1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 a Réforme, de la Révolution et du romantisme, les concepts de liberté et de progrès, l’humanitarisme, le bolchévisme. L’autre ph
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 une manière d’agir contre elle. 2. « La crise du concept de littérature », NRF, 1923. 3. « Il s’était développé en nous un go
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 . C’est pourquoi nous ne pourrons plus séparer du concept de l’esprit celui de Révolution. Et j’entends ce mot dans son sens le
4 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
4 du journal. 2. Ici encore, on ne peut opposer ce concept d’ironie qu’à celui que formulèrent les romantiques allemands. Rien d
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
5 tte défense de l’homme, il recouvre exactement le concept et les méthodes de la Révolution naissante. Les uns viennent de Marx,
6 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
6 a logique n’a le droit de conclure qu’à partir de concepts réduits au même ordre, mais ce n’est pas ici du concept de la foi que
7 s réduits au même ordre, mais ce n’est pas ici du concept de la foi que nous parlons. C’est de la foi vivante. Or, cette foi, n
7 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
8 is que le premier des Doktor phil. venu évoque le concept d’ironie selon Jean-Paul, la dialectique selon Hegel, et peut-être la
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
9 is que le premier des Doktor phil. venu évoque le concept d’ironie selon Jean-Paul, la dialectique selon Hegel, et peut-être la
9 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
10 de recours abusif au langage pathétique5 et au «  concept d’angoisse ». Car enfin si le paradoxe n’est pas dans la situation mê
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
11 isme, en passant par la Maladie mortelle 50 et le Concept d’angoisse, parurent sous divers pseudonymes symboliques. Il voulait
12 fonde et la plus originale de Kierkegaard est son Concept de l’angoisse, auquel on ne peut trouver d’analogie que chez Dostoïev
11 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
13 en tant qu’actif, objet en tant qu’agi, sont des concepts dont le seul contenu paraît au seul instant de leur présence mutuelle
14 lustration et non explication, incarnation et non concept . Mais la psychologie fait de l’homme son « objet », et par là même le
15 exactement une réalité d’existence commune à des concepts très diversement définis par les philosophes de l’école : présence, é
16 ilation existentielle à tous les autres. Mais ces concepts , un à un, ne peuvent être saisis dans le temps ni dans l’espace conçu
12 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
17 individu des droits de l’homme n’étant rien qu’un concept juridique. Il y a peu de personnes. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’
13 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
18 a logique n’a le droit de conclure qu’à partir de concepts réduits au même ordre. Mais ce n’est pas ici du concept de la foi que
19 s réduits au même ordre. Mais ce n’est pas ici du concept de la foi que nous parlons. C’est de la foi vivante. Or, cette foi, n
14 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
20 individu des droits de l’homme n’étant rien qu’un concept juridique. Il y a peu de personnes. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’
15 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
21 a logique n’a le droit de conclure qu’à partir de concepts réduits au même ordre. Mais ce n’est pas ici du concept de la foi que
22 s réduits au même ordre. Mais ce n’est pas ici du concept de la foi que nous parlons. C’est de la foi vivante. Or, cette foi, n
16 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
23 té théologique qui ne fait pas intervenir un seul concept abstrait, et qui ne connaît d’autres arguments que les parties du cor
17 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
24 ir le barthien entre la notion d’expérience et le concept d’existentiel, Nicodème soutenait leur identité et alla même jusqu’à
18 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
25 ous soyons abondamment fournis : d’un attirail de concepts à tout faire31. Il faut voir comme il se débat avec son latin de cuis
26 alénistes qui voyaient l’homme sous l’aspect d’un concept . Il se fût opposé aussi aux médecins de la Renaissance, à Léonard, à
19 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
