1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 Confession tendancieuse (mai 1926)f Écrire, pas plus que vivre, n’est de nos
2 ou plutôt, son « mouvement normal » de vie. f. «  Confession tendancieuse », Les Cahiers du mois, Paris, n° 21-22, mai 1926, p. 14
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 tout un genre littéraire moderne, cette espèce de confession romancée dont les livres de Bopp, d’Arland, de Soupault et surtout de
3 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
4 commencent à se révéler politiques (guerre de la confession d’Augsbourg) et surtout morales : car malgré des félicitations arrach
4 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
5 ouvée sur le corps de son ami suicidé, pathétique confession qui doit expliquer sa mort et qui est aussi fausse que le reste. Ce m
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
6 rt assez purement évangélique pour transcender la confession qui lui a permis de naître. La grandeur d’un art protestant, c’est de
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
7 n discussion. Je sais bien que tout changement de confession ramène les mêmes arguments qui retiennent l’esprit à la périphérie de
7 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
8 s’agit-il jamais en effet pour les témoins d’une confession , de faire le compte de leurs gloires ? Ne doivent-ils pas au contrair
8 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
9 n celui-ci »13. À quoi nous saurons opposer cette confession mémorable : « Nous ne devons proférer les plus hautes maximes qu’auta
10 orce plus grande encore du caractère, et voici la confession éruptive : les Illuminations naissent d’une telle rupture. Elles sont
9 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
11 par C. F. Ramuz (avril 1934)o Après Une Main, confession réticente, d’une discrétion presque farouche, et dans la même lignée
10 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
12 n voit ces mêmes pasteurs lire sans sourciller la confession de nos églises, qui proclame le salut par la foi seule. Bien plus, qu
11 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
13 espérer, secrètement, autre chose, peut-être des confessions sensationnelles. J’avais tort, et l’on s’en convaincra en lisant le p
14 primitif dans le contact d’homme à homme, dans la confession mutuelle des péchés et le « partage » (sharing) des grâces reçues, il
15 moyen : c’est de leur ouvrir sa maison. D’où les confessions privées ou publiques, qui sont l’un des traits marquants de l’activit
12 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
16 pour savoir ?… » Nous voici à l’endroit de cette confession que je voulais vous citer non seulement à cause de sa beauté (et parc
13 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
17 er livre de M. Guéhenno67, vous y trouverez cette confession ahurissante : « Un grand savant, M. Langevin, expliqua un jour devant
14 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
18 n sur cette enfant, trop habituée sans doute à la confession paternelle. Un des jeunes étudiants avait repris en main le « monumen
19 es amis qui me jetait dans une sorte de honte… La confession de Nicodème m’avait profondément ému, en dépit de cette légère pointe
15 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
20 e a l’humour discret, sensible, qui convient à la confession d’un sentiment ni partagé ni rebuté, et résigné dès le début à cet ét
16 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
21 dire une situation qui exige de chacun de nous la confession et la déclaration de ce qu’il tient pour plus vrai que sa vie, et à q
17 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
22 51. Nous voulons passer, dit Rosenberg, « de la confession et de la classe au peuple ; de l’humanité à la race ; de l’acrobatie
18 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
23 52. Nous voulons passer, dit Rosenberg, « de la confession et de la classe au peuple ; de l’humanité à la race ; de l’acrobatie
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
24 ons un jour en toute franchise, entre croyants de confessions différentes et incroyants personnalistes. 71. Cf. Vers une cosmolog
20 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
25 ent nationale et civique destinée à remplacer les confessions « vieillies » et « divisées ». Il faut créer une « religion d’hommes
21 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
26 e et civique, et que l’on destine à remplacer les confessions « vieillies » et « divisées ». Il faut créer « une religion d’hommes
27 ssionnelle (Bekenntniskirche) groupe autour d’une confession de foi inspirée par Karl Barth et la théologie dialectique, l’ensembl
