1
ait Lancelot, sous les ciels méditants de l’Ouest
celtique
; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre côté de l’E
2
ées avec art. Nous passions les clédars (beau mot
celtique
, l’un des rares qui subsistent chez nous) et les refermions avec soin
3
l’une des définitions d’Iseut dans la mythologie
celtique
. 91. L’Encyclique Casti connubii a répondu à la décision des évêques
4
la mystique courtoise et les vieilles traditions
celtiques
. 99. En quoi consiste le respect, au sens où je le prends ici ? En c
5
oire de l’idéal courtois sur la robuste tradition
celtique
qui affirmait l’orgueil de vivre. C’est une manière de purification d
6
ile jusque dans les détails les plus vieux mythes
celtiques
à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et l
7
nationale », commune à tous les peuples d’origine
celtique
, du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mi
8
res des druides « cimentaient l’union des peuples
celtiques
et le sentiment de leur parenté »16. Les druides formaient des confré
9
la fois le désir de mort. D’autre part, les dieux
celtiques
forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux sombres. Il no
10
gues romanes attestent l’importance de l’héritage
celtique
. Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers
11
plus il est permis de penser que les survivances
celtiques
dans le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes u
12
’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut
celtique
était aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mysté
13
ué, — au début du xviie siècle. 11.Des mythes
celtiques
au roman breton Tristan nous apparaît comme le plus purement cour
14
s religieux et mythiques d’origine très nettement
celtique
, bien plus nombreux et plus exactement identifiables que dans les rom
15
ue dans les récentes découvertes de l’archéologie
celtique
. À vrai dire, le pouvoir poétique de ces éléments religieux était tel
16
nglo-normand de fosterage s’est maintenue en pays
celtique
: nous trouvons les enfants confiés à des parents nourriciers, à l’ég
17
me l’attestent de nombreux documents). La coutume
celtique
du potlatch, don rituel ou plutôt échange de dons ostentatoires, acco
18
conclusion d’Hubert : à savoir que la mythologie
celtique
s’est transmise au cycle courtois non par des voies proprement religi
19
re du Moyen Âge, et il l’expliquait par l’origine
celtique
de ces poèmes. C’est par Tristan et par Arthur que le plus clair et l
20
ur que le plus clair et le plus précieux du génie
celtique
s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) Ce « son p
21
r qu’il nous met en mesure d’isoler l’élément non
celtique
, donc proprement courtois qui provoqua, au xiie siècle, la constitut
22
ble, des deux amants mystiques. Dans les légendes
celtiques
, c’est l’élément épique qui commande l’action et le dénouement, tandi
23
ois, c’est la tragédie intérieure. Enfin, l’amour
celtique
(en dépit de la sublimation religieuse de la femme par les druides) e
24
t volier, dit le texte de Thomas.)85 ⁂ Un fonds
celtique
de légendes religieuses — d’ailleurs très anciennement commun au Midi
25
sur la civilisation, l’histoire et l’archéologie
celtique
.) 17. H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique, I,
26
H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature
celtique
, I, p. 1-65. 18. J. Vendryès, Mémoires de la société linguistique,
27
Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère
celtique
de l’orgueil chevaleresque : c’est le désir de la prouesse qui est le
28
problème des rapports entre ce fonds de légendes
celtiques
et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est signific
29
pée avait envisagé parfois le thème de la légende
celtique
d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans son Penseroso, élo
30
s et des cathares, la coupe de Gwyon159, divinité
celtique
! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dans sa viru
31
la mystique courtoise et les vieilles traditions
celtiques
. 202. En quoi consiste le respect, au sens où je le prends ici ? En
32
Tristan et d’Iseut (ou Essylt) dans la mythologie
celtique
. Dès le viie siècle, Tristan aurait été un demi-dieu, le héraut symb
33
Béroul et les Thomas firent subir au vieux mythe
celtique
. Elle nous permet de mesurer l’influence décisive de l’amour courtois
34
oire de l’idéal courtois sur la robuste tradition
celtique
qui affirmait l’orgueil de vivre. C’est une manière de purification d
35
ile jusque dans les détails les plus vieux mythes
celtiques
à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et l
36
nationale », commune à tous les peuples d’origine
celtique
, du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mi
37
res des druides « cimentaient l’union des peuples
celtiques
et le sentiment de leur parenté19 ». Les druides formaient des confré
38
la fois le désir de mort. D’autre part, les dieux