27 é qui préside à la formation du réel. Ici plus de concepts , plus d’idées générales. Tout est images et complexes d’images. Tout
20 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
28 te. » Ibid., p. 53. 39. Dans sa belle préface au Concept d’Angoisse (trad. Tisseau, chez Alcan) Jean Wahl écrit de même : « Re
21 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
29 ions préalables vont nous guider dans l’examen du concept de culture en soi — de ses apparitions les plus considérables dans l’
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
30 iance, le latin du xve siècle, le Plan russe, le concept de Führer. Cependant, une mesure n’est rien, et ses symboles ne signi
23 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
31 n’étaient pas, d’autre part, l’origine réelle du concept de dictature que nos bons libéraux voudraient attribuer à je ne sais
32 ème politique qui se réclame encore de Marx et du concept hégélien de l’Histoire, sera probablement dépossédé et comme vidé par
24 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
33 e nous national-socialiste n’est pas seulement un concept philosophique, il correspond à la réalité profonde de la Nation, à la
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
34 ions préalables vont nous guider dans l’examen du concept de culture en soi — de ses apparitions les plus considérables dans l’
26 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
35 iance, le latin du xve siècle, le Plan russe, le concept de Führer. Cependant, une mesure n’est rien, et ses symboles ne signi
27 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
36 n’étaient pas, d’autre part, l’origine réelle du concept de dictature que nos bons libéraux voudraient attribuer à je ne sais
37 ème politique qui se réclame encore de Marx et du concept hégélien de l’Histoire, sera probablement dépossédé et comme vidé par
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
38 e nous national-socialiste n’est pas seulement un concept philosophique, il correspond à la réalité profonde de la Nation, à la
29 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
39 ci ont cessé de le servir. Telle est l’origine du concept occidental de révolution. La révolution est toujours spirituelle : el
30 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
40 é des choses et des êtres dont elles utilisent le concept … Eh bien, voilà le résultat : après une demi-heure de relecture atten
41 elle-même. Elle a ses lois, qui se suffisent. Les concepts alors se combinent selon des affinités ou répulsions que les faits ou
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
42 plus authentique, et la plus digne d’incarner le concept de Français moyen. « Français-moyen » aux yeux des journalistes, c’es
43 é des choses et des êtres dont elles utilisent le concept … Eh bien, voilà le résultat : après une demi-heure de relecture atten
44 elle-même. Elle a ses lois, qui se suffisent. Les concepts alors se combinent selon des affinités ou répulsions que les faits ou
32 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
45 ctif de la guerre. Mais on peut — en usant ici du concept nouvellement consacré d’« inconscient collectif » — dire que tout se
33 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
46 ux : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et rationnels. Ce n’est donc que sur le double sens allégo
34 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
47 en qu’a eu l’auteur avec un jeune Chinois : « Le concept d’amour » n’existe pas en Chine. Le verbe « aimer » est employé seule
35 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
48 ux : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et rationnels. Ce n’est donc que sur le double sens allégo
49 hares, et son opposition sournoise ou déclarée au concept chrétien du mariage. Mais il nous resterait indifférent s’il n’avait
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
50 ux : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et rationnels. Ce n’est donc que sur le double sens allégo
51 hares, et son opposition sournoise ou déclarée au concept chrétien du mariage. Mais il nous resterait indifférent s’il n’avait
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
52 tien qu’a eu l’auteur avec un jeune Chinois : Le concept d’amour » n’existe pas en Chine. Le verbe « aimer » est employé seule
38 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
