronde autour d’une tour Eiffel de bois de la taille de l’Obélisque de la Concorde, puis enfilent les Champs-
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 vision aigüe de la vie. La série de gravures sur bois colorées qu’il intitule la cité est un petit chef-d’œuvre de réalisme
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 et plus aiguës ? On vaincra jusqu’à sa gueule de bois pour en faire des poèmes. Alors je cherche les raisons de votre indig
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
4 C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois , au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec d
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
5 rajeuni, ces gestes rudimentaires, cette odeur de bois fraîchement coupé que dégagent certaines œuvres récentes des écrivain
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
6 ère. J’ai l’ennui de mon ami Gérard de Nerval, je bois une menthe à son souvenir. Si je buvais assez il serait là. En attend
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois , au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec d
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
8 ui luisaient, faiblement, vers le cœur profond du bois . Et je croyais m’enfoncer et me perdre dans le silence d’une mémoire
9 usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descen
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 ; le ciel paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée i
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois , au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec d
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
12 ; le ciel paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée i
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 ui luisaient, faiblement, vers le cœur profond du bois . Et je croyais m’enfoncer et me perdre dans le silence d’une mémoire
14 usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descen
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
15 ux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de bois . Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
16 ule maintenant dans l’ombre tiède et abritée d’un bois de pins. Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le c
15 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
17 comme autant d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois . On se demande, non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jou
16 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
18 mme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime
17 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
19 comme autant d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois . On se demande, non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jou
18 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
20 comme autant d’emplâtres à coller sur sa jambe de bois . On se demande, non sans scepticisme d’ailleurs, s’il admettra un jou
19 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
21 t qu’il lui fallut un peu de temps pour fendre le bois , lier Isaac et aiguiser le couteau. On oublie cela, on fait d’Abraha
20 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
22 quelques seaux. Puis vous partez écrire dans les bois , et moi taper à la machine. À déjeuner, vous me dites que Clarence av
23 cit de Brett : « Puis vous partez écrire dans les bois . » On allait oublier l’écrivain. Il est là, adossé à un pin, avec sa
21 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
24 rgent que d’aller faire la petite guerre dans les bois de Meudon. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien sûr. Mais n’ou
22 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
25 e image venant à nous. « … on les voit sortir des bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, av
26 mme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
27 les de leur invention ». Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle ! Car l’esprit de prostitution é
24 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
28 activités artisanales, piocher la terre, scier du bois , ou monter des jouets mécaniques ; ne veut pas dire non plus que le c
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
29 les de leur invention ». Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle ! Car l’esprit de prostitution égare
26 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
30 activités artisanales, piocher la terre, scier du bois , ou monter des jouets mécaniques ; ne veut pas dire non plus que le c
27 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
31 e franc sacré, les idées à majuscules, toucher du bois , la bouteille de champagne brisée contre la coque des bateaux neufs,
28 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
32 autre mas dit « le Château ». C’est à l’orée d’un bois de châtaigniers. On y accède par une rampe monumentale coupée réguliè
29 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
33 bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
34 aisant que cet intérieur. Des chaises au siège de bois poli, une lourde table au centre, une autre plus petite vers la fenêt
35 mbuscade du destin, comme qui dirait au coin d’un bois . Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors
30 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
36 bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
37 bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
38 néral tout est plus cher qu’à Paris). Un stère de bois , 50 francs ; (il y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bo
39 y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairage au pétrole, 30 francs. Bons de
40 aisant que cet intérieur. Des chaises au siège de bois poli, une lourde table au centre, une autre plus petite vers la fenêt
41 yclette, de la Grande-Conche, à l’ouest, jusqu’au bois de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, nous découvrons q
42 mbuscade du destin, comme qui dirait au coin d’un bois . Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
43 e franc sacré, les idées à majuscules, toucher du bois , la bouteille de champagne brisée contre la coque des bateaux neufs,
44 autre mas dit « le Château ». C’est à l’orée d’un bois de châtaigniers. On y accède par une rampe monumentale coupée réguliè
33 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
45 aîtres qui les adorent : Mon peuple consulte son bois Et c’est son bâton qui lui parle ! Car l’esprit de prostitution é
34 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
46 s d’armoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible — c’est à peine si je trouve une place
47 rgent que d’aller faire la petite guerre dans les bois de Meudon. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien sûr. Mais n’ou
35 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
48 jaunie du Chœur mixte en 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplaire, cour
49 répare, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois , cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive existence.
