1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 ion se contente des macérations de 70 millions de chômeurs , et de super-holocaustes annuels de blé, de coton et d’obus. En face
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
2 -François-Henry, rentier. (Un rentier n’est qu’un chômeur riche.) Suivent mon grand-père, professeur de théologie, et mon père,
3 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
3 ui le dit avec une puissance assez austère. ⁂ Six chômeurs allemands, anciens officiers et sous-officiers pendant la guerre, s’e
4 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
4 ion se contente des macérations de 30 millions de chômeurs , et de super-holocaustes annuels de blé, de coton et d’obus. C’est ai
5 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
5 ion se contente des macérations de 30 millions de chômeurs , et de super-holocaustes annuels de blé, de coton et d’obus. C’est ai
6 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
6 . Kagawa recueille dans sa case, des malades, des chômeurs , des vieillards, des enfants abandonnés, des ivrognes, tout le rebut
7 etrouvé la commune mesure. Donner de la soupe aux chômeurs , c’est très bien, mais cela n’atteint pas les racines du mal. Oui, la
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
8 rtis, ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession, ni crises de gouvernement, ni vieillards cramponnés au
8 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
9 rtis, ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession, ni crises de gouvernement, ni vieillards cramponnés au
9 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
10 rtis, ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession, ni crises de gouvernement, ni vieillards cramponnés au
10 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
11 technologique » se voit contrainte de fournir aux chômeurs une sportule régulière (« indemnités », comme on dit aujourd’hui, d’u
11 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
12 n chômage (fragments) (15 avril 1937)k J’étais chômeur depuis trois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide
13 ail font faillite l’une après l’autre. Il y a 400 chômeurs pour une population de 2300 habitants. Ceux qui travaillent encore ga
14 e de moins en moins. — « Mais, lui dis-je, et les chômeurs  ? On m’a dit qu’il y en a 400 à A ? » La mère, vivement : « Jamais je
15  » La mère, vivement : « Jamais je n’ai engagé de chômeurs , Monsieur, c’est un principe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêt
16 ez donc, deux femmes seules ! — C’est que je suis chômeur moi-même, Madame… » Elle sourit à son tour, de l’air de dire : Oh, vo
17 s, et pourtant elles en sont encore à estimer que chômeur est synonyme de vagabond dangereux. Elles font partie des « travaille
18 disait aussi : En somme, vous n’êtes pas un vrai chômeur , puisque vous avez la possibilité de travailler. — Je me suis fait mo
19 son vrai travail est de penser. Mais je l’appelle chômeur , faute d’autre terme, s’il n’a plus la possibilité de s’assurer un ga
20 situation. Ce n’est fichtre pas le cas des vrais chômeurs  ! — Ah, c’est vrai, je suis bien content, malgré tout. — Alors, vous
21 algré tout. — Alors, vous n’êtes donc pas un vrai chômeur . — Mais je ne tiens pas du tout à être un « vrai chômeur », je vous l
22 . — Mais je ne tiens pas du tout à être un « vrai chômeur  », je vous l’assure ! D’ailleurs j’ai déjà dit que cela me serait pra
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
23 viennent les revendications pratiques : aide aux chômeurs , pose de deux nouvelles boîtes aux lettres ; ouverture d’un chalet de
13 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
24 avais aucun, et que je n’étais qu’un écrivain, et chômeur par-dessus le marché, il s’écria : — Ah ! cher monsieur, je vous env
14 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
25 ent que je n’avais rien de mieux à faire. J’étais chômeur depuis trois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide
26 tune, soit dans mon cas particulier, l’amitié. Un chômeur intellectuel peut encore travailler — et c’est cela qui le différenci
27 t c’est cela qui le différencie profondément d’un chômeur industriel, par exemple — mais il ne connaît plus de vrais loisirs.  
28 ns un tiroir. Cela signifie que j’ai cessé d’être chômeur . Le départ est fixé au 10. Il va falloir vendre la poule noire et les
15 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
29 avais aucun, et que je n’étais qu’un écrivain, et chômeur par-dessus le marché, il s’écria : « Ah ! cher monsieur, je vous envi
16 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
30 deux-pièces », agrémentés de la TSF des voisins.) Chômeur , je me trouvais cependant rendu à mon travail le plus réel, qui est d
17 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
31 er son train, et les guerres se déchaîner, et les chômeurs mourir de faim ? Ce serait prouver qu’on n’est pas converti. J’agirai
18 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
32 ent que je n’avais rien de mieux à faire. J’étais chômeur depuis trois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide
19 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
33 une, soit, dans mon cas particulier, l’amitié. Un chômeur intellectuel peut encore travailler — et c’est cela qui le différenci
34 t c’est cela qui le différencie profondément d’un chômeur industriel, par exemple —, mais il ne connaît plus de vrais loisirs.
