1
pure dans celui de l’action. M. Cadier montra le
conflit
de la théologie moderne avec l’action religieuse en s’appuyant sur de
2
c’est impossible, pourra-t-on du moins éviter le
conflit
que certains prétendent menaçant ? Malgré l’« anxiété mélancolique »
3
e monde échappe toujours à nos cadres — perpétuel
conflit
du réel avec nos rêves de puissance : notre ambition la plus haute éc
4
uelques chances encore de régler pacifiquement le
conflit
du capital et du travail. « Se fordiser ou mourir », écrivait récemme
5
utre problème de non moindre valeur tragique : le
conflit
de la jeunesse d’après-guerre et des parents. Encore un sujet qui att
6
idieuses ; cela permet aussi de résoudre certains
conflits
apparemment sans issues : les acteurs du drame n’hésitent pas à louer
7
de des sacrifices pour l’amour des vivants. » Le
conflit
intérieur s’intensifie bientôt jusqu’à provoquer en lui une sorte de
8
i les innombrables sentiments : doutes, passions,
conflits
qu’il met en jeu, c’est toujours l’absence absolue d’hypocrisie de sa
9
n’est pas à moi-même que je m’intéresse, mais au
conflit
de certaines idées, dont mon âme n’est que le théâtre, et où je fais
10
aurat doit se tromper, lorsqu’il note que dans ce
conflit
moral, Dieu est « tranquillement oublié ». Il y a visiblement chez Je
11
entrale de notre condition, et que, enfermant les
conflits
purement humains dans le jeu de synthèses successives, il achemine l’
12
oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des
conflits
là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impos
13
de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le
conflit
de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétis
14
nt l’ampleur est sans précédent. Ce n’est plus de
conflits
d’idées qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous,
15
plus de conflits d’idées qu’il s’agit, ni même de
conflits
d’intérêts. Mais pour nous, entrés dans la vie sous le coup d’une men
16
ce donc plus, comme le marque Th. Maulnier, qu’un
conflit
d’intérêts ? Et d’intérêts qui ne sont pas les nôtres, qui ne sont pa
17
usent toute synthèse, toute solution mécanique du
conflit
nécessaire et vital. Il n’y a pas de troisième terme, — ou c’est la m
18
es élémentaires : elle n’est qu’une projection du
conflit
de la personne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « mo
19
affirme. 19. Toute solution systématique du vrai
conflit
nécessité-liberté dans la mesure où elle existe en sol et dans sa dur
20
supprime l’un des deux premiers termes. Ainsi des
conflits
individu-société, petite patrie-nation culturelle, initiative privée-
21
onnaît un tragique aux arêtes de pierre taillée :
conflits
d’actes, de faits ou de droits ; l’Europe centrale, de ces choses « d
22
qui ne trouve nulle part où s’exercer : d’où les
conflits
purement « moraux » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolesce
23
onnaît un tragique aux arêtes de pierre taillée :
conflits
d’actes, de faits ou de droits ; l’Europe centrale, de ces choses « d
24
qui ne trouve nulle part où s’exercer : d’où les
conflits
purement « moraux » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de nos adolesce
25
doctrines qui prétendent résoudre humainement les
conflits
essentiels ; rejeter toutes les solutions fabriquées par la « pensée
26
s la mesure où l’on est décidé à refuser tous les
conflits
concrets et les décisions qu’ils comportent. Nous refusons toute prob
27
manisme contre christianisme, n’est-ce donc qu’un
conflit
d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera le mieux cet ho
28
nistes, peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le
conflit
est plus grave, car le rejet de l’humanisme constitue pour lui une so
29
ie défense de l’homme, lieu naturel du nécessaire
conflit
de l’ange et de la bête ? L’homme soviétique se trouve soustrait aux
30
bête ? L’homme soviétique se trouve soustrait aux
conflits
naturels. Il vit dans un monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-o
31
a victoire sur les difficultés naturelles, sur ce
conflit
qui constitue la raison d’être de la plupart des hommes ? Sera-t-il a
32
omme chrétien est à la fois ange et bête. Dans ce
conflit
perpétuel, il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu
33
e nous, en tant qu’elle se trouve engagée dans un
conflit
réel et concret, exigeant une décision. 2. Ch. Westphal rappelait la
34
moyens. Elle ne peut que retarder l’accession aux
conflits
nécessaires. e. « [Réponse à l’enquête « La jeunesse française deva
35
personne, définie comme l’individu engagé dans le
conflit
créateur6. À cet engagement personnel, nos révoltés préfèrent l’engag
36
que la thèse, la seule vérité résidant dans leur
conflit
nécessaire, assumé en pleine conscience. Telle sera notre position d’
37
s. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
conflit
absurde entre deux opérations dont nous avons perdu le contrôle, pour
38
tion à quelque idéale synthèse, elle s’exalte des
conflits
sans cesse renaissants que suscite l’exigence de la personne lorsqu’e
39
ttement au Hegel des hégéliens. Hegel supprima le
conflit
lorsqu’il voulut en étaler les éléments dans le temps et l’Histoire.