53 trop petits pour se défendre seuls. Au nom de ce concept d’espace vital, elle déclare donc que ces États n’ont plus de « raiso
39 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
54 trop petits pour se défendre seuls. Au nom de ce concept d’espace vital, elle déclare donc que ces États n’ont plus de « raiso
40 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
55 route américaine de la vie. Ce qui est pour nous concept , forme arrêtée, devient chez eux chemin, mouvement indéfini. C’est po
41 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
56 politique que des devoirs. Le premier est un pur concept , le second est un simple objet. À ces deux mutilations de la notion d
42 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
57 ianisme, en passant par la Maladie mortelle et le Concept d’angoisse, parurent sous divers pseudonymes symboliques. Il voulait
58 fonde et la plus originale de Kierkegaard est son Concept de l’angoisse, auquel on ne peut trouver d’analogie que chez Dostoïev
43 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
59 é qui préside à la formation du réel. Ici plus de concepts , plus d’idées générales. Tout est images et complexes d’images. Tout
44 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
60 route américaine de la vie. Ce qui est pour nous concept , forme arrêtée, devient chez eux chemin, mouvement indéfini. C’est po
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
61 is que le premier des Doktor phil. venu évoque le concept d’ironie selon Jean-Paul, la dialectique selon Hegel, et peut-être la
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
62 plus authentique, et la plus digne d’incarner le concept de Français moyen. « Français moyen » aux yeux des journalistes, c’es
63 é des choses et des êtres dont elles utilisent le concept … Eh bien, voilà le résultat : après une demi-heure de relecture atten
64 elle-même. Elle a ses lois, qui se suffisent. Les concepts alors se combinent selon des affinités ou des répulsions que les fait
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
65 les choses de plus près. « La cristallisation des concepts nationaux-socialistes en une image du monde proprement religieuse…, s
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
66 rre », nous fûmes livrés au pillage impuni de nos concepts . Plus tard, Abetz et Ribbentrop devaient nous voler le terme même d’O
49 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
67 a classification, l’homme de chair et non pas son concept . Le peintre. Pardonnez-moi, je ne comprends les choses que si je les
50 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
68 erme, l’illusion d’une chrétienté identifiable au concept de l’Europe, Die Christenheit oder Europa, selon le titre du fameux e
51 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
69 nt : de sa route de vie. Ce qui est pour le Latin concept , forme arrêtée, devient chez eux chemin, voie et mouvement. C’est pou
52 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
70 l’illusion d’une chrétienté identifiable avec le concept de l’Europe, Die Christenheit oder Europa, selon le titre du fameux
53 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
71 sue du christianisme, et dont dérivent les grands concepts de liberté et de justice, de dignité de la personne et de responsabil
72 nité de la personne et de responsabilité sociale, concepts dont se réclament, au xxe siècle, les « humanistes » aussi bien que
54 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
73 e de la liberté. Certes, on peut disputer sur les concepts , mais je parle de réalités : l’Europe et la culture universelle qu’el
55 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
74 ique et la mystique, mais qui souvent n’est qu’un concept bâtard, engendré par le romantisme. Gide recherchait plutôt la rectit
56 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
75 ire ce que l’on sent être à ce point étranger aux concepts formulés par l’Europe ? Et comment suggérer dans son obscurité le sen
57 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
76 nt de nos jours ses conséquences extrêmes avec le concept d’autarcie, a créé dans la vie de l’esprit une situation que l’on peu
58 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
77 li — toutes choses qui ont permis l’apparition du concept chrétien de personne ; les révolutionnaires ne peuvent se former que
78 mouvement originel. D’où nous vient, en effet, le concept du Progrès ? Il n’est apparu comme concept social qu’au xviiie siècl