35 est démoralisant. (Pour beaucoup de bourgeois, le chômeur est un être mystérieux et un peu effrayant, il joue le rôle d’un croq
36 r la réalité humaine et présente du chômage ? Les chômeurs eux-mêmes ? On n’étudie pas la misère, quand il ne s’agit plus de rie
37 suré se soucient peu de connaître la mentalité du chômeur , soit que, bourgeois, ils refusent de croire à la nécessité organique
38 le cas tout à fait particulier de l’intellectuel chômeur . Il semble que cet homme-là soit à peu près le seul qui ait à la fois
39 sité de « sauver les élites », et de secourir les chômeurs intellectuels dont on dirait parfois qu’ils paraissent plus spécialem
40 pour ce que je suis, c’est-à-dire un intellectuel chômeur , je devine chez mon homme un certain scepticisme : « Chômeur ? Allons
41 devine chez mon homme un certain scepticisme : «  Chômeur  ? Allons donc, cela s’appelait bohème de mon temps ! Et puis vous ête
42 geois, un bourgeois ne peut pas faire un « vrai » chômeur , il y a là quelque chose qui ne va pas. Enfin, au fait et au prendre,
43 et au prendre, qu’est-ce que cela signifie d’être chômeur quand on a pour métier de penser ? Peut-on s’arrêter de penser ? Ha h
44 y a qu’un cheveu. ⁂ Paradoxes. — Un intellectuel chômeur n’est pas un homme démoralisé par la privation de travail. Au contrai
45 r des questions toutes nouvelles. Un intellectuel chômeur n’est généralement pas « inscrit au chômage » et ne bénéficie pas du
46 imum de sécurité financière accordé par l’État au chômeur industriel. Autre désavantage : il ne peut pas accepter n’importe que
47 oxale, tantôt meilleure, tantôt pire que celle du chômeur normal — si j’ose dire — jamais tout à fait pareille, et pourtant voi
48 ssayons de résumer les faits : 1 — L’intellectuel chômeur est celui qui ne peut plus vivre de son travail, soit qu’il ait perdu
49 e de papier et d’encre. Il ne sera donc jamais un chômeur absolu, pensant toujours, ce qui est son métier. Mais peut-être, du f
50 ue de l’intellectuel. Par là même, l’intellectuel chômeur risque d’apparaître inférieur aux yeux des gens de métier parmi lesqu
51 avais aucun, et que je n’étais qu’un écrivain, et chômeur par-dessus le marché, il s’écria : « Ah cher Monsieur, je vous envie 
52 ns un tiroir. Cela signifie que j’ai cessé d’être chômeur . Le départ est fixé au 10. Il va falloir vendre la poule noire et les
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
53 ail font faillite l’une après l’autre. Il y a 400 chômeurs pour une population de 2 300 habitants. Ceux qui travaillent encore g
54 en trouve de moins en moins. — Mais alors, et les chômeurs  ? On m’a dit qu’il y en a quatre-cents à A… ?… La mère, vivement : — 
55 ?… La mère, vivement : — Jamais je n’ai engagé de chômeurs , monsieur, c’est un principe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêt
56 ez donc, deux femmes seules ! — C’est que je suis chômeur moi-même, madame… — Elle sourit à son tour, l’air de dire : Oh ! vous
57 s, et pourtant elles en sont encore à estimer que chômeur est synonyme de vagabond dangereux. Elles font partie des « travaille
58 disait aussi : En somme, vous n’êtes pas un vrai chômeur , puisque vous avez la possibilité de travailler. — Je me suis fait mo
59 son vrai travail est de penser. Mais je l’appelle chômeur , faute d’autre terme, s’il n’a plus la possibilité de s’assurer un ga
60 situation. Ce n’est fichtre pas le cas des vrais chômeurs  ! — Ah ! c’est vrai, je suis bien content, malgré tout. — Alors, vous
61 algré tout. — Alors, vous n’êtes donc pas un vrai chômeur  ? — Mais je ne tiens pas du tout à être un « vrai chômeur », je vous
62 — Mais je ne tiens pas du tout à être un « vrai chômeur  », je vous l’assure ! D’ailleurs j’ai déjà dit que cela me serait pra
63 viennent les revendications pratiques : aide aux chômeurs , pose de deux nouvelles boîtes aux lettres ; ouverture d’un chalet de
21 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
64 communistes) et les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis sept ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie de milici
65 égner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs en 1933, tandis qu’on manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de l
22 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
66 alistes ou soviétique d’ailleurs, d’occuper leurs chômeurs autrement qu’en leur faisant fabriquer des obus. Beaucoup de personne
23 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
67 té sur moi ne l’atteignait pas, lui aussi ! Mais, chômeurs ou non, — j’y reviendrai — ces intellectuels sont sans pitié et par s
