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t Alban confondent leurs génies dans une sorte de
cauchemar
de soleil et de sang. On peut penser ce qu’on veut de ce paganisme ex
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e des fous ». Mais non, on ne le secouera pas, ce
cauchemar
, ce monde moderne, ce monde de fous qui n’ont plus que leur raison, c
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e, et ces peuples de somnambules s’éveilleront du
cauchemar
où les plongent toutes vos drogues : presse, ciné, faux-luxe, suffrag
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e, et ces peuples de somnambules s’éveilleront du
cauchemar
où les plongent toutes vos drogues : presse, ciné, faux-luxe, suffrag
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a lune. Le contrôleur a dû jouer un rôle dans mes
cauchemars
. L’aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre
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yage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de
cauchemar
de la pensée, qui ne peut plus s’arrêter de penser). Se peut-il qu’on
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a lune. Le contrôleur a dû jouer un rôle dans mes
cauchemars
. L’aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre
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yage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de
cauchemar
de la pensée, qui ne peut plus s’arrêter de penser). Se peut-il qu’on
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a lune. Le contrôleur a dû jouer un rôle dans mes
cauchemars
. L’aube m’éveille dans le faubourg de Budapest, cheveux en désordre,
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yage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de
cauchemar
pensé, qui ne peut plus s’arrêter de penser). Se peut-il qu’on cherch
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fisquée par Marx. De cette enfance il me reste un
cauchemar
, l’école primaire, dont j’ai parlé ailleurse ; l’idée que mon village
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il, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne
cauchemar
aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendications confusém
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ersonne d’ailleurs n’a pu y parvenir. À la fin du
cauchemar
, on le tue dans des conditions trop déprimantes pour qu’il puisse son
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es replis de la vie quotidienne fouillés comme un
cauchemar
par le brusque soleil, et l’homme au centre, campé dans sa stature ré
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raisons obscures et implacables qui dominent les
cauchemars
. Et si vous gagnez de l’argent, vous louerez un de ces studios bien n
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ent » de nos ombres ? Je vois naître dans un lent
cauchemar
la Bête de l’Apocalypse, le dieu glacé État qu’ils édifient pour le G
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il, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne
cauchemar
aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendications confusém
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ent » de nos ombres ? Je vois naître dans un lent
cauchemar
la Bête de l’Apocalypse, le dieu glacé État qu’ils édifient pour le G
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il, droit au loisir, on sait en 1933 à quel morne
cauchemar
aux sursauts de mitraille conduisent ces deux revendications confusém
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rochaine d’une prise de pouvoir légal, qui est le
cauchemar
de sa vie. Après avoir « milité » pendant quarante ans, ce prophète e
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nous cette vision ressemble à s’y méprendre à un
cauchemar
. Mais alors que tant de poètes s’efforçaient à la même époque de déli
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’elles prennent sur les esprits, et la réalité de
cauchemar
qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission. Et c’est ains
23
’elles prennent sur les esprits, et la réalité de
cauchemar
qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission. Et c’est ains
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e dos au soleil toujours absent de l’imagerie des
cauchemars
. Pour bien comprendre le métro, il faut être pauvre, éreinté et enfié
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aire du moindre d’entre nous un prévenu. C’est le
cauchemar
du xxe siècle. Le triomphe de l’État sur l’homme. D’ailleurs on peut
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ucoup y rêvent. C’est ce rêve qui peut tourner au
cauchemar
. Car seule la force brutale peut opérer une union de ce type, qui n’e
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commune mesure : d’où l’impression d’entrave, de
cauchemar
. Impossible de savoir qui a gagné, quand une des règles principales d
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t-il hypnotisé son peuple, maintenant en proie au
cauchemar
de la force ? Ou bien serait-ce aujourd’hui seulement que la vérité d
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, une politique de romantisme collectif, voilà le
cauchemar
que rêve à côté de nous le IIIe Reich somnambulique. Nous avons tout
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s il arrive aussi que certains rêves, et certains
cauchemars
, soient vécus ; j’ai connu cela trois jours plus tard, dans une grand
