1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
1 ions au spectacle grandiose de la croissance d’un chêne géant. Tout ici est organe, tout est nature. Et Goethe l’a su. Mais q
2 endide. S’il s’abandonne, il deviendra non pas ce chêne tutélaire (peut-être un peu commun), mais un de ces arbres étranges q
3 s dix années où, pour reprendre la comparaison du chêne , Goethe se fait un tronc, une écorce. En face du titanisme de Hölderl
2 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
4 out, dans tous ces sanctuaires, le même parfum de chêne ciré, de luxe, de dignité, de dévotion correcte… Le goût de la cér
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
5 es et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent fol
4 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
6 es et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent fol
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
7 ce ne sont d’abord que plaines neutres, forêts de chênes et de sapins. Puis lentement ce paysage intermédiaire se colore, s’il
8 ré d’un ruisseau, piqué de saules pleureurs et de chênes dorés. Quatre chambres fleuries d’abondants chrysanthèmes. Les boiser
9 es et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent fol
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
10 es bosquets de mimosas en fleurs, hauts comme des chênes d’Europe, dômes de parfums, et des forêts où quand je claque des main
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
11 u fond, l’un grand ouvert, très large et boisé de chêne clair. J’y entre en me disant qu’un doorman va venir. J’attends. Soud
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
12 ce ne sont d’abord que plaines neutres, forêts de chênes et de sapins. Puis lentement ce paysage intermédiaire se colore, s’il
13 e d’un ruisseau, piquée de saules pleureurs et de chênes dorés. Quatre chambres fleuries d’abondants chrysanthèmes. Les boiser
14 es et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle tire encore les rideaux. « Les orages me rendent fol
9 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
15 out, dans tous ces sanctuaires, le même parfum de chêne ciré, de luxe, de dignité, de dévotion correcte…   Un dimanche matin
10 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
16 ens et ces prairies entre deux bois de très vieux chênes , où persiste un tapis de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mo
11 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
17 ns, et ces prairies entre deux bois de très vieux chênes , où persiste un tapis de brume. Aux bords de ce ruisseau qui longe mo
12 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
18 as vous plaindre si vous constatez qu’un gland de chêne a produit un chêne au lieu de produire un orme. Or, une structure pol
19 vous constatez qu’un gland de chêne a produit un chêne au lieu de produire un orme. Or, une structure politique donnée est p
13 1966, Preuves, articles (1951–1968). André Breton (novembre 1966)
20 présence de Breton m’est advenue sous les grands chênes , comme si j’étais sorti ce soir à sa rencontre. Je n’ai pas connu d’a
14 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
21 du Parnasse j’irai, et, dès que dans l’ombre des chênes Brillera la lueur de ton flot surgissant, Castalie ! Ah ! je veux Dan
15 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
22 d du Parnasse j’irai, et dès que dans l’ombre des chênes Aux yeux de l’errant brillera ton flot surgissant, Castalie… Hölderl
23 de Thèbes. Arrêtons-nous dans l’ombre épaisse des chênes . Un bref sentier sous les feuillages conduit au bas d’une gorge ravin
24 il y a peu de recul, peu d’espace libre entre les chênes denses, le grand bassin d’eau verte et les parois monumentales. Cet e
25 noir, centre du Monde. Au retrait de l’ombre des chênes , j’ai trompé le sommeil pour tenter de surprendre l’éveil du mythe da