1
ré tout entier, il a bravement affirmé son unité.
Car
le temps n’est plus, où les jeunes gens se faisaient, avec sérieux, d
2
rre, dira-t-on. M. de Montherlant répondra : non,
car
la faiblesse est le péché capital pour le sportif. Or c’est la faible
3
ison. Ce qu’on en peut retenir, c’est la méthode,
car
je crois qu’elle sert mieux la démocratie que l’Église romaine, quoi
4
la Rose d’Or témoignaient de ces mêmes qualités :
car
la façon de peindre correspond à la façon de penser du peintre. Souha
5
change sur la pauvreté d’un art purement formel.
Car
c’est ici le tragique de cette mystification : la plupart des surréal
6
sque bien de nous en rendre un peu plus esclaves.
Car
depuis Freud — dont ils se réclament imprudemment, — on sait ce que c
7
usqu’au bout un roman de 500 pages comme Rabevel.
Car
si la liquidation des questions traitées est rapide, elle est complèt
8
tion seulement qu’on a imaginé un péril oriental,
car
il semble bien que dans le domaine de la culture le péril n’existe qu
9
. les deux réponses d’André Gide en particulier).
Car
la plupart des enquêtés se font de l’Orient une représentation vague
10
encore et uniquement par leur obsédante volonté.
Car
on imagine difficilement un art plus dépouillé de détail extérieur ou
11
; ce que d’ailleurs Mlle Simone Téry ne fait pas.
Car
elle veut éviter l’emballement et conserver dans l’admiration son sen
12
estation, étouffées par des forces qui se lèvent.
Car
telle est la vertu de ce livre, qu’on l’éprouve d’abord trop vivement
13
a même mesure, — et aussi la figure de l’auteur :
car
il n’est guère de comparaison valable qu’entre individus, et comme ty
14
homme éprouve ce qu’il imagine d’éprouver. » Non.
Car
à supposer que l’analyse nous crée, elle ne nous crée pas n’importe c
15
construire, de composer ; impuissance à inventer.
Car
inventer, c’est se porter à l’extrême pointe de soi, et, d’un élan, s
16
bsurde.) Enfin, désagrégation de la personnalité,
car
l’analyse la plus savante, comme l’a fort bien dit Ramon Fernandez, «
17
rdit de nommer ce dont je ne veux plus souffrir. (
Car
il n’est peut-être qu’une espèce de souffrance véritablement insuppor
18
e la confession d’Augsbourg) et surtout morales :
car
malgré des félicitations arrachées par Louis XIV au pape, les catholi
19
ie après seulement toutes les morts du plaisir »,
car
elle sait « qu’entre les êtres, le bonheur est un lien sans durée. Se
20
ncertain quelques bouteilles de champagne vides ;
car
on pardonne l’ivresse, mais non certaines douleurs. Même, je fus obli
21
es que la raison ignore ou tyrannise aveuglément,
car
« nous avons dressé notre orgueilleuse raison à nous tromper sur tout
22
’est pas synonyme d’incompréhensible, non Madame,
car
alors quoi de plus surréaliste que le film 1905. Ce n’est peut-être q
23
l’une n’étant que le chemin qui mène à l’autre ?
Car
la foi naît de l’inquiétude autant que de la grâce, et régénère sans
24
j’admire une pointe d’ironie vraiment supérieure.
Car
rien ne pouvait mieux exciter, signe d’aise extrême, vos glandes sali
25
rt de s’en écarter. Voilà bien leur désinvolture,
car
enfin, elle est déesse. Mais entre leurs mains qu’est-elle devenue ?
26
ser par l’évidence définitive de notre absurdité.
Car
l’homme « s’est fait une vérité changeante et toujours évidente, de l
27
ion bien méritée du talent d’un de ses enfants… »
Car
le fils prodigue, s’il rentre au foyer dans une Rolls-Royce et fortun
28
esser la reliure qu’il doit avoir faite lui-même.
Car
il est artisan, dans le beau sens ancien du terme, tout comme son frè
29
détestais de peiner quelque être, même ennemi, —
car
celui-là je le méprisais trop sincèrement. » Vers cette époque, une f
30
e savaient vierge et c’était la joie de leur vie,
car
ils aimaient en moi par-dessus tout la vertu que je leur devais. Pour
31
e. Et cela n’est pas sans me charmer, croyez-moi.