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tale et irrémédiable inaction. Cela ressemble aux
cauchemars
; quand on ne peut pas courir pour attraper un train, parce qu’on est
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ur du péché, mais comme une sorte d’apparition de
cauchemar
, qui porte malheur et qui leur veut du mal. Elles ne se doutent pas q
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éel. Puisqu’on en meurt de plus en plus. C’est un
cauchemar
mais sans réveil possible. C’est le cauchemar de la réalité. La guerr
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un cauchemar mais sans réveil possible. C’est le
cauchemar
de la réalité. La guerre existe autour de nous, elle est fausse, impo
35
ai décrit l’œuvre de Satan, et cela finit dans un
cauchemar
qui ressemble à s’y méprendre à notre époque. Mais si vous ne croyez
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a cruauté. Mais si l’époque est sans issue, si le
cauchemar
est vrai cette fois, s’il n’est plus de réveil possible, pourquoi le
37
au moment même où il plongeait son peuple dans le
cauchemar
de l’hypnose collective. Procédé constant du démon ! Le tonnerre des
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ècle apparaîtra dans l’avenir comme une espèce de
cauchemar
verbal, de cacophonie délirante. On y parlait plus qu’on n’avait jama
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eurs péchés, mais comme une sorte d’apparition de
cauchemar
, qui porte malheur et qui leur veut du mal. Elles ne se doutent pas q
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éel. Puisqu’on en meurt de plus en plus. C’est un
cauchemar
mais sans réveil possible. C’est le cauchemar de la réalité. La guerr
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un cauchemar mais sans réveil possible. C’est le
cauchemar
de la réalité. La guerre existe autour de nous, elle est fausse, impo
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ai décrit l’œuvre de Satan, et cela finit dans un
cauchemar
qui ressemble à s’y méprendre à notre époque. Mais si vous ne croyez
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a cruauté. Mais si l’époque est sans issue, si le
cauchemar
est vrai cette fois, s’il n’est plus de réveil possible, pourquoi le
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au moment même où il plongeait son peuple dans le
cauchemar
de l’hypnose collective. Procédé constant du démon ! Le tonnerre des
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ècle apparaîtra dans l’avenir comme une espèce de
cauchemar
verbal, de cacophonie délirante. On y parlait plus qu’on n’avait jama
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eurs péchés, mais comme une sorte d’apparition de
cauchemar
, qui porte malheur et qui leur veut du mal. Elles ne se doutent pas q
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éel. Puisqu’on en meurt de plus en plus. C’est un
cauchemar
mais sans réveil possible. C’est le cauchemar de la réalité. La guerr
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un cauchemar mais sans réveil possible. C’est le
cauchemar
de la réalité. La guerre existe autour de nous, elle est fausse, impo
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ai décrit l’œuvre de Satan, et cela finit dans un
cauchemar
qui ressemble à s’y méprendre à notre époque. Mais si vous ne croyez
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a cruauté. Mais si l’époque est sans issue, si le
cauchemar
est vrai cette fois, s’il n’est plus de réveil possible, pourquoi le
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au moment même où il plongeait son peuple dans le
cauchemar
de l’hypnose collective. Procédé constant du démon ! Le tonnerre des
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ècle apparaîtra dans l’avenir comme une espèce de
cauchemar
verbal, de cacophonie délirante. On y parlait plus qu’on n’avait jama
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’est sérieux, cette fois-ci ça y est !… Vivant un
cauchemar
qui est vrai, nous allons en désordre au réveil. La mort, le désespoi
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ts. Il est victime de terreurs inexplicables. Des
cauchemars
envahissent sa vie quotidienne, le persécutent et lui rendent l’exist
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de l’humanité se voit attaquée par des figures de
cauchemar
qui symbolisent un inconscient trop longtemps opprimé, nié, laissé in
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d’autre issue que dans une révolte explosive. Le
cauchemar
envahit la planète. L’humanité comme aliénée se flagella et se meurtr
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ns l’ombre de nos âmes. On a remarqué que dans un
cauchemar
, ce qui nous terrifie n’est pas toujours l’aspect du personnage en sc
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tout ce que nous refusions d’admettre en nous. Le
cauchemar
nous apprend qu’il ne suffit pas de refuser un instinct ou quelque te
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nous cette vision ressemble à s’y méprendre à un
cauchemar
. Mais alors que tant de poètes s’efforçaient, à la même époque, de dé
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pour avouer qu’on ne peut pas se réveiller de ce
cauchemar
universel, il faut avoir, ne fût-ce qu’une fois, dans l’éclair d’un p
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souvenir global, cette inoubliable atmosphère de
cauchemar
poursuivi dans la veille, une sorte de schéma dogmatique transparaît.
