1
e l’eau. Mais ce n’est pas d’elle que vient cette
chanson
jamais entendue qui nous accompagne depuis un moment sur le chemin de
2
poque. « Voulez-vous des douleurs, la mort ou des
chansons
? » On a l’hallucination du décor des capitales, créatrice d’un merve
3
sur les glaces du passé. Cet abandon aux fuyantes
chansons
, et des violons déchirants dans sa tête… Mais le sommeil s’évaporait
4
pas que l’enterrement s’éloigne pour entonner une
chanson
à boire. Et sa technique auparavant volontairement maigre se faisait
5
ffler à l’oreille les notes les plus aiguës d’une
chanson
populaire, et à l’autre extrémité de la salle, par-dessus la rumeur d
6
jouer des ringues charmantes, jazz et clarinette,
chansons
de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
7
es feuillages de voix fausses mais aériennes, des
chansons
populaires qui sont ce que je connais de plus indiciblement nostalgiq
8
leurs dessous roses, les filles qui chantent une
chanson
populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
9
ms, ça ne sera pas encore pour cette fois. 13.
Chansons
hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
10
ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la
chanson
hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
11
leurs dessous roses, les filles qui chantent une
chanson
populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
12
, ça ne sera pas encore pour cette fois. xiii
Chansons
hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
13
ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la
chanson
hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
14
jouer des ringues charmantes, jazz et clarinette,
chansons
de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
15
es feuillages de voix fausses mais aériennes, des
chansons
du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
16
leurs dessous roses, les filles qui chantent une
chanson
populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
17
s Noms, ça ne sera pas encore pour cette fois.
Chansons
hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
18
ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la
chanson
hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
19
ouer des mélodies charmantes, jazz et clarinette,
chansons
de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
20
es feuillages de voix fausses mais aériennes, des
chansons
du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
21
ace, il nous réduisait au silence. La force était
chanson
fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre
22
use et de se sacrifier pour le bonheur collectif.
Chanson
de Roland, fair-play, Baden-Powell, religion du travail. On a l’air d
23
nts, et qu’on aime répéter comme le refrain d’une
chanson
idiote mais « qui fait toujours plaisir ». À droite on assimile volo
24
nts, et qu’on aime répéter comme le refrain d’une
chanson
idiote mais « qui fait toujours plaisir ». À droite on assimile volon
25
nte ». Voici la conclusion de son chapitre sur la
Chanson
de Béranger : « Elle est la colonne de Juillet de la poésie française
26
rs un génie prétentieux qui est lui-même sujet de
chanson
, vers une plate-forme d’où s’étale à la vue tout un quartier d’histoi
27
alut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la
chanson
patriotarde sur l’Alsace-Lorraine : Vous avez pu germaniser nos plai
28
r villageois, ciel de province, jeux d’enfants et
chansons
, accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivre là. Non pas comme eux, tra
29
ois. Ce « peuple »-là n’a plus d’instinct. Et les
chansons
dites populaires ne sont même plus en musique : c’est du « parlé » co
30
s une auberge forestière. Des tyroliennes, et des
chansons
de la vieille France, dont ils étaient les seuls à savoir toutes les
31
e suis un militaire, Il faut bien faire mon état.
