1
s présent, soit qu’ils veuillent en améliorer les
conditions
, ou les transformer totalement. — Alors, vous croyez à l’action socia
2
s nous ramèneraient vite l’âge de la pierre, à la
condition
d’homme la plus nue ; la plus éloignée de celle qui permet le surréal
3
t Janson, dont il a eu l’occasion de partager les
conditions
de vie et qui nous parlèrent l’un de la Réalité prolétarienne, l’autr
4
st élever l’homme au-dessus de la plus dégradante
condition
, et nous n’y arriverons que par un travail d’éducation lent et souven
5
symbole. On ne saurait exagérer l’importance des
conditions
météorologiques du succès d’une telle rencontre : tout alla froidemen
6
rs d’êtres humains ». Elle n’est plus adaptée aux
conditions
nouvelles de travail ou de repos, ni dans son plan ni dans le détail
7
s » naît le perpétuel besoin d’évasion qui est la
condition
de son progrès moral. C’est ainsi qu’il consent, non sans une imperce
8
ligé le rôle extérieur, que je crois décisif, des
conditions
de la vie moderne.) Après avoir défini quelques « positions en face d
9
n de connaissance concrète du monde. Mais c’est à
condition
qu’on ne l’écrive pas, même en pensée. La poésie pure écrite est inco
10
. L’organisation de ses usines, des salaires, des
conditions
de travail et de repos qu’il offre à ses ouvriers semblent bien appor
11
t très intelligent, il a vite fait de démêler les
conditions
les plus rationnelles de la production, avec cette netteté et cette d
12
archisme stérile. 1° Accepter la technique et ses
conditions
. Dans cette mécanique bien huilée, au mouvement si régulier qu’il en
13
la firent désirer. 2° Accepter l’esprit, et ses
conditions
. Je dis que les êtres encore doués de quelque sensibilité spirituelle
14
e bouger », comme dit fort bien M. Breton. Mais à
condition
d’aller plus loin et de prendre une connaissance positive de ce qu’il
15
droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans
conditions
. Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique. Je me c
16
la valeur humaine subsiste intacte au milieu des
conditions
anormales créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’école est au
17
droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans
conditions
. Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique. Je me c
18
la valeur humaine subsiste intacte au milieu des
conditions
anormales créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’école est au
19
mes qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à
condition
qu’il les surmonte. « Car l’homme est quelque chose qui doit être sur
20
perdre est un des plus profonds mystères de notre
condition
, et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement
21
(1930)b Deux menaces mortelles assiègent notre
condition
humaine : la liberté de l’esprit et les lois de la matière. Pris entr
22
nce de leur vanité…, refus surtout. » Refus des «
conditions
» de la vie sociale, au profit d’une volonté de puissance dont l’obje
23
le équivaudrait à une transformation radicale des
conditions
matérielles de la vie humaine. Je crois que l’homme ne peut être tran
24
rs spirituelles leur primauté : car c’est à cette
condition
seulement que la vie humaine gardera sa signification. En somme, on p
25
st pas la peur du monde-termitière qui sauvera la
condition
humaine menacée par le matérialisme : c’est un idéal positif, immédia
26
Non pas que nous manquions de témoignages sur les
conditions
d’existence du prolétariat mondial, ni que nous ignorions que notre s
27
lte ou de joie, tellement incompatible avec les «
conditions
» de la vie que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de contes
28
que l’esprit demeure évasif et lucide devant les
conditions
que le monde lui propose. b. « Sarah, par Jean Cassou (Corrêa) », L
29
pratiquement athées. Voici donc l’homme, dans sa
condition
menacée, réduit aux seules défenses qu’invente son calcul. Voici l’ho
30
cherons désormais ceux qui savent dévisager notre
condition
la plus nue. « Alors on voit paraître le grand, c’est-à-dire on voit
31
our agoniser sur la Croix, qui est le Signe de la
condition
humaine déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1. Kierkegaard : « C
32
ants. De là le sérieux avec lequel il accepte les
conditions
de l’initiation : et d’abord la plus difficile, le silence. Ainsi, le
33
se du corps le ramène à l’aspect concret de notre
