1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 poète du stade. En un style d’une fermeté presque brutale parfois, un style de sportif, mais qu’on sent humaniste et poète, un
2 crivain catholique. Et son lyrisme, encore un peu brutal , il saura le dompter, et atteindre au classicisme véritable. Voici un
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
3 sans grâces, qui ne manque pas d’une beauté assez brutale , pour nous choquer et s’imposer pourtant. M. Lecache présente le prob
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
4 qui s’en exaspère. Souvent maladroit, incertain, brutal  : mais faisons-lui confiance, voici un homme d’aujourd’hui, presque s
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
5 e si transparente : la mort même en devient moins brutale . Elle rôde ici comme une tristesse amoureuse. Elle n’est plus que l’a
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
6 e le culte exclusif de l’utile, l’incompréhension brutale de la nature, la haine des supériorités naturelles, l’habitude de l’e
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
7 e le culte exclusif de l’utile, l’incompréhension brutale de la nature, la haine des supériorités naturelles, l’habitude de l’e
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
8 . — Qui donc nous aurait révélé de bonnes raisons brutales , de bonnes raisons humaines, de nous intéresser à l’Asie : les grèves
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
9 esée. Tous les procédés ramuziens, juxtapositions brutales , interférences du récit, surimpressions, changements de temps au cour
9 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
10 rte qu’elle ne revête jamais un aspect proprement brutal , à moins que ce ne soit à de grandes distances, et bien au-delà du ce
11 velle, à leur défaut, devra créer par des percées brutales et destructives. Toutes les révolutions ont été sabotées. Elles ont é
12 ts » de la terre pâlissent derrière leur mâchoire brutale , sans qu’on puisse distinguer (ni eux) si c’est de volupté ou de terr
10 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
13 l’économie de nuances vaines et la décision, même brutale , l’on ne saurait ici serrer de trop près les origines secrètes d’un p
14 l’aide d’un seul exemple. L’Allemand, dit-on, est brutal  ; le Français malin. Deux traits de caractère dont les manifestations
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
15 e si transparente : la mort même en devient moins brutale . Elle rôde ici comme une tristesse amoureuse. Elle n’est plus que l’a
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
16 l’économie de nuances vaines et la décision, même brutale , l’on ne saurait ici serrer de trop près les origines secrètes d’un p
17 l’aide d’un seul exemple. L’Allemand, dit-on, est brutal  ; le Français malin. Deux traits de caractère dont les manifestations
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
18 ons que le monde a glissé dans une ère étrange et brutale , où ces formes de vie qui sont encore les nôtres ne peuvent plus appr
19 Nous étions soumis à l’érosion de l’exil, moins brutale , certes, mais plus intime que celle de l’occupation. Un conquérant n’
14 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
20 de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale des rythmes créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
15 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
21 c’est elle qui vaincra sans coup férir une force brutale dont le « pouvoir » ne sait que faire. Mais, dira-t-on, que se passe-
22 en dictature. La dictature n’est que la fixation brutale d’une révolution en pleine période de transition, d’un désordre dont
16 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
23 tionnaire. Saine, orgueilleuse, zélée, optimiste, brutale , sentimentale, formidablement conformiste. Le puritanisme des komsomo
17 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
24 ite qui contraste singulièrement avec le réalisme brutal du sujet. Que le lecteur, pourtant, ne se laisse point arrêter par de
18 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
25 geois du type surréaliste, et les évolutionnistes brutaux , en passant par les émeutiers fascistes. Le trait décisif, sans doute
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
26 iscours est vain. À qui pressent, dans sa réalité brutale , dans son sérieux dernier, et son risque absolu, ce qu’est la solitud
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
27 e suffit pas à expliquer l’impression de grandeur brutale et grave à la fois qui demeure dans l’esprit, bien après qu’on l’a lu
21 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
28 oute la pensée bourgeoise aboutit à la conception brutale d’une politique stalinienne ou fasciste, qui ne connaît plus d’autre
22 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
29 qu’on sait, peut très bien n’être que la fixation brutale d’un désordre réel. Cet ordre reste à la merci de la révolte suffisam
23 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
30 dont ils étaient les bénéficiaires. L’affirmation brutale du primat de l’économique intervint à ce moment de l’histoire comme u
