1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 sans yeux dominent des baraques éparses dans une brousse où s’engage délibérément notre fantôme. Il avance sans bouger les jam
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
2 sans yeux dominent des baraques éparses dans une brousse où s’engage délibérément notre fantôme. Il avance sans bouger les jam
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
3 J’ai voulu me promener dans les bois. C’était la brousse . Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de l’homme dès qu’on s’
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 J’ai voulu me promener dans les bois. C’était la brousse . Peu ou point de chemins marqués, nulle trace de l’homme dès qu’on s’
5 1970, Le Cheminement des esprits. Préface. Cheminements
5 u tourne en rond dans les forêts de l’inconnu, la brousse des résistances à l’ordre de l’esprit ? ⁂ Il y a vingt ans, quand le