28 stante ; il en copie le plan général : Décalogue, confession des péchés, promesses de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte
22 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
29 ra en venir à une lutte ouverte avec les diverses confessions  ; mais non pas à une lutte par la violence, car les confessions mourr
30 mais non pas à une lutte par la violence, car les confessions mourront d’elles-mêmes, de toute façon… Nous ne rejetons pas seulemen
31 ristianisme en soi… Tous les membres des diverses confessions sont plus ou moins des trafiquants de devises et des traîtres au peup
23 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
32 ser ses droits contre un père irrité ? » 138. La confession du Ier acte à la nourrice ; celle du IIe à Hippolyte — « Hé bien ! co
24 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
33 ser ses droits contre un père irrité ? » 156. La confession du premier acte à la nourrice ; celle du deuxième à Hippolyte — « Hé
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
34 ser ses droits contre un père irrité ? » 145. La confession du premier acte à la nourrice ; celle du deuxième à Hippolyte — « Hé
26 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
35 re et de penser. Connaître le voisin de langue ou confession différente, lui reconnaître le droit de différer de nous ; le compren
27 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
36 os cultes, une prière liturgique isolée, comme la confession des péchés, certains pasteurs paraissent craindre la monotonie de ce
37 uités, qui pourra subsister devant toi ! »). III. Confession des péchés (l’assemblée s’agenouille). IV. Kyrie (un petit chœur ou l
38 si, de toutes celles qu’utilisent les différentes confessions chrétiennes. Je voudrais vous dire maintenant pour quelles raisons je
39 r la prière publique, ou pendant la lecture de la confession des péchés, par exemple, comme cela se fait dans les Églises réformée
40 tauration théologique (elle est en plein essor) ; confession de foi (on en parle beaucoup) ; doctrine des sacrements… 9. Je n’ent
28 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
41 e œcuménique. Connaître le voisin de langue ou de confession différente ; lui reconnaître le droit de différer de nous ; le compre
29 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
42 lle, méfiance à l’égard du voisin de langue ou de confession , crainte perpétuelle d’être majorisé. Notons que cette maladie a fait
30 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
43 ions. Le matin, la radio diffusa les prières de «  confession générale », dont il répétait les phrases à haute voix avec tous les m
31 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
44 nant, cette espérance d’une réunion de toutes les confessions chrétiennes. Car en nous faisant entrevoir la possibilité d’une catho
32 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
45 de tout le mal qui se fait dans le monde. Dans la Confession des Péchés de Théodore de Bèze, ces mots : « reconnaissant de plus en
33 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
46 ires, dont l’un au moins comportait 32 pages. Ces confessions générales m’ont valu, je dois le dire, autant d’absolutions. Mais loi
34 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
47 de tout le mal qui se fait dans le monde. Dans la Confession des Péchés de Théodore de Bèze, ces mots : « reconnaissant de plus en
35 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
48 ires, dont l’un au moins comportait 32 pages. Ces confessions générales m’ont valu, je dois le dire, autant d’absolutions. Mais loi
36 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
49 de tout le mal qui se fait dans le monde. Dans la Confession des Péchés de Théodore de Bèze, ces mots : « reconnaissant de plus en
37 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
50 celui-ci. 11 » À quoi nous saurons opposer cette confession mémorable : « Nous ne devons proférer les plus hautes maximes qu’auta
51 un caractère intéressé à la patience, et voici la confession éruptive : les Illuminations naissent d’une telle rupture. Elles sont
38 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
52 e, pouvait croire aux doctrines officielles de sa confession et en même temps admirer Wagner, Whitman, ou Renoir, sans seulement s
53 s, un enseignement suffisamment poussé des autres confessions soit donné : la partie œcuménique. Car ce n’est qu’en apprenant à con
54 s Églises dans leur ensemble. Mais la plupart des confessions (spécialement les protestantes) n’ont pas les moyens de mettre en con
39 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
55 s extrêmes, hardies et créatrices des différentes confessions . On reculait sous la pression de l’incroyance, on faisait la part du