31 de défense intérieure : il est comme l’expression brutale de leur inconscient, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur n
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
32 ement ici mettre en lumière l’opposition nette et brutale des deux voies. Il en résulte d’autres oppositions. Prenons, par exem
25 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
33 e méchant homme, d’ennemi du peuple, de bourgeois brutal . Réaction sans doute sympathique, mais dont je crains qu’elle soit in
26 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
34 de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale des rythmes créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
27 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
35 x bourgeois, et du fascisme, en tant que fixation brutale du capitalisme en crise. L’originalité de ces groupes réside d’abord
28 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
36 geois du type surréaliste, et les évolutionnistes brutaux du type stalinien, en passant par les émeutiers fascistes. Le trait d
29 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
37 oute la pensée bourgeoise aboutit à la conception brutale d’une politique stalinienne ou fasciste, qui ne connaît plus d’autre
30 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
38 qu’on sait, peut très bien n’être que la fixation brutale d’un désordre réel. Cet ordre reste à la merci de la révolte suffisam
31 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
39 dont ils étaient les bénéficiaires. L’affirmation brutale du primat de l’économique intervint à ce moment de l’histoire comme u
40 de défense intérieure : il est comme l’expression brutale de leur inconscient, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur n
32 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
41 ement ici mettre en lumière l’opposition nette et brutale des deux voies. Il en résulte d’autres oppositions. Prenons, par exem
33 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
42 e méchant homme, d’ennemi du peuple, de bourgeois brutal . Réaction sans doute sympathique, mais dont je crains qu’elle soit in
34 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
43 de travail et 8 heures de loisir est une dérision brutale des rythmes créateurs. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
35 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
44 x bourgeois, et du fascisme, en tant que fixation brutale du capitalisme en crise. L’originalité de ces groupes réside d’abord
36 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
45 alinisme se sont faits à coups de simplifications brutales et abstraites, nous les avons cent fois dénoncées. (Voir notre Lettre
37 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
46 1685 ne furent pas moins réelles, pour être plus brutales , que celles du pape. La légende de la paix religieuse établie par l’é
38 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
47 ne devra-t-on pas opposer une question préalable, brutale  : cette vocation a-t-elle un sens concret ? Conduit-elle à des actes 
39 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
48 comparablement plus important que l’établissement brutal de l’étatisme en Russie, nommé révolution bolcheviste. On comprend mi
49 emble bien que ces « barrages » et ce conformisme brutal soient en train de provoquer chez Tzara une prise de conscience toute
40 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
50 urgent. Il se pourrait d’ailleurs que l’apparence brutale des thèses personnalistes soit le fait, provisoire, de toute philosop
41 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
51 te question de l’utilisation des forces obscures, brutales , de l’homme ? La préparation à la guerre. Et quand je vous dis que c’
52 ù Rimbaud a dit : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pour ceux qui n’arrivent pas s
42 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
53 nifestes des conciles ? La question peut paraître brutale , simpliste. Elle manque certainement d’« onction ». Est-ce assez pour
43 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
54 des oiseaux pouvait être et était souvent le plus brutal des tintamarres, fait « d’un bruit de vitres cassées, de grincements
44 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
55 orce qu’on veut bien lui attribuer : même le plus brutal est fondé sur la croyance. »)40 4. Comment se fait-il qu’une élite o
45 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
56 ngoisse et l’orgueil des prisonniers d’une raison brutale  : il aura sans doute la vie dure, comme tout ce qui est irrationnel,
57 ction. « Dictature », « tyrannie », « conformisme brutal  », tout cela qui épouvante les libéraux n’est en fait que l’ensemble
58 excitées par nos négations irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaissent plus, seule la violence de l
46 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
59 tatu quo, si absurde soit-il, tantôt la dictature brutale et arbitraire, plus rarement la revendication d’un équilibre vrai, d’
47 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
60 ’expérience d’un centralisme dont les caricatures brutales , artificielles, épouvantent le modèle lui-même ? Fédéralisme : derniè
