1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 e l’eau. Mais ce n’est pas d’elle que vient cette chanson jamais entendue qui nous accompagne depuis un moment sur le chemin de
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
2 poque. « Voulez-vous des douleurs, la mort ou des chansons  ? » On a l’hallucination du décor des capitales, créatrice d’un merve
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
3 sur les glaces du passé. Cet abandon aux fuyantes chansons , et des violons déchirants dans sa tête… Mais le sommeil s’évaporait
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
4 pas que l’enterrement s’éloigne pour entonner une chanson à boire. Et sa technique auparavant volontairement maigre se faisait
5 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
5 ffler à l’oreille les notes les plus aiguës d’une chanson populaire, et à l’autre extrémité de la salle, par-dessus la rumeur d
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6 jouer des ringues charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
7 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 es feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons populaires qui sont ce que je connais de plus indiciblement nostalgiq
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 ms, ça ne sera pas encore pour cette fois. 13. Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
10 ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
12 , ça ne sera pas encore pour cette fois. xiii Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
13 ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
14 jouer des ringues charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
12 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
15 es feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
17 s Noms, ça ne sera pas encore pour cette fois. Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
18 ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
19 ouer des mélodies charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
20 es feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
21 ace, il nous réduisait au silence. La force était chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre
17 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
22 use et de se sacrifier pour le bonheur collectif. Chanson de Roland, fair-play, Baden-Powell, religion du travail. On a l’air d
18 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
23 nts, et qu’on aime répéter comme le refrain d’une chanson idiote mais « qui fait toujours plaisir ». À droite on assimile volo
19 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
24 nts, et qu’on aime répéter comme le refrain d’une chanson idiote mais « qui fait toujours plaisir ». À droite on assimile volon
20 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
25 nte ». Voici la conclusion de son chapitre sur la Chanson de Béranger : « Elle est la colonne de Juillet de la poésie française
26 rs un génie prétentieux qui est lui-même sujet de chanson , vers une plate-forme d’où s’étale à la vue tout un quartier d’histoi
21 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
27 alut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotarde sur l’Alsace-Lorraine : Vous avez pu germaniser nos plai
22 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
28 r villageois, ciel de province, jeux d’enfants et chansons , accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivre là. Non pas comme eux, tra
29 ois. Ce « peuple »-là n’a plus d’instinct. Et les chansons dites populaires ne sont même plus en musique : c’est du « parlé » co
23 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
30 s une auberge forestière. Des tyroliennes, et des chansons de la vieille France, dont ils étaient les seuls à savoir toutes les
24 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
31 e suis un militaire, Il faut bien faire mon état. Chanson du xviiie siècle. — Tu te rends compte ? dit un camarade. — Pas tro
25 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
32 s plus vieilles légendes, et dans nos plus belles chansons . L’amour heureux n’a pas d’histoire. Il n’est de roman que de l’amour
33 . En quoi le roman breton se distingue-t-il de la chanson de geste, qu’il supplanta dès la seconde moitié du xiie siècle avec
34 i ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la chanson du marinier, du haut du mât, prédit leur sort inévitable : Vers l’Oc
26 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
35 — écrit un de nos professeurs — de voir dans ces chansons d’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale, une im
36 e Et bientôt viendra l’aube. Mais à la fin de la chanson , le troubadour a-t-il trahi ses vœux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein
37 quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa chanson « Du moindre tiers d’Amour », celui des femmes — Guiraut de Calanson
38 et le premier mai en offrant une couronne et une chanson à sa fiancée, la Sagesse éternelle. Mais que penser du reste ? À tabl
39 reur de fait aisée à relever : qu’à la longue, la chanson se soit vidée de son contenu initial, n’ait plus été qu’un tissu de f
27 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
40 fermé Qui me clôt le chemin vers une telle vie ! ( Chanson 72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la « cruelle mort » une
41 e condition pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa Chanson de la Grande Peste, chef-d’œuvre inégalé de l’examen de conscience :
42 désir s’apaise par un coup d’œil, une parole, une chanson , — si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre ! 5.Un idéal
28 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
43 t l’illusion de l’ordre. (Ibid., p. 80.) 3. –  Chansons de geste et romans courtois Les chansons de geste sont nées au xie
44 3. – Chansons de geste et romans courtois Les chansons de geste sont nées au xie siècle, et pas avant, comme l’a montré Jos
45 roïques fondateurs. Il est compréhensible que ces chansons de clercs parlent très peu ou point d’amour. Une seule, la Légende de
29 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
46 son.) 1. Des matines jusqu’au soir Quelle est ma chanson  ? Du plus beau pays à voir Telle est ma chanson. Des lacs, des rocs
47 a chanson ? Du plus beau pays à voir Telle est ma chanson . Des lacs, des rocs, des pics sauvages — Sifflez, dansez, sonnez so
48 2. Sous le ciel du plus beau jour Quelle est ma chanson  ? Tout au long des lourds labours Telle est ma chanson. Par monts,
49 on ? Tout au long des lourds labours Telle est ma chanson . Par monts, par vaux, par les alpages — Sifflez, dansez, sonnez son
50 ures tout le monde ici. Compris ? (Refrain de la chanson , tandis qu’ils se dispersent et sortent. Les deux plus petites filles
30 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
51 rise du Choral ii.) 4. Librement inspiré d’une Chanson d’aube du troubadour Folquet de Marseille.
