1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
1 ait Lancelot, sous les ciels méditants de l’Ouest celtique  ; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre côté de l’E
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
2 ées avec art. Nous passions les clédars (beau mot celtique , l’un des rares qui subsistent chez nous) et les refermions avec soin
3 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
3 l’une des définitions d’Iseut dans la mythologie celtique . 91. L’Encyclique Casti connubii a répondu à la décision des évêques
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
4 la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiques . 99. En quoi consiste le respect, au sens où je le prends ici ? En c
5 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
5 oire de l’idéal courtois sur la robuste tradition celtique qui affirmait l’orgueil de vivre. C’est une manière de purification d
6 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
6 ile jusque dans les détails les plus vieux mythes celtiques à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et l
7 nationale », commune à tous les peuples d’origine celtique , du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mi
8 res des druides « cimentaient l’union des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté »16. Les druides formaient des confré
9 la fois le désir de mort. D’autre part, les dieux celtiques forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux sombres. Il no
10 gues romanes attestent l’importance de l’héritage celtique . Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers
11 plus il est permis de penser que les survivances celtiques dans le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes u
12 ’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mysté
13 ué, — au début du xviie siècle. 11.Des mythes celtiques au roman breton Tristan nous apparaît comme le plus purement cour
14 s religieux et mythiques d’origine très nettement celtique , bien plus nombreux et plus exactement identifiables que dans les rom
15 ue dans les récentes découvertes de l’archéologie celtique . À vrai dire, le pouvoir poétique de ces éléments religieux était tel
16 nglo-normand de fosterage s’est maintenue en pays celtique  : nous trouvons les enfants confiés à des parents nourriciers, à l’ég
17 me l’attestent de nombreux documents). La coutume celtique du potlatch, don rituel ou plutôt échange de dons ostentatoires, acco
18 conclusion d’Hubert : à savoir que la mythologie celtique s’est transmise au cycle courtois non par des voies proprement religi
19 re du Moyen Âge, et il l’expliquait par l’origine celtique de ces poèmes. C’est par Tristan et par Arthur que le plus clair et l
20 ur que le plus clair et le plus précieux du génie celtique s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) Ce « son p
21 r qu’il nous met en mesure d’isoler l’élément non celtique , donc proprement courtois qui provoqua, au xiie siècle, la constitut
22 ble, des deux amants mystiques. Dans les légendes celtiques , c’est l’élément épique qui commande l’action et le dénouement, tandi
23 ois, c’est la tragédie intérieure. Enfin, l’amour celtique (en dépit de la sublimation religieuse de la femme par les druides) e
24 t volier, dit le texte de Thomas.)85 ⁂ Un fonds celtique de légendes religieuses — d’ailleurs très anciennement commun au Midi
25 sur la civilisation, l’histoire et l’archéologie celtique .) 17. H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique, I,
26 H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique , I, p. 1-65. 18. J. Vendryès, Mémoires de la société linguistique,
7 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
27 Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’orgueil chevaleresque : c’est le désir de la prouesse qui est le
8 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
28 problème des rapports entre ce fonds de légendes celtiques et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est signific
29 pée avait envisagé parfois le thème de la légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans son Penseroso, élo
30 s et des cathares, la coupe de Gwyon159, divinité celtique  ! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dans sa viru
9 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
31 la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiques . 202. En quoi consiste le respect, au sens où je le prends ici ? En
10 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
32 Tristan et d’Iseut (ou Essylt) dans la mythologie celtique . Dès le viie siècle, Tristan aurait été un demi-dieu, le héraut symb
33 Béroul et les Thomas firent subir au vieux mythe celtique . Elle nous permet de mesurer l’influence décisive de l’amour courtois
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
34 oire de l’idéal courtois sur la robuste tradition celtique qui affirmait l’orgueil de vivre. C’est une manière de purification d
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
35 ile jusque dans les détails les plus vieux mythes celtiques à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et l
36 nationale », commune à tous les peuples d’origine celtique , du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mi
37 res des druides « cimentaient l’union des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté19 ». Les druides formaient des confré
38 la fois le désir de mort. D’autre part, les dieux celtiques forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux sombres. Il no
39 gues romanes attestent l’importance de l’héritage celtique . Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers
40 plus il est permis de penser que les survivances celtiques dans le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes u
41 ’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mysté
42 courtois dans le Midi, puis remonter vers le nord celtique , à la rencontre de Tristan… ⁂ Peut-on prouver que la poétique arabe a
43 nué — au début du xviie siècle. 12.Des mythes celtiques au roman breton Tristan nous apparaît comme le plus purement cour
44 s religieux et mythiques d’origine très nettement celtique , bien plus nombreux et plus exactement identifiables que dans les rom
45 ue dans les récentes découvertes de l’archéologie celtique . À vrai dire, le pouvoir poétique de ces éléments religieux était tel
46 nglo-normand de fosterage s’est maintenue en pays celtique  : nous trouvons les enfants confiés à des parents nourriciers, à l’ég
47 conclusion d’Hubert : à savoir que la mythologie celtique s’est transmise au cycle courtois non par des voies proprement religi
48 re du Moyen Âge, et il l’expliquait par l’origine celtique de ces poèmes. C’est par Tristan et par Arthur que le plus clair et l
49 ur que le plus clair et le plus précieux du génie celtique s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) Ce « son p
50 r qu’il nous met en mesure d’isoler l’élément non celtique , donc proprement courtois qui provoqua, au xiie siècle, la constitut
51 ble, des deux amants mystiques. Dans les légendes celtiques , c’est l’élément épique qui commande l’action et le dénouement, tandi
52 ois, c’est la tragédie intérieure. Enfin, l’amour celtique (en dépit de la sublimation religieuse de la femme par les druides) e
53 fait volier, dit le texte de Thomas.) ⁂ Un fonds celtique de légendes religieuses — d’ailleurs très anciennement commun au Midi
54 sur la civilisation, l’histoire et l’archéologie celtique .) 20. H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique, I,
55 H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique , I, p. 1-65. 21. J. Vendryes, Mémoires de la société linguistique, X
13 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
56 Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’orgueil chevaleresque : c’est le désir de la prouesse qui est le
14 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
57 problème des rapports entre ce fonds de légendes celtiques et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est signific
58 pée avait envisagé parfois le thème de la légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans son Penseroso, élo
59 s et des cathares, la coupe de Gwyon177, divinité celtique  ! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dans sa viru
15 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
60 la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiques . 220. En quoi consiste le respect, au sens où je le prends ici ? En
16 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
61 oire de l’idéal courtois sur la robuste tradition celtique qui affirmait l’orgueil de vivre. C’est une manière de purification d
17 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
62 ile jusque dans les détails les plus vieux mythes celtiques à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et l
63 nationale », commune à tous les peuples d’origine celtique , du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mi
64 res des druides « cimentaient l’union des peuples celtiques et le sentiment de leur parenté »12. Les druides formaient des confré
65 la fois le désir de mort. D’autre part, les dieux celtiques forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux sombres. Il no
66 gues romanes attestent l’importance de l’héritage celtique . Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers
67 plus il est permis de penser que les survivances celtiques dans le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes u
68 ’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut celtique était aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mysté
69 courtois dans le Midi, puis remonter vers le nord celtique , à la rencontre de Tristan… ⁂ Peut-on prouver que la poétique arabe
70 nué — au début du xviie siècle. 12.Des mythes celtiques au roman breton Tristan nous apparaît comme le plus purement cour
71 s religieux et mythiques d’origine très nettement celtique , bien plus nombreux et plus exactement identifiables que dans les rom
72 ue dans les récentes découvertes de l’archéologie celtique . À vrai dire, le pouvoir poétique de ces éléments religieux était tel
73 nglo-normand de fosterage s’est maintenue en pays celtique  : nous trouvons les enfants confiés à des parents nourriciers, à l’ég
74 conclusion d’Hubert : à savoir que la mythologie celtique s’est transmise au cycle courtois non par des voies proprement religi
75 re du Moyen Âge, et il l’expliquait par l’origine celtique de ces poèmes. C’est par Tristan et par Arthur que le plus clair et l
76 ur que le plus clair et le plus précieux du génie celtique s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) Ce « son p
77 r qu’il nous met en mesure d’isoler l’élément non celtique , donc proprement courtois qui provoqua, au xiie siècle, la constitut
78 ble, des deux amants mystiques. Dans les légendes celtiques , c’est l’élément épique qui commande l’action et le dénouement, tandi
79 ois, c’est la tragédie intérieure. Enfin, l’amour celtique (en dépit de la sublimation religieuse de la femme par les druides) e
80 fait volier, dit le texte de Thomas.) ⁂ Un fonds celtique de légendes religieuses — d’ailleurs très anciennement commun au Midi
81 sur la civilisation, l’histoire et l’archéologie celtiques .) 13. H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique, I,