36 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
50 mortes, mornes et ronchonneurs, à la lisière d’un bois . J’essaie de les réconforter. Silence, réprobation muette. Je prends
37 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
51 ces, d’heures de paresse, voire même de gueule de bois — et d’accès d’enthousiasme pathétiques ! Nous passions des soirées e
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
52 mmes travaillent à installer des grands sièges de bois . Le Landamman les observe. Au plan 3, dans la pénombre, on distingue
39 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
53 n livre son vrai combat. 21 mai 1939 Promenade au Bois avec V. O. que j’ai été prendre chez Adrienne Monnier — où elle s’éta
40 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
54 et le confort auvents immenses, et des balcons de bois ornés de pieuses devises et de géraniums éclatants. Tout paraissait,
41 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
55 ces débris de la Maison désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait bien. C’est pourquoi son désir
42 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
56 anateur du sacré, un animal, un nuage, un bout de bois colorié, toujours la cause du mal dont souffrent ces sauvages est ind
43 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
57 ces débris de la Maison désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait bien. C’est pourquoi son désir
44 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
58 eiller dans un lendemain d’ivresse, une gueule de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai trop bu cette nuit. Coups et ble
45 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
59 anateur du sacré, un animal, un nuage, un bout de bois colorié, toujours la cause du mal dont souffrent ces sauvages est ind
46 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
60 ces débris de la Maison désaffectée qu’il fera le bois de chauffage de son Enfer. Il le sait bien. C’est pourquoi son désir
47 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
61 eiller dans un lendemain d’ivresse, une gueule de bois mondiale. — Que se passe-t-il ? J’ai trop bu cette nuit. Coups et ble
48 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
62 anateur du sacré, un animal, un nuage, un bout de bois colorié, toujours la cause du mal dont souffrent ces sauvages est ind
49 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
63 anateur du sacré, un animal, un nuage, un bout de bois colorié, toujours la cause du mal dont souffrent ces sauvages est ind
50 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
64 ne image venant à nous. « …On les voit sortir des bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, av
65 rajeuni, ces gestes rudimentaires, cette odeur de bois fraîchement coupé que dégageaient les premières œuvres des écrivains
66 mme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime
51 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
67 main. D’où la méticuleuse propreté des maisons de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses préjugés
52 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
68 s couvertes d’usines, les villages aux maisons de bois blanc sur des pelouses bien peignées, le drapeau de la boîte aux lett
53 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
69 ux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de bois . Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté
54 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
70 nd du chœur, séparés de l’autel par des ogives en bois doré : une véritable miniature de Livres d’Heures. Pourquoi ce rouge
55 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
71 verte, encombrée de vieux meubles et de pièces de bois sculptées, stalles d’églises, aigles de lutrin. De nouveau des ifs no
56 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
72 ileuse, parsemée de vieilles lettres, de bouts de bois et d’éclats de verre. Des tas de neige noircissent au rebord des trot
73 ge pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une rivière lente et les longs bâtiments des filatures —
74 Et, justement, nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est là qu’h
75 lises dominent de leur masse rouge les maisons de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de clochetons à b
76 ants me paraissent aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou lé
77 verte, encombrée de vieux meubles et de pièces de bois sculptées, stalles d’églises, aigles de lutrin. De nouveau, des ifs n
57 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
78 la se produise à l’improviste, comme au coin d’un bois … Il me vient une image dont la netteté pourra faire excuser le prosaï
58 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
79 nous est promis ! 21 mai 1939 Promenade au Bois avec Victoria Ocampo que j’ai été prendre chez Adrienne Monnier (où e
59 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
80 r mixte » de la paroisse, 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplaire, cour
81 répare, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois , cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive existence.
82 tour d’un feu de branches mortes, à la lisière du bois , mornes et ronchonneurs. J’essaie de les réconforter. Réprobation mue
60 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
83 llages en bordure de la route avec leur église de bois blanc, mais peu de fermes isolées. J’ai voulu me promener dans les bo
84 e fermes isolées. J’ai voulu me promener dans les bois . C’était la brousse. Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de
85 aque maison de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés luisants et d’enfants au crâne sphérique.