40
y ait une virtu dans l’acceptation volontaire du
conflit
permanent ; qu’il y ait au contraire un principe de dégradation éthiq
41
ous : la personne c’est l’individu engagé dans le
conflit
créateur. Conflit qui se résout par l’acte, — cet acte provoquant un
42
c’est l’individu engagé dans le conflit créateur.
Conflit
qui se résout par l’acte, — cet acte provoquant un conflit et un risq
43
ui se résout par l’acte, — cet acte provoquant un
conflit
et un risque nouveaux, générateurs de créations nouvelles. L’acte et
44
s qui soient. ⁂ On l’a bien vu récemment, lors du
conflit
dramatique qui l’a opposé, seul ou à peu près, au puissant parti des
45
es institutions reproduisent à tous les degrés le
conflit
et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institution
46
a définirons tout à l’heure — ou mieux encore, le
conflit
personnel, et nous prenons pour norme ce conflit, étendu à tous les o
47
conflit personnel, et nous prenons pour norme ce
conflit
, étendu à tous les ordres de l’activité humaine : politique, économiq
48
ait. La personne, c’est l’individu engagé dans un
conflit
créateur avec lui-même d’abord, avec la nature ensuite, avec l’ambian
49
nature ensuite, avec l’ambiance sociale enfin. Ce
conflit
comporte un choix permanent, donc un risque permanent, c’est-à-dire u
50
es institutions reproduisent à tous les degrés le
conflit
et la tension qui définissent la personne en acte. 6° Ces institution
51
ité d’une morale individuelle apte à résoudre les
conflits
sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et
52
question ne peut être concrète — ne peut être un
conflit
véritable — que si c’est un autre homme, en face de moi, qui me la po
53
On voudrait nous faire croire aujourd’hui que le
conflit
fécond, la communion du tu et du je se résout pratiquement dans un no
54
re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions, n’ayant pas compté avec l’homme concret, n’ont pas
55
oncret, n’ont pas compté avec le principe de tout
conflit
, et sont sans forces contre les conflits qui surgissent. Elles essaie
56
e de tout conflit, et sont sans forces contre les
conflits
qui surgissent. Elles essaient alors de déshumaniser les hommes. Elle
57
stérilisation. — D’ailleurs, elles échouent. Les
conflits
qui éclatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’individ
58
oits de l’homme, ayant cru remarquer que tous les
conflits
humains naissaient des différences entre les hommes, conçurent cette
59
evait dans l’esprit des théoriciens supprimer les
conflits
en supprimant les différences, aboutit à rendre les différences insup
60
omme concret, c’est-à-dire l’homme engagé dans le
conflit
vital qui l’unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’hom
61
re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions qui comptent avec l’homme concret, comptent avec le
62
’homme concret, comptent avec le principe de tout
conflit
, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds pour l’ensemble d
63
ce. Fortes de leur souplesse, elles empêchent les
conflits
de s’accumuler et d’éclater en désordres sanglants. Si le troisième p
64
is existé qu’à l’état de définition. Parti[r] des
conflits
quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui nai
65
définition. Parti[r] des conflits quotidiens, des
conflits
d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui naissent de la diversité des
66
tidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
conflits
qui naissent de la diversité des régions et des races, — pour les uti
67
r les vieilles armures, et recherchons plutôt les
conflits
vitaux pour lesquels elles furent inventées. La sémantique ainsi comp
68
onstituant la personne (l’individu engagé dans un
conflit
concret). Sur cette notion d’acte pris comme point de départ 18 se fo
69
ne morale qui mette des obstacles et qui crée des
conflits
dramatiques dans les vies les plus dépourvues d’apparences. N’est-ce
70
ste. Je me refuse à voir en lui la solution de ce
conflit
mauvais qu’il fixe sans le dépasser. 19. L’aspect animique du corps
71
aux prisonniers2 — ou bien elle s’engage dans un
conflit
concret, — et découvre bientôt qu’il est social ou politique. Ce n’ét
72
mble dont il dérivait. Il était donc fatal que le
conflit
individu-État fût résolu au profit du plus grand des deux et aboutît
73
entrale de notre condition, et que, enfermant les
conflits
purement humains dans le jeu de synthèses successives, il achemine l’
74
oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des
conflits
là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impos
75
vraie ne va pas sans quelque ironie à l’égard des
conflits
du monde, et qu’elle s’éprouve par de bien autres mines que celles qu
