1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 s présent, soit qu’ils veuillent en améliorer les conditions , ou les transformer totalement. — Alors, vous croyez à l’action socia
2 s nous ramèneraient vite l’âge de la pierre, à la condition d’homme la plus nue ; la plus éloignée de celle qui permet le surréal
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
3 t Janson, dont il a eu l’occasion de partager les conditions de vie et qui nous parlèrent l’un de la Réalité prolétarienne, l’autr
4 st élever l’homme au-dessus de la plus dégradante condition , et nous n’y arriverons que par un travail d’éducation lent et souven
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
5 symbole. On ne saurait exagérer l’importance des conditions météorologiques du succès d’une telle rencontre : tout alla froidemen
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
6 rs d’êtres humains ». Elle n’est plus adaptée aux conditions nouvelles de travail ou de repos, ni dans son plan ni dans le détail
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
7 s » naît le perpétuel besoin d’évasion qui est la condition de son progrès moral. C’est ainsi qu’il consent, non sans une imperce
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
8 ligé le rôle extérieur, que je crois décisif, des conditions de la vie moderne.) Après avoir défini quelques « positions en face d
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 n de connaissance concrète du monde. Mais c’est à condition qu’on ne l’écrive pas, même en pensée. La poésie pure écrite est inco
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
10 . L’organisation de ses usines, des salaires, des conditions de travail et de repos qu’il offre à ses ouvriers semblent bien appor
11 t très intelligent, il a vite fait de démêler les conditions les plus rationnelles de la production, avec cette netteté et cette d
12 archisme stérile. 1° Accepter la technique et ses conditions . Dans cette mécanique bien huilée, au mouvement si régulier qu’il en
13 la firent désirer. 2° Accepter l’esprit, et ses conditions . Je dis que les êtres encore doués de quelque sensibilité spirituelle
9 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
14 e bouger », comme dit fort bien M. Breton. Mais à condition d’aller plus loin et de prendre une connaissance positive de ce qu’il
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
15 droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions . Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique. Je me c
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
16 la valeur humaine subsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’école est au
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
17 droit de démolir. Et me l’accorde aussitôt. Sans conditions . Mon rôle n’est pas de proposer une nouvelle forme politique. Je me c
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
18 la valeur humaine subsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’école publique. Mais l’idéal de l’école est au
14 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
19 mes qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les surmonte. « Car l’homme est quelque chose qui doit être sur
15 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
20 perdre est un des plus profonds mystères de notre condition , et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement
16 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
21 (1930)b Deux menaces mortelles assiègent notre condition humaine : la liberté de l’esprit et les lois de la matière. Pris entr
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
22 nce de leur vanité…, refus surtout. » Refus des «  conditions  » de la vie sociale, au profit d’une volonté de puissance dont l’obje
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
23 le équivaudrait à une transformation radicale des conditions matérielles de la vie humaine. Je crois que l’homme ne peut être tran
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
24 rs spirituelles leur primauté : car c’est à cette condition seulement que la vie humaine gardera sa signification. En somme, on p
25 st pas la peur du monde-termitière qui sauvera la condition humaine menacée par le matérialisme : c’est un idéal positif, immédia
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
26 Non pas que nous manquions de témoignages sur les conditions d’existence du prolétariat mondial, ni que nous ignorions que notre s
21 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
27 lte ou de joie, tellement incompatible avec les «  conditions  » de la vie que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de contes
28 que l’esprit demeure évasif et lucide devant les conditions que le monde lui propose. b. « Sarah, par Jean Cassou (Corrêa) », L
22 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
29 pratiquement athées. Voici donc l’homme, dans sa condition menacée, réduit aux seules défenses qu’invente son calcul. Voici l’ho
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
30 cherons désormais ceux qui savent dévisager notre condition la plus nue. « Alors on voit paraître le grand, c’est-à-dire on voit
24 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
31 our agoniser sur la Croix, qui est le Signe de la condition humaine déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1. Kierkegaard : « C