61 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
86 ache noire et blanche, et dont les salons cuir et bois sont fleuris de branchages mauves largement évasés devant les hautes
87 on leur glisse sous le ventre une large pièce de bois sur laquelle ils reposent leur masse. Leur dos est droit comme l’hori
62 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
88 de vacances à la mer. Je partage cette maison de bois , au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs sur la ga
89 -je ici, que rejoindre ma vie, pas à pas dans les bois solitaires ? Il se peut qu’on m’envoie bientôt en Afrique du Nord, et
63 1946, Journal des deux mondes. Virginie
90 upeaux de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaient n’hab
91 verte, encombrée de vieux meubles et de pièces de bois sculptées, stalles d’églises, aigles de lutrin. De nouveau des ifs no
64 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
92 main. D’où la méticuleuse propreté des maisons de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses préjugés
93 ge pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une rivière lente et les longs bâtiments des filatures —
94 . Et justement nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est là qu’h
95 lises dominent de leur masse rouge les maisons de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de clochetons à b
96 ants me paraissent aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou lé
97 ileuse, parsemée de vieilles lettres, de bouts de bois et d’éclats de verre. Des tas de neige noircissent au rebord des trot
65 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
98 ux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de bois . Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté
66 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
99 bords d’un lac où vit encore, au plus secret des bois , l’esprit d’Œil de faucon et du dernier des Mohicans. L’onde en est b
100 are seul la maison du rivage, domine une jetée de bois , où parfois vient accoster en silence un canoë dont la rameuse est la
101 essais (La Mort lente) il avait disparu dans les bois et nous revint au bout d’une heure pâle et défait, disant que sa vie
67 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
102 bords d’un lac où vit encore, au plus secret des bois , l’esprit d’Œil de faucon et du dernier des Mohicans. L’onde en est b
103 are seul la maison du rivage, domine une jetée de bois , où parfois vient accoster en silence un canoë dont la rameuse est la
104 essais (La Mort lente) il avait disparu dans les bois et nous revint au bout d’une heure, pâle et défait, disant que sa vie
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
105 t des voiles claires parmi les blés violents. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée i
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
106 C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois , au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec d
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
107 ui luisaient, faiblement, vers le cœur profond du bois . Et je croyais m’enfoncer et me perdre dans le silence d’une mémoire
108 usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descen
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
109 bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
110 néral tout est plus cher qu’à Paris). Un stère de bois , 50 francs ; (il y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bo
111 y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairage au pétrole, 30 francs. Bons de
112 aisant que cet intérieur. Des chaises au siège de bois poli, une lourde table au centre, une autre plus petite vers la fenêt
113 yclette, de la Grande-Conche, à l’ouest, jusqu’au bois de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, nous découvrons q
114 mbuscade du destin, comme qui dirait au coin d’un bois . Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
115 e franc sacré, les idées à majuscules, toucher du bois , la bouteille de champagne brisée contre la coque des bateaux neufs,
116 autre mas dit « le Château ». C’est à l’orée d’un bois de châtaigniers. On y accède par une rampe monumentale coupée réguliè
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
117 s d’armoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes de scènes de la Bible — c’est à peine si je trouve une place
118 rgent que d’aller faire la petite guerre dans les bois de la banlieue. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien sûr. Mais
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
119 nous est promis ! 21 mai 1939 Promenade au Bois avec Victoria Ocampo que j’ai été prendre chez Adrienne Monnier (où e
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
120 r mixte » de la paroisse, 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplaire, cour
121 répare, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois , cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive existence.