Car
, enfin, si je suis ici à vous écouter, c’est que je cherche ce qu’on
32
ou à Gérard de Nerval. Bientôt vous vous calmez.
Car
il semble aujourd’hui que ce globe dans son voyage « est arrivé à un
33
vous ferais un devoir de ce plaisir. Un devoir !…
Car
hélas, l’on n’est pas impunément concitoyen de cet oncle Abraham qui
34
est égal, ce soir, tout cela est sans importance,
car
voici « l’heure des petits arbres pourpres, l’heure où dans les bibli
35
ste. Et maintenant voici Genève et son mystère.
Car
chaque année, renaissant des décombres où s’anéantirent l’honneur et
36
ivre sympathique ; et il vaut la peine de le dire
car
la chose n’est pas si fréquente dans la production actuelle. On retro
37
st qu’il l’ait trompé sur ses véritables besoins.
Car
cela va bien plus profond, cette tromperie-là. Elle peut amener, en s
38
eux-mêmes dans un monde fordisé, des anarchistes.
Car
l’Esprit n’est pas un luxe, n’est pas une faculté destinée à amuser n
39
ma déception, sinon moi-même, me dis-je bientôt.
Car
je professe qu’un désir vraiment pur parvient toujours à créer son ob
40
ez que les miennes étaient de meilleure qualité :
car
c’est une pauvre illusion que le plaisir qu’on vient chercher ici ave
41
ut-être te reconnaîtrais-tu sous un autre visage.
Car
oublier son visage, ne serait-ce pas devenir un centre de pur esprit
42
ont perdu toute foi ne connaîtront pas de pardon.
Car
ils ont vu, et s’ils n’ont pas cru, c’est qu’ils sont foncièrement ma
43
mme tout le monde, à l’entrée d’un des archiducs.
Car
ce peuple, seul en Europe, attend le retour d’un roi. Et vous voici t
44
ose, qui apaise le vain débat de notre esprit : «
Car
l’on pense beaucoup trop haut, et cela fait un vacarme terrible. »
45
otre temps doit vouer l’attention la plus grave —
car
il vécut dans ces marches de l’esprit humain qui confinent peut-être
46
d12, déchirement à peine sensible dans son œuvre.
Car
ce poète n’est peut-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’
47
parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina,
car
aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son
48
veilles qui valent de gros romans « bien faits ».
Car
il y a toujours assez de vérité dans une histoire où il y a de la poé
49
is M. Benda distinguera, et ils seront confondus.
Car
il y a un sophiste en M. Benda, un polémiste qui joue de la raison ra
50
lution fort simple qui d’ailleurs était la bonne,
car
le grand Remède, c’est un Simple. Des hurlements de rage ne tardèrent
51
uguss, des bretzels, sa petite amie, au secours !
Car
j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élève pour mettre en
52
autant mieux qu’on était devenus plus différents.
Car
ces différences sont les premières marques de la vie vécue et l’on ai
53
: cheveux longs, regard profond voilé de douceur.
Car
le type populaire du poète romantique s’est dégradé en deux sous-type
54
difficile, tandis qu’à l’école elle est de règle.
Car
la qualité et la quantité des réponses « fournies » par le prévenu (l
55
éritable et autres plaisanteries de gros calibre,
car
à la vérité ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre
56
tirant le meilleur parti possible de l’exercice ;
car
il ne manque à ce système, avouez-le, que juste la spontanéité nécess
57
es Inspecteurs des Écoles. Je le crains, dis-je ;
car
le monde ne progresse qu’à la faveur de malentendus (si tant est qu’i
58
est de la part de notre Institutrice qu’un rendu.
Car
dans ce monde-là « tout se paye » comme ils disent avec une satisfact
59
qu’elle était liée aux intérêts de la démocratie.
Car
il faut bien se représenter qu’elle n’était encore au xviiie siècle
60
ré de notre instrument de progrès par excellence.
Car
il n’est qu’une explication vraisemblable de cette incurie : l’école,
61
e sur l’heure une véritable révolution scolaire ;
car
il ne faudrait pas moins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les
62
Or l’École radicale ne peut pas être idéaliste :
car
elle deviendrait un danger pour le désordre établi. L’idéalisme est f
63
sécurité d’un régime établi dans des fauteuils ;
car
un peuple d’électeurs fantaisistes serait parfois tenté de retirer br
64
vatrice, et non pas réactionnaire, non, même pas.