condition
. Et c’est seulement en passant par une application matérielle que la
34
st l’Esprit incarné. L’incarnation entraîne des «
conditions
». C’est la vision du travail humain, inexorable et dégoûtant, mais c
35
ndamnée, l’a dépassée, acceptant comme Goethe les
conditions
réelles et données de son effort particulier. Ce renoncement à un Ori
36
ortie souvent illusoires, vers un « au-delà » des
conditions
de vivre. Mais notre époque voudra-t-elle encore de ces évasions ? El
37
u’humains. La révélation chrétienne déborde notre
condition
, si elle la comble par ailleurs. Ce critère du salut, cette transcend
38
ible, c’est-à-dire le tragique essentiel de notre
condition
. C’est bien là que réside l’élément transcendant qui interdit à la pe
39
menace ; s’il ne considère avant tout la commune
condition
humaine et sa défense contre un système dont l’action dissolvante s’é
40
igne », ceux qui se demandent si je « remplis les
conditions
nécessaires » ; tous les suiveurs qui suivent en vérité des fantômes
41
hrétien, parce qu’elle est le signe même de notre
condition
. Et lorsque nous disons le « monde-chrétien », nous exprimons par ces
42
e comme le marxisme l’antinomie centrale de notre
condition
, et que, enfermant les conflits purement humains dans le jeu de synth
43
s les intérêts réels d’un être aux prises avec la
condition
humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne
44
peut garantir son être. — Encore faut-il que les
conditions
matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sen
45
magne : voici un pays enfin qui réunit toutes les
conditions
théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution éclate. Il ne se p
46
rir. Car il n’accepte pas la souffrance comme une
condition
de la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque
47
perdre est un des plus profonds mystères de notre
condition
, et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement
48
rir. Car il n’accepte pas la souffrance comme une
condition
de la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque
49
n’a « servi » exactement à rien. (Était-ce là sa
condition
de possibilité ?) Mais elle m’est signe d’un certain état d’accueil a
50
quet-scolaire-1910 que l’imagination se rend sans
condition
après la plus rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des amis int
51
ar des révolutions ou de fréquents changements de
condition
sociale. Nos archives sont intactes, minutieusement tenues par les co
52
par exemple, dans un embrassement général et sans
condition
, beaucoup de personnes auraient trouvé, qu’enfin ! nous apportions qu
53
onde où le libre divertissement de chacun sera la
condition
du libre abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre
54
s’agit pas ici de transcender le plan humain, la
condition
humaine. C’est donc faire le plus grand tort au christianisme de cert
55
son département. Les initiatives locales dans ces
conditions
sont comme ce poisson qui, expédié de nos ports à Paris, revient, pou
56
ar-dessus la tête de ses vieux meneurs, contre la
condition
prolétarienne. f. « Positions d’attaque », L’Ordre nouveau, Paris,
57
ar-dessus la tête de ses vieux meneurs, contre la
condition
prolétarienne. Pour l’Ordre nouveau : Arnaud Dandieu, Denis de Rougem
58
tenu pour vrai peut être modifié ou complété, les
conditions
de la vérité sont, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les cond
59
nt, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les
conditions
de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout t
60
s créateurs qui parlent. Peu nous importe les «
conditions
» purement logiques d’une vérité, qui, à nos yeux, demeure constammen
61
une réalité qui juge la logique même. Ce sont les
conditions
actuelles de la vérité qui nous posent un problème, et non pas ses c
62
érité qui nous posent un problème, et non pas ses
conditions
« éternelles ». Nous ne pensons pas qu’il y ait lieu pour un philosop
63
sophe, d’être rassuré par la découverte de telles
conditions
. Elles constitueront peut-être la dogmatique laïque de la philosophie
64
, vision absolument sobre et désillusionnée de la
condition
humaine) qui est l’état dans lequel la vérité ne peut opérer dans not
65
es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur
condition
concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
66
nsion. Car d’une part elle est déterminée par les