56 longtemps. Et c’est un fait que les trois grandes confessions chrétiennes ont retrouvé, depuis une ou deux décades, le courage de r
40 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
57 ectes, elle n’a rien à voir avec la diversité des confessions d’origine nationale. C’est au xixe siècle qu’elle a sévi, pour des r
58 deux groupes, Sud et Nord, la plupart des grandes confessions . Ces groupes à leur tour se sont morcelés sur leurs ailes gauche et d
59 pes, qui se sont fédérés ou qui ont fusionné. Les confessions ou « dénominations » traditionnelles se sont reconstituées en une diz
60 ule, je lis les signatures de visiteurs de toutes confessions (ils les indiquent et je note beaucoup de Roman Catholics). Passons m
41 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
61 ez, dit-il gentiment, que je vous réponde par une confession . Je ne sais d’ailleurs ce qu’on peut en conclure pour ou contre vos t
42 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
62 nche, on nous transmet les cultes des principales confessions religieuses, mais là encore, le Credo de Nicée, chanté par un chœur a
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
63 e et civique, et que l’on destine à remplacer les confessions « vieillies » et « divisées ». Il faut créer « une religion d’hommes
64 ra en venir à une lutte ouverte avec les diverses confessions  ; mais non pas à une lutte par la violence, car les confessions mourr
65 mais non pas à une lutte par la violence, car les confessions mourront d’elles-mêmes, de toute façon… Nous ne rejetons pas seulemen
66 ristianisme en soi… Tous les membres des diverses confessions sont plus ou moins des trafiquants de devises et des traîtres au peup
67 ssionnelle (Bekenntniskirche) groupe autour d’une confession de foi inspirée par Karl Barth et la théologie dialectique, l’ensembl
68 stante ; il en copie le plan général : Décalogue, confession des péchés, promesses de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
69 nche, on nous transmet les cultes des principales confessions religieuses, mais là encore, le Credo de Nicée, chanté par un chœur a
45 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
70 urelle qui s’affirme. Ici ce sont deux églises de confessions voisines qui s’ouvrent l’une à l’autre, et là c’est un groupe de peti
46 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
71 ez, dit-il gentiment, que je vous réponde par une confession . Je ne sais d’ailleurs ce qu’on peut en conclure pour ou contre vos t
47 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
72 s extrêmes, hardies et créatrices des différentes confessions . On reculait sous la pression de l’incroyance, on frisait la part du
73 gtemps. C’est enfin un fait que les trois grandes confessions chrétiennes ont retrouvé depuis une ou deux décades le courage de réa
48 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
74 ectes, elle n’a rien à voir avec la diversité des confessions d’origine nationale. C’est au xixe siècle qu’elle a sévi, et pour de
75 deux groupes, Sud et Nord, la plupart des grandes confessions .. Ces groupes à leur tour se sont morcelés sur leurs ailes gauche et
76 pes, qui se sont fédérés ou qui ont fusionné. Les confessions ou dénominations traditionnelles se sont reconstituées en une dizaine
77 ule, je lis les signatures de visiteurs de toutes confessions (ils les indiquent, et je note beaucoup de Roman Catholics). Passons
78 ions. Le matin, la radio diffusa les prières de «  confession générale », dont il répétait les phrases à haute voix avec tous les m
49 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
79 tragique, entre plusieurs doctrines ou plusieurs confessions , une vingtaine de nations, et une infinité d’écoles et de génies indi
50 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
80 relle qui s’affirme. Ici, ce sont deux églises de confessions voisines qui s’ouvrent l’une à l’autre, et là c’est un groupe de peti
51 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
81 tragique, entre plusieurs doctrines ou plusieurs confessions , une vingtaine de nations, et une infinité d’écoles et de génies indi
52 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
82 ablir qu’à proportion des populations et de leurs confessions , l’Italie ait produit plus de grands écrivains que l’Angleterre, la P
53 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
83 ait d’appartenir à certaines religions, sectes ou confessions . À cela j’imagine qu’on opposera deux objections courantes : on dira
84 leur refus de considérer les droits d’une petite confession qui ne menace personne. On les honore d’avoir sauvé d’une extinction
85 le n’est qu’une caricature de la liberté. » h. «  Confession  » dans l’original. On a corrigé une erreur ici manifeste.