celtiques
forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux sombres. Il no
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gues romanes attestent l’importance de l’héritage
celtique
. Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers
40
plus il est permis de penser que les survivances
celtiques
dans le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes u
41
’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut
celtique
était aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mysté
42
courtois dans le Midi, puis remonter vers le nord
celtique
, à la rencontre de Tristan… ⁂ Peut-on prouver que la poétique arabe a
43
nué — au début du xviie siècle. 12.Des mythes
celtiques
au roman breton Tristan nous apparaît comme le plus purement cour
44
s religieux et mythiques d’origine très nettement
celtique
, bien plus nombreux et plus exactement identifiables que dans les rom
45
ue dans les récentes découvertes de l’archéologie
celtique
. À vrai dire, le pouvoir poétique de ces éléments religieux était tel
46
nglo-normand de fosterage s’est maintenue en pays
celtique
: nous trouvons les enfants confiés à des parents nourriciers, à l’ég
47
conclusion d’Hubert : à savoir que la mythologie
celtique
s’est transmise au cycle courtois non par des voies proprement religi
48
re du Moyen Âge, et il l’expliquait par l’origine
celtique
de ces poèmes. C’est par Tristan et par Arthur que le plus clair et l
49
ur que le plus clair et le plus précieux du génie
celtique
s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) Ce « son p
50
r qu’il nous met en mesure d’isoler l’élément non
celtique
, donc proprement courtois qui provoqua, au xiie siècle, la constitut
51
ble, des deux amants mystiques. Dans les légendes
celtiques
, c’est l’élément épique qui commande l’action et le dénouement, tandi
52
ois, c’est la tragédie intérieure. Enfin, l’amour
celtique
(en dépit de la sublimation religieuse de la femme par les druides) e
53
fait volier, dit le texte de Thomas.) ⁂ Un fonds
celtique
de légendes religieuses — d’ailleurs très anciennement commun au Midi
54
sur la civilisation, l’histoire et l’archéologie
celtique
.) 20. H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique, I,
55
H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature
celtique
, I, p. 1-65. 21. J. Vendryes, Mémoires de la société linguistique, X
56
Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère
celtique
de l’orgueil chevaleresque : c’est le désir de la prouesse qui est le
57
problème des rapports entre ce fonds de légendes
celtiques
et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est signific
58
pée avait envisagé parfois le thème de la légende
celtique
d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans son Penseroso, élo
59
s et des cathares, la coupe de Gwyon177, divinité
celtique
! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dans sa viru
60
la mystique courtoise et les vieilles traditions
celtiques
. 220. En quoi consiste le respect, au sens où je le prends ici ? En
61
oire de l’idéal courtois sur la robuste tradition
celtique
qui affirmait l’orgueil de vivre. C’est une manière de purification d
62
ile jusque dans les détails les plus vieux mythes
celtiques
à ceux des Grecs — la quête du Graal à celle de la Toison d’or — et l
63
nationale », commune à tous les peuples d’origine
celtique
, du fond de la Bretagne et de l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mi
64
res des druides « cimentaient l’union des peuples
celtiques
et le sentiment de leur parenté »12. Les druides formaient des confré
65
la fois le désir de mort. D’autre part, les dieux
celtiques
forment deux séries opposées : dieux lumineux et dieux sombres. Il no
66
gues romanes attestent l’importance de l’héritage
celtique
. Plus tard, ce furent des moines d’Irlande et de Bretagne — derniers
67
plus il est permis de penser que les survivances
celtiques
dans le Midi languedocien offrirent à certaines sectes manichéennes u
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’est d’elle que l’on apprend la magie ». (L’Iseut
celtique
était aussi une magicienne, « objet de contemplation, spectacle mysté
69
courtois dans le Midi, puis remonter vers le nord
celtique
, à la rencontre de Tristan… ⁂ Peut-on prouver que la poétique arabe
70
nué — au début du xviie siècle. 12.Des mythes
celtiques
au roman breton Tristan nous apparaît comme le plus purement cour
71
s religieux et mythiques d’origine très nettement
celtique
, bien plus nombreux et plus exactement identifiables que dans les rom
72
ue dans les récentes découvertes de l’archéologie
celtique
. À vrai dire, le pouvoir poétique de ces éléments religieux était tel
73
nglo-normand de fosterage s’est maintenue en pays
celtique
: nous trouvons les enfants confiés à des parents nourriciers, à l’ég
74
conclusion d’Hubert : à savoir que la mythologie
celtique
