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portant pierre parmi les ouvriers qui édifient la
cathédrale
. C’est la fin seule qui « justifie » les moyens ambigus de l’art. Et
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portant pierre parmi les ouvriers qui édifient la
cathédrale
. J’imagine que ce diable va devenir à son tour une des pierres de la
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iable va devenir à son tour une des pierres de la
cathédrale
, la pierre d’angle grotesque, la chimère pétrifiée qui regarde la pla
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portant pierre parmi les ouvriers qui édifient la
cathédrale
. J’imagine que ce diable va devenir à son tour une des pierres de la
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iable va devenir à son tour une des pierres de la
cathédrale
, la pierre d’angle grotesque, la chimère pétrifiée qui regarde la pla
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dans la plus grande église gothique du monde, la
cathédrale
de Saint-Jean-de-Dieu, siège de l’évêque anglican de New York. Dix mi
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Comment ils construisent En Europe, terre des
cathédrales
, on demande à Le Corbusier de bâtir des églises en verre et en ciment
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; jusqu’à reproduire les tours non terminées des
cathédrales
européennes. Et les résidences luxueuses de la campagne ou de la vill
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k possède, en plus de ces églises, la plus grande
cathédrale
du monde : St-Jean-de-Dieu, édifiée au sommet d’une colline de granit
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flèches banales en pierre grise : Saint-Patrick,
cathédrale
catholique. Puis l’anglicane Saint-Thomas, aussi dissymétrique que Sa
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dans la plus grande église gothique du monde, la
Cathédrale
de Saint-Jean-de-Dieu, siège de l’évêque anglican de New York. Dix mi
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dans la plus grande église gothique du monde, la
cathédrale
de Saint-Jean de Dieu, siège de l’évêque anglican de New York. Dix mi
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dans la plus grande église gothique du monde, la
cathédrale
de Saint John the Divine, siège de l’évêque anglican de New York. Dix
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k possède, en plus de ces églises, la plus grande
cathédrale
du monde : Saint-Jean de Dieu, édifiée au sommet d’une colline de gra
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flèches banales en pierre grise : Saint-Patrick,
cathédrale
catholique. Puis l’anglicane Saint-Thomas, aussi dissymétrique que Sa
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.Comment ils construisent En Europe, terre des
cathédrales
, on demande à Le Corbusier de bâtir des églises en verre et en ciment
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; jusqu’à reproduire les tours non terminées des
cathédrales
européennes. Et les résidences luxueuses de la campagne ou de la vill
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t les rues de la Sainte Cologne, de la cité de la
Cathédrale
et des plus prestigieuses fondations religieuses, mais ne trouve pas
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liberté », guildes et corporations du Moyen Âge,
cathédrales
… Et voici la Renaissance et la Réforme. Désormais : La science n’est
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otre peau blanche ou de notre glorieux passé, des
cathédrales
gothiques ou de la peinture de la Renaissance. Nous ne pouvons que no
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n seulement ses capitales industrielles, mais ses
cathédrales
! (lisez-le pour y croire : p. 23). D’ailleurs, « l’Européen n’a pu s
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re des églises en faux gothique et même d’énormes
cathédrales
copiées sur les modèles combinés des basiliques de notre Moyen Âge, t
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liers de notre passé, ruines romaines, ruelles et
cathédrales
, palais classiques et baroques. Ils n’ont pas cela. Et la Russie n’a
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n seulement ses capitales industrielles, mais ses
cathédrales
! (lisez-le pour y croire : p. 23). D’ailleurs, « l’Européen n’a pu s
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ilier des Sermons qu’il prononce chaque jour à la
cathédrale
de Saint-Pierre. Rien n’est plus près de la parole improvisée, rien n
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n arrêt, médusé, réduit au silence, au pied d’une
cathédrale
d’eucalyptus géants plus hauts que les tours de Notre-Dame. Victoria
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comme l’immense abbaye princière d’Einsiedeln, la
cathédrale
de Saint-Gall et les églises de la campagne lucernoise, Beromünster,
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hington on édifie très sérieusement deux immenses
cathédrales
en gothique neuf, quand Le Corbusier fait Ronchamp. La diffusion euro
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carolingien, le Saint-Empire, l’art roman et les
cathédrales
, les croisades, les grandes écoles théologiques, le printemps de l’am
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comme l’immense abbaye princière d’Einsiedeln, la
cathédrale
de Saint-Gall et les églises de la campagne lucernoise, Beromünster,
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depuis des siècles le décor. Je ne parle pas des
cathédrales
gothiques et des grandes abbayes romanes ou baroques, mais je passe e
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llage est carillonné chaque soir au clocher de la
cathédrale
de Genève, comme un « indicatif » de la cité. Au xixe siècle, la vie
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onnels de la communauté peints sur les murs de la
cathédrale
, mais l’expression d’une personnalité qui assume son risque dans la c
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onnels de la communauté peints sur les murs de la
cathédrale
, mais l’expression d’une personnalité qui assume son risque dans la c
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siliques baroques, les mystères sur des parvis de
cathédrales
, les opéras dans des cours de palais, ou sur des places de petites vi
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nde suisse ou de l’assemblée des citoyens dans la
cathédrale
de Genève (Rousseau), modèles des conditions optimales de la particip
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élève du Gymnase de Lausanne monte en chaire à la
Cathédrale
, au cours d’une cérémonie de promotions, et s’écrie : « Nous voilà au
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siliques baroques, les mystères sur des parvis de
cathédrales
, les opéras dans des cours de palais, ou sur des places de petites vi
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e « Temple de Saint-Pierre », comme il appelle la
cathédrale
jouant le rôle d’agora. Il ne cesse de désigner comme l’origine de la
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jusqu’à dire que les Européens n’ont édifié leurs
cathédrales
(sic) que grâce à l’exploitation colonialiste du tiers-monde4 ! Ce ca
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ier Au début d’une très belle émission sur les
cathédrales
, la télévision nous montrait tout à l’heure la répartition géographiq
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iques de la civilisation du Moyen Âge ont été les
cathédrales
, ceux de notre époque seront les lourdes tours nucléaires. Les cathéd
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e époque seront les lourdes tours nucléaires. Les
cathédrales
édifiées par la piété des communautés urbaines ont été les sources pu
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’appliquant aux citoyens de Genève réunis dans la
cathédrale
. D’où l’idée, dérivée de Proudhon cette fois-ci, d’une société fondée
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u tous les citoyens de Genève — assemblés dans la
cathédrale
. C’est cela, le « souverain » dont il parle : un souverain visible, c