31 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
52 s plus vieilles légendes, et dans nos plus belles chansons . L’amour heureux n’a pas d’histoire. Il n’est de roman que de l’amour
53 . En quoi le roman breton se distingue-t-il de la chanson de geste, qu’il supplanta dès la seconde moitié du xiie siècle avec
54 i ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la chanson du marinier, du haut du mât, prédit leur sort inévitable : Vers l’Occ
32 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
55 — écrit un de nos professeurs — de voir dans ces chansons d’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale, une im
56 ces hérétiques de ces cours. Voici le début d’une chanson de Peire Vidal : Mon cœur se réjouit à cause du renouveau si agréable
57   Et bientôt viendra l’aube. Mais à la fin de la chanson , le troubadour a-t-il trahi ses vœux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein
58 quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa chanson Du moindre tiers d’Amour — celui des femmes — Guiraut de Calanson dit
59 et le premier mai en offrant une couronne et une chanson à sa fiancée, la Sagesse éternelle. Mais que penser du reste ? À tabl
60 reur de fait aisée à relever : qu’à la longue, la chanson se soit vidée de son contenu initial, n’ait plus été qu’un tissu de f
61 des châtelaines, dont il fallait apaiser par des chansons la mauvaise conscience, et qui leur demandaient non pas tant une illu
62 psycho-physiologique, citons maintenant quelques chansons de « légers troubadours méridionaux », grands seigneurs amateurs ou j
63 geait la forme du récit, et non plus de la simple chanson . Dans Tristan, la faute initiale est douloureusement rachetée par une
64 cathares, et les troubadours leur dédiaient leurs chansons  ! 48. Déodat Roché, l’un des érudits contemporains les plus vitaleme
65 cuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons ! — souvent très pauvrement traduites, et pr
66 ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons  ! — souvent très pauvrement traduites, et privées de toute beauté pro
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
67 rmé Qui me clôt le chemin vers une telle vie ! » ( Chanson 72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la « cruelle mort » une
68 e condition pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa Chanson de la Grande Peste, chef-d’œuvre inégalé de l’examen de conscience :
69 désir s’apaise par un coup d’œil, une parole, une chanson  – si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre ! 5.Un idéal à
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
70 r le texte et les annonces des magazines, par les chansons et les images, par la morale courante et ce qui la défie. Nulle autre
35 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
71 s plus vieilles légendes, et dans nos plus belles chansons . L’amour heureux n’a pas d’histoire. Il n’est de roman que de l’amour
72 . En quoi le roman breton se distingue-t-il de la chanson de geste, qu’il supplanta dès la seconde moitié du xiie siècle avec
73 i ! » chantait Isolde en son amour sauvage. Et la chanson du marinier, du haut du mât, prédit leur sort inévitable : Vers l’Oc
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
74 — écrit un de nos professeurs — de voir dans ces chansons d’amour, qui forment les trois quarts de la poésie provençale, une im
75 ces hérétiques de ces cours. Voici le début d’une chanson de Peire Vidal : Mon cœur se réjouit à cause du renouveau si agréabl
76 e Et bientôt viendra l’aube. Mais à la fin de la chanson , le troubadour a-t-il trahi ses vœux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein
77 quel Amour en fut l’idée platonicienne ? Dans sa chanson Du moindre tiers d’Amour — celui des femmes — Guiraut de Calanson dit
78 et le premier mai en offrant une couronne et une chanson à sa fiancée, la Sagesse éternelle. Mais que penser du reste ? À tabl
79 reur de fait aisée à relever : qu’à la longue, la chanson se soit vidée de son contenu initial, n’ait plus été qu’un tissu de f
80 des châtelaines, dont il fallait apaiser par des chansons la mauvaise conscience, et qui leur demandaient non pas tant une illu
81 psycho-physiologique, citons maintenant quelques chansons de « légers troubadours méridionaux », grands seigneurs amateurs ou j
82 geait la forme du récit, et non plus de la simple chanson . Dans Tristan, la faute initiale est douloureusement rachetée par une
83 cathares, et les troubadours leur dédiaient leurs chansons  ! 41. Déodat Roché, l’un des érudits contemporains les plus vitaleme
84 cuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons ! — traduits et privés de leur beauté rythmi
85 ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons  ! — traduits et privés de leur beauté rythmique par cette double trah
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
