1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 uble apparaît toute parcourue d’adorables roseurs boréales . Hoffmann n’est pas là, mais bien Dollonne, ce qui revient au même. U
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
2 uble apparaît toute parcourue d’adorables roseurs boréales . E. T. A. Hoffmann est là, sous un nom d’emprunt. Une femme fatale et
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
3 s de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une aurore boréale nous avait arrêtés, non point que sa beauté nous eût cloués sur place
4 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
4 tée, et des paysages baignés d’une longue lumière boréale . Cette femme n’est pas un ange, ni une sainte. Elle pèche, elle déses
5 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
5 tés, et des paysages baignés d’une longue lumière boréale . Cette femme n’est pas un ange ni une sainte. Elle a péché gravement,
6 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
6 différent d’un seul chien du même nom. Une aurore boréale nous avait arrêtés toute une nuit, non point que sa beauté nous eût c
7 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
7 de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une aurore boréale nous avait arrêtés, non point que sa beauté nous eût cloués sur place
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
8 s de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une aurore boréale nous avait arrêtés, non point que sa beauté nous eût cloués sur place