1
oute la morale, et les qualités indispensables au
bon
équipier deviennent les qualités du parfait citoyen : juste vision de
2
rsaire. Les révolutionnaires y faisaient pourtant
bon
ménage avec les derniers champions du naturalisme puisqu’au début Fis
3
le désordre de son pays, suivra obstinément le «
bon
chemin » de la santé et de la raison. C’est à lui que va la sympathie
4
ictoire — n’est pas si douce encore, n’est pas si
bonne
que de céder à vous, désirs, et d’être vaincu sans bataille. On voit
5
légitimes chez d’autres, même celles que je juge
bon
d’éliminer de moi. Chacun son équilibre, ou plutôt, son « mouvement n
6
pour un moment. « L’art est un mensonge, mais un
bon
artiste n’est pas menteur », dit Max Jacob. « Être sincère, c’est avo
7
ans cet état. Ce « mensonge », ce choix faux mais
bon
, nécessaire à la vie, n’est-ce pas être sincère aussi que de s’y prêt
8
véritables qui connaissent les signes Sont moins
bons
acrobates… (etc.)… Cocteau s’est trop exercé avant de se lancer sur
9
êtes de poupées, à la conclusion. Ce n’est pas le
bon
rire de cinéma. Quand la danseuse paraît, ils n’attendent que le mome
10
us-même, pas moyen de causer aujourd’hui… Quoi ?…
Bon
, bon, c’est entendu, on ne peut rien faire sans vous. Mais n’oubliez
11
me, pas moyen de causer aujourd’hui… Quoi ?… Bon,
bon
, c’est entendu, on ne peut rien faire sans vous. Mais n’oubliez pas q
12
des souvenirs, quand nous allions tous deux, ces
bonnes
farces, et aussi pourtant des histoires de copains qui ont mal tourné
13
tres. — Vous suivez la même route que nous ? À la
bonne
heure ! ». Et l’on repart bras dessus, bras dessous. Et l’on apprend
14
ste pour changer en instruments métaphysiques ces
bonnes
montres de précision de La Chaux-de-Fonds… Avant de quitter les peint
15
c l’ascension de Jacob et ses luttes. On pardonne
bon
nombre de platitudes et de vulgarités pour les derniers chapitres, de
16
nourri, blanchi, mais non point diverti. J’étais
bon
, Monsieur, normalement bon. L’idée, par exemple, d’étrangler un chat
17
point diverti. J’étais bon, Monsieur, normalement
bon
. L’idée, par exemple, d’étrangler un chat pour le plaisir me répugnai
18
s. Aucun remord non plus d’avoir troublé quelques
bonnes
petites somnolences par des cris intempestifs. Il y a des gens qui n’
19
nde et constante ambition a été de construire une
bonne
machine routière. » Les étapes de sa jeunesse sont : la construction
20
é l’œuvre de la Création », comme dit Ferrero. Le
bon
peuple s’extasie. Il ne peut voir la duperie : ce jeu du chat et de l
21
venture qui en a bien d’autres, d’aspects. Il est
bon
que le lecteur dérisoirement troublé par la crainte de n’avoir pas sa
22
connaît Hölderlin ? — questionne-t-il, méfiant —
bon
, bon, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pa
23
aît Hölderlin ? — questionne-t-il, méfiant — bon,
bon
, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pas tro
24
que tout cela existe dans le même monde ? (Il est
bon
de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu d
25
mps même qu’il nous entr’ouvre le ciel, qu’il est
bon
qu’il y ait le monde… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasar
26
e de Rimbaud — est une de ces évidences qu’il est
bon
de proposer à la réflexion de notre temps, ne fût-ce que pour faite h
27
e qui paraît anarchique dans un monde où tout est
bon
à quelque chose, où rien plus n’est tenu pour vrai que relativement à
28
’une solution fort simple qui d’ailleurs était la
bonne
, car le grand Remède, c’est un Simple. Des hurlements de rage ne tard
29
is sortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un
bon
élève qu’un instituteur : de l’un à l’autre il n’y a pas de solution
30
nstrument le plus parfait s’appelle le manuel. Un
bon
manuel est un résumé clair et portatif des résultats actuels d’une sc
31
s délicats par les plus vulgaires ? L’idéal du
bon
élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait ut
32
idéal du bon élève Le bon sens voudrait que le
bon
élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite s
33
t de poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le
bon
élève soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui
34
que je ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le
bon
élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux par
35
trouver suspecte. Le bon élève est celui qui a de
bons
points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tou
36
bon élève est celui qui a de bons points. Or les
bons
points vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tous ces petits phonogr
37
dangereuse de ceux qui voient avec leurs yeux. Le
bon
élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeu
38
. Tous ceux qui ont eu l’occasion de comparer les
bons
élèves de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater
39
u’ici sont en général judicieuses, dictées par le
bon
sens7 et retouchées par le pédantisme inhérent à toute science. On a
40
ait de farces, vous allez feindre de trouver bien
bonne
celle-ci : je prétends que l’instruction publique est une puissance c
41
oujours assez pour allumer des feux de joie, etc.