Chanson
du xviiie siècle. — Tu te rends compte ? dit un camarade. — Pas tro
32
s plus vieilles légendes, et dans nos plus belles
chansons
. L’amour heureux n’a pas d’histoire. Il n’est de roman que de l’amour
33
. En quoi le roman breton se distingue-t-il de la
chanson
de geste, qu’il supplanta dès la seconde moitié du xiie siècle avec
34
i ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la
chanson
du marinier, du haut du mât, prédit leur sort inévitable : Vers l’Oc
35
— écrit un de nos professeurs — de voir dans ces
chansons
d’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale, une im
36
e Et bientôt viendra l’aube. Mais à la fin de la
chanson
, le troubadour a-t-il trahi ses vœux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein
37
quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa
chanson
« Du moindre tiers d’Amour », celui des femmes — Guiraut de Calanson
38
et le premier mai en offrant une couronne et une
chanson
à sa fiancée, la Sagesse éternelle. Mais que penser du reste ? À tabl
39
reur de fait aisée à relever : qu’à la longue, la
chanson
se soit vidée de son contenu initial, n’ait plus été qu’un tissu de f
40
fermé Qui me clôt le chemin vers une telle vie ! (
Chanson
72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la « cruelle mort » une
41
e condition pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa
Chanson
de la Grande Peste, chef-d’œuvre inégalé de l’examen de conscience :
42
désir s’apaise par un coup d’œil, une parole, une
chanson
, — si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre ! 5.Un idéal
43
t l’illusion de l’ordre. (Ibid., p. 80.) 3. –
Chansons
de geste et romans courtois Les chansons de geste sont nées au xie
44
3. – Chansons de geste et romans courtois Les
chansons
de geste sont nées au xie siècle, et pas avant, comme l’a montré Jos
45
roïques fondateurs. Il est compréhensible que ces
chansons
de clercs parlent très peu ou point d’amour. Une seule, la Légende de
46
son.) 1. Des matines jusqu’au soir Quelle est ma
chanson
? Du plus beau pays à voir Telle est ma chanson. Des lacs, des rocs
47
a chanson ? Du plus beau pays à voir Telle est ma
chanson
. Des lacs, des rocs, des pics sauvages — Sifflez, dansez, sonnez so
48
2. Sous le ciel du plus beau jour Quelle est ma
chanson
? Tout au long des lourds labours Telle est ma chanson. Par monts,
49
on ? Tout au long des lourds labours Telle est ma
chanson
. Par monts, par vaux, par les alpages — Sifflez, dansez, sonnez son
50
ures tout le monde ici. Compris ? (Refrain de la
chanson
, tandis qu’ils se dispersent et sortent. Les deux plus petites filles
51
rise du Choral ii.) 4. Librement inspiré d’une
Chanson
d’aube du troubadour Folquet de Marseille.
52
s plus vieilles légendes, et dans nos plus belles
chansons
. L’amour heureux n’a pas d’histoire. Il n’est de roman que de l’amour
53
. En quoi le roman breton se distingue-t-il de la
chanson
de geste, qu’il supplanta dès la seconde moitié du xiie siècle avec
54
i ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la
chanson
du marinier, du haut du mât, prédit leur sort inévitable : Vers l’Occ
55
— écrit un de nos professeurs — de voir dans ces
chansons
d’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale, une im
56
ces hérétiques de ces cours. Voici le début d’une
chanson
de Peire Vidal : Mon cœur se réjouit à cause du renouveau si agréable
57
Et bientôt viendra l’aube. Mais à la fin de la
chanson
, le troubadour a-t-il trahi ses vœux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein
58
quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa
chanson
Du moindre tiers d’Amour — celui des femmes — Guiraut de Calanson dit
59
et le premier mai en offrant une couronne et une
chanson
à sa fiancée, la Sagesse éternelle. Mais que penser du reste ? À tabl
60
reur de fait aisée à relever : qu’à la longue, la
chanson
se soit vidée de son contenu initial, n’ait plus été qu’un tissu de f
61
des châtelaines, dont il fallait apaiser par des
chansons
la mauvaise conscience, et qui leur demandaient non pas tant une illu
62
psycho-physiologique, citons maintenant quelques
chansons
de « légers troubadours méridionaux », grands seigneurs amateurs ou j
63
geait la forme du récit, et non plus de la simple
chanson
. Dans Tristan, la faute initiale est douloureusement rachetée par une
64
cathares, et les troubadours leur dédiaient leurs
chansons
! 48. Déodat Roché, l’un des érudits contemporains les plus vitaleme
65
cuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de
chansons
— de paroles de chansons ! — souvent très pauvrement traduites, et pr
66
ici que des fragments de chansons — de paroles de
chansons
! — souvent très pauvrement traduites, et privées de toute beauté pro
67
rmé Qui me clôt le chemin vers une telle vie ! » (
Chanson
72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la « cruelle mort » une
68
e condition pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa
Chanson
de la Grande Peste, chef-d’œuvre inégalé de l’examen de conscience :
69
désir s’apaise par un coup d’œil, une parole, une
chanson
– si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre ! 5.Un idéal à
70
r le texte et les annonces des magazines, par les
chansons
et les images, par la morale courante et ce qui la défie. Nulle autre
71
s plus vieilles légendes, et dans nos plus belles