conditions
données, d’autre part elle a pour but de les dépasser et de les rendr
67
ni par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa
condition
est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois
68
ssi, à travers l’homme désormais restauré dans sa
condition
éternelle, une réponse à toute la création, désormais replacée dans l
69
nts. J’ai fait lire ce livre à des gens de toutes
conditions
, « de toutes croyances ou de toutes incroyances », comme disait Péguy
70
il y a toujours une révolte de l’homme contre sa
condition
telle que Dieu l’a voulue, une négation du paradoxe de l’Amour. L’uni
71
peut nous amener à l’aveu de la réalité de notre
condition
. Ainsi, le chrétien, seul, connaît toute la misère de l’homme : elle
72
réation qui va toujours dans le sens de l’être, à
condition
qu’elle soit soutenue par une fidélité que l’auteur définit comme « u
73
rvenir. À la fin du cauchemar, on le tue dans des
conditions
trop déprimantes pour qu’il puisse songer même à résister. C’est ains
74
dieu, à provoquer la suppression de l’inhumaine «
condition
prolétarienne ». Il est bon de noter que cette conception dépasse les
75
concrète peut se réaliser dans n’importe quelles
conditions
données… et peut faire bon ménage avec la société la plus strictement
76
e temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa
condition
actuelle. Mais il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que
77
a revendication essentielle est l’abolition de la
condition
prolétarienne par le moyen du service civil de travail19. L’analyse d
78
eu d’une enquête permanente et approfondie sur la
condition
humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois
79
d’abord assuré l’autre vie, la vie des corps, les
conditions
physiques de l’existence. Que la justice est dans l’égalité de tous,
80
on veut, que ce soit le bien ou le mal, une seule
condition
leur importe : qu’ils soient toujours comme tous les autres, qu’ils i
81
Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses
conditions
: « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-puissance des m
82
autant plus profondément enraciné dans la commune
condition
humaine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses écrits, vous le
83
in. Destin allemand pourrait aussi s’appeler « La
condition
humaine ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus belles peut
84
e œuvre pourrait s’intituler tout aussi bien « La
condition
humaine ». C’est qu’elle éveille, en dépit de ses intentions national
85
traîner la jeunesse, qu’ils se disent bien que la
condition
nécessaire, c’est d’abord d’oser rompre avec des confusions qui sont
86
Le problème consiste simplement (sic) à créer les
conditions
d’une liberté réelle, et en attendant d’y parvenir, à ménager les mes
87
omparaisons qui s’imposent à chaque pas entre les
conditions
sociales que l’on sait n’être plus immuables… Perspectives d’aventure
88
rouvée vide ». Et l’on a spontanément imaginé les
conditions
dans lesquelles les femmes, venues au sépulcre, n’avaient pas trouvé
89
er caractère de la personne immédiatement lié aux
conditions
de son apparition, j’entends à la présence et à l’engagement : la per
90
s’engage Le risque est la santé de la pensée, à
condition
toutefois qu’elle l’envisage sans illusions ni romantisme. L’enjeu d’
91
n maint autre pays, qu’une espèce de liberté sous
conditions
. Le clerc bourgeois, chez nous, se croit encore tranquille. On ne le
92
aître d’abord ce qu’est l’homme, quelles sont les
conditions
de son humanité, à quelles règles il faut se plier pour respecter en
93
e, des intérêts de la pensée protectrice de notre
condition
. En tant qu’intéressés, au meilleur sens du mot, ces motifs peuvent t
94
sance —, surtout si cette « légèreté » devient la
condition
de son « succès » pratique. J’estime que seuls ont droit à faire de l
95
n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie
condition
. Mais l’état du chrétien dans ce monde est justement de connaître san
96
dans l’angoisse et dans l’espérance, la véritable
condition
de l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, i
97
érance, la véritable condition de l’homme, et les
conditions
qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, il peut aider les hommes et pre
98
es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur
condition
concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