Car
les forces de réaction collaborent à leur manière au progrès, elles c
65
beaucoup d’entre nous — encore que peu l’avouent.
Car
détruire, déblayer, et faire des signes dans le vide à des hasards gr
66
s énervements. Il n’y a pas là de quoi se tordre.
Car
tout cela nous donnerait des années de liberté en même temps qu’un pe
67
cuseraient, mais se légitimeraient du même coup ;
car
sur ce plan elles ne font que traduire la diversité des besoins indiv
68
uss 2, des bretzels, sa petite amie, au secours !
Car
j’ai encore deux mots à dire. Dès qu’une voix s’élève pour mettre en
69
’autant mieux qu’on était devenu plus différents.
Car
ces différences sont les premières marques de la vie vécue et l’on ai
70
difficile, tandis qu’à l’école elle est de règle.
Car
la qualité et la quantité des réponses « fournies » par le prévenu (l
71
éritable et autres plaisanteries de gros calibre,
car
à la vérité ce n’est pas d’enseigner qu’il s’agit, mais de soumettre
72
tirant le meilleur parti possible de l’exercice ;
car
il ne manque à ce système, avouez-le, que juste la spontanéité nécess
73
es Inspecteurs des Écoles. Je le crains, dis-je ;
car
le monde ne progresse qu’à la faveur de malentendus (si tant est qu’i
74
est de la part de notre Institutrice qu’un rendu.
Car
dans ce monde-là « tout se paye » comme ils disent avec une satisfact
75
qu’elle était liée aux intérêts de la démocratie.
Car
il faut bien se représenter qu’elle n’était encore au xviiie siècle
76
ré de notre instrument de progrès par excellence.
Car
il n’est qu’une explication vraisemblable de cette incurie : l’école,
77
e sur l’heure une véritable révolution scolaire ;
car
il ne faudrait pas moins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les
78
Or l’École radicale ne peut pas être idéaliste :
car
elle deviendrait un danger pour le désordre établi. L’idéalisme est f
79
sécurité d’un régime établi dans des fauteuils ;
car
un peuple d’électeurs fantaisistes serait parfois tenté de retirer br
80
vatrice, et non pas réactionnaire, non, même pas.
Car
les forces de réaction collaborent à leur manière au progrès, elles c
81
beaucoup d’entre nous — encore que peu l’avouent.
Car
détruire, déblayer, et faire des signes dans le vide à des hasards gr
82
s énervements. Il n’y a pas là de quoi se tordre.
Car
tout cela nous donnerait des années de liberté, en même temps qu’un p
83
cuseraient, mais se légitimeraient du même coup ;
car
sur ce plan elles ne font que traduire la diversité des besoins indiv
84
ur de l’homme — à condition qu’il les surmonte. «
Car
l’homme est quelque chose qui doit être surmonté » comme dit Zarathou
85
uelle correspond à une certaine sécheresse d’âme.
Car
on ne voit que ce qu’on mérite. — Les plus beaux fantômes, et les plu
86
r notre conscience. C’est un effort de création —
car
toute découverte du monde spirituel revêt pour nous, normalement, l’a
87
évelopper noblement. Une chute dans le quotidien.
Car
, en somme, le Prophète Chauve est devenu le jardinier du Rozsadomb… M
88
qui en ont envie, puis ceux qui en auront envie :
car
cela m’inciterait à chercher après coup des transitions, et c’est alo
89
ur le sent vite, et devient extrêmement exigeant,
car
le plus beau mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité
90
araît infiniment baroque, à peine compréhensible,
car
on ne choisit pas un sujet : on est sujet. Et tout ceci n’est rien qu
91
vous conseille de n’y plus penser quelque temps…
Car
on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l
92
r d’orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie
car
l’orgueil hongrois n’est point de ce que l’on gagne sur autrui, mais
93
— chez les Tchèques déjà… Nous allons aux bains,
car
c’est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux no
94
la ruse hongroise qu’ils ne peuvent pas déjouer,
car
le Hongrois est ingénument rusé, à la façon des passionnés, non point
95
ue la traduction de tels fragments est illusoire,
car
on ne peut songer à remplacer ces mots-notes par des syllabes de vale
96
s auront toujours raison, mais n’auront que cela,
car
c’est l’ivresse15 seulement qui permet à l’esprit de passer d’une for
97
t Andersen assure qu’elles parlent en égyptien, «
car
c’est la langue qu’elles apprennent de leurs mères ». Combien j’aime
98
’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique —
car
aussitôt donnée la phrase, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entra
99
verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
car
voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fan
100
alité du monde, effacer ta dernière différence, —
car
on ne voit que ce qui est de soi-même, et conscient… C’est à cause d’
101
es difficultés que ne saurait l’être le créateur.
