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, et qui sont plus néfastes que les plus violents
cataclysmes
, car là où ils passèrent et répandirent leurs excréments, la terre mê
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vons encore pu passer ensemble, à la veille de ce
cataclysme
. » La lettre était signée Maria. — Un vrai drame du destin ! fis-je a
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vons encore pu passer ensemble, à la veille de ce
cataclysme
. » La lettre était signée « Maria ». « Un vrai drame du destin ! » fi
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tes n’auraient donné lieu, suppose-t-on, qu’à des
cataclysmes
locaux tels qu’un grand trou suspect dans la plaine sibérienne, ou l’
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; si l’Europe devait disparaître, emportée par un
cataclysme
ou défaite, nation par nation, faute d’avoir su se fédérer en temps u
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uoi l’Europe est-elle par excellence la terre des
cataclysmes
guerriers ? Parce qu’elle est habitée par une quantité de races qui s
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908. — L’Europe est, par excellence, la terre des
cataclysmes
guerriers. Les pacifistes sont ou des imbéciles qui ignorent des lois
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uoi l’Europe est-elle par excellence la terre des
cataclysmes
guerriers ? Parce qu’elle est habitée par une quantité de races qui s
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1908 : « L’Europe est par excellence la terre des
cataclysmes
guerriers… Elle n’a pas de chance… Malheureuse Europe ! Pourquoi lui
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nti. Cent-mille victimes, là aussi, mais non d’un
cataclysme
instantané : d’un coup de crosse sur le crâne, d’un coup de baïonnett
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s devait en marquer l’inévitable conclusion. Deux
cataclysmes
de dimensions mondiales, au xxe siècle, ont montré ce que « l’Europe
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s devait en marquer l’inévitable conclusion. Deux
cataclysmes
de dimensions mondiales, au xxe siècle, ont montré ce que « l’Europe
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enir, il n’y aura plus d’avenir humain au-delà du
cataclysme
inévitable que les rares survivants ne raconteront pas…, etc. » Quel
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urvivants ne raconteront pas…, etc. » Quel est ce
cataclysme
que vous annoncez ? D’abord je vous ferai remarquer que cette phrase
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r, il arrivera…, etc. » Donc je n’annonce pas des
cataclysmes
, j’essaie au contraire de les prévenir. C’est ce qui me distingue de
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t les mêmes — vous le noterez — qui annoncent les
cataclysmes
et qui les provoquent ! En revanche, les écologistes, dont je suis, p
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la fin de votre phrase de tout à l’heure sur les
cataclysmes
? La voici : « Il n’y aura plus d’avenir humain au-delà du cataclysme
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i : « Il n’y aura plus d’avenir humain au-delà du
cataclysme
inévitable que les rares survivants ne raconteront pas, faute de publ
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nt à la guerre nucléaire. C’est un des aspects du
cataclysme
, le plus éclatant naturellement. Je suis absolument persuadé, et pers
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Je ne dis pas que l’asphyxie « naturelle » ou le
cataclysme
militaire sont inévitables. Je dis qu’il est de notre devoir de les é
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dans l’espoir que les événements le démentiront.
Cataclysme
ou apocalypse sont des mots épouvantails qu’il plante dans ses pages
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lumine des feux annonciateurs de l’apocalypse.
Cataclysme
inévitable Apocalypse ou cataclysme. Les mots sont forts mais Roug
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alypse. Cataclysme inévitable Apocalypse ou
cataclysme
. Les mots sont forts mais Rougemont les emploie : Si nous ne choisiss
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enir, il n’y aura plus d’avenir humain au-delà du
cataclysme
inévitable que les rares survivants ne se raconteront pas, faute de p
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enir, il n’y aura plus d’avenir humain au-delà du
cataclysme
inévitable que les rares survivants ne raconteront pas, faute de publ
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nautaires, qui sera celle du siècle à venir, sauf
cataclysme
écologique ou nucléaire. Je ne puis rien prédire, mais je puis dire n
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nir, il n’y aura pas d’avenir humain au-delà d’un
cataclysme
inévitable que les rares survivants ne raconteront pas, faute de publ
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i fait courir ces foules, ces jeunes ? La peur du
cataclysme
que vous évoquiez tout à l’heure ? La crise du pétrole nous a réveill