79 et, le concept du Progrès ? Il n’est apparu comme concept social qu’au xviiie siècle. Mais ses origines sont beaucoup plus anc
59 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
80 ux, que de rétablir dans sa pureté apostolique le concept de témoin de la vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr. Or l’évê
81 de Kierkegaard était comme fascinée par les deux concepts d’instant et de saut. L’instant, c’était pour lui le temps de la foi,
82 roi, qu’il tue. Parfaite traduction plastique des concepts favoris de Kierkegaard. g. « Kierkegaard et Hamlet : deux princes da
60 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
83 e Kierkegaard à Heidegger, puis Sartre, les mêmes concepts , proprement impensables hors du champ de l’influence chrétienne, se g
61 1953, Articles divers (1951-1956). Rudolf Kassner (1953)
84 ues de l’Inde : par leurs images plutôt que leurs concepts  ; sans conclusion. Mais l’angle de vision s’est imposé. Et l’imaginat
62 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
85 le de vos nationalismes. D’autres enfin nient les concepts d’Europe et d’unité culturelle de l’Europe au nom d’un idéal d’univer
63 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
86 époque domine le peuple qui incarne le plus haut concept de l’Esprit. » Voici donc les peuples élevés à la dignité d’intention
87 in, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’esprit ». Pour la Prusse, l’idée de l’État définie par Hegel et
88 neux que celui des grands voisins. Aucun de ces «  concepts de l’esprit » ne parvenant à s’imposer, aucune nation ne dominera lon
89 etc. Jusqu’au jour où seront proclamés certains «  concepts de l’esprit » plus redoutables : encore la « race des maîtres », le «
90 traité confondaient sincèrement et réellement les concepts de patrie réelle, de nation et de souveraineté. M. Herriot, par exemp
91 par mépris pour la religion, l’a remplacé par le concept de « culture nationale ». On prétend que les idées ne connaissent pas
64 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
92 époque domine le peuple qui incarne le plus haut concept de l’Esprit. » Voici donc les peuples élevés à la dignité d’intention
93 in, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’Esprit ». Pour la France, ce seront les « immortels principes ».
94 neux que celui des grands voisins. Aucun de ces «  concepts de l’Esprit » ne parvenant à s’imposer, aucune nation ne dominera lon
65 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
95 hares, et son opposition sournoise ou déclarée au concept chrétien du mariage. Mais il nous resterait indifférent s’il n’avait
66 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
96  inventions » les plus typiques de l’Occident (le concept de personne humaine et le développement de la technique, par exemple)
67 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
97 t, mais, au contraire, faute de toute analyse des concepts qui se trouvent en jeu neutralisme, neutralité, indépendance et inter
68 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
98 on pas d’ergoter sur sa définition. En privant le concept Europe de son passé, on ne tend à rien de moins qu’à miner son avenir
99 miers humanistes commencent à distinguer les deux concepts de christianitas et d’Europa. C’est enfin dans les œuvres d’un homme
100 Ces arguments prennent toute leur force contre le concept de cultures nationales, apparu au xixe siècle. Qu’as-tu que tu n’aie
69 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
101 ntal. Parole et non Silence ; faite chair et non concept . Grâce au lieu de mérite ou de technique de l’âme. Foi, non pas conna
70 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
102 ’Église chrétienne n’apportait à la société aucun concept juridique ou social nouveau. Elle accepta donc sans résistance, sans
103 re et du citoyen engagé ; elle apportait ainsi le concept de la personne, au nom duquel tous les autres « concepts juridiques e
104 t de la personne, au nom duquel tous les autres «  concepts juridiques et sociaux » de l’Antiquité allaient subir une progressive
71 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
105 époque domine le peuple qui incarne le plus haut concept de l’Esprit. » Voici donc les peuples élevés à la dignité d’intention
106 in, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’Esprit ». Pour la France, ce seront les « immortels principes ».