76
s la mesure où l’on est décidé à refuser tous les
conflits
concrets et les décisions qu’ils comportent. Nous refusons toute prob
77
manisme contre christianisme, n’est-ce donc qu’un
conflit
d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera le mieux cet ho
78
nistes, peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le
conflit
est plus grave, car le rejet de l’humanisme constitue pour lui une so
79
mme considéré comme le lieu naturel du nécessaire
conflit
de l’ange et de la bête ? L’homme soviétique se trouve soustrait aux
80
bête ? L’homme soviétique se trouve soustrait aux
conflits
naturels. Il vit dans un monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-o
81
a victoire sur les difficultés naturelles, sur ce
conflit
qui constitue la raison d’être de la plupart des hommes ? Sera-t-il a
82
omme chrétien est à la fois ange et bête. Dans ce
conflit
perpétuel, il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu
83
e nous, en tant qu’elle se trouve engagée dans un
conflit
exigeant une décision concrète pour se réaliser. 41. « Le chrétien e
84
de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le
conflit
de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétis
85
ur est sans précédent. Ce n’est plus seulement de
conflits
d’idées qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous,
86
ment de conflits d’idées qu’il s’agit, ni même de
conflits
d’intérêts. Mais pour nous, entrés dans la vie sous le coup d’une men
87
ont mine de « réussir ». N’est-ce donc plus qu’un
conflit
d’intérêts ? Et d’intérêts qui ne sont pas les nôtres, qui ne sont pa
88
usent toute synthèse, toute solution mécanique du
conflit
nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième terme », — ou c’est
89
es élémentaires : elle n’est qu’une projection du
conflit
de la personne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « mo
90
voici. 56. Toute solution systématique du vrai
conflit
nécessité-liberté dans la mesure où elle existe en soi et dans sa dur
91
supprime l’un des deux premiers termes. Ainsi des
conflits
individu-société, petite-patrie nation culturelle, initiative privée-
92
re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions, n’ayant pas compté avec l’homme concret, n’ont pas
93
oncret, n’ont pas compté avec le principe de tout
conflit
, et sont sans forces contre les conflits qui surgissent. Elles essaie
94
e de tout conflit, et sont sans forces contre les
conflits
qui surgissent. Elles essaient alors de déshumaniser les hommes. Elle
95
stérilisation. — D’ailleurs, elles échouent. Les
conflits
qui éclatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’indivi
96
oits de l’homme, ayant cru remarquer que tous les
conflits
humains naissaient des différences entre les hommes, conçurent cette
97
evait dans l’esprit des théoriciens supprimer les
conflits
en supprimant les différences, aboutit à rendre les différences insup
98
omme en acte, c’est-à-dire l’homme engagé dans le
conflit
vital qui l’unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’hom
99
re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions qui comptent avec l’homme concret, comptent avec le
100
’homme concret, comptent avec le principe de tout
conflit
, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds pour l’ensemble d
101
ce. Fortes de leur souplesse, elles empêchent les
conflits
de s’accumuler et d’éclater en désordres sanglants. Si le dernier pa
102
mais existé qu’à l’état de définition. Partir des
conflits
quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui nai
103
e définition. Partir des conflits quotidiens, des
conflits
d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui naissent de la diversité des
104
tidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
conflits
qui naissent de la diversité des régions et des races, — pour les uti
105
s. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
conflit
absurde entre deux opérations dont nous avons perdu le contrôle, pour
106
canique de l’histoire qui supprime l’individu, le
conflit
tragique et la responsabilité spirituelle. C’est dans cette tradition
107
onstituant la personne (l’individu engagé dans un
conflit
concret). Sur cette notion de l’homme actif et créateur, se fondent u
108
aux prisonniers3 — ou bien elle s’engage dans un
conflit
concret, et découvre bientôt qu’il est social ou politique. Ce n’étai
109
mble dont il dérivait. Il était donc fatal que le
conflit
individu-État fût résolu au profit du plus grand des deux et aboutît
110
cifique de notre condition, et que, enfermant les
conflits
purement humains dans le jeu de synthèses successives, il achemine l’
111
