1 une question politique. On peut prévoir que si le bouddhisme jouit un jour d’un renouveau, c’est à quelques savants européens qu’i

2 oit aimer un être… On parle trop de nirvana et de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païen de l’Occident n

3 le dieu, ou s’il n’y a pas de dieu, comme dans le bouddhisme , avec l’Être-Un universel. Et j’appellerai « occidentale » une conce

4 de sectes et de religions orientales — jaïnisme, bouddhisme , essénisme, gnosticisme chrétien — l’Église cathare se divisait en de

5 », selon les cathares, et oppose le catharisme au bouddhisme sur ce point à vrai dire capital. 49. L’emploi du mot « vraie » deva

6 oit aimer un être… On parle trop de nirvana ou de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païen de l’Occident n

7 le dieu, ou s’il n’y a pas de dieu, comme dans le bouddhisme , avec l’Être-Un universel. Tout cela suppose une Sagesse, une techniq

8 de sectes et de religions orientales — jaïnisme, bouddhisme , essénisme, gnosticisme chrétien — l’Église cathare se divisait en de

9 », selon les cathares, et oppose le catharisme au bouddhisme sur ce point à vrai dire capital. 49. L’emploi du mot « vraie » deva

10 ur un seul terme ». 79. L. De la Vallée-Poussin, Bouddhisme , Études et matériaux, 1898. 80. Eliade, op. cit., p. 210 et 212. 8

11 oit aimer un être… On parle trop de nirvana et de bouddhisme à propos de l’opéra wagnérien. Comme si le fond païen de l’Occident n

12 le dieu, ou s’il n’y a pas de dieu, comme dans le bouddhisme , avec l’Être-Un universel. Tout cela suppose une Sagesse, une techniq

13 de sectes et de religions orientales — jaïnisme, bouddhisme , essénisme, gnosticisme chrétien — l’Église cathare se divisait en de

14 », selon les cathares, et oppose le catharisme au bouddhisme sur ce point à vrai dire capital. 42. L’emploi du mot « vraie » deva

15 ur un seul terme ». 70. L. de La Vallée-Poussin, Bouddhisme , Études et matériaux, 1898. 71. Mircea Eliade, op. cit., p. 210 et 2

16 e l’évasion spirituelle imaginée par l’Inde et le bouddhisme . Dans son refus de la chair fragile et provisoire, et du temps décisi

17 leur faute. Retour à l’axe Au contraire du bouddhisme et du manichéisme, l’orthodoxie chrétienne ne condamne pas le monde m

18 r un seul terme ». 21. L. De La Vallée-Poussin, Bouddhisme , Études et matériaux, 1898. 22. Eliade, op. cit., p. 210 et 212. 2

19 n’y a pas de Dieu — selon le système Sankya et le bouddhisme — soit qu’on pense, selon l’Advaïta, que Dieu n’« existe » pas mais q

20 s la gnose hindouiste que de moi distinct dans le bouddhisme . Qu’il n’y ait point de Dieu, ou que Je sois le Tout, dans les deux c

21 en Occident. C’est de l’hindouisme qu’est issu le bouddhisme , pour recouvrir ensuite le Tibet et la Chine, la Malaisie, la Birmani

22 religion initiale : le moralisme américain et le bouddhisme zen, tous deux antimystiques. Historiquement, la première confrontati

23 n’y a pas de Dieu — selon le système Sankya et le bouddhisme  — soit qu’on pense, selon l’Advaïta, que Dieu n’« existe » pas mais q

24 s la gnose hindouiste que de moi distinct dans le bouddhisme . Qu’il n’y ait point de Dieu, ou que Je soit le Tout, dans les deux c

25 en Occident. C’est de l’hindouisme qu’est issu le bouddhisme , pour recouvrir ensuite le Tibet et la Chine, la Malaisie, la Birmani

26 religion initiale : le moralisme américain et le bouddhisme zen, tous deux antimystiques. Historiquement, la première confrontati

27 e l’évasion spirituelle imaginée par l’Inde et le bouddhisme . Dans son refus de la chair fragile et provisoire, et du temps décisi

28 leur faute. Retour à l’axe Au contraire du bouddhisme et du manichéisme, l’orthodoxie chrétienne ne condamne pas le monde m

29 ne savait même pas le nom de l’hindouisme, ni du bouddhisme , ni du tao93. Enfin, jésuites et protestants, dans l’ère moderne, ont

30 nd, omniprésent, de l’œuvre, c’est à l’inverse du bouddhisme , en apparence, le problème chrétien du Dieu-Homme, d’où naît celui de

31 à l’aspect « asiatique » du monde rilkéen, et au bouddhisme . Il a toujours aimé le Bouddha, dit-il. Il a suivi ses traces en Inde

32 les doctrines de l’Inde, ou nées en Inde comme le bouddhisme , dénoncent depuis des millénaires comme l’illusion fondamentale. Il y

33 upanishads, et les premiers écrits canoniques du bouddhisme  : il faut éteindre le désir individuel, cause de l’erreur, des souffr