25 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
32 ants. De là le sérieux avec lequel il accepte les conditions de l’initiation : et d’abord la plus difficile, le silence. Ainsi, le
33 se du corps le ramène à l’aspect concret de notre condition . Et c’est seulement en passant par une application matérielle que la
34 st l’Esprit incarné. L’incarnation entraîne des «  conditions  ». C’est la vision du travail humain, inexorable et dégoûtant, mais c
35 ndamnée, l’a dépassée, acceptant comme Goethe les conditions réelles et données de son effort particulier. Ce renoncement à un Ori
36 ortie souvent illusoires, vers un « au-delà » des conditions de vivre. Mais notre époque voudra-t-elle encore de ces évasions ? El
37 u’humains. La révélation chrétienne déborde notre condition , si elle la comble par ailleurs. Ce critère du salut, cette transcend
26 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
38 ible, c’est-à-dire le tragique essentiel de notre condition . C’est bien là que réside l’élément transcendant qui interdit à la pe
27 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
39 menace ; s’il ne considère avant tout la commune condition humaine et sa défense contre un système dont l’action dissolvante s’é
28 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
40 igne », ceux qui se demandent si je « remplis les conditions nécessaires » ; tous les suiveurs qui suivent en vérité des fantômes
29 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
41 hrétien, parce qu’elle est le signe même de notre condition . Et lorsque nous disons le « monde-chrétien », nous exprimons par ces
42 e comme le marxisme l’antinomie centrale de notre condition , et que, enfermant les conflits purement humains dans le jeu de synth
30 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
43 s les intérêts réels d’un être aux prises avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne
44 peut garantir son être. — Encore faut-il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sen
45 magne : voici un pays enfin qui réunit toutes les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution éclate. Il ne se p
31 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
46 rir. Car il n’accepte pas la souffrance comme une condition de la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
47 perdre est un des plus profonds mystères de notre condition , et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’origine non seulement
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
48 rir. Car il n’accepte pas la souffrance comme une condition de la conscience du réel, mais la repousse comme le signe d’un manque
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
49 n’a « servi » exactement à rien. (Était-ce là sa condition de possibilité ?) Mais elle m’est signe d’un certain état d’accueil a
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
50 quet-scolaire-1910 que l’imagination se rend sans condition après la plus rapide reconnaissance des lieux. J’ai revu des amis int
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
51 ar des révolutions ou de fréquents changements de condition sociale. Nos archives sont intactes, minutieusement tenues par les co
37 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
52 par exemple, dans un embrassement général et sans condition , beaucoup de personnes auraient trouvé, qu’enfin ! nous apportions qu
38 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
53 onde où le libre divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre
39 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
54 s’agit pas ici de transcender le plan humain, la condition humaine. C’est donc faire le plus grand tort au christianisme de cert
40 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
55 son département. Les initiatives locales dans ces conditions sont comme ce poisson qui, expédié de nos ports à Paris, revient, pou
41 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
56 ar-dessus la tête de ses vieux meneurs, contre la condition prolétarienne. f. « Positions d’attaque », L’Ordre nouveau, Paris,
42 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
57 ar-dessus la tête de ses vieux meneurs, contre la condition prolétarienne. Pour l’Ordre nouveau : Arnaud Dandieu, Denis de Rougem
43 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
58 tenu pour vrai peut être modifié ou complété, les conditions de la vérité sont, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les cond
59 nt, elles, immuables et éternelles… (p. 12). Les conditions de la vérité sont donc éternelles (p. 13). Les philosophes, de tout t
60 s créateurs qui parlent.   Peu nous importe les «  conditions  » purement logiques d’une vérité, qui, à nos yeux, demeure constammen
61 une réalité qui juge la logique même. Ce sont les conditions actuelles de la vérité qui nous posent un problème, et non pas ses c
62 érité qui nous posent un problème, et non pas ses conditions « éternelles ». Nous ne pensons pas qu’il y ait lieu pour un philosop
63 sophe, d’être rassuré par la découverte de telles conditions . Elles constitueront peut-être la dogmatique laïque de la philosophie
64 , vision absolument sobre et désillusionnée de la condition humaine) qui est l’état dans lequel la vérité ne peut opérer dans not
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
