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e centrale, qu’elle subit comme jeune épouse d’un
comte
polonais, grand seigneur médiatisé, vaguement prétendant au trône de
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emblaient terriblement à d’anciens Habsbourg, des
comtes
athlétiques et la silhouette échassière de la jeune duchesse de Clam-
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par le fanatisme des disciples et imitateurs du «
comte
». D’autres que lui s’y sont trompés. M. Gide déclarait naguère qu’il
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les Karolyi, les Festetics, les Esterházy, et ces
comtes
Szechenyi qui construisirent le premier pont sur le Danube, auteurs a
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emblaient terriblement à d’anciens Habsbourg, des
comtes
athlétiques et la silhouette échassière de la jeune duchesse de Clam-
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les Karolyi, les Festetics, les Esterhazy, et ces
comtes
Szechenyi qui construisirent le premier pont sur le Danube, auteurs a
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gne le plus ancien, mais le dernier « burgrave et
comte
» de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde
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rs fauteuils ; la comtesse est à l’harmonium ; le
comte
en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des
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e la salle à manger s’ouvre à deux battants et le
comte
entre le premier, à grands pas, suivi par toute la famille et par les
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les Karolyi, les Festetic, les Esterhazy, et ces
comtes
Szechenyi qui construisirent le premier pont sur le Danube, auteurs a
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gne le plus ancien, mais le dernier « burgrave et
comte
» de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde
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rs fauteuils ; la comtesse est à l’harmonium ; le
comte
en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des
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e la salle à manger s’ouvre à deux battants et le
comte
entre le premier, à grands pas, suivi par toute la famille et par les
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nce ! » Il est vrai que les princes, burgraves et
comtes
zu Dohna-Schlobitten auf Waldburg touchaient encore en 1914 un droit
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ridicule en l’occurrence, et l’accusation d’être
comte
et de s’appeler Casimir, qui me paraît un peu subtile. Et pour réfute
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ridicule en l’occurrence, et l’accusation d’être
comte
et de s’appeler Casimir, qui me paraît un peu subtile. Et pour réfute
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z épousée pour l’amour de moi. Écoutez-moi, vous,
comtes
Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère sœur, recevez-en la confidence
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z épousée pour l’amour de moi. Écoutez-moi, vous,
comtes
Bertolai et Gervais. Et vous, ma chère sœur, recevez-en la confidence
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s il ne parviendra jamais à rejoindre Monsieur le
comte
. Tout le roman se passe au village, et se borne à décrire minutieusem
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tenir, à tout le moins, une communication avec le
comte
; à son défaut, avec les intendants ; et comme cela se révèle à peu p
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ègne le plus ancien mais le dernier « burgrave et
comte
» de la Prusse-Orientale. Journées À huit heures, tout le monde
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rs fauteuils ; la comtesse est à l’harmonium ; le
comte
en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des
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e la salle à manger s’ouvre à deux battants et le
comte
entre le premier, à grands pas, suivi par toute la famille et par les
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nce ! » Il est vrai que les princes, burgraves et
comtes
zu Dohna-Schlobitten auf Waldburg touchaient encore en 1914 un droit
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les Karolyi, les Festetics, les Esterhazy, et ces
comtes
Szechenyi qui construisirent le premier pont sur le Danube, auteurs a
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nous ? C’est un peu vite oublier la Pan-Europe du
comte
Coudenhove-Kalergi, et le projet de Briand de 1923k. Et ce qui me sur
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une d’elles. Le grand maître voulut faire voir au
comte
que les siens lui obéissaient mieux qu’aux princes chrétiens leurs su
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s’écraser sur le sol rocheux. Puis il demanda au
comte
s’il devait d’un second signe livrer à la mort toute la garde des cré
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une d’elles. Le grand-maître voulut faire voir au
comte
que les siens lui obéissaient mieux qu’aux princes chrétiens leurs su
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s’écraser sur le sol rocheux. Puis il demanda au
comte
s’il devait d’un second signe livrer à la mort toute la garde des cré
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rations des ducs et des princes, des évêques, des
comtes
et des seigneurs, des nobles et des gens libres, auxquels se joignire
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a renaissance des plans d’union — la Paneurope du
comte
Coudenhove-Kalergi puis d’Aristide Briand et d’Alexis Léger, entre 19
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a pour effet de les libérer de la suzeraineté des
comtes
locaux. Une communauté « immédiate à l’Empire » ne dépend plus que de
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en, au moment du drame initial qui les oppose aux
comtes
de Habsbourg ? Les trois communautés foncières et d’exploitation7, qu
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insi que la grande majorité des titres de barons,
comtes
et marquis qu’on trouve en Suisse proviennent du service étranger : c
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de Bourgogne transjurane, au xe siècle, puis des
comtes
dont les statues ornent encore un cénotaphe, dans la très fine et hau
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uvert des demeures des Courten, seigneurs locaux,
comtes
du Saint-Empire et généraux en France, en Espagne, en Sardaigne ; à S
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és de pignons baroques sont à coup sûr celles des
comtes
de Reding, dynastie de Landamman 28 de cette commune d’Empire et chef
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ré ne le tenait pas non plus pour noble, car « le
comte
était sans doute un grand seigneur dans le pays, mais si quelqu’un s’
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eux frères, qui reçoivent également des titres de
comtes
lorsque le roi de Prusse recouvre sa Principauté en 1814, fonderont l
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bourg, des Habsbourg, des Souabe-Babenberg et des
comtes
de Zollern fondateurs de la maison de Hohenzollern ; et, par d’autres