Car
une telle conscience appartient au critique avant tout, et c’est pour
102
e pas l’égalité de droit de ces deux disciplines.
Car
la science à peine libérée, demande la tête de la métaphysique. Elle
103
ttitude paralléliste. 6. J’exagère probablement,
car
la sincérité de ce néo-scientisme tempéré — sinon vraiment converti —
104
. D’ailleurs, il ne veut pas poétiser le tableau,
car
, pour lui, « être poétique, c’est avoir besoin d’illusions ». Je sout
105
économique qui paraît de plus en plus impossible,
car
elle équivaudrait à une transformation radicale des conditions matéri
106
t pour qu’une réponse valable pût être esquissée.
Car
, avouons-le, du fait même de la nouveauté que représentait une telle
107
t seront conditionnés par un renouveau doctrinal.
Car
, et c’est un paradoxe qui n’étonnera pas ceux que le problème de la c
108
ui rende aux valeurs spirituelles leur primauté :
car
c’est à cette condition seulement que la vie humaine gardera sa signi
109
e décharger ces critiques d’une tâche impossible.
Car
toute la valeur de l’œuvre de Baring réside dans sa durée, dans son a
110
tait là choisir un sujet inévitablement tragique.
Car
si l’histoire de l’ascension d’un caractère, d’une volonté, d’une âme
111
e. Seule épreuve qui permette de nous en libérer.
Car
au-dessus des fatalités humaines, ce qui compte chez les personnages
112
t être pris ici qu’au sens le plus conventionnel.
Car
à une tante anglaise qui lui exprime l’espoir que sa vie à l’étranger
113
directement de Dieu que Dieu est le plus absent.
Car
nous y sommes à chaque page incités à juger, induits en tentation, in
114
ir la thèse. Il eût pu s’en dispenser d’ailleurs,
car
en définitive la conversion de son héroïne nous paraît être à tel poi
115
ent. Je vous demande seulement de prier pour moi,
car
j’ai parfois la sensation que ma misère est plus que je ne peux suppo
116
le action ; sans crainte et sans vanité non plus,
car
son œuvre écrite n’est encore qu’un moyen de servir et d’agir. C’est
117
l’empêche pas de les reprendre ensuite, chez lui,
car
il professe avec fanatisme la non-résistance au mal. Bientôt il prend
118
ureurs dans le monde des moineaux. Il se taisait,
car
il savait qu’il était inutile de dire quoi que ce soit à cet homme en
119
discute », c’est irritant, vain et irréductible.
Car
la question sociale n’admet peut-être de solution que personnelle. Il
120
où d’autres triompheraient, il met une sourdine.
Car
il sait que la modestie est la vertu de choix du classicisme. Et qu’i
121
ile de loyauté à des fins rien moins que grandes.
Car
l’excès même de ces scrupules les fait tourner soudain, les fait cail
122
dace de conclusions en toute logique inévitables.
Car
ce qui naît de l’Évangile n’a de sens que par le jaillissement vers D
123
les dans un tel univers. Suppression du tragique.
Car
le tragique naît dans une âme qui s’efforce vers l’unité, vers l’unif
124
ture même de ses romans est un indice révélateur,
car
quoi qu’on dise de la différence entre la vie et le roman, la composi
125
sa pensée paraît réfractaire à toute description,
car
elle opère sur des mythes concrets plutôt que sur des formules explic
126
s faits nouveaux et vrais, dans un certain style.
Car
il n’est point de vérité sans forme. Quelques pages étranges et puiss
127
on mériterait-il d’être appelé Judas numéro deux.
Car
il ne s’agit pas de professer une chose mais d’être la chose. Le rare
128
il aurait besoin, qu’il imagine et dont il meurt.
Car
la vie est une espèce de marâtre et n’a que faire de nos tendresses.
129
arfois —, ce dont on hésite à lui faire reproche,
car
ce qui lui importe, comme à nous, c’est précisément le sentiment d’ab
130
la moindre ironie vis-à-vis de ses personnages ;
car
il risque de les priver par là de cette autorité mystique, absolue et
131
lique, que d’une inspiration vraiment chrétienne.