65 es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur condition concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
45 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
66 nsion. Car d’une part elle est déterminée par les conditions données, d’autre part elle a pour but de les dépasser et de les rendr
67 ni par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois
46 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
68 ssi, à travers l’homme désormais restauré dans sa condition éternelle, une réponse à toute la création, désormais replacée dans l
47 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
69 nts. J’ai fait lire ce livre à des gens de toutes conditions , « de toutes croyances ou de toutes incroyances », comme disait Péguy
48 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
70 il y a toujours une révolte de l’homme contre sa condition telle que Dieu l’a voulue, une négation du paradoxe de l’Amour. L’uni
71 peut nous amener à l’aveu de la réalité de notre condition . Ainsi, le chrétien, seul, connaît toute la misère de l’homme : elle
49 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
72 réation qui va toujours dans le sens de l’être, à condition qu’elle soit soutenue par une fidélité que l’auteur définit comme « u
50 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
73 rvenir. À la fin du cauchemar, on le tue dans des conditions trop déprimantes pour qu’il puisse songer même à résister. C’est ains
51 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
74 dieu, à provoquer la suppression de l’inhumaine «  condition prolétarienne ». Il est bon de noter que cette conception dépasse les
75 concrète peut se réaliser dans n’importe quelles conditions données… et peut faire bon ménage avec la société la plus strictement
52 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
76 e temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa condition actuelle. Mais il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que
77 a revendication essentielle est l’abolition de la condition prolétarienne par le moyen du service civil de travail19. L’analyse d
78 eu d’une enquête permanente et approfondie sur la condition humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois
53 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
79 d’abord assuré l’autre vie, la vie des corps, les conditions physiques de l’existence. Que la justice est dans l’égalité de tous,
80 on veut, que ce soit le bien ou le mal, une seule condition leur importe : qu’ils soient toujours comme tous les autres, qu’ils i
81 Et comment se rendre à l’appel, si l’on pose ses conditions  : « l’intelligible providence surnaturelle ! ». Toute-puissance des m
54 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
82 autant plus profondément enraciné dans la commune condition humaine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses écrits, vous le
55 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
83 in. Destin allemand pourrait aussi s’appeler « La condition humaine ». Et plusieurs des paroles de Pillau, — les plus belles peut
84 e œuvre pourrait s’intituler tout aussi bien « La condition humaine ». C’est qu’elle éveille, en dépit de ses intentions national
56 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
85 traîner la jeunesse, qu’ils se disent bien que la condition nécessaire, c’est d’abord d’oser rompre avec des confusions qui sont
86 Le problème consiste simplement (sic) à créer les conditions d’une liberté réelle, et en attendant d’y parvenir, à ménager les mes
57 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
87 omparaisons qui s’imposent à chaque pas entre les conditions sociales que l’on sait n’être plus immuables… Perspectives d’aventure
58 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
88 rouvée vide ». Et l’on a spontanément imaginé les conditions dans lesquelles les femmes, venues au sépulcre, n’avaient pas trouvé
59 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
89 er caractère de la personne immédiatement lié aux conditions de son apparition, j’entends à la présence et à l’engagement : la per
60 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
90 s’engage Le risque est la santé de la pensée, à condition toutefois qu’elle l’envisage sans illusions ni romantisme. L’enjeu d’
91 n maint autre pays, qu’une espèce de liberté sous conditions . Le clerc bourgeois, chez nous, se croit encore tranquille. On ne le
61 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
92 aître d’abord ce qu’est l’homme, quelles sont les conditions de son humanité, à quelles règles il faut se plier pour respecter en
62 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
93 e, des intérêts de la pensée protectrice de notre condition . En tant qu’intéressés, au meilleur sens du mot, ces motifs peuvent t
94 sance —, surtout si cette « légèreté » devient la condition de son « succès » pratique. J’estime que seuls ont droit à faire de l
95 n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie condition . Mais l’état du chrétien dans ce monde est justement de connaître san
96 dans l’angoisse et dans l’espérance, la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, i
97 érance, la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, il peut aider les hommes et pre
63 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