oppositions naturelles ; bien plus, elle crée des
conflits
là où l’homme naturel n’en pouvait distinguer ; et surtout elle impos
112
vraie ne va pas sans quelque ironie à l’égard des
conflits
du monde, et qu’elle s’éprouve par de bien autres mines que celles qu
113
s la mesure où l’on est décidé à refuser tous les
conflits
concrets et les décisions qu’ils comportent, hic et nunc. Avant d’al
114
manisme contre christianisme, n’est-ce donc qu’un
conflit
d’amour, assez touchant ? Est-ce à celui qui soignera le mieux cet ho
115
nistes, peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le
conflit
est plus grave, car le rejet de l’humanisme constitue pour lui une so
116
mme considéré comme le lieu naturel du nécessaire
conflit
de l’ange et de la bête ? L’homme soviétique se trouve soustrait aux
117
bête ? L’homme soviétique se trouve soustrait aux
conflits
naturels. Il vit dans un monde où il n’y aura bientôt plus — se dit-o
118
a victoire sur les difficultés naturelles, sur ce
conflit
qui constitue la raison d’être de la plupart des hommes ? Sera-t-il a
119
omme chrétien est à la fois ange et bête. Dans ce
conflit
perpétuel, il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu
120
e nous, en tant qu’elle se trouve engagée dans un
conflit
exigeant une décision concrète pour se réaliser. 34. « Le chrétien e
121
de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le
conflit
de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétis
122
ur est sans précédent. Ce n’est plus seulement de
conflits
d’idées qu’il s’agit, ni même de conflits d’intérêts. Mais pour nous,
123
ment de conflits d’idées qu’il s’agit, ni même de
conflits
d’intérêts. Mais pour nous, entrés dans la vie sous le coup d’une men
124
ont mine de « réussir ». N’est-ce donc plus qu’un
conflit
d’intérêts ? Et d’intérêts qui ne sont pas les nôtres, qui ne sont pa
125
usent toute synthèse, toute solution mécanique du
conflit
nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième terme », — ou c’est
126
es élémentaires : elle n’est qu’une projection du
conflit
de la personne. Les marxistes nous accusent de mêler des notions « mo
127
aites. 49. Toute solution systématique du vrai
conflit
nécessité-liberté dans la mesure où elle existe en soi et dans sa dur
128
supprime l’un des deux premiers termes. Ainsi des
conflits
individu-société, petite patrie-nation culturelle, initiative privée-
129
re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions, n’ayant pas compté avec l’homme concret, n’ont pas
130
oncret, n’ont pas compté avec le principe de tout
conflit
, et sont sans forces contre les conflits qui surgissent. Elles essaie
131
e de tout conflit, et sont sans forces contre les
conflits
qui surgissent. Elles essaient alors de déshumaniser les hommes. Elle
132
stérilisation. — D’ailleurs, elles échouent. Les
conflits
qui éclatent sont alors sanglants. L’évolution de la notion d’indiv
133
oits de l’homme, ayant cru remarquer que tous les
conflits
humains naissaient des différences entre les hommes, conçurent cette
134
evait dans l’esprit des théoriciens supprimer les
conflits
en supprimant les différences, aboutit à rendre les différences insup
135
mme consciemment et volontairement engagé dans le
conflit
vital qui l’unit et l’oppose à son prochain. La personne, c’est l’hom
136
re la nature concrète de l’homme, qui comporte le
conflit
. Les institutions qui comptent avec l’homme concret, comptent avec le
137
’homme concret, comptent avec le principe de tout
conflit
, et ont pour but de rendre les antagonismes féconds pour l’ensemble d
138
ce. Fortes de leur souplesse, elles empêchent les
conflits
de s’accumuler et d’éclater en désordres sanglants. Si le dernier pa
139
mais existé qu’à l’état de définition. Partir des
conflits
quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui nai
140
e définition. Partir des conflits quotidiens, des
conflits
d’intérêts et d’idéaux, des conflits qui naissent de la diversité des
141
tidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
conflits
qui naissent de la diversité des régions et des races, — pour les uti
142
s. Elle exprime simplement l’état accidentel d’un
conflit
absurde entre deux opérations dont nous avons perdu le contrôle, pour
143
canique de l’histoire qui supprime l’individu, le
conflit
tragique et la responsabilité spirituelle. C’est dans cette tradition
144
onstituant la personne (l’individu engagé dans un
conflit
concret). Sur cette notion de l’homme actif et créateur, se fondait u
145
mettaient leur soin à vivre en marge de tous les
conflits
et refusaient d’être considérés comme des citoyens responsables, ils
146
du drame, avec l’étrange prétention d’arbitrer le
conflit