Car
c’est à juste titre, croyons-nous, qu’on put écrire de Saint-Saturnin
132
rer celles-ci comme leur accusation perpétuelle ?
Car
la vraie question qu’elles posent, chrétiennement, c’est de savoir si
133
vrai que ceux-ci sont souvent les plus éclatants.
Car
un système politique, une doctrine, une éthique, s’ils s’abandonnent
134
en quoi elle révèle la faiblesse de sa théologie.
Car
il est certains cas où celui qui craint de dire toute la vérité n’exp
135
Aussi bien avons-nous d’autres raisons d’espérer.
Car
si la forme artistique adéquate au libéralisme fut l’analyse d’états
136
mbrassée et par elle tout un pays et son peuple ;
car
« c’est ici le pays de la solidité, parce que c’est le pays des resse
137
au jugement dernier et qui régnait aux Origines,
car
la Fin et le Commencement « sont en ressemblance et voisinage ». Ce r
138
l’étymologie. Aussi, par le passage à la limite :
car
la plus grande crise imaginable, c’est l’arrêt absolu, suprême : le J
139
aissance, cependant ils seraient en droit d’agir,
car
on s’y peut contenter de vraisemblance. La monstrueuse contradiction
140
’en vais l’appliquer. Comment le pourraient-ils ?
Car
il faut qu’un idéal ait « pris corps » pour qu’il devienne « applicab
141
n’osait imaginer de « réalisation » que sociale :
car
il faut bien qu’on s’y mette à plusieurs, — rassurante perspective, p
142
ne la pensée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit.
Car
toute incarnation s’opère au prix d’un héroïsme, l’on veut dire : d’u
143
la pensée même de Dieu n’y est point soustraite.
Car
elle s’incarne dans le Fils pour agoniser sur la Croix, qui est le Si
144
le plus difficile et le seul humainement fécond.
Car
un tel silence n’est pas absence de mots. C’est encore chez Goethe un
145
aurions combiné tout cela avec de la littérature.
Car
il n’est pas donné à beaucoup d’hommes de devenir un mythe à force de
146
l’âme est prête à recevoir « l’amour d’en haut ».
Car
telle est le yoga occidental, dont le Second Faust restera comme le l
147
est une légende, et une légende d’origine juive,
car
elle remonte à Heine. Elle est un mythe, au moyen duquel on peut fair
148
faut à ce génie, c’est le sens tragique du péché.
Car
c’est bien dans le sens du péché que gît l’irréductible, c’est-à-dire
149
prolétariat tout abruti de travail et de cinéma.
Car
enfin ce n’est pas l’humanisme du xvie siècle qui nous chaut, et enc
150
s plus hautes et les plus quotidiennes à la fois.
Car
s’il faut une morale simple, nous ne saurions admettre que celle qui
151
rices, ou de la Foi. Peu de malentendus pourtant.
Car
c’est le plus souvent sous le coup d’indignations pareilles et de sur
152
du siècle, une présence enfin qui soit un acte :
car
pour nous désormais la Révolution vit, si nous vivons. Autour de nous
153
Le libéralisme de la bourgeoisie est un mensonge.
Car
, dans la mesure où il veut être effectif, il doit accepter libéraleme
154
une prédilection à vrai dire bien compréhensible,
car
cela mène pratiquement à l’acceptation des solutions officielles. M.
155
nstrueuse, ou qu’il commet une cynique imposture.
Car
nous vivons en vérité sous un régime de violence, et tous les bourgeo
156
plus néfastes que les plus violents cataclysmes,
car
là où ils passèrent et répandirent leurs excréments, la terre même re
157
ée de badinage. C’est à la fois trop et trop peu.
Car
, ou bien M. Duhamel critique l’abus des mécaniques, ce qui revient à
158
’humanité de sarcasmes qu’ils n’ont pas inventés,
car
la véritable invective n’est qu’une forme polémique de la générosité.
159
que la Parole de Dieu désigne comme une lâcheté.
Car
en présence de l’athéisme militant, nous n’avons plus à prouver vaine
160
sement ». Mais les marxistes n’y échapperont pas.