Bon
. Supposons tout cela fait. Respirons. Mais déjà vous m’attendez à ce
42
s étouffer. Cependant, je ne crois pas qu’il soit
bon
que tous progressent de la même manière. Dans un système de culture s
43
is sortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un
bon
élève qu’un instituteur : de l’un à l’autre, il n’y a pas de solution
44
nstrument le plus parfait s’appelle le manuel. Un
bon
manuel est un résumé clair et portatif des résultats actuels d’une sc
45
icats par les plus vulgaires ? 3.g. L’idéal du
bon
élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait ut
46
idéal du bon élève Le bon sens voudrait que le
bon
élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite s
47
t de poche, ni plus ni moins). Ou encore : que le
bon
élève soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui
48
ue je ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le
bon
élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux par
49
rouver suspecte. Le bon élève est celui qui a de
bons
points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tou
50
bon élève est celui qui a de bons points. Or les
bons
points vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tous ces petits phonogr
51
e de ceux qui voient avec leurs yeux d’élèves. Le
bon
élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeu
52
. Tous ceux qui ont eu l’occasion de comparer les
bons
élèves de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater
53
ait de farces, vous allez feindre de trouver bien
bonne
celle-ci : je prétends que l’instruction publique est une puissance c
54
oujours assez pour allumer des feux de joie, etc.
Bon
. Supposons tout cela fait. Respirons. Mais déjà vous m’attendez à ce
55
s étouffer. Cependant, je ne crois pas qu’il soit
bon
que tous progressent de la même manière. Dans un système de culture s
56
e essayer, au hasard, des incantations tout juste
bonnes
à évoquer la basse pègre du monde spirituel. Ce n’est pas en détraqua
57
tales plus que documentaires, peut-être serait-il
bon
que je parsème ce texte de quelques noms impossibles et de beaucoup d
58
et la basilique sur son rocher. Fraîches, sentant
bon
, avec des livres sur des divans aux riches couleurs, des boissons pré
59
un lyrisme distingué ? Il faut choisir entre les
bonnes
manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pou
60
oût d’en bien parler. Les Suisses aiment avec une
bonne
ou une mauvaise conscience. À Vienne on voit des couples qui savent ê
61
de confection voici le Citoyen du Monde, voici le
Bon
Européen, voici l’Américain à rendement maximum. Et comptez que l’on
62
sme, plus-value. — Qui donc nous aurait révélé de
bonnes
raisons brutales, de bonnes raisons humaines, de nous intéresser à l’
63
nous aurait révélé de bonnes raisons brutales, de
bonnes
raisons humaines, de nous intéresser à l’Asie : les grèves à Bombay,
64
ous. Naturellement, nous nous sommes montrés très
bons
à son égard… » L’on conçoit que Blanche malheureuse, isolée, cherchan
65
i l’on ose dire, — où il fait vivre d’imaginaires
bons
sauvages. Et pour la grande majorité de ceux qui, après lui, feront i
66
littérature. L’ouverture s’est faite, mais non du
bon
côté ; l’âme, que tourmente un suprême besoin d’épanchement, s’est dé
67
voltairien, l’élégance trop rapide. Il n’est pas
bon
qu’un conteur laisse voir la moindre ironie vis-à-vis de ses personna
68
forme, besoin minoritaire de trouver des alliés à
bon
compte sur un terrain où la compromission semblait pratiquement accep
69
e la nature humaine, qui, selon cette vue, serait
bonne
, ou du moins meilleure, si on la « préservait » du mal. Ainsi Roussea
70
cines, fortement : mais il a vu qu’elles tenaient
bon
, qu’elles tenaient trop de terre embrassée et par elle tout un pays e
71
ce monde condamné tient encore debout, il serait
bon
d’examiner rapidement les principes qui lui permirent de durer malgré
72
sinon concertée, de la bâtisse, et seront encore
bons
pour construire, si demain nous laisse construire autre chose que des
73
ans la divergence des réalisations littéraires. «
Bon
esprit, prends garde ! Pas de partis de salut violents. Exerce-toi ».