99
de la définition courante de l’individu. Dans ces
conditions
, l’individualisme libéral n’est pas justifié, et les individualistes
100
de l’histoire comme un rappel à la réalité de la
condition
humaine. Elle fut d’abord pour Marx et pour Engels une affirmation po
101
e temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa
condition
actuelle. Mais il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que
102
hrétien, parce qu’elle est le signe même de notre
condition
. Et lorsque nous disons le « monde-chrétien », nous exprimons par ces
103
comme le marxisme, l’antinomie centrale de notre
condition
, et que, enfermant les conflits purement humains dans le jeu de synth
104
s les intérêts réels d’un être aux prises avec la
condition
humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne
105
peut garantir son être. — Encore faut-il que les
conditions
matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sen
106
magne : voici un pays enfin qui réunit toutes les
conditions
théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution éclate. Il ne se p
107
nsion. Car d’une part elle est déterminée par les
conditions
données, d’autre part elle a pour but de les dépasser et de les rendr
108
ni par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa
condition
est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois
109
e sont, et qui s’en trouvent empêchés soit par la
condition
dans laquelle ils sont nés, soit par la nature même de leurs aptitude
110
nt de paix, au moins autant que de rénovation : à
condition
qu’on ne l’oublie pas en route, et qu’on sache pousser à fond son ens
111
onde où le libre divertissement de chacun sera la
condition
du libre abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre
112
a revendication essentielle est l’abolition de la
condition
prolétarienne par le moyen du service civil de travail. L’analyse du
113
dit, n’est rien de moins que la suppression de la
condition
prolétarienne. Ses moyens ? Créer un service de travail analogue au s
114
eu d’une enquête permanente et approfondie sur la
condition
humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois
115
Mais c’est presque le tout. Ou du moins, c’est la
condition
nécessaire. « Ni droite ni gauche » est d’abord une formule critique.
116
dieu, à provoquer la suppression de l’inhumaine «
condition
prolétarienne ». Il est bon de noter que cette conception dépasse les
117
s’engage Le risque est la santé de la pensée, à
condition
toutefois qu’elle l’envisage sans illusion ni romantisme. L’enjeu d’u
118
n maint autre pays, qu’une espèce de liberté sous
conditions
. Le clerc bourgeois, chez nous, se croit encore tranquille. On ne le
119
aître d’abord ce qu’est l’homme, quelles sont les
conditions
de son humanité, à quelles règles il faut se plier pour respecter en
120
e, des intérêts de la pensée protectrice de notre
condition
. En tant qu’intéressés, au meilleur sens du mot, ces motifs peuvent t
121
lfaisance —, surtout si cette légèreté devient la
condition
de son succès pratique. J’estime que seuls ont droit à faire de la po
122
n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie
condition
. Mais l’état du chrétien dans ce monde est justement de connaître san
123
dans l’angoisse et dans l’espérance, la véritable
condition
de l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, i
124
érance, la véritable condition de l’homme, et les
conditions
qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, il peut aider les hommes et pre
125
es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur
condition
concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
126
de la définition courante de l’individu. Dans ces
conditions
, l’individualisme libéral n’est pas justifié, et les individualistes
127
de l’histoire comme un rappel à la réalité de la
condition
humaine. Elle fut d’abord pour Marx et pour Engels une affirmation po
128
e temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa
condition
actuelle. Mais il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que
129
hrétien, parce qu’elle est le signe même de notre
condition
. Et lorsque nous disons le « monde-chrétien », nous exprimons par ces
130
omme le marxisme, l’antinomie spécifique de notre
condition
, et que, enfermant les conflits purement humains dans le jeu de synth
131
s les intérêts réels d’un être aux prises avec la