chansons
. L’amour heureux n’a pas d’histoire. Il n’est de roman que de l’amour
72
. En quoi le roman breton se distingue-t-il de la
chanson
de geste, qu’il supplanta dès la seconde moitié du xiie siècle avec
73
i ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la
chanson
du marinier, du haut du mât, prédit leur sort inévitable : Vers l’Oc
74
— écrit un de nos professeurs — de voir dans ces
chansons
d’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale, une im
75
ces hérétiques de ces cours. Voici le début d’une
chanson
de Peire Vidal : Mon cœur se réjouit à cause du renouveau si agréabl
76
e Et bientôt viendra l’aube. Mais à la fin de la
chanson
, le troubadour a-t-il trahi ses vœux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein
77
quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa
chanson
Du moindre tiers d’Amour — celui des femmes — Guiraut de Calanson dit
78
et le premier mai en offrant une couronne et une
chanson
à sa fiancée, la Sagesse éternelle. Mais que penser du reste ? À tabl
79
reur de fait aisée à relever : qu’à la longue, la
chanson
se soit vidée de son contenu initial, n’ait plus été qu’un tissu de f
80
des châtelaines, dont il fallait apaiser par des
chansons
la mauvaise conscience, et qui leur demandaient non pas tant une illu
81
psycho-physiologique, citons maintenant quelques
chansons
de « légers troubadours méridionaux », grands seigneurs amateurs ou j
82
geait la forme du récit, et non plus de la simple
chanson
. Dans Tristan, la faute initiale est douloureusement rachetée par une
83
cathares, et les troubadours leur dédiaient leurs
chansons
! 41. Déodat Roché, l’un des érudits contemporains les plus vitaleme
84
cuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de
chansons
— de paroles de chansons ! — traduits et privés de leur beauté rythmi
85
ici que des fragments de chansons — de paroles de
chansons
! — traduits et privés de leur beauté rythmique par cette double trah
86
fermé Qui me clôt le chemin vers une telle vie ! (
Chanson
72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la « cruelle mort » une
87
e condition pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa
Chanson
de la Grande Peste, chef-d’œuvre inégalé de l’examen de conscience :
88
désir s’apaise par un coup d’œil, une parole, une
chanson
— si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre ! 5.Un idéal
89
r le texte et les annonces des magazines, par les
chansons
et les images, par la morale courante et ce qui la défie. Nulle autre
90
3.Chansons de geste et romans courtois Les
chansons
de geste sont nées au xie siècle, et pas avant comme l’a montré Jose
91
roïques fondateurs. Il est compréhensible que ces
chansons
de clercs parlent très peu ou point d’amour. Une seule, la Légende de
92
s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une
chanson
glorifiant la victoire des Allemands. 16. Amen. Versiglet mit dem s
93
ont ces nuances-là qui donnent le ton de la bonne
chanson
suisse allemande, et de la fantaisie d’Henri le Vert. On me dira que
94
qui sont commandées par la vraie passion11. » La
chanson
dit plus simplement que « tout est permis quand on s’aime ». La premi
95
ses vêtements dans un jour froid, c’est dire des
chansons
à un cœur attristé…13 » ⁂ Mais j’entendais un chant plein de force et
96
qui sont commandées par la vraie passion.22 » La
chanson
dit plus simplement que « tout est permis quand on s’aime ». La premi
97
ses vêtements dans un jour froid, c’est dire des
chansons
à un cœur attristé »…24 ⁂ Mais j’entendais un chant plein de force e
98
qui sont commandées par la vraie passion.24 » La
chanson
dit plus simplement que « tout est permis quand on s’aime ». La premi
99
ses vêtements dans un jour froid, c’est dire des
chansons
à un cœur attristé »26… ⁂ Mais j’entendais un chant plein de force et
100
je sentais présent — un an déjà ! comme dans les
chansons
— même si la guerre était gagnée, même si demain nous devons vivre en
101
ace, il nous réduisait au silence. La force était
chanson
fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autr
102
mme la plus sérieuse de la planète. Cependant ses
chansons
, son théâtre d’avant-guerre, ses romans à succès et ses produits d’ex
103
ur communicative, et son insouciance lyrique. Ses
chansons
déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rêveries, dans u
104
ace, il nous réduisait au silence. La force était
chanson
fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autr
105
outon de la radio et suis tombé sur un récital de
chansons
militaires du xviiie siècle. Je note vite ces paroles charmantes :
106
s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une
chanson
glorifiant la victoire des Allemands. 2. Amen. Versiglet mit dem Sc
107
je sentais présent — un an déjà ! comme dans les
chansons
— même si la guerre était gagnée, même si demain nous devions vivre e
108
ace, il nous réduisait au silence. La force était
chanson
fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre
109
sans doute de pareilles alternances. Le ton ou la
chanson
, l’écriture ou le sens, le rythme ou la direction de la marche seront
110
leurs dessous roses, les filles qui chantent une
chanson
populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
111
s Noms, ça ne sera pas encore pour cette fois.