vital, de séparer les deux antagonistes : de leur permettre, pensait-
147
Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)m Un
conflit
religieux « déchire » la France lors de l’avènement de Henri IV. Ains
148
lent nos manuels. Car selon les manuels, tous les
conflits
« déchirent », tous les édits « apaisent », si c’est l’État qui les a
149
-il « apaisé » quoi que ce soit, en imposant à un
conflit
spirituel le cadre étatique d’un décret destiné avant tout à raffermi
150
homme qui venait d’« apaiser » par une boutade le
conflit
qui depuis longtemps avait « déchiré » sa conscience, l’homme du « Pa
151
antagonistes ? Fixer, cristalliser de la sorte un
conflit
, c’est fixer et cristalliser un désordre. C’est croire que l’absence
152
tés spirituelles, et sous prétexte d’apaiser leur
conflit
. Si l’on rappelle en outre les guerres du Languedoc entre Rohan et Ri
153
our la vie politique et économique du pays. b) Le
conflit
spirituel étouffé par la force, sans être en rien résolu pour autant,
154
ercher par quels moyens Henri IV eût pu donner au
conflit
politique et religieux de son époque une tournure moins fatale pour l
155
llera que notre condition chrétienne est celle du
conflit
dialectique : L’Église est ordonnée à cette condition de batailler c
156
ith dégage puissamment l’origine philosophique du
conflit
qui domine le monde présent. L’effondrement de l’idéalisme hégélien s
157
ndiquer pour mémoire : la scission socialiste, le
conflit
mal dissimulé de l’Action française et du comte de Paris, la décompos
158
Nous reconnaissons la réalité et la nécessité des
conflits
humains. Mais il y a d’autres solutions que la guerre. Faire valoir t
159
tre optique, oui ! Parce que vous placez tous les
conflits
dans le cadre rigide des nations. La nation-bloc, telle que vous la c
160
ut l’effort de la civilisation est là : tirer des
conflits
naturels et nécessaires des forces nouvelles, et non pas aboutir à la
161
ui, son élan meurt en anarchie. La solution de ce
conflit
est évidente, c’est peut-être pourquoi bien peu l’ont vue jusqu’à pré
162
ellement humaine, c’est-à-dire qu’elle exprime un
conflit
permanent et fécond, celui du créateur et du monde tel qu’il est ou t
163
et sa foi dans ce miracle qui résoudrait seul le
conflit
du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de la nécessité et
164
résoudra en créations toujours nouvelles le vieux
conflit
de l’individu et de la masse. 6. La violence nécessaire. Car notre
165
plus adroits le mouvement stakhanoviste. 59. Le
conflit
de Marx et de Nietzsche chez plusieurs jeunes hommes d’aujourd’hui.
166
ne prophétie qui se retourne. De Man part donc du
conflit
qui oppose au xxe siècle une culture bourgeoise décontenancée et une
167
iste : elle aboutit à mettre en évidence le vieux
conflit
des exploiteurs et exploités. Il est vrai que de Man pousse « au-delà
168
it, et si cette analyse morale conduit au cœur du
conflit
véritable. Là où Marx se contente d’opposer des intérêts contradictoi
169
la vérité « pour nourrir une paix fardée32 ». Ce
conflit
de la mesure stérilisée, idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est da
170
et sa foi dans ce miracle qui résoudrait seul le
conflit
du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de la nécessité et
171
x plus actifs le mouvement stakhanoviste. 45. Le
conflit
de Marx et de Nietzsche dans la vie de beaucoup de jeunes hommes d’au
172
i résoudra en création toujours nouvelle le vieux
conflit
de l’individu et de la masse. 6° La violence nécessaire. — Car notre
173
és pour si peu dans le concret, j’entends dans le
conflit
et l’acte personnels. La pensée libre du bourgeois et la science des
174
tré, à son refus d’agir et de se risquer dans les
conflits
qui existent, ou que la pensée crée, la mission d’une culture nouvell
175
nouvelle sera d’accepter le combat, d’assumer les
conflits
vitaux, et de les résoudre en création. Voilà la grande opposition d’
176
Évolution contre Personne. Nous retrouvons ici le
conflit
de Marx et de Nietzsche. Mais derrière eux et avant eux, deux noms :
177
rait ses produits. La réalité vivante est dans le
conflit
.) Une pensée tendue vers l’action saura seule donner forme aux réalit
178
e dans ma vie. Ce risque atteste l’existence d’un
conflit
, c’est-à-dire la présence du réel. Il rend à ma pensée sa gravité, so
179
l s’agit là de deux mouvements de fuite devant le
conflit
humain tel qu’il se joue dans nos limites charnelles. Mais ce qui est
180
d’aujourd’hui abusent avec le même succès en des
conflits
non moins stériles, s’ils sont évidemment moins meurtriers. Comment u
181
ité d’une morale individuelle apte à résoudre les
conflits
sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et