48 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
61 tatu quo, si absurde soit-il, tantôt la dictature brutale et arbitraire, plus rarement la revendication d’un équilibre vrai, d’
49 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
62 ngoisse et l’orgueil des prisonniers d’une raison brutale  : il aura sans doute la vie dure, comme tout ce qui est irrationnel,
50 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
63 ction. « Dictature », « tyrannie », « conformisme brutal  », tout cela, qui épouvante les libéraux, n’est en fait que l’ensembl
64 excitées par nos négations irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaissent plus, seule la violence de l
51 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
65 Il faut penser avec les mains. — La formule est brutale et je pense qu’elle doit l’être. Nos circonstances sont plus brutales
66 qu’elle doit l’être. Nos circonstances sont plus brutales encore, et nous invitent à parler net. Il ne s’agit plus aujourd’hui
52 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
67 s ceux enfin qui se donnent sans remords à la loi brutale du nombre, trahissant dans ce temps, mais pour l’éternité, leur vocat
53 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
68 té de solutions, tantôt purement figurées, tantôt brutales et écrasantes, dans l’un et l’autre cas non créatrices et non humaine
69 nt de penser avec leurs mains : si ces mains sont brutales , et la pensée qui les exerce encore abstraite, c’est que le monde aba
70 volution ne pourrait être faite qu’avec des mains brutales , et non du bout des doigts. (Et pourtant la brutalité n’a rien en soi
54 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
71 tatu quo, si absurde soit-il, tantôt la dictature brutale et arbitraire, plus rarement la revendication d’un équilibre vrai, d’
55 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
72 ngoisse et l’orgueil des prisonniers d’une raison brutale  : il aura sans doute la vie dure, comme tout ce qui est irrationnel,
56 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
73 ction. « Dictature », « tyrannie », « conformisme brutal  », tout cela, qui épouvante les libéraux, n’est en fait que l’ensembl
74 excitées par nos négations irritantes. Contre les brutales poussées de masses qui ne se connaissent plus, seule la violence de l
57 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Préambule
75 Il faut penser avec les mains. — La formule est brutale et je pense qu’elle doit l’être. Nos circonstances sont plus brutales
76 qu’elle doit l’être. Nos circonstances sont plus brutales encore, et nous invitent à parler net. Il ne s’agit plus aujourd’hui
58 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
77 s ceux enfin qui se donnent sans remords à la loi brutale du nombre, trahissant dans ce temps, mais pour l’éternité, leur vocat
59 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
78 té de solutions, tantôt purement figurées, tantôt brutales et écrasantes, dans l’un et l’autre cas non créatrices et non humaine
79 nt de penser avec leurs mains : si ces mains sont brutales , et la pensée qui les exerce encore abstraite, c’est que le monde aba
80 volution ne pourrait être faite qu’avec des mains brutales , et non du bout des doigts. (Et pourtant la brutalité n’a rien en soi
60 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
81 ormation du prolétariat agricole et la séparation brutale , visible, du châtelain et du paysan. Les révoltes conjuguées des prol
61 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
82 nt, dans une Europe que l’on croyait en proie aux brutales jeunesses bottées ? » 25 avril 1935 Communisme. — Dans la petite lib
83 res, une sauce aigre où nagent de grandes vérités brutales , toujours bonnes à dire, mais mal dites. J’accepte à la rigueur cette
84 mensonges, on les abreuve d’une prose abstraite, brutale — eux qui le sont si peu ! — et si possible, plus médiocre que celle
62 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
85 spirituelle et de risque personnel, des instincts brutaux  : l’instinct de puissance, l’instinct de conformité au grand nombre,
86 taliniennes : on cherche à obtenir par des moyens brutaux , par des contraintes externes, un « rendement social » immédiat, et l
87 dictature du prolétariat d’une part, et le ton «  brutal  » des polémiques de Marx. Mais la dictature du prolétariat n’est pour
88 prolonger son statut en s’appuyant sur des moyens brutaux . Pour le fond, la doctrine de Marx a été fort bien caractérisée comme
89 en caractérisée comme celle d’un « évolutionniste brutal  » (Aron et Dandieu). 2. Il y aurait lieu aussi d’analyser la valeur
63 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
90 ahit à chaque page, et révèle un parti pris assez brutal de réduction du mystique à l’illusoire. Par exemple, il relate une de
64 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
91 ire d’une situation déterminée par la persécution brutale , que les églises calvinistes défendaient alors, par principe, un régi
65 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
92 res, une sauce aigre où nagent de grandes vérités brutales , toujours bonnes à dire, mais mal dites. J’accepte à la rigueur cette