107 neux que celui des grands voisins. Aucun de ces «  concepts de l’Esprit » ne parvenant à s’imposer, aucune nation ne dominera lon
72 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
108 eu plus tard, aux civilisations, aux morales, aux concepts , à l’histoire, à toutes les disciplines de la culture. « L’évolution
109 insistance. 90. Le Dieu-homme, l’Incarnation, le concept de personne. Aimer Dieu et le prochain — comme soi-même. Être au mond
73 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
110 ore d’avoir l’air de jongler avec les mots et les concepts , quand je cherche au contraire à mieux fixer leur sens, mais il paraî
74 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
111 ence unique, les conciles ont fourni le modèle du concept même de la personne, transposé par la suite au plan humain. La person
75 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
112 de la Parole : par leurs images plutôt que leurs concepts  ; sans conclusion. Mais l’angle de vision s’est imposé. Et l’imaginat
113 voir, l’atteint. Dans les deux cas, il s’agit du concept , de l’idée et de l’existence de l’Infini, dès que la parole cesse d’ê
114 la langue, la langue vivante des images, non des concepts . » C’est ainsi, finalement, par le détour du zen, que le Kassner des
115 et celui de Rilke. Par un suprême dépassement des concepts , au nom du Sens qui est le But à l’infini. Le But, la Flèche et l’
76 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Luis Diez del Corral, El rapto de Europa (septembre 1959)
116 , sur « l’aliénation de l’Art », et enfin sur les concepts de « Nation, Nationalisme et Supernation » ; ce dernier chapitre à lu
77 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. Introduction
117 auteur allemand d’une enquête exhaustive sur les concepts d’Europe, d’Orient et d’Occident, de la fin de l’Antiquité au xie si
118 qu’il importait de situer dans une évolution des concepts et des sens hors de laquelle ces mots perdraient leur vraie valeur et
78 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
119 nu, que nous devons attribuer la persistance d’un concept de l’Europe comme continent distinct, même aux époques où le nom d’Eu
120 e Séville, l’expansion de l’Église chrétienne. Le concept d’Europe reçoit ainsi un contenu religieux en même temps qu’un conten
121 ait partie de l’économie du salut, serait donc un concept acceptable aux yeux des Pères. Et le mythe de Japhet, ainsi interprét
79 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
122 VI. Le concept géographique On a coutume d’attribuer à Paul Valéry la remarque que
80 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
123 qui précèdent, deux conclusions se dégagent : le concept géographique d’Europe est beaucoup plus ancien, et les mythes grecs e
124  » des mystiques. Dès lors, le nom d’Europe et le concept d’Europe vont revenir avec une insistance croissante, jusqu’à l’Empir
81 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
125 mmune de l’Europe — remplaçant de plus en plus le concept déprécié ou dépréciatif d’Occident — va s’affermir et se préciser ave
126 plir les chroniques de leurs luttes, refoulant le concept d’Europe dans le domaine du mythe et de l’allégorie, ou dans la nosta
82 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
127 les, le xixe , — marquons ici l’évolution du seul concept , au moyen de repères bien précis : une série de textes, objets d’époq
128 introduction du droit romain et l’application des concepts romains concernant les Imperators aux rois modernes et à l’empereur m
129 époque domine le peuple qui incarne le plus haut concept de l’Esprit. Voilà donc les peuples élevés à la dignité d’intentions
130 in, chacun prétendra qu’il incarne « le plus haut concept de l’esprit ». L’Allemand tuera le Français au nom de la Culture, le
131 etc. Jusqu’au jour où seront proclamés certains «  concepts de l’esprit » plus redoutables encore : la Race des maîtres, le Herre
132 n tant que cité agrandie, humanité concentrée… Le concept d’union de l’Europe, en tant qu’amphictyonie des nations chrétiennes
133 elles la France incarne évidemment « le plus haut concept de l’esprit » eût dit Hegel : Ce qu’il y a de moins simple, de moins
83 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
134 qu’on en pense, un fait demeure indiscutable : le concept de culture en soi, d’activité prospective de l’esprit non liée par le
135 s du sacré ou les décrets de la politique, est un concept typiquement européen. Et cela seul peut expliquer ce grand paradoxe d
84 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
136 es dans notre idée de la liberté. Il n’est pas de concept plus difficile à définir, plus facile à nier en théorie, et il n’est
85 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
137 es dans notre idée de la liberté. Il n’est pas de concept plus difficile à définir, ni plus facile à nier en théorie, et il n’e
86 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
138 es dans notre idée de la liberté. Il n’est pas de concept plus difficile à définir, plus facile à nier en théorie, et il n’est
87 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
139 s dans le thomisme, on peut suivre l’évolution du concept et du terme de personne, forgé par la doctrine trinitaire ; il s’appl
88 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
140 eurs une morale, là où les nôtres définissent des concepts , des principes généraux et des cadres ; ce manuel nous parle réelleme
89 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
141 s par le Journal — c’était Régine ! Plus tard, le concept d’individu s’universalise (paradoxalement !) et s’approfondit. Il est
90 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
142 prédateur-exclusif-fabricateur (d’objets, non de concepts ). Déviations typiques : Don Juan. Aberrations de l’instinct. Naturis
143 lassique, impudent, inventif (de structures et de concepts ). Déviations typiques : Schizophrénie. Goût du viol. Impuissance sex
91 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Présence des mythes et leurs pouvoirs dans divers ordres
144 es déroulés dans une durée lyrique, et non pas en concepts instantanés, entrant ainsi dans le champ de la conscience sous une so
92 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
145 ux, que de rétablir dans sa pureté apostolique le concept de témoin de la vérité, c’est-à-dire pratiquement de martyr. Or l’évê
146 de Kierkegaard était comme fascinée par les deux concepts d’instant et de saut. L’instant, c’était pour lui le temps de la foi,
147 roi, qu’il tue. Parfaite traduction plastique des concepts favoris de Kierkegaard.