182
estion ne peut être concrète — et ne peut être un
conflit
véritable — que si c’est un autre homme, en face de moi, qui me la po
183
ciples puissants nous assurent aujourd’hui que le
conflit
fécond, la communion du toi et du moi se résout pratiquement dans un
184
it aux règles de l’art. Nous l’avons ramené à des
conflits
éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se r
185
s ramené à des conflits éthiques. Au cœur de tout
conflit
fécond, de tout conflit qui ne se résout point dans une séparation ma
186
éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout
conflit
qui ne se résout point dans une séparation mauvaise, mais dans un act
187
prit de l’homme se manifeste dès l’origine par le
conflit
qu’il institue dans le monde. Mais ce conflit, s’il vient à perdre sa
188
le conflit qu’il institue dans le monde. Mais ce
conflit
, s’il vient à perdre sa violence, se relâche en éléments désormais dé
189
ement agonique, mais encore ordonnateur. C’est un
conflit
et une rupture, mais aussi une nouvelle mise en ordre. C’est ici que
190
l’individu qui se sait et se veut engagé dans le
conflit
créateur. Mais en s’affirmant, c’est-à-dire en changeant de plan, en
191
ité accentue encore la tension. Le nouvel état du
conflit
est plus aigu que l’ancien. Au fur et à mesure qu’elle se libère, la
192
alut n’est jamais dans le repli, dans le refus du
conflit
concret. L’invention de l’homme « intérieur » suppose et permet celle
193
comme un va-et-vient du « donné » à l’abstrait. (
Conflit
de l’identité et de la réalité, voir Meyerson). Il n’y a de paradoxe
194
ne fera briller son éclair que bien rarement. Les
conflits
contre le temps, contre l’espace, contre la matière, qui reprennent i
195
ne prophétie qui se retourne. De Man part donc du
conflit
qui oppose au xxe siècle une culture bourgeoise décontenancée et u
196
iste : elle aboutit à mettre en évidence le vieux
conflit
des exploiteurs et des exploités. Il est vrai que de Man pousse « au-
197
it, et si cette analyse morale conduit au cœur du
conflit
véritable. Là où Marx se contente d’opposer des intérêts contradictoi
198
la vérité « pour nourrir une paix fardée33 ». Ce
conflit
de la mesure stérilisée, idolâtrée, et de la mesure recréée, c’est da
199
et sa foi dans ce miracle qui résoudrait seul le
conflit
du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de la nécessité et
200
x plus actifs le mouvement stakhanoviste. 46. Le
conflit
de Marx et de Nietzsche dans la vie de beaucoup de jeunes hommes d’au
201
i résoudra en création toujours nouvelle le vieux
conflit
de l’individu et de la masse. 6° La violence nécessaire. — Car notre
202
és pour si peu dans le concret, j’entends dans le
conflit
et l’acte personnels. La pensée libre du bourgeois et la science des
203
tré, à son refus d’agir et de se risquer dans les
conflits
qui existent, ou que la pensée crée, la mission d’une culture nouvell
204
nouvelle sera d’accepter le combat, d’assumer les
conflits
vitaux et de les résoudre en création. Voilà la grande opposition d’o
205
Évolution contre Personne. Nous retrouvons ici le
conflit
entre les marxistes et Nietzsche. Mais derrière eux et avant eux, deu
206
rait ses produits. La réalité vivante est dans le
conflit
.) Une pensée tendue vers l’action saura seule donner forme aux réalit
207
e dans ma vie. Ce risque atteste l’existence d’un
conflit
, c’est-à-dire la présence du réel. Il rend à ma pensée sa gravité, so
208
de s’endormir, deux mouvements de fuite devant le
conflit
humain tel qu’il se joue dans nos limites charnelles. Mais ce qui est
209
d’aujourd’hui abusent avec le même succès en des
conflits
non moins stériles, s’ils sont évidemment moins meurtriers. Comment u
210
ité d’une morale individuelle apte à résoudre les
conflits
sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité, de cécité et
211
estion ne peut être concrète — et ne peut être un
conflit
véritable — que si c’est un autre homme, en face de moi, qui me la po
212
ciples puissants nous assurent aujourd’hui que le
conflit
fécond, la communion du toi et du moi se résout pratiquement dans un
213
it aux règles de l’art. Nous l’avons ramené à des
conflits
éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se r
214
s ramené à des conflits éthiques. Au cœur de tout
conflit
fécond, de tout conflit qui ne se résout point dans une séparation ma
215
éthiques. Au cœur de tout conflit fécond, de tout
conflit
qui ne se résout point dans une séparation mauvaise, mais dans un act
216
prit de l’homme se manifeste dès l’origine par le
conflit
qu’il institue dans le monde. Mais ce conflit, s’il vient à perdre sa
217
le conflit qu’il institue dans le monde. Mais ce
conflit