86 fermé Qui me clôt le chemin vers une telle vie ! ( Chanson 72.) La « nuit infernale » devient le Jour, la « cruelle mort » une
87 e condition pitoyable. C’est ce qu’il dit dans sa Chanson de la Grande Peste, chef-d’œuvre inégalé de l’examen de conscience :
88 désir s’apaise par un coup d’œil, une parole, une chanson —  si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre ! 5.Un idéal
38 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
89 r le texte et les annonces des magazines, par les chansons et les images, par la morale courante et ce qui la défie. Nulle autre
39 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
90 3.Chansons de geste et romans courtois Les chansons de geste sont nées au xie siècle, et pas avant comme l’a montré Jose
91 roïques fondateurs. Il est compréhensible que ces chansons de clercs parlent très peu ou point d’amour. Une seule, la Légende de
40 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
92 s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 16. Amen. Versiglet mit dem s
41 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
93 ont ces nuances-là qui donnent le ton de la bonne chanson suisse allemande, et de la fantaisie d’Henri le Vert. On me dira que
42 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
94 qui sont commandées par la vraie passion11. » La chanson dit plus simplement que « tout est permis quand on s’aime ». La premi
95 ses vêtements dans un jour froid, c’est dire des chansons à un cœur attristé…13 » ⁂ Mais j’entendais un chant plein de force et
43 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
96 qui sont commandées par la vraie passion.22 » La chanson dit plus simplement que « tout est permis quand on s’aime ». La premi
97 ses vêtements dans un jour froid, c’est dire des chansons à un cœur attristé »…24 ⁂ Mais j’entendais un chant plein de force e
44 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
98 qui sont commandées par la vraie passion.24 » La chanson dit plus simplement que « tout est permis quand on s’aime ». La premi
99 ses vêtements dans un jour froid, c’est dire des chansons à un cœur attristé »26… ⁂ Mais j’entendais un chant plein de force et
45 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
100 je sentais présent — un an déjà ! comme dans les chansons — même si la guerre était gagnée, même si demain nous devons vivre en
101 ace, il nous réduisait au silence. La force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autr
46 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
102 mme la plus sérieuse de la planète. Cependant ses chansons , son théâtre d’avant-guerre, ses romans à succès et ses produits d’ex
103 ur communicative, et son insouciance lyrique. Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rêveries, dans u
47 1946, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe (écrit en Amérique, en 1943) (août-septembre 1946)
104 ace, il nous réduisait au silence. La force était chanson fredonnée, sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autr
48 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
105 outon de la radio et suis tombé sur un récital de chansons militaires du xviiie siècle. Je note vite ces paroles charmantes :
106 s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 2. Amen. Versiglet mit dem Sc
49 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
107 je sentais présent — un an déjà ! comme dans les chansons — même si la guerre était gagnée, même si demain nous devions vivre e
50 1946, Journal des deux mondes. Intermède. Mémoire de l’Europe
108 ace, il nous réduisait au silence. La force était chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
109 sans doute de pareilles alternances. Le ton ou la chanson , l’écriture ou le sens, le rythme ou la direction de la marche seront
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
110 leurs dessous roses, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristement les lumières. Il y en a aussi qui s
111 s Noms, ça ne sera pas encore pour cette fois. Chansons hongroises Les Suisses chantent immobiles, les yeux fixes, le visa
112 ux fixes, le visage impassible. Mais rien dans la chanson hongroise ne rappelle la nostalgie traînante des lieder de l’Oberland
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
113 ouer des mélodies charmantes, jazz et clarinette, chansons de mai. Les bateaux qui dérivent dans le voisinage se rapprochent, to
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
114 es feuillages de voix fausses mais aériennes, des chansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indicibleme
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
115 r villageois, ciel de province, jeux d’enfants et chansons , accordéon… Je me dis qu’on pourrait vivre là. Non pas comme eux, tra