condition
humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne
132
peut garantir son être. — Encore faut-il que les
conditions
matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sen
133
magne : voici un pays enfin qui réunit toutes les
conditions
théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution éclate. Il ne se p
134
ion. Car, d’une part, elle est déterminée par les
conditions
données, d’autre part, elle a pour but de les dépasser et de les rend
135
ni par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa
condition
est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois
136
sont58, et qui s’en trouvent empêchés soit par la
condition
dans laquelle ils sont nés, soit par la nature même de leurs aptitude
137
nt de paix, au moins autant que de rénovation : à
condition
qu’on ne l’oublie pas en route, et qu’on sache pousser bien à fond so
138
onde où le libre divertissement de chacun sera la
condition
du libre abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre
139
Sa revendication essentielle : l’abolition de la
condition
prolétarienne par le moyen du service civil de travail78. L’analyse d
140
eu d’une enquête permanente et approfondie sur la
condition
humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois
141
llectuels », c’est-à-dire des êtres ignorants des
conditions
concrètes de la vie actuelle, nous les invitons cordialement à partic
142
onnaire qui menacent de le faire dévier… Dans ces
conditions
, une erreur “insignifiante” au premier abord peut avoir les plus dépl
143
lles » et la construction théorique, oublient les
conditions
qui assurèrent le seul succès enregistré par le marxisme léniniste. O
144
aines. Au contraire, nous poserons comme première
condition
de toute révolution vraie, que ceux qui luttent pour elle témoignent
145
matière. Les pages de Soulillou qui décrivent les
conditions
de travail dans l’industrie de la nitrocellulose sont précises, achar
146
n progressive d’une nature dont s’évanouissait la
condition
essentiellement dramatique. Mais je ne puis m’étendre davantage sur c
147
iens aveugles, qu’on expose à la lumière dans des
conditions
particulières, se développent lentement des yeux qui n’existaient aup
148
, mieux que celui de Malraux, de s’intituler : la
condition
humaine. Craindrait-on par hasard de parler de chefs-d’œuvre, de réta
149
iant. On ira même jusqu’à respecter ses vertus, à
condition
toutefois qu’elles se confondent avec celles de la bourgeoisie. Et ma
150
monde nous obligerait à conclure qu’en effet, les
conditions
sont devenues telles que l’action du chrétien, comme chrétien, ne vau
151
de l’attaquer ! Le socialisme proteste contre les
conditions
actuelles du travail ; il revendique une justice plus grande dans la
152
mondain ». À ceux-là, Calvin rappellera que notre
condition
chrétienne est celle du conflit dialectique : L’Église est ordonnée
153
flit dialectique : L’Église est ordonnée à cette
condition
de batailler continuellement sous la croix, tant qu’elle aura à chemi
154
du langage philosophique. C’est une recherche des
conditions
d’activité de l’imagerie philosophique, conduite avec un bon sens soc
155
xe — « signe extérieur » de la richesse, ou d’une
condition
sociale privilégiée — le pas est aisément franchi. Et Descartes n’y e
156
ion. Car l’esprit, lui aussi, mène à tout, mais à
condition
qu’on en sorte : en se vendant, soit à l’État, soit aux journaux, soi
157
donner un sens plus pur aux mots de la tribu », —
condition
nécessaire de toute culture. Car avant de parler il faut savoir le se
158
est-à-dire la science qui recherche le but et les
conditions
de la société. La révolution de l’avenir sera le triomphe de la moral
159
des réalisateurs, non des rhéteurs ». D’accord. À
condition
que tout cela ne dispense pas de voir loin et de penser juste ; à con
160
dispense pas de voir loin et de penser juste ; à
condition
que les réalisateurs qu’appelle M. de la Rocque aboutissent à autre c
161
t Montherlant sur l’inutilité de tout service — à
condition
que le sentiment poignant de cette vanité finale n’empêche pas de ser
162
non pas seulement que l’auteur a su se mettre en
condition
de faire son œuvre, et de ne servir qu’à bon escient. À quoi Montherl
163
i lui est agréable. Ce qu’il ferait dans d’autres
conditions
serait mal fait. » Est-ce que ce beau mot d’agréable ne prête pas ici