, s’il vient à perdre sa violence, se relâche en éléments désormais dé
218
e la logique rigide du système devait conduire au
conflit
armé avec Carthage, source profonde, si indirecte qu’elle apparaisse,
219
érales. L’État est devenu l’arbitre souverain des
conflits
sociaux, et la notion de Bien commun national s’est substituée à cell
220
tion.) Et c’est la guerre de 1914. Cet inévitable
conflit
ne résout rien, bien au contraire. Il suscite une formidable concurre
221
nomie rationnelle mondiale) — ne peut être que le
conflit
armé, à une échelle monstrueuse. Ainsi le capitalisme a brisé les rap
222
on des violences passionnelles qu’a déchaînées le
conflit
espagnol ? Combats, sinon d’aveugles, du moins de borgnes. Et les Fra
223
onc être amené à juger en dernier ressort de tous
conflits
qui auraient été portés d’abord devant des tribunaux particuliers, da
224
des tribunaux particuliers, dans la mesure où ces
conflits
intéressent les personnes humaines en tant que telles. Plus encore to
225
connaissance du fait capital de la polarité et du
conflit
multiformes de l’homme avec le monde et avec lui-même77, conflit qui
226
rmes de l’homme avec le monde et avec lui-même77,
conflit
qui trouve son expression sociale vivante et dynamique aussi bien dan
227
la culture créatrice. Elle tend à substituer aux
conflits
déclarés des « gentlemen’s agreements ». Elle essaie de sauvegarder à
228
e est en définitive pacifiante : elle accepte les
conflits
, les fait mûrir et les résout en créations. Mais la méthode qui règne
229
rsonne est recréée. Dès maintenant, elle entre en
conflit
avec le monde et ses formes mauvaises. Dès maintenant, elle porte tém
230
, aussitôt qu’il se manifeste en vérité, entre en
conflit
avec certaines structures politiques, et contribue, par son action la
231
s du Décalogue, et au devoir d’amour chrétien. Le
conflit
est inévitable. Suffira-t-il dès lors de se laisser persécuter ? N’av
232
ue. Il se voit entraîné hors de sa ligne dans des
conflits
où sa personne n’est pas totalement engagée, parce qu’elle ne les a p
233
ond que de refuges, de facilité. C’est refuser le
conflit
, non le résoudre. Car la question, la permanente et vraie question es
234
e vertige est à l’extérieur. Et lorsque éclate le
conflit
entre notre moi et le monde c’est au monde que nous donnons tort. Nou
235
corps à corps avec le monde et c’est toujours le
conflit
goethéen ; mais aujourd’hui tout se passe comme si le but final était
236
ct intact et offensif. Peu capables de dominer le
conflit
normal et fécond des créations de la raison et des impulsions de « la
237
rgure. Foi et idolâtrie La considération du
conflit
séculaire que décrit l’Ancien Testament nous ramène avec une insistan
238
idéalisme et de réalisme au sens courant. Mais le
conflit
de la foi et de la vue n’est en somme qu’un autre aspect du conflit d
239
et de la vue n’est en somme qu’un autre aspect du
conflit
de la vocation et du destin. Il fait comprendre l’esprit de révolte q
240
de la liberté politique, l’audace de pousser les
conflits
jusqu’à leur pleine maturation, jusqu’à leur solution réelle. L’audac
241
parfois que si l’on parvient à éviter de nouveaux
conflits
armés, il se peut que l’hitlérisme apparaisse aux yeux des historiens
242
mettaient leur soin à vivre en marge de tous les
conflits
et refusaient d’être considérés comme des citoyens responsables, ils
243
de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divinisant, en
conflit
éternel et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asserv
244
n instant ramener la crise actuelle du mariage au
conflit
de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale. Car cette dernière, comme
245
rgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce
conflit
menace en permanence toutes nos « sécurités » sociales. En d’autres t
246
conformisme. Il n’y a plus, à proprement parler,
conflit
de deux morales hostiles — et par suite plus de mythe possible — mais
247
science des rapports conjugaux. Jung analyse le «
conflit
psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’origine du mal (
248
rmale parmi les étudiants, le sérieux accordé aux
conflits
passionnels « à trois » ou « à quatre » — renouvelés de la Lucinde de
249
ue de l’Allemagne d’avant-guerre, des origines du
conflit
de 1914, de la guerre, de la révolution, puis de la République de Wei
250
égociations, mêmes tentatives pour « localiser le
conflit
», là à la Serbie, ici à la Tchécoslovaquie. Le dénouement a été diff
251
4, la guerre a éclaté et l’Allemagne, au terme du
conflit
, n’a rien obtenu. En 1938, la guerre n’a pas éclaté, et l’Allemagne a
252
èrent (entrevue de Berchtesgaden). 4. Pourquoi le
conflit