Chansons
hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
112
ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la
chanson
hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
113
ouer des mélodies charmantes, jazz et clarinette,
chansons
de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
114
es feuillages de voix fausses mais aériennes, des
chansons
du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
115
r villageois, ciel de province, jeux d’enfants et
chansons
, accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivre là. Non pas comme eux, tra
116
ois. Ce « peuple »-là n’a plus d’instinct. Et les
chansons
dites populaires ne sont même plus en musique c’est du « parlé » coup
117
s une auberge forestière. Des tyroliennes, et des
chansons
de la vieille France, dont ils étaient les seuls à savoir toutes les
118
outon de la radio et suis tombé sur un récital de
chansons
militaires du xviiie siècle. Je note vite ces paroles charmantes :
119
je sentais présent — un an déjà ! comme dans les
chansons
— même si la guerre était gagnée, même si demain nous devions vivre e
120
s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une
chanson
glorifiant la victoire des Allemands. 76. Amen. Versiglet mit dem S
121
ace, il nous réduisait au silence. La force était
chanson
fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre
122
’est l’amour qui nous rendra la liberté », dit la
chanson
. Mais il arrive que les voies et moyens que nous imaginons pour le ré
123
mme la plus sérieuse de la planète. Cependant ses
chansons
, son théâtre d’avant-guerre, ses romans à succès et ses produits d’ex
124
ur communicative, et son insouciance lyrique. Ses
chansons
déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rêveries, dans u
125
inité ! — et cela ne veut pas dire, comme dans la
chanson
, que nous ne verrons jamais rien venir : car l’élan est donné, le mou
126
rs étrangères, et apprenaient à leurs enfants des
chansons
du régiment. Un folklore musical considérable, riche en chefs-d’œuvre
127
’admet pas de publicité. La part du folklore, des
chansons
populaires chantées par les chœurs de village, des retransmissions de
128
r des châtelaines dont il fallait apaiser par des
chansons
la mauvaise conscience, et qui leur demandaient non pas tant une illu
129
e psychophysiologique, citons maintenant quelques
chansons
de « légers troubadours méridionaux », grands seigneurs amateurs ou j
130
cuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de
chansons
— de paroles de chansons ! — souvent très pauvrement traduites, et pr
131
ici que des fragments de chansons — de paroles de
chansons
! — souvent très pauvrement traduites, et privés de toute beauté prop
132
thares et les joyeux troubadours. Et pourtant les
chansons
courtoises chantent l’amour hors du mariage ; or seuls les fameux cat
133
re gamme, elle leur dit : composez maintenant une
chanson
dans le goût de ce pays ; mais ils ne purent écrire que de petites mé
134
ne faisaient que réinventer les lieux communs de
chansons
européennes qu’ils ne connaissaient pas. Ainsi chaque machine exporté
135
re gamme, elle leur dit : composez maintenant une
chanson
dans le goût de ce pays ; mais ils ne purent écrire que de petites mé
136
faisaient que réinventer les lieux communs de nos
chansons
européennes, qu’ils n’avaient jamais entendues. Ainsi, chaque machine
137
journaux populaires et les bandes dessinées, les
chansons
à la mode, les danses et les strip-teases : il suffit de regarder le
138
ussi de sa seule évocation : d’une lecture, d’une
chanson
, d’une image ou d’un mot, qui suffisent à l’induire, ou à fixer son c
139
journaux populaires et les bandes dessinées, les
chansons
à la mode, les danses et les strip-teases : il suffit de regarder le
140
» est mort : avec Mozart il a chanté sa dernière
chanson
: — quel bonheur pour nous, que son rococo ait encore un sens pour no
141
particulière d’un rouge se manifeste et chante sa
chanson
, il faut que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts, par e
142
particulière d’un rouge se manifeste et chante sa
chanson
, il faut que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts, par e
143
particulière d’un rouge se manifeste et chante sa
chanson
, il faut que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts, par e
144
e la vie. Si l’on admet avec tous les romans, les
chansons
populaires, les films, les magazines, la publicité et les women’s clu
145
ar une propagande acharnée contre la romance, les
chansons
sentimentales, et l’idée de bonheur individuel, considérée comme déca
146
esse par le savoureux chansonnier vaudois Gilles.