68 accusé mon auteur d’avoir usurpé le « titre » de chômeur (comme l’écrit curieusement M. Brasillach). Ils disaient qu’un intell
24 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 communistes) et les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis sept ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie de milici
70 ’il y avait en janvier 1933 plus de 6 millions de chômeurs , chiffre réduit à 1 million deux ans plus tard. — Mais ils font tous
71 aisait plus, me répond S., combien aurait-elle de chômeurs  ? Les journaux français sont pleins d’allusions ironiques au mot de G
25 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
72 égner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs en 1933, tandis qu’on manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de l
26 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
73 les chefs d’entreprises comprennent ceci : chaque chômeur , dans les semaines qui viennent, représentera non seulement un scanda
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
74 ent que je n’avais rien de mieux à faire. J’étais chômeur depuis trois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
75 une, soit, dans mon cas particulier, l’amitié. Un chômeur intellectuel peut encore travailler — et c’est cela qui le différenci
76 t c’est cela qui le différencie profondément d’un chômeur industriel, par exemple —, mais il ne connaît plus de vrais loisirs.
77 est démoralisant. (Pour beaucoup de bourgeois, le chômeur est un être mystérieux et un peu effrayant, il joue le rôle d’un croq
78 r la réalité humaine et présente du chômage ? Les chômeurs eux-mêmes ? On n’étudie pas la misère, quand il ne s’agit plus de rie
79 suré se soucient peu de connaître la mentalité du chômeur , soit que, bourgeois, ils refusent de croire à la nécessité organique
80 le cas tout à fait particulier de l’intellectuel chômeur . Il semble que cet homme-là soit à peu près le seul qui ait à la fois
81 sité de « sauver les élites », et de secourir les chômeurs intellectuels dont on dirait parfois qu’ils paraissent plus spécialem
82 pour ce que je suis, c’est-à-dire un intellectuel chômeur , je devine chez mon homme un certain scepticisme : « Chômeur ? Allons
83 devine chez mon homme un certain scepticisme : «  Chômeur  ? Allons donc, cela s’appelait bohème de mon temps ! Et puis vous ête
84 “noble”, un bourgeois ne peut pas faire un “vrai” chômeur , il y a là quelque chose qui ne va pas. Enfin, au fait et au prendre,
85 et au prendre, qu’est-ce que cela signifie d’être chômeur quand on a pour métier de penser ? Peut-on s’arrêter de penser ? Ha h
86 y a qu’un cheveu. ⁂ Paradoxes. — Un intellectuel chômeur n’est pas un homme démoralisé par la privation de travail. Au contrai
87 des questions toutes nouvelles.   Un intellectuel chômeur n’est généralement pas « inscrit au chômage » et ne bénéficie pas du
88 imum de sécurité financière accordé par l’État au chômeur industriel. Autre désavantage : il ne peut pas accepter n’importe que
89 oxale, tantôt meilleure, tantôt pire que celle du chômeur normal — si j’ose dire — jamais tout à fait pareille, et pourtant voi
90 essayons de résumer les faits : 1. L’intellectuel chômeur est celui qui ne peut plus vivre de son travail, soit qu’il ait perdu
91 e de papier et d’encre. Il ne sera donc jamais un chômeur absolu, pensant toujours, ce qui est son métier. Mais peut-être, du f
92 ue de l’intellectuel. Par là même, l’intellectuel chômeur risque d’apparaître non pas comme un égal mais comme un inférieur aux
93 avais aucun, et que je n’étais qu’un écrivain, et chômeur par-dessus le marché, il s’écria : « Ah ! cher Monsieur, je vous envi
94 ns un tiroir. Cela signifie que j’ai cessé d’être chômeur . Le départ est fixé au 10. Il va falloir vendre la poule noire et les
29 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
95 ail font faillite l’une après l’autre. Il y a 400 chômeurs pour une population de 2300 habitants. Ceux qui travaillent encore ga
96 en trouve de moins en moins. « Mais alors, et les chômeurs  ? On m’a dit qu’il y en a quatre-cents à A… ?… » La mère, vivement :
97  » La mère, vivement : « Jamais je n’ai engagé de chômeurs , monsieur, c’est un principe. Nous ne voulons que des ouvriers honnêt
98 ez donc, deux femmes seules ! — C’est que je suis chômeur moi-même, madame… » Elle sourit à son tour, l’air de dire : « Oh ! vo
99 s, et pourtant elles en sont encore à estimer que chômeur est synonyme de vagabond dangereux. Elles font partie des « travaille