54 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
86 puisqu’ils sont eux-mêmes divisés entre les deux confessions . Mais ce n’est qu’en 1815 que la neutralité de la Suisse se voit proc
55 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
87 e très grave dans ma vie. » (Frappé par le ton de confession , par le ton « c’était mal » de ses propos.) Et, subitement, après un
56 1953, Réforme, articles (1946–1980). « Les écrivains protestants » (11 avril 1953)
88 ent commun aux écrivains de toutes les langues et confessions dans le domaine occidental. j. « Les écrivains protestants », Réfo
57 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
89 tats « souverains », ses quatre langues, ses deux confessions , ses climats contrastés, ses économies juxtaposées, sa méfiance profo
58 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
90 e Zwingli, le partage de la Suisse entre les deux confessions s’est opéré dans ses grandes lignes. Il variera très peu au cours des
91 ens 29 999 7 12 Israélites 19 429 5 12 Autres confessions ou sans confession 34 828 8 17 La proportion de 2/5 de catholiques
92 raélites 19 429 5 12 Autres confessions ou sans confession 34 828 8 17 La proportion de 2/5 de catholiques pour un peu moins d
93 la répartition géographique des deux principales confessions . Jusqu’en 1848, théoriquement, et plus tard encore pratiquement, le d
94 nt était refusé par les cantons aux Suisses d’une confession différente de celle de la majorité. La Constitution fédérale, conçue
95 bre établissement. Il en a résulté un mélange des confessions tel qu’on ne peut plus parler proprement de cantons protestants, mais
96 igration. Cette interpénétration géographique des confessions , à elle seule, suffirait à rendre impossible une nouvelle guerre du S
97 sur leur propre religion. Plus d’un changement de confession s’explique par la découverte subite de réalités spirituelles qui exis
98 lement inspirée par le statut minoritaire de leur confession . Il existe une doctrine catholique spécifiquement suisse de l’État et
99 iminer le plus possible l’influence politique des confessions  : souci bien compréhensible, puisqu’ils sortaient d’une guerre civile
59 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
100 comme un grand crible plein de constitutions, de confessions , de partis, de souverainetés et de bourgeoisies, à travers lequel dev
101 nationalistes, l’était encore davantage pour les confessions religieuses au temps où elles étaient partisanes : c’est bien pourquo
60 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
102 ement. Nos coutumes et nos styles contrastés, nos confessions rivales et nos systèmes philosophiques en perpétuelle polémique ne lu
61 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
103 tats distincts sans nulle frontière visible, deux confessions majeures et trente-six sectes qui se côtoient partout mais qui s’igno
62 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
104 Sur le point 9, voir les révélations précises, ou confessions , de Pierre Hervé. Non seulement toutes ces choses ne sont plus niées
63 1956, Articles divers (1951-1956). Réponse à l’enquête « Pour une bibliothèque idéale » (1956)
105 philosophiques (hélas !). 6. Saint Augustin : Les Confessions . 7. Saint Thomas d’Aquin : Somme théologique. 8. Béroul : Tristan. 9.
106 ieu : L’Esprit des lois. 18. J.-J. Rousseau : Les Confessions . 19. Proudhon : Du Principe fédéraliste. 20. Balzac : La Comédie huma
64 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
107 mier auteur d’une biographie de sa personne : les Confessions . 3. Du Mythe à l’Histoire Mais il reste à mieux voir comment l’
65 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
108 mier auteur d’une biographie de sa personne : les Confessions . Du mythe à l’histoire Mais il reste à mieux voir comment l’hom
66 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
109 euse est combien plus puissante dans nos diverses confessions que les modes littéraires qui occupent tant notre presse. Les auteurs
67 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
110 aucoup de dialectes et de patois, pratiquant deux confessions religieuses, sans compter beaucoup de sectes. Tous ces petits ensembl
68 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
111 x que les chrétiens pratiquants des trois grandes confessions dans les pays de l’Europe de l’Est et en Russie (on compterait, aux d
112 u’en est-il de cette existence, dans les diverses confessions  ? Je suis frappé de la voir si différente de l’idée qu’en donneraient
113 s débats sur le dogme entre docteurs de ces mêmes confessions . Et frappé plus encore par l’ignorance naïve où les fidèles eux-mêmes
114 t je songe à tous ceux que laisse insatisfaits la confession dans laquelle ils sont nés (soit par hasard ou providence), dans laqu
69 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
115 iété des forces animant la vie publique : partis, confessions religieuses, syndicats, pressure groups, etc. Mais surtout, écrit-il 
70 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
116 e très grave dans ma vie. » (Frappé par le ton de confession , par le ton « c’était mal » de ses propos.) Et, subitement, après un
117 on attitude religieuse. Et par exemple : de cette confession surprenante dont j’ai donné la relation fidèle, la lecture de L’Amou