Car
celui qui refuse de penser le péché, refuse d’envisager l’ultime et l
161
son bien ni son mal, — et sans cesse il en parle,
car
la Société vit sous le règne des jugements. Mais d’autre part, peut-o
162
halange de rhéteurs qui va de Jaurès à Sangnier ;
car
c’est, vous m’entendez, « au nom de la cause sacrée de la paix » que
163
s idées courantes, ou de confirmer telles autres.
Car
notre opposition ne prendra jamais son point de départ dans ces idées
164
vérité, qu’un acte de soumission et d’espérance,
car
ce n’est pas aux hommes que nous disons : nous voici. a. « Hic et n
165
ue, ou marxiste, c’est sortir de la réalité même.
Car
la réalité est précisément ce qui nous met en relation personnelle et
166
», les hommes de ce temps n’aiment pas répondre,
car
c’est une question personnelle. Une mise en question réelle. Je la ch
167
st dans cette vue qu’ont été réunies — rapidement
car
tout nous presse — les déclarations que l’on va lire. i. « Cahier d
168
s de réviser, par « démesure » et « confusion » ?
Car
il est trop certain que le mot démesure désigne dans l’esprit d’un bo
169
is alors M. Truc parle des « brumes nordiques » !
Car
la métamorphose a pour effet certain de rendre tout légalisme ineffic
170
tout pratiques, strictement limités à la victime.
Car
il reste sous-entendu et bien entendu, qu’en soi, la vérité est immua
171
il est même probable qu’ils forment la majorité,
car
peu de gens sont typiques de quoi que ce soit. Il reste que certains
172
sque dans ses modes les plus intimes de souffrir.
Car
il n’accepte pas la souffrance comme une condition de la conscience d
173
ste rarement à la tentation de cultiver le péché.
Car
de la sorte, il s’imagine que réalité spirituelle sera plus vive, son
174
t-à-dire, un état d’intensité mortelle de la vie.
Car
la conscience de vivre implique une réflexion concrète qui exalte la
175
ême compensée par une réelle prise de conscience.
Car
voici bien le triomphe du sentiment : c’est qu’en définitive il détie
176
ma déception, sinon moi-même, me dis-je bientôt.
Car
je professe qu’un désir vraiment pur parvient toujours à créer son ob
177
ez que les miennes étaient de meilleure qualité :
car
c’est une pauvre illusion que le plaisir qu’on vient chercher ici ave
178
Les petites baronnes ont froid, veulent rentrer,
car
elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, elles
179
évelopper noblement. Une chute dans le quotidien.
Car
, en somme, le Prophète Chauve est devenu le jardinier du Rozsadomb… M
180
qui en ont envie, puis ceux qui en auront envie :
car
cela m’inciterait à chercher après coup des transitions, et c’est alo
181
ur le sent vite, et devient extrêmement exigeant,
car
le plus beau mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité
182
araît infiniment baroque, à peine compréhensible,
car
on ne choisit pas un sujet : on est sujet. Et tout ceci n’est rien qu
183
vous conseille de n’y plus penser quelque temps…
Car
on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l
184
d’orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie :
car
l’orgueil hongrois n’est point de ce que l’on gagne sur autrui, mais
185
— chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains,
car
c’est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux no
186
vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète :
car
demeurer ici, c’est demeurer vraiment « en pleine nature », un peu au
187
s auront toujours raison, mais n’auront que cela,
car
c’est l’ivresse10 seulement qui permet à l’esprit de passer d’une for
188
t Andersen assure qu’elles parlent en égyptien, «
car
c’est la langue qu’elles apprennent de leurs mères ». Combien j’aime
189
’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique —
car
aussitôt donnée la phrase, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entra
190
verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
car
voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fan
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alité du monde, effacer ta dernière différence, —
car
on ne voit que ce qui est de soi-même, et conscient. Et c’est à cause
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la ruse hongroise qu’ils ne peuvent pas déjouer,
car
le Hongrois est ingénument rusé, à la façon des passionnés, non point
193
otre temps doit vouer l’attention la plus grave —
car
il vécut dans ces marches de l’esprit humain qui confinent peut-être
194
d15, déchirement à peine sensible dans son œuvre.
Car
ce poète n’est peut-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’
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parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina,
car
aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son
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ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’humain ?
Car
voici bien le monde qu’on nous a fait. Tout encombré d’idées sans cor
197
espondent à rien ni dans le ciel ni sur la terre.
Car
enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc que ce paradoxal mélang
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sir. C’est un cliché d’un autre âge, et trompeur.
