1 atalans, des Francs-Comtois, des Bourbonnais, des Béarnais , des Savoyards, des Lorrains, des Corses, et j’en passe. La France, l

2 yal de Suède, qu’il appelle dans son journal « le Béarnais  ». L’ambition d’une carrière politique revient en force occuper le te

3 pas encore claire dans ma tête. 11 novembre. Le Béarnais veut de moi. Je m’attache à lui… Mais son propre terrain est mouvant.

4 er la première partie à Alexandre [le tsar] et au Béarnais . 18 janvier. Travaillé. Les événements vont si vite que mon livre n’

5 cherche à se libérer de Charlotte pour suivre le Béarnais et tenter avec lui sa chance politique : Mme de Staël l’y pousse, ell

6 la liberté. Il n’y en a plus pour notre homme [le Béarnais ]. Mon ouvrage fera bon effet, j’espère. Mais l’horizon n’est pas bien

7 rsonnage : 16 avril. Comme notre pauvre ami [le Béarnais ] est tombé !… Revu beaucoup de gens… Servons la bonne cause et servon