s’est transmise au cycle courtois non par des voies proprement religi
75
re du Moyen Âge, et il l’expliquait par l’origine
celtique
de ces poèmes. C’est par Tristan et par Arthur que le plus clair et l
76
ur que le plus clair et le plus précieux du génie
celtique
s’est incorporé à l’esprit européen. (Hubert, II, p. 336.) Ce « son p
77
r qu’il nous met en mesure d’isoler l’élément non
celtique
, donc proprement courtois qui provoqua, au xiie siècle, la constitut
78
ble, des deux amants mystiques. Dans les légendes
celtiques
, c’est l’élément épique qui commande l’action et le dénouement, tandi
79
ois, c’est la tragédie intérieure. Enfin, l’amour
celtique
(en dépit de la sublimation religieuse de la femme par les druides) e
80
fait volier, dit le texte de Thomas.) ⁂ Un fonds
celtique
de légendes religieuses — d’ailleurs très anciennement commun au Midi
81
sur la civilisation, l’histoire et l’archéologie
celtiques
.) 13. H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature celtique, I,
82
H. d’Arbois de Jubainville, Cours de littérature
celtique
, I, p. 1-65. 14. J. Vendryès, Mémoires de la société linguistique,
83
Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère
celtique
de l’orgueil chevaleresque : c’est le désir de la prouesse qui est le
84
problème des rapports entre ce fonds de légendes
celtiques
et la littérature anglaise populaire et savante. Mais il est signific
85
pée avait envisagé parfois le thème de la légende
celtique
d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. Dans son Penseroso, élo
86
s et des cathares, la coupe de Gwyon165, divinité
celtique
! ⁂ Que Wagner ait restitué le sens perdu de la légende, dans sa viru
87
la mystique courtoise et les vieilles traditions
celtiques
. En même temps, elle échappe à l’abaissement bestial qui tôt ou tard
88
Tristan et d’Iseut (ou Essylt) dans la mythologie
celtique
. Dès le viie siècle, Tristan aurait été un demi-dieu, le héraut symb
89
Béroul et les Thomas firent subir au vieux mythe
celtique
. Elle nous permet de mesurer l’influence décisive de l’amour courtois
90
ns de légendes languedociennes et bretonnes, donc
celtiques
. Hubert, le meilleur celtisant français, n’écrit-il pas que dans la m
91
ait Lancelot, sous les ciels méditants de l’Ouest
celtique
; le Midi sec et enfiévré des troubadours ; et de l’autre côté de l’E
92
ées avec art. Nous passions les clédars (beau mot
celtique
, l’un des rares qui subsistent chez nous) et les refermions avec soin
93
seulement le catholicisme de Rome, mais un fonds
celtique
plus ancien qui leur est congénial, et sur lequel ils appuieront leur
94
ope. b) Après l’étymologie fantaisiste, voici la
celtique
: dans leur Atlas de géographie ancienne et moderne publié en 1829, L
95
, Lapie père et Lapie fils font dériver Europe du
celtique
wrab, qui veut dire occident. Reynold, qui les cite, ajoute : Leur e
96
us venons aussi des profondeurs obscures du monde
celtique
et du monde germanique, et parfois même du monde arabe et du monde sl
97
us venons aussi des profondeurs obscures du monde
celtique
et du monde germanique, et parfois même du monde arabe. Entre ces ori
98
s — gréco-romaine, indo-chrétienne, germanique et
celtique
, arabe et slave —, à cause des valeurs souvent contradictoires ou inc
99
pe. b) Après l’étymologie fantaisiste, voici la
celtique
: dans leur Atlas de géographie ancienne et moderne publié en 1829, L
100
, Lapie père et Lapie fils font dériver Europe du
celtique
wrab, qui veut dire occident. Reynold, qui les cite, ajoute : « Leur
101
ie par la race germanique, l’Alsace était un pays
celtique
, ainsi qu’une partie de l’Allemagne du Sud. Nous ne concluons pas de
102
roit germanique, nous pourrions réclamer un droit
celtique
antérieur, et avant la période celtique, il y avait, dit-on, les allo
103
un droit celtique antérieur, et avant la période
celtique
, il y avait, dit-on, les allophyles, les Finnois, les Lapons ; et ava
104
s d’une importance considérable, il y a l’élément
celtique
. Mais je ne pense pas seulement aux Mots, je pense d’abord, à propos
105
n seulement le catholicisme de Rome, mais un fond
celtique
plus ancien qui leur est congénital, et sur lequel ils appuieront leu
106
rouvé ce soir une ombre amie à l’orée de mon bois
celtique
, André Breton, enterré ce matin. La guerre, l’exil américain, ses v
107
anique, la danoise, la normande, la française, la
celtique
. Cette unité culturelle, contrairement à l’unité qu’institue une org
108
e, du christianisme, de l’influence germanique ou
celtique
. Ainsi nous avons une communauté indiscutable de culture. La division
109
haut Moyen Âge la source germanique et la source
celtique
, la première apportant notamment le droit communautaire et personnel,
110
haut Moyen Âge la source germanique et la source
celtique
, la première apportant notamment le droit communautaire et personnel,
111
haut Moyen Âge la source germanique et la source