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ollectif, mais à l’usage des philistins, voilà le
cauchemar
qu’aura rêvé le IIIe Reich somnambulique. Maladie religieuse bien plu
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sous l’occupation : Les Fleurs de Tarbes. 2. Ce
cauchemar
est fort bien décrit par Lewis Carroll dans la scène de la partie de
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ne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’est aussi le
cauchemar
des visas. Si cette folie furieuse et inutile ne régnait pas sur le m
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aieté, des corps petits, comme affaissés… Un vrai
cauchemar
… N’était-ce pas le contraste avec ces grands diables d’Américains ? N
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ne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’est aussi le
cauchemar
des visas. Si cette folie furieuse et inutile ne régnait pas sur le m
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Et c’est bien un de ces tours que nous jouent les
cauchemars
, de rapetisser méchamment tous les êtres, d’effacer les visages, et d
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? La société entière se transformera-t-elle en un
cauchemar
de statistiques, de directives, de formulaires, de fiches, de doubles
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ys ne le fut ; voici un peuple qui se réveille du
cauchemar
d’un bombardement moral, politique et physique dont chaque phase a du
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s il arrive aussi que certains rêves, et certains
cauchemars
, soient vécus ; j’ai connu cela, dans une grande gare de cette Europe
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’est sérieux, cette fois-ci ça y est !… Vivant un
cauchemar
qui est vrai, nous allons en désordre au réveil. La mort, le désespoi
74
e monde s’ouvre et s’éclaire comme au sortir d’un
cauchemar
. Mais c’est aussi comme un premier réveil désorienté dans une chambre
75
. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un
cauchemar
! Il manque seulement cette chose très vague, la liberté. Et cette fo
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fût aussi sombre. L’atmosphère était celle de mon
cauchemar
, mais j’étais libre encore de remonter la rue. L’occupation doit ache
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ne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’est aussi le
cauchemar
des visas. Si cette folie furieuse et inutile ne régnait pas sur le m
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Et c’est bien un de ces tours que nous jouent les
cauchemars
, de rapetisser méchamment tous les êtres, d’effacer les visages, et d
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a lune. Le contrôleur a dû jouer un rôle dans mes
cauchemars
. L’aube m’éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre
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yage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de
cauchemar
de la pensée, qui ne peut plus s’arrêter de penser). Se peut-il qu’on
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’elles prennent sur les esprits, et la réalité de
cauchemar
qu’elles affectent, — dont les affecte notre démission. Et c’est ains
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e dos au soleil toujours absent de l’imagerie des
cauchemars
. Pour bien comprendre le métro, il faut être pauvre, éreinté et enfié
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t-il hypnotisé son peuple, maintenant en proie au
cauchemar
de la force ? Ou bien serait-ce aujourd’hui seulement que la vérité d
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s il arrive aussi que certains rêves, et certains
cauchemars
, soient vécus ; j’ai connu cela, dans une grande gare de cette Europe
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C’est sérieux, cette fois-ci ça y est ! Vivant un
cauchemar
qui est vrai, nous allons en désordre au réveil. La mort, le désespoi
86
e monde s’ouvre et s’éclaire comme au sortir d’un
cauchemar
. Mais c’est aussi comme un premier réveil désorienté dans une chambre
87
nquantaine de pages, sans ratures, jaillies de ce
cauchemar
dont je ne m’éveillerai plus, puisqu’il est vrai. Et le début d’un lo
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. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un
cauchemar
! Il manque seulement cette chose très vague, la liberté, et cette fo
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fût aussi sombre. L’atmosphère était celle de mon
cauchemar
, mais j’étais libre encore de remonter la rue. L’occupation doit ache
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ne n’a pu le rêver. C’est cela, et c’est aussi le
cauchemar
des visas. Si cette folie furieuse et inutile ne régnait pas sur le m
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Et c’est bien un de ces tours que nous jouent les
cauchemars
, de rapetisser méchamment tous les êtres, d’effacer les visages, et d
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les géantes qu’on voudrait lui faire rencontrer…
Cauchemar