93 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
148 s par le Journal — c’était Régine ! Plus tard, le concept d’individu s’universalise (paradoxalement !) et s’approfondit. Il est
94 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
149 ique et la mystique, mais qui souvent n’est qu’un concept bâtard, engendré par le romantisme. Gide recherchait plutôt la rectit
95 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
150 de la Parole : par leurs images plutôt que leurs concepts  ; sans conclusion. Mais l’angle de vision s’est imposé. Et l’imaginat
151 voir, l’atteint. Dans les deux cas, il s’agit du concept , de l’idée et de l’existence de l’Infini, dès que la parole cesse d’ê
152 la langue, la langue vivante des images, non des concepts . C’est ainsi, finalement, par le détour du zen, que le Kassner des d
153 et celui de Rilke. Par un suprême dépassement des concepts , au nom du Sens qui est le But à l’infini. Le but, la flèche et l’
96 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
154 s dans le thomisme, on peut suivre l’évolution du concept et du terme de personne, forgé par la doctrine trinitaire : il s’appl
97 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
155 prédateur-exclusif-fabricateur (d’objets, non de concepts .) Déviations typiques : Don Juan. Aberrations de l’instinct. Naturis
156 lassique, impudent, inventif (de structures et de concepts ). Déviations typiques : Schizophrénie. Goût du viol. Impuissance sex
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
157 rs, que nous devons attribuer la persistance d’un concept de l’Europe comme continent distinct, même aux époques où le nom d’Eu
158 e Séville, l’expansion de l’Église chrétienne. Le concept d’Europe reçoit ainsi un contenu religieux en même temps qu’un conten
159 ait partie de l’économie du salut, serait donc un concept acceptable aux yeux des Pères. Et le mythe de Japhet, ainsi interprét
160 et même histoire, vue par divers témoins. 6.Le concept géographique On a coutume d’attribuer à Paul Valéry la remarque qu
161 qui précèdent, deux conclusions se dégagent : le concept géographique d’Europe est beaucoup plus ancien, et les mythes grecs e
162  » des mystiques. Dès lors, le nom d’Europe et le concept d’Europe vont revenir avec une insistance croissante, jusqu’à l’Empir
163 mmune de l’Europe — remplaçant de plus en plus le concept déprécié ou dépréciatif d’Occident — va s’affermir et se préciser ave
164 plir les chroniques de leurs luttes, refoulant le concept d’Europe dans le domaine du mythe et de l’allégorie, ou dans la nosta
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
165 moignages du temps, on voit qu’en fait, jamais le concept d’Europe n’est invoqué par l’une ou l’autre des parties en présence,
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
166 lèmes que créera dans le monde l’expansion de nos concepts et techniques, ou comme il dit « des lumières et de la raison en Euro