Car
l’argent n’est pas le plaisir et ne s’obtient pas dans le plaisir. Le
199
parage spirituel. Le corps même y trouve sa part,
car
l’invention favorise la circulation du sang, amplifie le rythme des m
200
veut les connaître et les posséder dans sa force.
Car
la lenteur est chose souveraine, — elle seule domine l’amour. Les plu
201
une ère où la matière l’emporte. Provisoirement ;
car
il se produit ceci d’étrange que la matière à certaines très grandes
202
eur place en même temps que le maître la sienne :
car
à peine arrivé il crie le nom d’un des enfants et celui-ci récite une
203
nombreuses, à grand renfort de chevaux de trait,
car
la nature marécageuse du sol rend les transports malaisés. Souvent,
204
en ballant, durant des heures sans dire un mot, —
car
il ne fallait pas effrayer le gibier sensible au moindre son de voix
205
de bouches, une injure dans le vide, d’ailleurs,
car
ceux qui l’utilisent ignorent ce qu’elle désigne. Un tel milieu ne so
206
es, mais pour les lèvres de ceux qui vous aiment.
Car
elles sont insensées, mais comme des baisers dans l’air. Je voudrais
207
su si vous préfériez le bonheur ou la tristesse.
Car
vous ne savez pas où est votre bien. C’est pourquoi les mots vous par
208
rte postale en couleurs. Et non pas à la réalité.
Car
vous n’aimez pas réfléchir à la souffrance. (Un silence.) Sans do
209
êtes sur les pentes, — beau temps de la présence.
Car
tu sais pour quel « bien » désiré tu les aimes ; mais tu sais qu’au s
210
s de réviser, par « démesure » et « confusion » ?
Car
il est trop certain que le mot démesure désigne dans l’esprit d’un bo
211
is alors M. Truc parle des « brumes nordiques » !
Car
la métamorphose a pour effet certain de rendre tout légalisme ineffic
212
tout pratiques, strictement limités à la victime.
Car
il reste sous-entendu et bien entendu, qu’en soi, la vérité est immua
213
il est même probable qu’ils forment la majorité,
car
peu de gens sont typiques de quoi que ce soit. Il reste que certains
214
sque dans ses modes les plus intimes de souffrir.
Car
il n’accepte pas la souffrance comme une condition de la conscience d
215
ste rarement à la tentation de cultiver le péché.
Car
de la sorte, il s’imagine que sa réalité spirituelle sera plus vive,
216
t-à-dire, un état d’intensité mortelle de la vie.
Car
la conscience de vivre implique une réflexion concrète qui exalte la
217
ême compensée par une réelle prise de conscience.
Car
voici bien le triomphe du sentiment : c’est qu’en définitive il détie
218
Les petites baronnes ont froid, veulent rentrer,
car
elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, elles
219
évelopper noblement. Une chute dans le quotidien.
Car
, en somme, le Prophète Chauve est devenu le jardinier du Rozsadomb… M
220
d’orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie :
car
l’orgueil hongrois n’est point de ce que l’on gagne sur autrui, mais
221
— chez les Tchèques déjà. Nous allons aux bains,
car
c’est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux no
222
vents ne l’emportent pas, un beau nid de poète :
car
demeurer ici, c’est demeurer vraiment en « pleine nature », un peu au
223
s auront toujours raison, mais n’auront que cela,
car
c’est l’ivresse7 seulement qui permet à l’esprit de passer d’une form
224
t Andersen assure qu’elles parlent en égyptien, «
car
c’est la langue qu’elles apprennent de leurs mères ». Combien j’aime
225
’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique —
car
aussitôt donnée la phrase, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entra
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verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
car
voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fan
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alité du monde, effacer ta dernière différence, —
car
on ne voit que ce qui est de soi-même, et conscient. Et c’est à cause
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eur place en même temps que le maître la sienne :
car
à peine arrivé il crie le nom d’un des enfants et celui-ci récite une
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nombreuses, à grand renfort de chevaux de trait,
car
la nature marécageuse du sol rend les transports malaisés. Souvent, a
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en ballant, durant des heures sans dire un mot, —
car
il ne faut pas effrayer le gibier sensible au moindre son de voix hum
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e bouches, — une injure dans le vide, d’ailleurs,
car
ceux qui l’utilisent ignorent ce qu’elle désigne12. Un tel milieu ne
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otre temps doit vouer l’attention la plus grave —
car
il vécut dans ces marches de l’esprit humain qui confinent peut-être
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d14, déchirement à peine sensible dans son œuvre.