typique : il se promène dans une grande ville déserte… Phobie du maca
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? La société entière se transformera-t-elle en un
cauchemar
de statistiques, de directives, de formulaires, de fiches, de doubles
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squée par Marx. De cette enfance il me reste un
cauchemar
, l’école primaire, dont j’ai parlé ailleurs ; l’idée que mon village
95
ccord, c’est un beau rêve. En attendant, voici le
cauchemar
. Déjà les maréchaux s’installent et tirent leurs plans ; la Russie fa
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té et cependant, comme il arrive parfois dans les
cauchemars
, rien ne peut avancer, tout s’entrave. Cette lenteur insensée, angois
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enir 130 centres européens de la culture (un vrai
cauchemar
) ; ou décerner 3000 grands prix de littérature, d’art et de science ;
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enir 130 centres européens de la culture (un vrai
cauchemar
) ; ou décerner 3000 grands prix de littérature, d’art et de science ;
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llions rétablissant d’un seul coup la balance. Le
cauchemar
du « tête-à-tête avec l’Allemagne » s’évanouit dès que l’on songe aux
100
seul coup la balance ? Voulait-il suggérer que le
cauchemar
du « tête-à-tête avec l’Allemagne » s’évanouirait devant les joies d’
101
ire. L’utopie masochiste d’Orwell prolongeait le
cauchemar
stalinien, l’épurait, si j’ose dire, le rationalisait, et le poussait
102
la liberté, d’un faux réveil rêvé pendant un long
cauchemar
qui serait, en fin de compte, la vraie réalité ? On pourrait s’inquié
103
era dans l’Histoire le rêve du xixe siècle et le
cauchemar
du xxe siècle. L’Occident n’y croit plus. Il la revend d’occasion au
104
, insondablement faux, perd son sens et tourne au
cauchemar
, par la coïncidence absurde de deux « sens » qui se détruisent en se
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ire. L’utopie masochiste d’Orwell prolongeait le
cauchemar
stalinien, l’épurait, si j’ose dire, le rationalisait, et le poussait
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la liberté, d’un faux réveil rêvé pendant un long
cauchemar
qui serait, en fin de compte, la vraie réalité ? On pourrait s’inquié
107
ccord, c’est un beau rêve. En attendant, voici le
cauchemar
. Déjà les maréchaux s’installent et tirent leurs plans ; la Russie fa
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Bruxelles. La lenteur, évoquant celle de certains
cauchemars
, et la systématique insuffisance de ces « réalisations » expliquent l
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ationnel. Et qu’ils dénomment, à cause de cela, «
cauchemars
», les virtualités irrationnelles qu’ils détectent en germe dans le p
110
nir. Ils ne nient pas la possibilité que certains
cauchemars
se réalisent dans l’Histoire — il y a toujours des accidents. Mais le
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s des accidents. Mais le seul fait qu’ils nomment
cauchemars
certains complexes de phénomènes et pas d’autres implique une hiérarc
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a guerre atomique intercontinentale préviendra ce
cauchemar
suprême en provoquant le suicide du genre humain ; — ou bien, des gro
113
péril imminent et la conscience de vivre un long
cauchemar
où tout est faux, impossible et réel ; le refus de croire que l’état
114
quelque chose comme le miracle du réveil après le
cauchemar
où l’on hurlait seul, sans écho, devant l’indicible injustice de l’éc
115
expériences, nonobstant leurs aberrations. Le
cauchemar
d’Œcumenopolis L’historien Arnold Toynbee et l’architecte C. Doxia
116
ie, si elle se réalisait, nous plongerait dans le
cauchemar
sans fin d’une consommation forcenée et d’une pollution démentielle.
117
res. Mais le rêve de puissance totale n’est qu’un
cauchemar
. Une nation ne peut le rêver, le mimer et l’agir que dans l’hypnose,
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Bruxelles. La lenteur, évoquant celle de certains
cauchemars
, et la systématique insuffisance de ces « réalisations » expliquent l
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péril imminent et la conscience de vivre un long
cauchemar
où tout est faux, impossible et réel ; le refus de croire que l’état
120
purement pacifiques » — pourquoi préfèrent-ils le
cauchemar
? 188. Selon les termes de M. Debré, alors ministre de la Guerre, lo
121
quelque chose comme le miracle du réveil après le
cauchemar
où l’on hurlait seul, sans écho, devant l’indicible injustice de l’éc
122
quantitative, vouée à l’idéal (mais qui tourne au
cauchemar
) de la croissance illimitée. Mais voici la question décisive : « Jusq
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ste, ou un communiste le bourgeois, l’un étant le
cauchemar
de l’autre, c’est-à-dire une projection de la part honteuse de lui-mê
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res. Mais le rêve de Puissance totale n’est qu’un
cauchemar
. Une nation ne peut le rêver, le mimer et l’agir que dans l’hypnose,