34 urrection de la chair ». Il en va de même pour le bouddhisme originel. Qu’est-ce que l’homme ? Un ensemble transitoire d’agrégats

35 as renaître », nous dit une moderne interprète du bouddhisme tibétain66. À l’autre extrémité géographique (et parfois spirituelle)

36 un certain christianisme — à partir d’un certain bouddhisme — et certainement le mazdéisme et les soufis : il s’agit d’une seule

37 ain ! ajoutent les spirituels du védantisme et du bouddhisme . S’il est vrai que « la notion de Moi n’a d’accès que dans la pensée

38 ristianisme et de la nature de l’hindouisme ou du bouddhisme , la vie réelle de l’Occident est en conflit avec la foi, tandis que l

39 d’aimer aussi son ennemi ne sont pas absentes du bouddhisme car l’ennemi et toi-même ne diffèrent que par les attachements du moi

40 osées à ce problème par l’Inde, le taoïsme, et le bouddhisme tibétain, voir Alexandra David-Neel, Immortalité et Réincarnation, 19

41 (hynayânistes). 66. Cf. Alexandra David-Neel, Le Bouddhisme du Bouddha, 1960, p. 51-59. 67. D. T. Suzuki, Mysticism Christian a

42 2. Katha upanishad. 83. Alexandra David-Neel, Le Bouddhisme du Bouddha, p. 45. 84. Chang Chen-Chi, The Practice of zen. 85. To

43 lusion — souffrance à cause de l’illusion, dit le bouddhisme — c’est Tristan qui a raison contre le mariage. S’il n’est pas d’autr

44 lusion — souffrance à cause de l’illusion, dit le bouddhisme  — c’est Tristan qui a raison contre le mariage. S’il n’est pas d’autr

45 nd, omniprésent, de l’œuvre, c’est à l’inverse du bouddhisme , en apparence, le problème chrétien du Dieu-Homme, d’où naît celui de

46 à l’aspect « asiatique » du monde rilkéen, et au bouddhisme . Il a toujours aimé le Bouddha, dit-il. Il a suivi ses traces en Inde

47 les doctrines de l’Inde, ou nées en Inde comme le bouddhisme , dénoncent depuis des millénaires comme l’illusion fondamentale. Il y

48 upanishads, et les premiers écrits canoniques du bouddhisme  : il faut éteindre le désir individuel, cause de l’erreur, des souffr

49 urrection de la chair ». Il en va de même pour le bouddhisme originel. Qu’est-ce que l’homme ? Un ensemble transitoire d’agrégats

50 as renaître », nous dit une moderne interprète du bouddhisme tibétain100. À l’autre extrémité géographique (et parfois spirituelle

51 un certain christianisme — à partir d’un certain bouddhisme  — et certainement le mazdéisme et les soufis : il s’agit d’une seule

52 ain ! ajoutent les spirituels du védantisme et du bouddhisme . S’il est vrai que « la notion de Moi n’a d’accès que dans la pensée

53 ristianisme et de la nature de l’hindouisme ou du bouddhisme , la vie réelle de l’Occident est en conflit avec la foi, tandis que l

54 d’aimer aussi son ennemi ne sont pas absentes du bouddhisme  : car l’ennemi et toi-même ne diffèrent que par les attachements du m

55 solutions proposées par l’Inde, le taoïsme, et le bouddhisme tibétain, voir A, David-Neel : Immortalité et Réincarnation, 1961. 9

56 ynayânistes). 100. Cf. Alexandra David-Neel : Le Bouddhisme du Bouddha, 1960, p. 51-59. 101. D. T. Suzuki : Mysticism : Christi

57 . Katha upanishad. 116. Alexandra David-Neel, Le Bouddhisme du Bouddha, p. 45. 117. Chang Chen-Chi, The Practice of zen. 118.

58 ’art grec, au service d’une religion hindoue — le bouddhisme  — accomplissait une conquête pacifique en partant de l’Afghanistan et

59 ntale. Aucune autre grande religion — hindouisme, bouddhisme , islam — n’a jamais disposé de pareils véhicules, de moyens de pénétr

60 rituelles et culturelles nées de l’hindouisme, du bouddhisme et de l’islam, sans leur substituer pour autant les valeurs chrétienn

61 ’identité. Personne ne répond plus. Comme dans le bouddhisme . Dans leur ensemble, nos littératures se sont progressivement dessais

62 artisanat, au jardinage, à la contemplation ou au bouddhisme zen. Car les besoins et les désirs de la société industrielle, aussi

63 ant. La Terre est sa demeure, le Ciel son toit. — bouddhisme  : selon l’un des fondateurs de cette doctrine en Chine, « la non-deme

64 st pas plus uniforme que ne le sont l’islam ou le bouddhisme , et ses variétés rendent compte des variétés de l’être européen, selo

65 s philosophies extrême-orientales (yoga hindou et bouddhisme zen.) Enfin, nous avons tenté quelques survols de cette unité dans la