82 H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique , I, p. 1-65. 14. J. Vendryès, Mémoires de la société linguistique,
18 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
83 Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’orgueil chevaleresque : c’est le désir de la prouesse qui est le
19 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
84 problème des rapports entre ce fonds de légendes celtiques et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est signific
85 pée avait envisagé parfois le thème de la légende celtique d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans son Penseroso, élo
86 s et des cathares, la coupe de Gwyon165, divinité celtique  ! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dans sa viru
20 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
87 la mystique courtoise et les vieilles traditions celtiques . En même temps, elle échappe à l’abaissement bestial qui tôt ou tard
21 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
88 Tristan et d’Iseut (ou Essylt) dans la mythologie celtique . Dès le viie siècle, Tristan aurait été un demi-dieu, le héraut symb
89 Béroul et les Thomas firent subir au vieux mythe celtique . Elle nous permet de mesurer l’influence décisive de l’amour courtois
22 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
90 ns de légendes languedociennes et bretonnes, donc celtiques . Hubert, le meilleur celtisant français, n’écrit-il pas que dans la m
23 1948, Suite neuchâteloise. V
91 ait Lancelot, sous les ciels méditants de l’Ouest celtique  ; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre côté de l’E
24 1948, Suite neuchâteloise. VIII
92 ées avec art. Nous passions les clédars (beau mot celtique , l’un des rares qui subsistent chez nous) et les refermions avec soin
25 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
93 seulement le catholicisme de Rome, mais un fonds celtique plus ancien qui leur est congénial, et sur lequel ils appuieront leur
26 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
94 ope. b) Après l’étymologie fantaisiste, voici la celtique  : dans leur Atlas de géographie ancienne et moderne publié en 1829, L
95 , Lapie père et Lapie fils font dériver Europe du celtique wrab, qui veut dire occident. Reynold, qui les cite, ajoute : Leur e
27 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
96 us venons aussi des profondeurs obscures du monde celtique et du monde germanique, et parfois même du monde arabe et du monde sl
28 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
97 us venons aussi des profondeurs obscures du monde celtique et du monde germanique, et parfois même du monde arabe. Entre ces ori
29 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
98 s — gréco-romaine, indo-chrétienne, germanique et celtique , arabe et slave —, à cause des valeurs souvent contradictoires ou inc
30 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
99 pe. b) Après l’étymologie fantaisiste, voici la celtique  : dans leur Atlas de géographie ancienne et moderne publié en 1829, L
100 , Lapie père et Lapie fils font dériver Europe du celtique wrab, qui veut dire occident. Reynold, qui les cite, ajoute : « Leur
31 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
101 ie par la race germanique, l’Alsace était un pays celtique , ainsi qu’une partie de l’Allemagne du Sud. Nous ne concluons pas de
102 roit germanique, nous pourrions réclamer un droit celtique antérieur, et avant la période celtique, il y avait, dit-on, les allo
103 un droit celtique antérieur, et avant la période celtique , il y avait, dit-on, les allophyles, les Finnois, les Lapons ; et ava
32 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
104 s d’une importance considérable, il y a l’élément celtique . Mais je ne pense pas seulement aux Mots, je pense d’abord, à propos
33 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
105 n seulement le catholicisme de Rome, mais un fond celtique plus ancien qui leur est congénital, et sur lequel ils appuieront leu
34 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
106 rouvé ce soir une ombre amie à l’orée de mon bois celtique , André Breton, enterré ce matin.   La guerre, l’exil américain, ses v
35 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
107 anique, la danoise, la normande, la française, la celtique . Cette unité culturelle, contrairement à l’unité qu’institue une org
36 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
108 e, du christianisme, de l’influence germanique ou celtique . Ainsi nous avons une communauté indiscutable de culture. La division
37 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
109 haut Moyen Âge la source germanique et la source celtique , la première apportant notamment le droit communautaire et personnel,
38 1970, Articles divers (1970-1973). Qu’est-ce que la culture européenne ? (juin 1970)
110 haut Moyen Âge la source germanique et la source celtique , la première apportant notamment le droit communautaire et personnel,
39 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
111 haut Moyen Âge la source germanique et la source celtique , la première apportant notamment le droit communautaire et personnel
112 anique, la danoise, la normande, la française, la celtique  : Cette unité culturelle, contrairement à l’unité qu’institue une or
40 1970, L’Un et le Divers ou la Cité européenne. II. La Cité européenne
113 haut Moyen Âge la source germanique et la source celtique , la première apportant notamment le droit communautaire et personnel,
41 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