74
urs. Ce critère du salut, cette transcendance, en
bonne
dialectique autoriserait à des jugements de valeurs humaines. Mais il
75
à « réaliser » dans nos actions ce que Dieu jugea
bon
de nous révéler dans l’Évangile. Et en présence de l’intempérance de
76
t encore moins celui du xixe , resté celui de nos
bons
maîtres. Il ne s’agit non plus d’un humanisme qui dresserait l’homme
77
veau ; petits purs, ceux qui trouvent toujours de
bonnes
raisons pour nous accuser de dévier dès que nous les dépassons, petit
78
is du fait qu’ils se disent révolutionnaires, ces
bons
petits intellectuels deviennent un danger pour la Révolution ou pour
79
les trois quarts du genre humain, à commencer par
bon
nombre de révolutionnaires qui ne paraissent « pas très comme il faut
80
ur des hommes. Ce n’est pas une férule : c’est un
bon
outil qu’il nous faut. Ce n’est pas son pessimisme que je reproche à
81
des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la
bonne
odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. M
82
20. La seule révolution qu’elle légitimerait, en
bonne
logique, serait une révolution contre la construction entreprise par
83
plans, celui de la guerre y compris. Mais il est
bon
de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exemple. L’Allemand, dit-on, e
84
Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son
bon
visage où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de
85
tales plus que documentaires, peut-être serait-il
bon
que je parsème ce texte de quelques noms impossibles et de beaucoup d
86
et la Basilique sur son rocher. Fraîches, sentant
bon
, avec des livres sur des divans aux riches couleurs, des boissons pré
87
un lyrisme distingué ? Il faut choisir entre les
bonnes
manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pou
88
ar goût du bavardage. Les Suisses aiment avec une
bonne
ou une mauvaise conscience. À Vienne on voit des couples qui savent ê
89
ur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant —
bon
, bon, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pa
90
nnaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon,
bon
, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pas tro
91
que tout cela existe dans le même monde ? (Il est
bon
de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu d
92
emps même qu’il nous entrouvre le ciel, qu’il est
bon
qu’il y ait la terre… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasar
93
il eût fallu vivre tout entière et qui n’est plus
bonne
qu’à dormir… Alors j’ai eu ce regard étrangement oblique, glissé comm
94
uillet 1929 Le père Reinecke me félicite de ma
bonne
mine, résultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnä
95
a Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons
bon
, félicitons l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question
96
et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le
bon
, si l’expression veut qu’il figure le contraire du « mauvais ». Les j
97
stilité, comment accueillir avec un cœur viril et
bon
le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon co
98
de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et
bon
comme celui d’Andersen, un tel cœur ne se fermerait pas devant la hai
99
l’approbation que je pourrais leur en témoigner.