71 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
118 distincts quoique sans frontières visibles ; deux confessions majeures et trente-six sectes, qui se côtoient partout mais qui s’ign
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
119 ans notre siècle, impliquant le rapprochement des confessions chrétiennes vers l’unité qu’ordonnait l’Évangile. Tous les quatre, en
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
120 la politique », et sur l’union des trois grandes confessions représentées par ces monarques. L’idée centrale paraît être de ramene
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
121 ifs — qui n’ont cessé d’exister entre les grandes confessions et conceptions du monde qui s’opposaient. Les hérétiques des xiie et
75 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
122 mbrables rencontres entre théologiens des grandes confessions chrétiennes organisées depuis quelques décennies avec la tolérance de
123 ez les orthodoxes, tout concourt à rapprocher les confessions non seulement les unes des autres mais de leur source d’inspiration c
76 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
124 rme de nos jours, impliquant le rapprochement des confessions chrétiennes. C’est donc, en plus du motif de la paix, celui de la com
77 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
125 rès variés par la forme politique, l’économie, la confession , la langue. Elle dépendait ainsi, à des titres divers, de plusieurs g
126 Barth : elle dépasse largement les limites de la confession protestante. ⁂ Mais s’il reste vrai que la Suisse n’est pas une natio
78 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’éloge, l’élan, l’amour, le monde ouvert à ceux qui s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)
127 s, les unes très vastes et presque universelles — confession , langue française, culture européenne — les autres cantonales, locale
79 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
128 relle qui s’affirme. Ici, ce sont deux églises de confessions voisines qui s’ouvrent l’une à l’autre, et là ce sont des professions
129 requis. Exécutives : Un complexe de traditions, confessions et langues, de conditions naturelles et de possibilités de développem
130 Suisse : le Jura bernois, de langue française, de confession catholique et historiquement autonome, mais rattaché à la masse prote
80 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
131 on sait la diversité non seulement de langue, de confession et de coutumes, mais de régime politique, pendant des siècles. C’est
81 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
132 s extrêmes, hardies et créatrices des différentes confessions . On reculait sous la pression de l’incroyance, on frisait la part du
133 gtemps. C’est enfin un fait que les trois grandes confessions chrétiennes ont retrouvé depuis une ou deux décades le courage de réa
82 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
134 e, pouvait croire aux doctrines officielles de sa confession et en même temps admirer Wagner, Whitman, ou Renoir, sans seulement s
135 s, un enseignement suffisamment poussé des autres confessions soit donné : la partie œcuménique. Car ce n’est qu’en apprenant à con
136 s Églises dans leur ensemble. Mais la plupart des confessions (spécialement les protestantes) n’ont pas les moyens de mettre en con
83 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
137 ’est pas, d’ailleurs, de se rapprocher des autres confessions , mais de rendre la liturgie romaine plus appealing et efficace. De le
138 estauration pour le rapprochement des différentes confessions . J’ai participé avant et après la guerre, en Europe, à de nombreuses
139 ions théologiques ou politiques des trois grandes confessions chrétiennes, et de trouver un terrain d’entente. Mais de ces discussi
140 en assiste ou participe à la liturgie d’une autre confession . Alors qu’une discussion, même fraternelle, met en jeu, exerce et exc
141 u quelques vêtements brodés qui séparent les deux confessions  ; il verra mieux l’identité réelleat entre les paroles prononcées dan
84 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
142 s d’avenir, de milieux familiaux, de carrière, de confession religieuse, de conceptions éducatives, de communion intellectuelle ou
85 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
143 ces d’avenir dépendent donc aussi des chances des confessions qui le composent et des chances de la civilisation occidentale dans l
144 Le christianisme peut triompher ou périr avec ses confessions distinctes et avec la civilisation occidentale, s’il demeure vitaleme
145 et ses effectifs enregistrés. La pluralité de ses confessions n’a peut-être pas retardé ou gêné sa diffusion en Afrique et en Asie
146 à lui seul le monde non chrétien. Des différentes confessions historiques, seuls le catholicisme et le protestantisme seraient en p
147 œcuménique des vertus propres à chacune des deux confessions majeures. Cette convergence est-elle seulement souhaitable, ou pouvon
148 me chrétien, doctrine centrale commune à nos deux confessions . Sur le second point, j’ai relevé, au cours des précédents chapitres,
149 rance et de la volonté œcuménique dans toutes les confessions . Tout cela s’est manifesté et prononcé au cours des trois ou quatre d