93 mensonges, on les abreuve d’une prose abstraite, brutale — eux qui le sont si peu ! — et si possible, plus médiocre que celle
66 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
94 naît jamais mieux qu’à la faveur de circonstances brutales , qui le rabattent à l’élémentaire. 49. Police d’État, polices privé
67 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
95 nous ont obligés, par leurs menaces instantes et brutales , à prendre une conscience active de ce qui, depuis nos origines, n’ét
68 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
96 qui peut tourner au cauchemar. Car seule la force brutale peut opérer une union de ce type, qui n’est qu’une unification. Dans
97 a mesure où on la voudra, on voudra donc la force brutale . On voudra donc la fin des libertés françaises. Et pour sauver la Fra
69 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
98 n pas que cet ordre est simplement la suppression brutale et militaire de toute expression libre des antagonismes qui chez nous
70 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
99 dre flagrant des démocraties, et à cette fixation brutale du même désordre qu’on nomme l’ordre totalitaire. Telle est mon « uto
71 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
100 rdre » imposé par la force, d’une « mise au pas » brutale qui nous dispense de nous sentir les responsables de la cité et de l’
72 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
101 nes dans le ciel, mais des réalités terrestres et brutales qui nous avertissent aujourd’hui du caractère religieux de notre Hist
73 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
102 a violence (libéralisme morbide). Le jeune paysan brutal qui lui tient tête figure l’Allemagne nouvelle. Grâce à lui, le villa
103 te question de l’utilisation des forces obscures, brutales , de l’homme ? La préparation à la guerre. Et quand je vous dis que c’
104 ù Rimbaud a dit : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes. » Lui. — Et pour ceux qui n’arrivent pas s
74 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
105 n pas que cet ordre est simplement la suppression brutale et militaire de toute expression libre des antagonismes qui chez nous
75 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
106 ’expérience d’un centralisme dont les caricatures brutales , artificielles, épouvantent le modèle lui-même ? Fédéralisme : derniè
107 e que les Tchèques ont donné prétexte au chantage brutal du Führer. L’abdication des « démocraties de l’Ouest » traduit, entre
76 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
108 devant vous, suscitées et coalisées par sa parole brutale et envoûtante. Et maintenant, vous pourriez le supprimer sans rien dé
77 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
109 ons que le monde a glissé dans une ère étrange et brutale , où ces formes de vie, qui sont encore les nôtres, ne peuvent plus ap
78 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Une simple question de mots (24 avril 1939)
110 dus que l’on sait, et les « explications » un peu brutales qui aboutirent au compromis boiteux de Versailles. Le Reich promettai
79 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
111 ans son essence, et préfigure l’État totalitaire, brutal et stérilisant. 20. D’où l’incapacité essentielle des partis à collab
80 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
112 e. Elles ne peuvent plus compter que sur la force brutale pour se faire avouer comme « vérités » par leurs victimes. Elles agis
81 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
113 tre au ras du sol, au niveau des choses brutes et brutales . Pourtant, rien n’est plus poétique qu’un rassemblement dans la nuit,
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
114 amour courtois est né d’une réaction à l’anarchie brutale des mœurs féodales. On sait que le mariage, au xiie siècle, était de
115 ui soit une transfiguration, et non pas un hasard brutal . Il s’agit donc toujours de ramener la fatalité extérieure à une fata
83 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
116 ession du désir charnel est si vive et parfois si brutale qu’il est vraiment impossible de se tromper sur la nature de leurs as
117 unique !) Où est alors cette expression « vive et brutale  » d’un désir évidemment charnel ? Dans la crudité de certains termes 
118 Si vous voulez faire leur conquête, dit-il, soyez brutaux , « donnez-leur des coups de poing sur le nez » (est-ce assez « cru » 
84 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
119 urtois, tandis que la quatrième réfute d’un trait brutal ces éloges. Autre complicité : la gauloiserie démolit le mariage par
120 e mort selon les lois du jour et de la vengeance, brutale , accidentelle, privée de sens mystique. Or la Minne suprême inspire à
85 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
121 aille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus brutales et matérielles qui la rejettent dans la littérature, les fêtes et les
122 cience devenue rhétorique et la surprise massive, brutale … Et il n’est pas sans intérêt non plus de noter que Waterloo fut une
123 rtisent une assemblée électorale. Hitler est plus brutal  : il se fâche et se plaint en même temps ; il ne persuade pas, il env