Bon
pour les gens des villes, toujours inquiets, toujours doutant de leur
100
vous n’avez jamais cherché ce que doit être le «
bon
» temps, ni si les tempêtes sont « belles ». C’est pourquoi vous pens
101
plans, celui de la guerre y compris. Mais il est
bon
de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exemple. L’Allemand, dit-on, e
102
Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son
bon
visage où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de
103
et la Basilique sur son rocher. Fraîches, sentant
bon
, avec des livres sur des divans aux riches couleurs, des boissons pré
104
un lyrisme distingué ? Il faut choisir entre les
bonnes
manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pou
105
ar goût du bavardage. Les Suisses aiment avec une
bonne
ou une mauvaise conscience. À Vienne on voit des couples qui savent ê
106
l’approbation que je pourrais leur en témoigner.
Bon
pour les gens des villes, toujours inquiets, toujours doutant de leur
107
ur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant —
bon
, bon, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pa
108
nnaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon,
bon
, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pas tro
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que tout cela existe dans le même monde ? (Il est
bon
de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu d
110
mps même qu’il nous entr’ouvre le ciel, qu’il est
bon
qu’il y ait la terre… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasar
111
il eût fallu vivre tout entière et qui n’est plus
bonne
qu’à dormir… Alors j’ai eu ce regard étrangement oblique, glissé comm
112
avais qui allait m’écrire, et que j’avais d’assez
bonnes
chances de deviner juste. Mais je n’ai rien deviné du tout, puisque j
113
illet 1929 Le père Reinecke me félicite sur ma
bonne
mine, résultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnä
114
a Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons
bon
, félicitons l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question
115
et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le
bon
, si l’expression veut qu’il figure le contraire du « mauvais ». Les j
116
stilité, comment accueillir avec un cœur viril et
bon
le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon co
117
de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et
bon
comme celui d’Andersen, un tel cœur ne se fermerait pas devant la hai
118
tacts, et dont l’amitié seule avait mûri comme un
bon
vin. Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se demande quels
119
. L’ennui n’est pas non plus que le matériel soit
bon
, l’or abondant, les enfants bien nourris. Ni même qu’on dise merci to
120
trois-mille habitants, un pays de quarante mille
bons
et fidèles sujets… « En 1818 déjà — écrit M. Arthur Piaget dans sa re
121
de culture, pour tant de livres lus, relus, et de
bon
choix, accumulés depuis des siècles dans les maisons publiques et pri
122
qu’à pas feutrés. Certains d’ailleurs avaient de
bonnes
raisons de ne point publier leur séjour. Benjamin Constant s’enfermai
123
ante ? Oui, pour ceux qui cherchent des espoirs à
bon
compte, hors de la réalité certainement désespérante. Mais il y a la
124
rlant des autres ou parlant en général : ceci est
bon
, moral, cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, m
125
inien. Nous nous étonnerons alors des craintes du
bon
père : personne en France ne peut croire sérieusement aux vertus « ré
126
ut cela est propre. Le jeune Kolka, prolétaire de
bonne
souche, part pour la Construction où il ne tarde pas à se distinguer
127
tre dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le
bon
ton, dans certains milieux bien-pensants, veut qu’on dénonce le règne
128
al… Jésus lui répondit par une parabole, celle du
Bon
Samaritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute
129
e l’Homme — peut être caractérisé dans ses effets
bons
et mauvais par le mot de séparation. D’une part, il constitue le ress
130
qui ne peut plus rien faire ici-bas d’utile et de
bon
pour autrui ni pour soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux
131
e l’inhumaine « condition prolétarienne ». Il est
bon
de noter que cette conception dépasse les rêveries marxistes dans leu
132
importe quelles conditions données… et peut faire
bon
ménage avec la société la plus strictement sociale ». Et voici détend
133
entier consacré à cette exégèse de la parabole du
bon
Samaritain. 21. On trouve cependant aux sommaires des principaux num
134
e confronter la doctrine chrétienne telle que les
