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ombier. Faire de la politique, c’était porter une
canne
ferrée et louer la « rigueur » de Maurras. Hélas. Tout change ! Tout
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comme ça. Il faut le laisser frapper le sol de sa
canne
et redresser sa casquette pour ponctuer ses raisonnements d’alcooliqu
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vieux le tient par la manche et lui martèle de sa
canne
le bout des souliers : « Tu m’entends ? Nous ôtres, nous allons vous
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vieille, me dit-il. Figurez-vous qu’elle tient sa
canne
à la main, comme ça, sur la couverture, et elle explique que c’est po
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comme ça. Il faut le laisser frapper le sol de sa
canne
et redresser sa casquette pour ponctuer ses raisonnements d’alcooliqu
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vieux le tient par la manche et lui martèle de sa
canne
le bout des souliers : — Tu m’entends ? Nous ôtres, nous allons vous
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vieille, me dit-il. Figurez-vous qu’elle tient sa
canne
à la main, comme ça, sur la couverture, et elle explique que c’est po
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j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux et ses
cannes
accrochés dans le hall, la chambre de Thoreau avec son lit qu’il avai
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comme ça. Il faut le laisser frapper le sol de sa
canne
et redresser sa casquette pour ponctuer ses raisonnements d’alcooliqu
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vieux le tient par la manche et lui martèle de sa
canne
le bout des souliers : « Tu m’entends ? Nous ôtres, nous allons vous
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vieille, me dit-il. Figurez-vous qu’elle tient sa
canne
à la main, comme ça, sur la couverture, et elle explique que c’est po
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j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux et ses
cannes
accrochés dans le hall, la chambre de Thoreau avec son lit qu’il avai
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j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux et ses
cannes
accrochés dans le hall, la chambre de Thoreau avec son lit qu’il avai
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es du Japon.)82 Et justement Kassner serrait deux
cannes
dans ses énormes mains d’infirme — paralysé des jambes dès le berceau
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vures. 83. Kassner s’obligeait à marcher sur ses
cannes
plusieurs heures par jour : « Depuis le temps de mon semestre à Berli
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omeneur de la littérature universelle, malgré mes
cannes
ou à cause d’elles. Ce qui ne signifie pas grand-chose pour la littér
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n personnage d’âge indéfinissable, appuyé sur une
canne
, l’œil étrangement vif et résolu derrière un lorgnon démodé, et qui m
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s d’un secrétaire, souvent seul et s’aidant de sa
canne
, des « responsables » se mirent à l’œuvre, des comités se constituère
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es du Japon)83. Et justement Kassner serrait deux
cannes
dans ses énormes mains d’infirme — paralysé des jambes dès le berceau
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vures. 84. Kassner s’obligeait à marcher sur ses
cannes
plusieurs heures par jour : « Depuis le temps de mon semestre à Berli
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omeneur de la littérature universelle, malgré mes
cannes
ou à cause d’elles. Ce qui ne signifie pas grand-chose pour la littér
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crois bien. Un curieux personnage appuyé sur une
canne
m’a entraîné loin des interviewers, m’a fait asseoir devant une fine