114 u l’une au moins, ou deux d’entre elles. L’apport celtique — sens de la Quête, sens de l’échec transfigurant, sens de la démesur
115 il y a la féodalité, les coutumes germaniques et celtiques , le droit romain, Dracon, Solon, qui ont inventé la liberté en déclar
116 ion d’influences françaises et latines, l’élément celtique enfin. Et il ajoute : « Quand les nations de l’Europe sont coupées le
117 ’un même mot originel, grec, latin, germanique ou celtique , se retrouve dans tous nos États et montre bien ce qu’il faut penser
118 nalité culturelle ». Ainsi le mot dubron : eau en celtique , dour en breton armoricain, donne leur nom au Douro espagnol, à la Dr
119 gréco-chrétien, coloré de valeurs germaniques et celtiques ) ; —la fidélité, fondement du couple, du groupe et de la commune, con
120 lesia chrétienne, des « libertés » germaniques et celtiques ) ; — enfin le sécularisme, qui libère des contraintes effrayantes du
42 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
121 oise. À quoi, dans Les Celtes et la civilisation celtique , Jean Markale semblera faire écho : On a l’impression que les Celtes
122 ion, la mythification étant le propre de l’esprit celtique , il s’est produit une sorte de transfert : tout ce qui était défaite
123 ture merveilleuse, où l’écroulement de la société celtique ne peut être dû qu’à des circonstances plus ou moins magiques (p. 253
124 des mythes, du sacerdoce mithriaque au sacerdoce celtique , à partir de la Perse antique, s’est opérée par l’hermétisme et le so
125 et cathares, mais courtoisie occitane et légendes celtiques (le Midi précathare se révèle apparenté aux Celtes gaéliques et gallo
126 sait le rôle du voyage sur mer dans les légendes celtiques . Il y en a quatre dans le roman de Béroul, et chacun d’eux se trouve
43 1973, Articles divers (1970-1973). Université et universalité (janvier 1973)
127 iplines universitaires (études romanes, arabes et celtiques , psychologie analytique, sociologie, histoire, théologie, économie, a
44 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Après le xiie siècle : vers une littérature distincte du social
128 bsolument l’épopée antique, germanique, nordique, celtique ou occitane, de la littérature des États totalitaires contemporains.
45 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
129 , à travers la poésie des troubadours et le roman celtique  ; la synthèse de ces grands phénomènes culturels pouvant être localis
46 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
130 romanesque dans la France du Nord et l’Angleterre celtique . La légende de Tristan et Iseut reste le prototype éternel de l’Amour
47 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
131 haut Moyen Âge la source germanique et la source celtique . La première apportant le droit communautaire et personnel, les valeu
48 1979, Articles divers (1978-1981). Rapport au peuple européen (9 mai 1979)
132 mais aussi des communautés germaniques et du rêve celtique , a formé les désirs et les besoins des hommes de ce continent, et don
49 1979, Articles divers (1978-1981). Une Europe unie et diverse (27 août 1979)
133 mais aussi des communautés germaniques et du rêve celtique , a formé les désirs et les besoins des hommes de ce continent, et don
50 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
134 recques, hellénistiques, romaines, germaniques et celtiques , arabes au Moyen Âge, slaves au xixe siècle, afro-américaines au xxe
51 1979, Articles divers (1978-1981). Le mythe et l’opéra (1979)
135 rydice, mais aussi et presque aussitôt des mythes celtiques du King Arthur de Purcell à Parsifal. Et plus tard renaîtront les myt
52 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
136 nique de la communauté des hommes libres, le sens celtique de l’aventure spirituelle — pour ne rien dire de quelque vague nostal
53 1980, Cadmos, articles (1978–1986). Madame de Staël et « l’esprit européen » (été 1980)
137 tes, le sens germanique de la communauté, le sens celtique de la quête spirituelle, plus tard un peu de folie slave, et le sens
54 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
138 em, bien sûr, mais aussi les apports germaniques, celtiques , plus tard arabes, et enfin slaves, partout agissant mais inégalement
55 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
139 ulture gréco-latine, judéo-chrétienne, et d’abord celtique et germanique, avec des apports arabes et slaves, contre l’anti-Europ
56 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
140 y ajouter les valeurs germaniques et les valeurs celtiques , qui sont aussi importantes à bien des égards, plus près de nous, et
141 s romain. L’aventure, la quête spirituelle, c’est celtique . Les valeurs d’honneur germaniques contredisent les valeurs chrétienn
57 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
142 ajouter deux autres sources : la germanique et la celtique , voire plus tard l’arabe, qui ont été et restent capitales pour la li
58 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
143 vençaux (aussi dits burgondiens) pour la langue ; celtiques et germaniques pour les mythes et les traditions populaires ; gréco-l
59 1988, Inédits (extraits de cours). Culture
144 de communauté interpersonnelle ; enfin, le monde celtique , le mythe. Le mythe a très profondément influencé toute la culture oc
145 es de l’Europe sont déterminées par cette origine celtique , ainsi que les valeurs individuelles de la quête spirituelle. Le trio
146 haut Moyen Âge la source germanique et la source celtique , la première apportant, notamment, le droit communautaire et personne
147 e ou hébraïque, la source chrétienne, les sources celtiques et germaniques, des influences arabes et plus tard slaves… Cela fait