1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
1 bien cela qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la brûlure douce au cœur, le sang plus vite, le soulèvement plus ample de la res
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
2 ’un « homme nouveau ») se termine par d’horribles brûlures — ou par l’intervention de Staline-Métaneire. Pourquoi Gide continue-
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
3 me d’obéir, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure , ni même de conscience de l’amour, mais seulement la sobriété heureus
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
4 as survivre à l’éclat de sa consommation. Mais sa brûlure demeure inoubliable, et c’est elle que les amants veulent prolonger e
5 d’un amour impossible ? C’est que nous aimons la brûlure , et la conscience de ce qui brûle en nous. Liaison profonde de la sou
5 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
6 er l’idée de l’amour ou sa mortelle et délicieuse brûlure . (« Il vaut mieux se marier que de brûler », écrit saint Paul aux Cor
6 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
7 a réalité, mais en tant qu’elle éveille en lui la brûlure délicieuse du désir. L’amour-passion tend à se confondre avec l’exalt
8 lements, embrassements, ouragans de l’impatience, brûlure d’amour qui dévore nuit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes,
9 rthodoxes : « Mourir de ne pas mourir.106 » La «  brûlure suave ». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le « salut » de l’
10 amour impossible laissait au cœur des hommes une brûlure inoubliable, une ardeur vraiment dévorante, une soif que la mort seul
7 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
11 certaine jeunesse tout au moins, le besoin d’une brûlure nostalgique ; et tout cela composait une sorte de complexe que l’on p
12 este de vie. » 126. Saint Jean de la Croix : « Ô brûlure suave ! » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amo
8 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
13 ion avec l’aimée. Ce que désire Tristan, c’est la brûlure d’amour plus que la possession d’Iseut. Car la brûlure intense et dév
14 re d’amour plus que la possession d’Iseut. Car la brûlure intense et dévorante de la passion le divinise, et comme Wagner l’a v
9 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
15 me d’obéir, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure , ni même de conscience de l’amour, mais seulement la sobriété heureus
10 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
16 as survivre à l’éclat de sa consommation. Mais sa brûlure demeure inoubliable, et c’est elle que les amants veulent prolonger e
17 d’un amour impossible ? C’est que nous aimons la brûlure , et la conscience de ce qui brûle en nous. Liaison profonde de la sou
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
18 er l’idée de l’amour ou sa mortelle et délicieuse brûlure . (« Il vaut mieux se marier que de brûler », écrit saint Paul aux Cor
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
19 a réalité, mais en tant qu’elle éveille en lui la brûlure délicieuse du désir. L’amour-passion tend à se confondre avec l’exalt
20 lements, embrassements, ouragans de l’impatience, brûlure d’amour qui dévore nuit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes,
21 rthodoxes : « Mourir de ne pas mourir124. » La «  brûlure suave ». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le « salut » de l’
22 amour impossible laissait au cœur des hommes une brûlure inoubliable, une ardeur vraiment dévorante, une soif que la mort seul
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
23 certaine jeunesse tout au moins, le besoin d’une brûlure nostalgique ; et tout cela composait une sorte de complexe que l’on p
24 este de vie. » 144. Saint Jean de la Croix : « Ô brûlure suave ! » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amo
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
25 ion avec l’aimée. Ce que désire Tristan, c’est la brûlure d’amour plus que la possession d’Iseut. Car la brûlure intense et dév
26 re d’amour plus que la possession d’Iseut. Car la brûlure intense et dévorante de la passion le divinise, et comme Wagner l’a v
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
27 me d’obéir, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure , ni même de conscience de l’amour, mais seulement la sobriété heureus
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
28 as survivre à l’éclat de sa consommation. Mais sa brûlure demeure inoubliable, et c’est elle que les amants veulent prolonger e
29 d’un amour impossible ? C’est que nous aimons la brûlure , et la conscience de ce qui brûle en nous. Liaison profonde de la sou
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
30 er l’idée de l’amour ou sa mortelle et délicieuse brûlure . (« Il vaut mieux se marier que de brûler », écrit saint Paul aux Cor
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
31 a réalité, mais en tant qu’elle éveille en lui la brûlure délicieuse du désir. L’amour-passion tend à se confondre avec l’exalt
32 lements, embrassements, ouragans de l’impatience, brûlure d’amour qui dévore nuit et jour, orgie d’amour, délices ruisselantes,
33 thodoxes : « Mourir de ne pas mourir. »114 La «  brûlure suave ». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le « salut » de l’
34 amour impossible laissait au cœur des hommes une brûlure inoubliable, une ardeur vraiment dévorante, une soif que la mort seul
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
35 certaine jeunesse tout au moins, le besoin d’une brûlure nostalgique ; et tout cela composait une sorte de complexe que l’on p
36 ste de vie. » 133. Saint Jean de la Croix : « Ô brûlure suave ! » et tout le commentaire de ce vers dans la Vive flamme d’amo
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
37 ion avec l’aimée. Ce que désire Tristan, c’est la brûlure d’amour plus que la possession d’Iseut. Car la brûlure intense et dév
38 re d’amour plus que la possession d’Iseut. Car la brûlure intense et dévorante de la passion le divinise, et comme Wagner l’a v
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
39 me d’obéir, en sorte qu’il n’est plus en l’âme de brûlure , ni même de conscience de l’amour, mais seulement la sobriété heureus
22 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
40 bien cela qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la brûlure douce au cœur, le sang plus vite, le soulèvement plus ample de la res
23 1948, Suite neuchâteloise. VII
41 bien cela qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la brûlure douce au cœur, le sang plus vite, le soulèvement plus ample de la res
24 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
42 ssentent. Le sentiment brûlant dans leur cœur, la brûlure elle-même, l’autre n’étant que prétexte à brûler. Enfin, il faut rele
25 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
43 r archaïque, eaux, rochers, gorge, dragon, dieux, brûlure et fraîcheur. ⁂ Nous errons maintenant parmi les champs de ruines, ve
26 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
44 ui rappelle que la passion anéantit son objet. Sa brûlure , au début délicieuse, qu’on appelle l’état amoureux, n’est que sa for