Car
ce poète n’est peut-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’
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parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina,
car
aussitôt l’on se met à raconter les choses les plus affreuses sur son
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ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’humain ?
Car
voici bien le monde qu’on nous a fait. Tout encombré d’idées sans cor
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espondent à rien ni dans le ciel ni sur la terre.
Car
enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc que ce paradoxal mélang
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sir. C’est un cliché d’un autre âge, et trompeur.
Car
l’argent n’est pas le plaisir et ne s’obtient pas dans le plaisir. Le
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parage spirituel. Le corps même y trouve sa part,
car
l’invention favorise la circulation du sang, amplifie le rythme des m
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veut les connaître et les posséder dans sa force.
Car
la lenteur est chose souveraine, — elle seule domine l’amour. Les plu
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une ère où la matière l’emporte. Provisoirement ;
car
il se produit ceci d’étrange que la matière à certaines très grandes
241
ier. La liberté ne peut survivre à de tels chocs.
Car
elle est vraiment comme un rêve, un rêve heureux où l’on circule avec
242
oindre des réalités humaines qu’ils ont tuées. “…
car
ils ne savent ce qu’ils font.” » Ce texte parut le 17 juin dans la G
243
neuses en plein jour. Le seul vestige de nature —
car
l’eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir cou
244
s lois économiques et de leurs fatales réalités :
car
ce sont les réalités d’un monde tout artificiel que nous, les hommes
245
porte en moi ? Mais il faut aller vers les êtres,
car
ce sont eux qui changent et qui s’éloignent. Un autre sentiment que j
246
s jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien.
Car
voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement attendre son tour
247
oulevard Saint-Michel ? Mais sur les quais, où le
car
nous dépose, j’ai retrouvé les grandes mesures de Paris. Dans quel si
248
désintégrer, peler et ronger jusqu’aux moelles ?
Car
telle est bien l’alternative. Et personne ne peut deviner si c’est le
249
t. Le Prince se fait représenter en son absence [
car
en fait il vit à Berlin] par un Gouverneur qui jouit d’une très-grand
250
i d’une lueur muette qui s’approche et nous aime.
Car
voici l’heure de la solitude et l’origine d’un mutisme sombre et ce n
251
ligence ? Oui, mais non pas à l’intellectualisme.
Car
, — et j’espère que le lecteur m’aura compris — ce n’est plus de jeux
252
rendent grâces au ciel, alors éclate le scandale,
car
alors, de par la défection, mais aussi de par la souveraineté, désorm
253
c’en est fait du christianisme de la chrétienté !
Car
ce cri est le témoignage d’un réveil. Et quand bien même il ne serait
254
er. Comment dès lors l’utiliserait-il à son gré ?
Car
d’une part il ne peut pas la compromettre, et ce qu’il compromet, c’e
255
les étoiles, je t’en précipiterai, dit l’Éternel…
Car
le jour de l’Éternel est proche pour toutes les nations. » (Abdias II
256
u en souffres ; mais j’ai encore plus à souffrir,
car
je suis encore plus sceptique que toi… Tu ne crois pas, dis-tu à ces
257
e, elle a perdu la seule force qui le dominait. «
Car
le péché n’est pas le dérèglement de la chair et du sang, mais le con
258
a toujours de vouloir sur le champ le plus juste.
Car
ce qui manifeste la foi, c’est le choix et non pas le système : il n’
259
’Acte — le seul ! — et tel est aussi le mystère ;
car
cette seule Rupture effective surpasse absolument nos forces, en même
260
rait au désordre actuel, capitaliste ou marxiste.
Car
la révolte du chrétien est immédiate, indubitable ; mais l’ordre chré
261
n’y a pas à demander de « solutions pratiques »,
car
la foi est précisément une force qui se manifeste par des ordres pers
262
, mais dites-moi ce qu’il faut que j’en fasse ? »
Car
, où la foi existe, existe le savoir. Entendons maintenant cette phras
263
et plus encore que vous ne l’imaginez peut-être,
car
si vous demandez des solutions pratiques, vous n’avez pas compris la
264
n de prendre vous-mêmes au sérieux vos questions.
Car
alors, vous approcheriez de la réponse, vous y offrant sans défenses