1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
1 îchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil , dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’ins
2 s prairies ou le long des lisières surprendre les chevreuils et repérer les « bocks » mal encornés. Le fusil déposé sur nos genoux
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
3 îchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil , dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’ins
4 s prairies ou le long des lisières surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusil déposé sur nos genoux, p
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
5 îchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil , dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est consacré à l’ins
6 s prairies ou le long des lisières surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusil déposé sur nos genoux, p