116 ois. Ce « peuple »-là n’a plus d’instinct. Et les chansons dites populaires ne sont même plus en musique c’est du « parlé » coup
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
117 s une auberge forestière. Des tyroliennes, et des chansons de la vieille France, dont ils étaient les seuls à savoir toutes les
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
118 outon de la radio et suis tombé sur un récital de chansons militaires du xviiie siècle. Je note vite ces paroles charmantes :
119 je sentais présent — un an déjà ! comme dans les chansons — même si la guerre était gagnée, même si demain nous devions vivre e
120 s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 76. Amen. Versiglet mit dem S
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède : mémoire de l’Europe
121 ace, il nous réduisait au silence. La force était chanson fredonnée sur le seuil, au matin d’une journée qui se liait aux autre
59 1947, Articles divers (1946-1948). La liberté dans l’amour [Réponse à une enquête] (novembre 1947)
122 ’est l’amour qui nous rendra la liberté », dit la chanson . Mais il arrive que les voies et moyens que nous imaginons pour le ré
60 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
123 mme la plus sérieuse de la planète. Cependant ses chansons , son théâtre d’avant-guerre, ses romans à succès et ses produits d’ex
124 ur communicative, et son insouciance lyrique. Ses chansons déchirantes de sentimentalisme ne traduisent que ses rêveries, dans u
61 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
125 inité ! — et cela ne veut pas dire, comme dans la chanson , que nous ne verrons jamais rien venir : car l’élan est donné, le mou
62 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
126 rs étrangères, et apprenaient à leurs enfants des chansons du régiment. Un folklore musical considérable, riche en chefs-d’œuvre
63 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
127 ’admet pas de publicité. La part du folklore, des chansons populaires chantées par les chœurs de village, des retransmissions de
64 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
128 r des châtelaines dont il fallait apaiser par des chansons la mauvaise conscience, et qui leur demandaient non pas tant une illu
129 e psychophysiologique, citons maintenant quelques chansons de « légers troubadours méridionaux », grands seigneurs amateurs ou j
130 cuse de ne pouvoir citer ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons ! — souvent très pauvrement traduites, et pr
131 ici que des fragments de chansons — de paroles de chansons  ! — souvent très pauvrement traduites, et privés de toute beauté prop
65 1956, Articles divers (1951-1956). Denis de Rougemont et l’amour-passion, phénomène historique (4 février 1956)
132 thares et les joyeux troubadours. Et pourtant les chansons courtoises chantent l’amour hors du mariage ; or seuls les fameux cat
66 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
133 re gamme, elle leur dit : composez maintenant une chanson dans le goût de ce pays ; mais ils ne purent écrire que de petites mé
134 ne faisaient que réinventer les lieux communs de chansons européennes qu’ils ne connaissaient pas. Ainsi chaque machine exporté
67 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). … Et dona ferentes (Remarques sur la diffusion inégale de nos valeurs et de nos produits)
135 re gamme, elle leur dit : composez maintenant une chanson dans le goût de ce pays ; mais ils ne purent écrire que de petites mé
136 faisaient que réinventer les lieux communs de nos chansons européennes, qu’ils n’avaient jamais entendues. Ainsi, chaque machine
68 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
137 journaux populaires et les bandes dessinées, les chansons à la mode, les danses et les strip-teases : il suffit de regarder le
69 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Présence des mythes et leurs pouvoirs dans divers ordres
138 ussi de sa seule évocation : d’une lecture, d’une chanson , d’une image ou d’un mot, qui suffisent à l’induire, ou à fixer son c
70 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
139 journaux populaires et les bandes dessinées, les chansons à la mode, les danses et les strip-teases : il suffit de regarder le
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
140  » est mort : avec Mozart il a chanté sa dernière chanson  : — quel bonheur pour nous, que son rococo ait encore un sens pour no
72 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
141 particulière d’un rouge se manifeste et chante sa chanson , il faut que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts, par e
73 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
142 particulière d’un rouge se manifeste et chante sa chanson , il faut que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts, par e
74 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