98 es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur condition concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
64 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
99 de la définition courante de l’individu. Dans ces conditions , l’individualisme libéral n’est pas justifié, et les individualistes
65 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
100 de l’histoire comme un rappel à la réalité de la condition humaine. Elle fut d’abord pour Marx et pour Engels une affirmation po
66 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
101 e temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa condition actuelle. Mais il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que
67 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
102 hrétien, parce qu’elle est le signe même de notre condition . Et lorsque nous disons le « monde-chrétien », nous exprimons par ces
103 comme le marxisme, l’antinomie centrale de notre condition , et que, enfermant les conflits purement humains dans le jeu de synth
68 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
104 s les intérêts réels d’un être aux prises avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne
105 peut garantir son être. — Encore faut-il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sen
106 magne : voici un pays enfin qui réunit toutes les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution éclate. Il ne se p
69 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
107 nsion. Car d’une part elle est déterminée par les conditions données, d’autre part elle a pour but de les dépasser et de les rendr
108 ni par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois
70 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
109 e sont, et qui s’en trouvent empêchés soit par la condition dans laquelle ils sont nés, soit par la nature même de leurs aptitude
71 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
110 nt de paix, au moins autant que de rénovation : à condition qu’on ne l’oublie pas en route, et qu’on sache pousser à fond son ens
72 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
111 onde où le libre divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre
73 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
112 a revendication essentielle est l’abolition de la condition prolétarienne par le moyen du service civil de travail. L’analyse du
113 dit, n’est rien de moins que la suppression de la condition prolétarienne. Ses moyens ? Créer un service de travail analogue au s
114 eu d’une enquête permanente et approfondie sur la condition humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois
74 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
115 Mais c’est presque le tout. Ou du moins, c’est la condition nécessaire. « Ni droite ni gauche » est d’abord une formule critique.
75 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
116 dieu, à provoquer la suppression de l’inhumaine «  condition prolétarienne ». Il est bon de noter que cette conception dépasse les
76 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
117 s’engage Le risque est la santé de la pensée, à condition toutefois qu’elle l’envisage sans illusion ni romantisme. L’enjeu d’u
118 n maint autre pays, qu’une espèce de liberté sous conditions . Le clerc bourgeois, chez nous, se croit encore tranquille. On ne le
77 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
119 aître d’abord ce qu’est l’homme, quelles sont les conditions de son humanité, à quelles règles il faut se plier pour respecter en
78 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
120 e, des intérêts de la pensée protectrice de notre condition . En tant qu’intéressés, au meilleur sens du mot, ces motifs peuvent t
121 lfaisance —, surtout si cette légèreté devient la condition de son succès pratique. J’estime que seuls ont droit à faire de la po
122 n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie condition . Mais l’état du chrétien dans ce monde est justement de connaître san
123 dans l’angoisse et dans l’espérance, la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, i
124 érance, la véritable condition de l’homme, et les conditions qu’elle impose. C’est pourquoi, seul, il peut aider les hommes et pre
79 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
125 es hommes de chair et de sang, reconnaissant leur condition concrète, mais connaissant aussi leur dignité, leur raison d’être per
80 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
126 de la définition courante de l’individu. Dans ces conditions , l’individualisme libéral n’est pas justifié, et les individualistes
81 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
127 de l’histoire comme un rappel à la réalité de la condition humaine. Elle fut d’abord pour Marx et pour Engels une affirmation po
82 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
128 e temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa condition actuelle. Mais il faut savoir aussi qu’elle est intenable, parce que
83 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
129 hrétien, parce qu’elle est le signe même de notre condition . Et lorsque nous disons le « monde-chrétien », nous exprimons par ces
130 omme le marxisme, l’antinomie spécifique de notre condition , et que, enfermant les conflits purement humains dans le jeu de synth