86 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
124 videmment communs à ces régimes : leur opposition brutale au christianisme, dès qu’ils sont assez forts pour lever le masque, e
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
125 amour courtois est né d’une réaction à l’anarchie brutale des mœurs féodales. On sait que le mariage, au xiie siècle, était de
126 ui soit une transfiguration, et non pas un hasard brutal . Il s’agit donc toujours de ramener la fatalité extérieure à une fata
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
127 ession du désir charnel est si vive et parfois si brutale qu’il est vraiment impossible de se tromper sur la nature de leurs as
128 unique !) Où est alors cette expression « vive et brutale  » d’un désir évidemment charnel ? Dans la crudité de certains termes 
129 Si vous voulez faire leur conquête, dit-il, soyez brutaux , « donnez-leur des coups de poing sur le nez » (est-ce assez « cru » 
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
130 urtois, tandis que le quatrième réfute d’un trait brutal ces éloges. Autre complicité : la gauloiserie démolit le mariage par
131 e mort selon les lois du jour et de la vengeance, brutale , accidentelle, privée de sens mystique. Or la Minne suprême inspire à
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
132 aille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus brutales et matérielles qui la rejettent dans la littérature, les fêtes et les
133 cience devenue rhétorique et la surprise massive, brutale … Et il n’est pas sans intérêt non plus de noter que Waterloo fut une
134 rtisent une assemblée électorale. Hitler est plus brutal  : il se fâche et se plaint en même temps ; il ne persuade pas, il env
91 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
135 amour courtois est né d’une réaction à l’anarchie brutale des mœurs féodales. On sait que le mariage, au xiie siècle, était de
136 ui soit une transfiguration, et non pas un hasard brutal . Il s’agit donc toujours de ramener la fatalité extérieure à une fata
92 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
137 ession du désir charnel est si vive et parfois si brutale qu’il est vraiment impossible de se tromper sur la nature de leurs as
138 unique !) Où est alors cette expression « vive et brutale  » d’un désir évidemment charnel ? Dans la crudité de certains termes 
139 Si vous voulez faire leur conquête, dit-il, soyez brutaux , « donnez-leur des coups de poing sur le nez » (est-ce assez « cru » 
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
140 urtois, tandis que le quatrième réfute d’un trait brutal ces éloges. Autre complicité : la gauloiserie démolit le mariage par
141 e mort selon les lois du jour et de la vengeance, brutale , accidentelle, privée de sens mystique. Or la Minne suprême inspire à
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
142 aille d’Azincourt) à des réalités de plus en plus brutales et matérielles qui la rejettent dans la littérature, les fêtes et les
143 cience devenue rhétorique et la surprise massive, brutale … Et il n’est pas sans intérêt non plus de noter que Waterloo fut une
144 rtisent une assemblée électorale. Hitler est plus brutal  : il se fâche et se plaint en même temps ; il ne persuade pas, il env
95 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
145 ne pas nous livrer à ce genre de simplifications brutales . Notre premier devoir est, aujourd’hui, de défendre l’intelligence co
146 lle ne peut fixer le sens des mots, la propagande brutale s’en chargera. À la place des grands lieux communs chargés de sens tr
147 lutions totalitaires, malgré leurs manifestations brutales et le ton sur lequel on les prône, ne sont en fait que des solutions
148 ait prophétique : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision de la justice est le plaisir
96 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
149 . Mais aujourd’hui, je ne puis que subir le temps brutal des événements. Ils mènent le jeu, jusque dans mes pensées. Désorgani
97 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
150 hérités, tout en admirant et soutenant des chefs brutaux qui les bernaient pour mieux les détrousser au bout du compte. « Mea
98 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
151 hérités, tout en admirant et soutenant des chefs brutaux qui les bernaient pour mieux les détrousser au bout du compte. Mea cu
99 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
152 videmment communs à ces régimes : leur opposition brutale au christianisme dès qu’ils sont assez forts pour lever le masque, et
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
153 ne pas nous livrer à ce genre de simplifications brutales . Notre premier devoir me paraît, au contraire, de défendre l’intellig
154 lle ne peut fixer le sens des mots, la propagande brutale s’en chargera. À la place des grands lieux communs chargés de sens tr
155 lutions totalitaires, malgré leurs manifestations brutales , et le ton sur lequel on les prône, ne sont en fait que des solutions
156 ait prophétique : « Le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d’hommes, mais la vision de la justice est le plaisir