143 particulière d’un rouge se manifeste et chante sa chanson , il faut que ce rouge soit contrasté et composé avec des verts, par e
75 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
144 e la vie. Si l’on admet avec tous les romans, les chansons populaires, les films, les magazines, la publicité et les women’s clu
145 ar une propagande acharnée contre la romance, les chansons sentimentales, et l’idée de bonheur individuel, considérée comme déca
76 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
146 esse par le savoureux chansonnier vaudois Gilles. Chansons du service étranger, gracieuses et nostalgiques. Hymnes à la nature a
147 s à bout portant. Le poème de Manuel répond à une chanson glorifiant la victoire des Allemands. 89. Amen. Versiglet mit dem S
77 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
148 iie siècle dans les romans anglo-normands et les chansons des troubadours comme dans le cœur d’Héloïse et l’esprit d’Abélard, s
78 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
149 gamme, elle leur dit : « Composez maintenant une chanson dans le goût de ce pays. » Mais ils ne purent écrire que de petites m
150 faisaient que réinventer les lieux communs de nos chansons européennes, qu’ils n’avaient jamais entendues 20. Ainsi, chaque mach
79 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
151 s des villes méridionales cinquante ans après les chansons de Guillaume de Poitiers : c’est le type même du « petit fait vrai »,
152 m’en vais, chétif, je ne sais où. Je renonce aux chansons et les renie. Loin de Joie et d’Amour, je me cache. Ceci encore, dan
153  ; celle de l’apparition subite, dans cinq ou six chansons de Guillaume de Poitiers, des thèmes majeurs que vont traiter tous le
154 sire le plus », comme il le dit dans l’une de ses chansons . « Ne serait-ce pas dans cet état de malaise intérieur que naquit en
155 ntôt autonomisé sous forme de vers (versus) ou de chanson (canso) : cette évolution séculaire vient culminer entre 1100 et 1150
156 ous fait suivre dans le détail de la métrique des chansons I à IX la dialectique de cette contamination et les progrès d’une sor
157 hantent chacun en son langage Les versets de leur chanson neuve : Il faut bien qu’on se mette en quête De ce qu’homme désire le
158 mme désire le plus ! Et plus loin, dans la même chanson , les vers célèbres : La nostr’ amor vai enaissi Com la branca de l’a
159 uit Sur la feuille et le rameau vert. « Dans les chansons de Guillaume IX, conclut Theophil Spoerri, apparaît et prend forme ce
160 ce du zadjal si souvent relevée sur cinq des onze chansons de Guillaume. Mais encore : dans la lutte à jamais créatrice de toute
161 lle : Pierre Abélard et Bernard de Clairvaux. Les chansons d’amour d’Abélard pour Héloïse sont presque exactement contemporaines
162 t presque exactement contemporaines des premières chansons courtoises de Guillaume IX (environ 1110) ; elles sont toutes perdues
163 etc., séjournèrent aussi, comme le prouvent leurs chansons — les voilà donc vos « sources et vos « documents » ! — deux des gran
80 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Aux origines : le Mythe et l’Épopée
164 ie des Nibelungen, et finalement de la France des Chansons de geste, de la Bretagne des légendes arthuriennes. 1. Les troubado
81 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
165 gamme, elle leur dit : « Composez maintenant une chanson dans le goût de ce pays ». Mais ils ne purent écrire que de petites m
166 faisaient que réinventer les lieux communs de nos chansons européennes, qu’ils n’avaient jamais entendues. Ainsi, chaque machine
82 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
167 ublicité que lui font nos romans, nos poèmes, nos chansons et nos opéras. C’est le sentiment qui s’exalte de tout ce qui s’oppos
168 and, puis à la poésie populaire des romans et des chansons , parlent d’« âme sœur », de « fusion des âmes », d’« extase amoureuse
83 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
169 t l’Europe en cortèges de pèlerins chantant des «  chansons d’aubes » spirituelles, ils dansent, ils tissent ou ne font rien, ils
84 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
170 et des sapins, et l’on retrouve des mœurs et des chansons pareilles, tout le long de cette chaîne, dans toutes les langues… » E
85 1979, Articles divers (1978-1981). Le mythe et l’opéra (1979)
171 passion — il est l’autre sommet de l’opéra. À la chanson d’aube de Brangaine qui du haut de la tour avertit les amants : « Hab
86 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
172 ur qui nous rendra la liberté », comme le dit une chanson populaire et sublime.) b. Quand quelqu’un dit : « Je sais maintenant
87 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre 1981)
173 ur qui nous rendra la liberté », comme le dit une chanson populaire et sublime) ; b) quand quelqu’un dit : « Je sais maintenant