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r du soleil, des phares d’automobiles étoilent le
brouillard
, les visages se cachent dans des fourrures, personne ne sait la riche
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les yeux sur des visions. Les lustres doraient un
brouillard
de fumée, et la musique noyait mes pensées. Je vis qu’une femme était
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nt en jetant une longue flamme. À Venise, sous le
brouillard
qui cachait le front des palais, une nuit d’hiver, je chantonnais la
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d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J’ai mes
brouillards
et mon beau temps au-dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seu
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nt en jetant une longue flamme. À Venise, sous le
brouillard
qui cachait le front des palais, une nuit d’hiver, je chantonnais la
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d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J’ai mes
brouillards
et mon beau temps au-dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seu
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ui en dit plus long qu’on ne croirait. « J’ai mes
brouillards
et mon beau temps au-dedans de moi », note Pascal. En sorte que s’éto
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qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un
brouillard
vague flottait sur les marais. « Le peuple, me disais-je en pédalant,
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qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un
brouillard
vague flottait sur les marais. « Le Peuple », me disais-je en pédalan
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ui en dit plus long qu’on ne croirait. « J’ai mes
brouillards
et mon beau temps au-dedans de moi », note Pascal. En sorte que s’éto
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d’un feu… — Mais non. 7 mai 1929 « J’ai mes
brouillards
et mon beau temps au-dedans de moi », remarque Pascal, asservi au seu
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qui me cachaient la mer bruyante, à ma gauche. Un
brouillard
vague flottait sur les marais. « Le Peuple », me disais-je en pédalan
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ui en dit plus long qu’on ne croirait. « J’ai mes
brouillards
et mon beau temps au-dedans de moi », note Pascal. En sorte que s’éto
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si l’air y est-il enveloppé comme d’un manteau de
brouillards
; une brume épaisse cache en tout temps les flots, et de sombres vape
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ne un sens à tout : au vide cosmique où danse tel
brouillard
d’électrons empruntés à droite et à gauche et qui tout d’un coup peut
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ait l’amener n’ayant pu quitter Genève à cause du
brouillard
. C’est donc en son absence que M. Guiette a rappelé que “de ses obser
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ne un sens à tout : au vide cosmique où danse tel
brouillard
d’électrons empruntés à droite et à gauche et qui tout d’un coup peut
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si l’air y est-il enveloppé comme d’un manteau de
brouillards
; une brume épaisse cache en tout temps les flots, et de sombres vape
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ns du mythe. Son Guillaume Tell trapu surgit d’un
brouillard
blanc qui s’écarte en volutes devant le pas puissant et la large paum