122 tour d’un feu de branches mortes, à la lisière du bois , mornes et ronchonneurs. J’essaie de les réconforter. Réprobation mue
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
123 llages en bordure de la route avec leur église de bois blanc, mais peu de fermes isolées. J’ai voulu me promener dans les bo
124 e fermes isolées. J’ai voulu me promener dans les bois . C’était la brousse. Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de
125 aque maison de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés luisants et d’enfants au crâne sphérique. J
126 e briques, trois étages reliés par un escalier de bois portant les marques d’un tapis qui n’y est plus, et habités par une d
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
127 ache noire et blanche, et dont les salons cuir et bois sont fleuris de branchages mauves largement évasés devant les hautes
128 on leur glisse sous le ventre une large pièce de bois sur laquelle ils reposent leur masse. Leur dos est droit comme l’hori
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
129 de vacances à la mer. Je partage cette maison de bois , au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs sur la ga
130 -je ici, que rejoindre ma vie, pas à pas dans les bois solitaires ? Il se peut qu’on m’envoie bientôt en Afrique du Nord, e
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
131 upeaux de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaient n’hab
132 verte, encombrée de vieux meubles et de pièces de bois sculptées, stalles d’églises, aigles de lutrin. De nouveau des ifs no
80 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
133 main. D’où la méticuleuse propreté des maisons de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses préjugés
134 ge pourrait bien être européen : collines douces, bois et prairies, une rivière lente et les longs bâtiments des filatures —
135 . Et justement nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est là qu’h
136 lises dominent de leur masse rouge les maisons de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de clochetons à b
137 ants me paraissent aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou lé
138 hambres et s’ouvre vers le lac par une galerie de bois montée sur de hauts pilotis, si vaste que vingt fauteuils cannés s’y
139 essais (La Mort lente), il avait disparu dans les bois et nous revint au bout d’une heure, pâle et défait, disant que sa vie
140 ileuse, parsemée de vieilles lettres, de bouts de bois et d’éclats de verre. Des tas de neige noircissent au rebord des trot
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
141 ux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de bois . Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté
82 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
142 ileuse, parsemée de vieilles lettres, de bouts de bois et d’éclats de verre. Des tas de neige noircissent au rebord des trot
83 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
143 de vacances à la mer. Je partage cette maison de bois , au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs sur la ga
144 -je ici, que rejoindre ma vie, pas à pas dans les bois solitaires ? Il se peut qu’on m’envoie bientôt en Afrique du Nord, et
84 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
145 Je suis allé lui rendre visite dans une maison de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’arbres pleins d’oiseaux. C’es
85 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
146 galité scolaire que créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé, dan
147 créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé, dans les trois langues
86 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
148 la se produise à l’improviste, comme au coin d’un bois … Il me vient une image dont la netteté pourra faire excuser le prosaï
87 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
149 couvertes d’usines, les villages, aux maisons de bois blanc sur des pelouses bien peignées, le drapeau de la boîte aux lett
88 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
150 nd du chœur, séparés de l’autel par des ogives en bois doré : une véritable miniature de Livre d’Heures. Pourquoi ce rouge e
89 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
151 sauf les Indiens, seuls « premiers possesseurs du bois et du rocher », sont des anciens Européens. Des gens qui ont voulu ou
152 ez soi. Tout d’abord, les cottages américains, en bois blanc, entourés de gazon, et qui vous accueillent par une allée de gr
90 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
153 naître. Je me rendis chez lui, dans une maison de bois jaune entourée de gazon, de fleurs et d’arbres pleins d’oiseaux. Il s
91 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
154 ule maintenant dans l’ombre tiède et abritée d’un bois de pins. Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le c
92 1948, Suite neuchâteloise. VII
155 ule maintenant dans l’ombre tiède et abritée d’un bois de pins. Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le c
93 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
156 prenez pas un Mohican : ces premiers habitants du bois et du rocher, seuls vrais Américains découverts par Colomb, appartien
94 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
157 ir des vents européens et ces prairies entre deux bois de très vieux chênes, où persiste un tapis de brume. Aux bords de ce
158 de ou de Stockholm. Ils vont se poser derrière le bois tout proche, qui assourdit tout d’un coup leur grondement. Vous voyez
95 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
159 ation organise les hasards et fait flèche de tout bois , souvent à notre insu. Mais ce qu’illustre avant tout ce passage, c’e
96 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
160 rovoquer une ardeur insensée à propos de bouts de bois . Cette forme, cette structure agissent encore sur nous, même quand no
97 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
161 galité scolaire que créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé, dan
162 créent en Suisse les bancs de bois peints en faux bois jaune clair. On s’attendait à être interrogé, dans les trois langues
98 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
163 r des vents européens, et ces prairies entre deux bois de très vieux chênes, où persiste un tapis de brume. Aux bords de ce
164 de ou de l’Afrique. Ils vont se poser derrière le bois tout proche, qui assourdit tout d’un coup leur grondement. Vous voyez
99 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
165 rovoquer une ardeur insensée à propos de bouts de bois . Cette forme, cette structure agissent encore sur nous, même quand no
100 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
166 ard les réunit dans une maison perdue au fond des bois où Jivago se cache, traqué par la nouvelle police d’un régime qu’il a