100 isait aussi : « En somme, vous n’êtes pas un vrai chômeur , puisque vous avez la possibilité de travailler. — Je me suis fait mo
101 son vrai travail est de penser. Mais je l’appelle chômeur , faute d’autre terme, s’il n’a plus la possibilité de s’assurer un ga
102 situation. Ce n’est fichtre pas le cas des vrais chômeurs  ! — Ah ! c’est vrai, je suis bien content, malgré tout. — Alors, vous
103 algré tout. — Alors, vous n’êtes donc pas un vrai chômeur  ? — Mais je ne tiens pas du tout à être un « vrai chômeur », je vous
104 ? — Mais je ne tiens pas du tout à être un « vrai chômeur  », je vous l’assure ! D’ailleurs j’ai déjà dit que cela me serait pra
105 viennent les revendications pratiques : aide aux chômeurs , pose de deux nouvelles boites aux lettres ; ouverture d’un chalet de
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
106 communistes) et les autres en brun. C’est un dur. Chômeur depuis sept ans. Ancien chef d’une Kameradschaft (compagnie de milici
107 l y avait en janvier 1933 plus de six millions de chômeurs , chiffre réduit à un million deux ans plus tard. « Mais ils font tous
108 aisait plus, me répond S…, combien aurait-elle de chômeurs  ? » Les journaux français sont pleins d’allusions ironiques au mot de
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
109 égner la paix sociale. Il y avait six millions de chômeurs en 1933, tandis qu’on manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de l
32 1948, Suite neuchâteloise. IV
110 -François-Henry, rentier. (Un rentier n’est qu’un chômeur riche.) Suivent mon grand-père, professeur de théologie, et mon père,
33 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
111 isons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs . Et ce n’est pas une secte politique, une doctrine partisane ou une a
34 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
112 isons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs . Et ce n’est pas une secte politique, une doctrine partisane ou une a
35 1950, Lettres aux députés européens. Cinquième lettre
113 isons de vivre. Mozart n’en est plus une pour les chômeurs . Et ce n’est pas une secte politique, une doctrine partisane ou une a
36 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
114 bre des habitants, femmes, enfants, vieillards et chômeurs compris ; 2. ces chiffres ont été établis par les Nations unies, dont
37 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
115 tent dans trois domaines principaux : secours aux chômeurs , protection du travail, politique sociale. On pourrait en somme les c
38 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
116 du rêve humain d’une vie heureuse, d’une vie sans chômeurs , d’une enfance heureuse, d’une paisible vieillesse… du droit de l’hom
39 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
117 er son train, et les guerres se déchaîner, et les chômeurs mourir de faim ? Ce serait prouver qu’on n’est pas converti. J’agirai
40 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
118 rive au pouvoir grâce au chômage (six millions de chômeurs allemands en 1931), à l’inflation, à l’injustice flagrante des traité
41 1978, Articles divers (1978-1981). 20 questions à Denis de Rougemont (22 février 1978)
119 observer en Allemagne ce qui se passait. J’étais chômeur et il m’avait offert un poste de lecteur de français dans son pays, p
42 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
120 encore inconcevables aujourd’hui. Le nombre des chômeurs dans le monde s’accroît de 100 par minute 8. Dans cette situation, il
43 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
121 neuf pays de la CEE un total de 2,65 millions de chômeurs . Fin 1976 : 5,2 millions (doublement en deux ans). Fin décembre 1978,
122 t de la Communauté enregistraient 6,1 millions de chômeurs , soit 5,7 % de la population active civile. (Suède : 1,8 %, Suisse :
123 sse : 0,3 %.), La moyenne provisoire du nombre de chômeurs enregistrés dans la Communauté a été de 5958000 en 1978. Cela corresp
44 1983, Articles divers (1982-1985). Hitler, l’anti-prophète de notre siècle (10 février 1983)
124 ne dans un chaos sans précédent ; six millions de chômeurs  ; une inflation qu’on disait galopante, et c’était trop peu dire, qua
45 1983, Articles divers (1982-1985). Bertrand de Launay, Le Poker nucléaire : comme brebis à l’abattoir [préface] (1983)
125 mie mondiale et ferait au surplus des millions de chômeurs . Votre devise serait-elle : « plutôt la fin de l’Humanité que la ruin
126 ma société » ? Ou simplement : « plutôt morts que chômeurs  » ? Cet « impossible » est pourtant seul possible. Avec des dizaines