celtique
, la première apportant notamment le droit communautaire et personnel
112
anique, la danoise, la normande, la française, la
celtique
: Cette unité culturelle, contrairement à l’unité qu’institue une or
113
haut Moyen Âge la source germanique et la source
celtique
, la première apportant notamment le droit communautaire et personnel,
114
u l’une au moins, ou deux d’entre elles. L’apport
celtique
— sens de la Quête, sens de l’échec transfigurant, sens de la démesur
115
il y a la féodalité, les coutumes germaniques et
celtiques
, le droit romain, Dracon, Solon, qui ont inventé la liberté en déclar
116
ion d’influences françaises et latines, l’élément
celtique
enfin. Et il ajoute : « Quand les nations de l’Europe sont coupées le
117
’un même mot originel, grec, latin, germanique ou
celtique
, se retrouve dans tous nos États et montre bien ce qu’il faut penser
118
nalité culturelle ». Ainsi le mot dubron : eau en
celtique
, dour en breton armoricain, donne leur nom au Douro espagnol, à la Dr
119
gréco-chrétien, coloré de valeurs germaniques et
celtiques
) ; —la fidélité, fondement du couple, du groupe et de la commune, con
120
lesia chrétienne, des « libertés » germaniques et
celtiques
) ; — enfin le sécularisme, qui libère des contraintes effrayantes du
121
oise. À quoi, dans Les Celtes et la civilisation
celtique
, Jean Markale semblera faire écho : On a l’impression que les Celtes
122
ion, la mythification étant le propre de l’esprit
celtique
, il s’est produit une sorte de transfert : tout ce qui était défaite
123
ture merveilleuse, où l’écroulement de la société
celtique
ne peut être dû qu’à des circonstances plus ou moins magiques (p. 253
124
des mythes, du sacerdoce mithriaque au sacerdoce
celtique
, à partir de la Perse antique, s’est opérée par l’hermétisme et le so
125
et cathares, mais courtoisie occitane et légendes
celtiques
(le Midi précathare se révèle apparenté aux Celtes gaéliques et gallo
126
sait le rôle du voyage sur mer dans les légendes
celtiques
. Il y en a quatre dans le roman de Béroul, et chacun d’eux se trouve
127
iplines universitaires (études romanes, arabes et
celtiques
, psychologie analytique, sociologie, histoire, théologie, économie, a
128
bsolument l’épopée antique, germanique, nordique,
celtique
ou occitane, de la littérature des États totalitaires contemporains.
129
, à travers la poésie des troubadours et le roman
celtique
; la synthèse de ces grands phénomènes culturels pouvant être localis
130
romanesque dans la France du Nord et l’Angleterre
celtique
. La légende de Tristan et Iseut reste le prototype éternel de l’Amour
131
haut Moyen Âge la source germanique et la source
celtique
. La première apportant le droit communautaire et personnel, les valeu
132
mais aussi des communautés germaniques et du rêve
celtique
, a formé les désirs et les besoins des hommes de ce continent, et don
133
mais aussi des communautés germaniques et du rêve
celtique
, a formé les désirs et les besoins des hommes de ce continent, et don
134
recques, hellénistiques, romaines, germaniques et
celtiques
, arabes au Moyen Âge, slaves au xixe siècle, afro-américaines au xxe
135
rydice, mais aussi et presque aussitôt des mythes
celtiques
du King Arthur de Purcell à Parsifal. Et plus tard renaîtront les myt
136
nique de la communauté des hommes libres, le sens
celtique
de l’aventure spirituelle — pour ne rien dire de quelque vague nostal
137
tes, le sens germanique de la communauté, le sens
celtique
de la quête spirituelle, plus tard un peu de folie slave, et le sens
138
em, bien sûr, mais aussi les apports germaniques,
celtiques
, plus tard arabes, et enfin slaves, partout agissant mais inégalement
139
ulture gréco-latine, judéo-chrétienne, et d’abord
celtique
et germanique, avec des apports arabes et slaves, contre l’anti-Europ
140
y ajouter les valeurs germaniques et les valeurs
celtiques
, qui sont aussi importantes à bien des égards, plus près de nous, et
141
s romain. L’aventure, la quête spirituelle, c’est
celtique
. Les valeurs d’honneur germaniques contredisent les valeurs chrétienn
142
ajouter deux autres sources : la germanique et la
celtique
, voire plus tard l’arabe, qui ont été et restent capitales pour la li
143
vençaux (aussi dits burgondiens) pour la langue ;
celtiques
et germaniques pour les mythes et les traditions populaires ; gréco-l
144
de communauté interpersonnelle ; enfin, le monde
celtique
, le mythe. Le mythe a très profondément influencé toute la culture oc
145
es de l’Europe sont déterminées par cette origine
celtique
, ainsi que les valeurs individuelles de la quête spirituelle. Le trio
146
haut Moyen Âge la source germanique et la source
celtique
, la première apportant, notamment, le droit communautaire et personne
147
e ou hébraïque, la source chrétienne, les sources
celtiques
et germaniques, des influences arabes et plus tard slaves… Cela fait