Chansons
du service étranger, gracieuses et nostalgiques. Hymnes à la nature a
147
s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une
chanson
glorifiant la victoire des Allemands. 89. Amen. Versiglet mit dem S
148
iie siècle dans les romans anglo-normands et les
chansons
des troubadours comme dans le cœur d’Héloïse et l’esprit d’Abélard, s
149
gamme, elle leur dit : « Composez maintenant une
chanson
dans le goût de ce pays. » Mais ils ne purent écrire que de petites m
150
faisaient que réinventer les lieux communs de nos
chansons
européennes, qu’ils n’avaient jamais entendues 20. Ainsi, chaque mach
151
s des villes méridionales cinquante ans après les
chansons
de Guillaume de Poitiers : c’est le type même du « petit fait vrai »,
152
m’en vais, chétif, je ne sais où. Je renonce aux
chansons
et les renie. Loin de Joie et d’Amour, je me cache. Ceci encore, dan
153
; celle de l’apparition subite, dans cinq ou six
chansons
de Guillaume de Poitiers, des thèmes majeurs que vont traiter tous le
154
sire le plus », comme il le dit dans l’une de ses
chansons
. « Ne serait-ce pas dans cet état de malaise intérieur que naquit en
155
ntôt autonomisé sous forme de vers (versus) ou de
chanson
(canso) : cette évolution séculaire vient culminer entre 1100 et 1150
156
ous fait suivre dans le détail de la métrique des
chansons
I à IX la dialectique de cette contamination et les progrès d’une sor
157
hantent chacun en son langage Les versets de leur
chanson
neuve : Il faut bien qu’on se mette en quête De ce qu’homme désire le
158
mme désire le plus ! Et plus loin, dans la même
chanson
, les vers célèbres : La nostr’ amor vai enaissi Com la branca de l’a
159
uit Sur la feuille et le rameau vert. « Dans les
chansons
de Guillaume IX, conclut Theophil Spoerri, apparaît et prend forme ce
160
ce du zadjal si souvent relevée sur cinq des onze
chansons
de Guillaume. Mais encore : dans la lutte à jamais créatrice de toute
161
lle : Pierre Abélard et Bernard de Clairvaux. Les
chansons
d’amour d’Abélard pour Héloïse sont presque exactement contemporaines
162
t presque exactement contemporaines des premières
chansons
courtoises de Guillaume IX (environ 1110) ; elles sont toutes perdues
163
etc., séjournèrent aussi, comme le prouvent leurs
chansons
— les voilà donc vos « sources et vos « documents » ! — deux des gran
164
ie des Nibelungen, et finalement de la France des
Chansons
de geste, de la Bretagne des légendes arthuriennes. 1. Les troubado
165
gamme, elle leur dit : « Composez maintenant une
chanson
dans le goût de ce pays ». Mais ils ne purent écrire que de petites m
166
faisaient que réinventer les lieux communs de nos
chansons
européennes, qu’ils n’avaient jamais entendues. Ainsi, chaque machine
167
ublicité que lui font nos romans, nos poèmes, nos
chansons
et nos opéras. C’est le sentiment qui s’exalte de tout ce qui s’oppos
168
and, puis à la poésie populaire des romans et des
chansons
, parlent d’« âme sœur », de « fusion des âmes », d’« extase amoureuse
169
t l’Europe en cortèges de pèlerins chantant des «
chansons
d’aubes » spirituelles, ils dansent, ils tissent ou ne font rien, ils
170
et des sapins, et l’on retrouve des mœurs et des
chansons
pareilles, tout le long de cette chaîne, dans toutes les langues… » E
171
passion — il est l’autre sommet de l’opéra. À la
chanson
d’aube de Brangaine qui du haut de la tour avertit les amants : « Hab
172
ur qui nous rendra la liberté », comme le dit une
chanson
populaire et sublime.) b. Quand quelqu’un dit : « Je sais maintenant
173
ur qui nous rendra la liberté », comme le dit une
chanson
populaire et sublime) ; b) quand quelqu’un dit : « Je sais maintenant