84 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
131 s les intérêts réels d’un être aux prises avec la condition humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne
132 peut garantir son être. — Encore faut-il que les conditions matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sen
133 magne : voici un pays enfin qui réunit toutes les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’une révolution éclate. Il ne se p
85 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
134 ion. Car, d’une part, elle est déterminée par les conditions données, d’autre part, elle a pour but de les dépasser et de les rend
135 ni par son irresponsabilité, et c’est pourquoi sa condition est dégradante. Mais elle ne l’est guère plus que celle du bourgeois
86 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
136 sont58, et qui s’en trouvent empêchés soit par la condition dans laquelle ils sont nés, soit par la nature même de leurs aptitude
87 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
137 nt de paix, au moins autant que de rénovation : à condition qu’on ne l’oublie pas en route, et qu’on sache pousser bien à fond so
88 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
138 onde où le libre divertissement de chacun sera la condition du libre abrutissement de tous par la propagande électorale. Prendre
89 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
139 Sa revendication essentielle : l’abolition de la condition prolétarienne par le moyen du service civil de travail78. L’analyse d
140 eu d’une enquête permanente et approfondie sur la condition humaine telle que la déterminent le capitalisme et l’esprit bourgeois
90 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
141 llectuels », c’est-à-dire des êtres ignorants des conditions concrètes de la vie actuelle, nous les invitons cordialement à partic
91 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
142 onnaire qui menacent de le faire dévier… Dans ces conditions , une erreur “insignifiante” au premier abord peut avoir les plus dépl
143 lles » et la construction théorique, oublient les conditions qui assurèrent le seul succès enregistré par le marxisme léniniste. O
144 aines. Au contraire, nous poserons comme première condition de toute révolution vraie, que ceux qui luttent pour elle témoignent
92 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
145 matière. Les pages de Soulillou qui décrivent les conditions de travail dans l’industrie de la nitrocellulose sont précises, achar
93 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
146 n progressive d’une nature dont s’évanouissait la condition essentiellement dramatique. Mais je ne puis m’étendre davantage sur c
147 iens aveugles, qu’on expose à la lumière dans des conditions particulières, se développent lentement des yeux qui n’existaient aup
94 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
148 , mieux que celui de Malraux, de s’intituler : la condition humaine. Craindrait-on par hasard de parler de chefs-d’œuvre, de réta
95 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
149 iant. On ira même jusqu’à respecter ses vertus, à condition toutefois qu’elles se confondent avec celles de la bourgeoisie. Et ma
150 monde nous obligerait à conclure qu’en effet, les conditions sont devenues telles que l’action du chrétien, comme chrétien, ne vau
151 de l’attaquer ! Le socialisme proteste contre les conditions actuelles du travail ; il revendique une justice plus grande dans la
96 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
152 mondain ». À ceux-là, Calvin rappellera que notre condition chrétienne est celle du conflit dialectique : L’Église est ordonnée
153 flit dialectique : L’Église est ordonnée à cette condition de batailler continuellement sous la croix, tant qu’elle aura à chemi
97 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
154 du langage philosophique. C’est une recherche des conditions d’activité de l’imagerie philosophique, conduite avec un bon sens soc
98 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
155 xe — « signe extérieur » de la richesse, ou d’une condition sociale privilégiée — le pas est aisément franchi. Et Descartes n’y e
156 ion. Car l’esprit, lui aussi, mène à tout, mais à condition qu’on en sorte : en se vendant, soit à l’État, soit aux journaux, soi
157 donner un sens plus pur aux mots de la tribu », —  condition nécessaire de toute culture. Car avant de parler il faut savoir le se
158 est-à-dire la science qui recherche le but et les conditions de la société. La révolution de l’avenir sera le triomphe de la moral
99 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
159 des réalisateurs, non des rhéteurs ». D’accord. À condition que tout cela ne dispense pas de voir loin et de penser juste ; à con
160 dispense pas de voir loin et de penser juste ; à condition que les réalisateurs qu’appelle M. de la Rocque aboutissent à autre c
100 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
161 t Montherlant sur l’inutilité de tout service — à condition que le sentiment poignant de cette vanité finale n’empêche pas de ser
162 non pas seulement que l’auteur a su se mettre en condition de faire son œuvre, et de ne servir qu’à bon escient. À quoi Montherl
163 i lui est agréable. Ce qu’il ferait dans d’autres conditions serait mal fait. » Est-ce que ce beau mot d’agréable ne prête pas ici