150 senterait pour lui l’union fédérale de toutes les confessions chrétiennes. Il faudra que cette union, à son tour, renoue au moins l
86 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
151 parités de coutumes ou de richesse, de langue, de confession , voire de régime, ne sont guère plus marquées ou plus frappantes entr
87 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
152 sans frontières sensibles), quatre langues, deux confessions majeures et trente-six sectes, je ne sais combien de races variableme
88 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
153 vaste union politique englobant une pluralité de confessions , de langues et de régimes alliés sur pied d’égalité. C’est malgré eux
89 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
154 les frontières des langues ne sont pas celles des confessions  ; celles des cantons ne sont pas celles des régions économiques ; et
155 e, soit naturelle, soit culturelle (langue, race, confession , caractère, etc.) qui justement leur fait défaut, mais parce qu’ils s
156 artis politiques, les cantons, les langues et les confessions . Comme il n’y a que sept conseillers fédéraux, il est impossible de f
157 éprouvent à l’endroit de leur patrie. La race, la confession , la langue, parfois même la doctrine du parti au pouvoir, coïncident
158 comme un grand crible plein de constitutions, de confessions , de partis, de souverainetés et de bourgeoisies, à travers lequel dev
90 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Interaction de l’économique et du politique
159 ée, et l’atténuation des anciens affrontements de confessions et de classes, la vie politique s’est vidée de toute idéologie. Les c
91 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
160 sans frontières sensibles), quatre langues, deux confessions majeures et trente-six sectes, je ne sais combien de races variableme
161 e Zwingli, le partage de la Suisse entre les deux confessions s’est opéré dans ses grandes lignes. La proportion d’un peu plus de 2
162 la répartition géographique des deux principales confessions . Jusqu’en 1848 légalement, et plus tard encore pratiquement, le droit
163 nt était refusé par les cantons aux Suisses d’une confession différente de celle de la majorité. La Constitution fédérale, conçue
164 bre établissement. Il en a résulté un mélange des confessions tel qu’on ne peut plus parler proprement de cantons protestants ou ca
165 immigration. L’interpénétration géographique des confessions , à elle seule, suffirait pour rendre impossible une nouvelle guerre d
166 lement inspirée par le statut minoritaire de leur confession . Il existe une doctrine catholique spécifiquement suisse de l’État et
167 iminer le plus possible l’influence politique des confessions  : souci bien compréhensible, puisqu’ils sortaient d’une guerre civile
168 Catholiques chrétiens 6 Israélites 4 Autres confessions ou sans confessions 4 8 L’augmentation de 4,9 % des catholiques est
169 s 6 Israélites 4 Autres confessions ou sans confessions 4 8 L’augmentation de 4,9 % des catholiques est due pour moitié à l
92 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
170 parités de coutumes ou de richesse, de langue, de confession , voire de régimes, ne sont guère plus marquées ou plus frappantes ent
93 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
171 parlées dans les villes et richesses du sous-sol, confession religieuse et monnaie, programmes scolaires et fiscalité, idéal polit
172 ions, ses deux religions, dont l’une en plusieurs confessions ). L’histoire, ses lois douteuses et ses accidents trop certains ; les
173 ranationale) une pluralité d’États, d’ethnies, de confessions , de traditions culturelles et sociales. Pluralisme et arbitrage suprê
94 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
174 s et populaires, tantôt le clergé des différentes confessions répétant devant les fidèles réunis « Tu ne tueras point », tantôt le
95 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
175 ons d’évoquer, puisqu’il consiste à concilier des confessions distinctes dans l’unité de l’Église, c’est-à-dire en dernière analyse
96 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
176 ons d’évoquer, puisqu’il consiste à concilier des confessions distinctes dans l’unité de l’Église, c’est-à-dire, en dernière analys
97 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
177 frontière. Elles traversent aussi nos partis, nos confessions et nos régions, nos personnes mêmes ! Il y a dans chaque pays un nord
98 1970, Articles divers (1970-1973). « S’unir, au-delà de nos fausses souverainetés, pour préserver nos vraies diversités » (mai-juin 1970)
178 parités de coutumes ou de richesse, de langue, de confession , voire de régimes, ne sont guère plus marquées ou plus frappantes ent
99 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
179 ceptables pour plus d’un pays, d’une école, d’une confession . Or, nous avons une vingtaine de pays, et je ne sais combien d’écoles
180 les staliniens), de tous les pays, de toutes les confessions et de toutes les professions. Il ne tend pas à supprimer leurs différ
100 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
181 tenu depuis des siècles entre trois langues, deux confessions religieuses, et vingt-cinq États « souverains » mais très étroitement