bons
docteurs de la Réforme nous l’enseignent, avec l’ensemble vague et co
135
dicateur Général de la Cour, le favori élu par la
bonne
société ; il paraît devant une assemblée choisie d’élus, et prêche av
136
oit que l’on se découvre légalement grugé, il est
bon
de sentir qu’au-dessus de cette vie plane une loi meilleure, un espri
137
nt nous, d’une faim trop facile à tromper. Il est
bon
, il est nécessaire que la littérature enseigne le public. Encore faut
138
ompre avec des confusions qui sont peut-être d’un
bon
rendement électoral, mais qui empêtrent tout élan vers un ordre vraim
139
ciers français contemporains. Vous y trouverez un
bon
quart de protestants, c’est-à-dire dix fois plus que vous n’en attend
140
issotière, ha ! ha ! ha ! Ça me rappelle une bien
bonne
histoire, vous devriez lire ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne s
141
’État. D’autre part, tout ce qui fut entrepris de
bon
, sous Henri IV, dans le domaine de la politique européenne, fut l’œuv
142
e « élite » bourgeoise en faillite ? Comptabilité
bonne
peut-être pour l’historien de la littérature. Nous n’avons pas le cœu
143
e ceux dont on puisse parler avec une légèreté de
bon
aloi. Je ne m’excuse pas du sérieux peut-être pesant des considératio
144
n’est pas conduit par des raisons, plus ou moins
bonnes
, mais par des folies qualifiées, adorées comme telles par les masses
145
me et combine ; cesse de croire par exemple qu’un
bon
agent électoral est un homme qui connaît les hommes ; cesse de s’en l
146
tre dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le
bon
ton, dans certains milieux bien-pensants, veut qu’on dénonce le règne
147
al… Jésus lui répondit par une parabole, celle du
Bon
Samaritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute
148
l’ensemble, ses droits dépendent, en pratique, du
bon
plaisir de l’État. Tout au contraire, des lois fondées sur la personn
149
tants du Parti19, c’est lui qui fait trembler les
bons
bourgeois, précisément parce que, contre lui, ils se sentent privés d
150
. Les marxistes croient que l’homme primitivement
bon
a été gâté par des institutions sociales irrationnelles, et qui l’ont
151
des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la
bonne
odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. M
152
« destin » ? Et comment pourrait-il croire à ces
bons
apôtres dont la ferveur s’excite dès que les rentes sont menacées, à
153
rlant des autres ou parlant en général : ceci est
bon
, moral, cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, m
154
réel du fascisme n’apparaît pas à la majorité des
bons
bourgeois. Les fusillades, les passages à tabac et l’huile de ricin l
155
nots dans les Cévennes. 53. Les avantages et les
bonnes
raisons du fascisme, italien surtout, ne sont pas niables. Mais je n’
156
ables. Mais je n’ai pas ici à marquer des points,
bons
ou mauvais. Ce qui m’importe, ce sont les fins spirituelles, l’enjeu
157
57. La seule révolution qu’elle légitimerait, en
bonne
logique, serait une révolution contre la construction entreprise par
158
e l’inhumaine « condition prolétarienne ». Il est
bon
de noter que cette conception dépasse les rêveries marxistes dans leu
159
e ceux dont on puisse parler avec une légèreté de
bon
aloi. Je ne m’excuse pas du sérieux peut-être pesant des considératio
160
n’est pas conduit par des raisons, plus ou moins
bonnes
, mais par des folies qualifiées, adorées comme telles par les masses
161
et combine ; cesse de croire, par exemple, qu’un
bon
agent électoral est un homme qui connaît les hommes ; cesse de s’en l
162
tre dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le
bon
ton, dans certains milieux bien-pensants, veut qu’on dénonce le règne
163
al… Jésus lui répondit par une parabole, celle du
Bon
Samaritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute
164
l’ensemble, ses droits dépendent, en pratique, du
bon
plaisir de l’État. Tout au contraire, des lois fondées sur la personn
165
tants du Parti14, c’est lui qui fait trembler les
bons
bourgeois, précisément parce que, contre lui, ils se sentent privés d
166
. Les marxistes croient que l’homme primitivement
bon
a été gâté par des institutions sociales irrationnelles, et qui l’ont
167
des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la
bonne
odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. M
168
« destin » ? Et comment pourrait-il croire à ces
bons
apôtres dont la ferveur s’excite dès que les rentes sont menacées, à
169
rlant des autres ou parlant en général : ceci est
bon
, moral, cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, m