s’aggrava-t-il subitement ? — Le litige était réglé en principe. Mais
253
e disputent notre Occident. La connaissance de ce
conflit
, de ses origines historiques et psychologiques, de son enjeu spiritue
254
religion avec nos plus vieilles croyances, et du
conflit
de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétienne. Première co
255
u’il n’en a connu aucune, et qu’il est en deçà du
conflit
. Pour cet homme-là le seul progrès concevable est dans la crise de sa
256
parfois que si l’on parvient à éviter de nouveaux
conflits
armés, il se peut que l’hitlérisme apparaisse aux yeux des historiens
257
ste ». Je reconnais la réalité et la nécessité de
conflits
humains. Mais il y a d’autres solutions que la guerre. Faire valoir t
258
tre réalité, oui ! Parce que vous placez tous les
conflits
dans le cadre rigide des nations. La nation-bloc, telle que vous la c
259
rt de la civilisation est là : rendre féconds les
conflits
nécessaires. Et non pas aboutir à la suppression d’un des antagoniste
260
l, le rachat du péché d’origine ? Ce n’est pas un
conflit
accidentel, c’est encore moins un conflit politique qu’il faut cherch
261
pas un conflit accidentel, c’est encore moins un
conflit
politique qu’il faut chercher à l’origine réelle des persécutions hit
262
onge à la folie d’un Kierkegaard. Alors éclate le
conflit
véritable entre l’humanisme et la foi, le scandale au sens paulinien,
263
eur du Roman de Tristan et Iseut veut y voir un «
conflit
cornélien entre l’amour et le devoir ». Cette interprétation classiqu
264
’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
conflit
de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux d
265
la chevalerie et de la société féodale — donc le
conflit
de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 7, le conflit de deux «
266
deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 7, le
conflit
de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des épisodes s’écla
267
emeure le vassal d’un seigneur. D’où naîtront des
conflits
de droit, dont le Roman offre plus d’un exemple. Reprenons l’épisode
268
èse, fort vraisemblable, que le Roman illustre un
conflit
de « religions », nous avons pu préciser et cerner les principales di
269
sentielle). Amour du prochain. (Mariage heureux.)
Conflits
douloureux, passion exaltée. Le principe d’explication de ce tablea
270
es troubadours. Voici Tristan livré au plus cruel
conflit
, lorsqu’au soir de ses noces avec Iseut aux blanches mains, il ne peu
271
notre crise du mariage, il n’y a pas moins que le
conflit
de deux traditions religieuses, c’est-à-dire une décision que nous pr
272
t de cette époque, est le premier témoignage d’un
conflit
que le mariage chrétien était censé résoudre. On y voit l’âme récemme
273
pter les conditions qui nous sont faites, dans le
conflit
de l’esprit et de la chair ; et c’est tenter de les surmonter non plu
274
bituelle de sexualité qui accompagnait les grands
conflits
ne s’est guère produite qu’à l’arrière dans les populations civiles.
275
les deux livres terminaux : le premier situant le
conflit
du mythe et du mariage dans nos mœurs, le second décrivant une attitu
276
de l’Amour, c’est-à-dire de l’Éros divinisant, en
conflit
éternel et angoissé avec la créature de chair et ses instincts asserv
277
n instant ramener la crise actuelle du mariage au
conflit
de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale. Car cette dernière, comme
278
rgissent sans fin des problèmes insolubles, et ce
conflit
menace en permanence toutes nos « sécurités » sociales. En d’autres t
279
conformisme. Il n’y a plus, à proprement parler,
conflit
de deux morales hostiles — et par suite plus de mythe possible — mais
280
science des rapports conjugaux. Jung analyse le «
conflit
psychologique » et les « névroses » qui seraient à l’origine du mal (
281
rmale parmi les étudiants, le sérieux accordé aux
conflits
passionnels « à trois » ou « à quatre » — renouvelés de la Lucinde de
282
e disputent notre Occident. La connaissance de ce
conflit
, de ses origines historiques et psychologiques, de son enjeu spiritue
283
religion avec nos plus vieilles croyances, et du
conflit
de l’hérésie qui en résulta avec l’orthodoxie chrétienne. Première co
284
u’il n’en a connu aucune, et qu’il est en deçà du
conflit
. Pour cet homme-là le seul progrès concevable est dans la crise de sa
285
rivalité entre le vassal et son suzerain ; — d’un
conflit
entre l’hommage dû au suzerain et l’hommage donné à la femme ; — d’un
286
mbreux soulèvements et émeutes occasionnés par le
conflit
religieux. D’autre part, on sait bien que saint François avait été le
287
e désignent ces termes sont présentes, et sont en
conflit
à l’époque de la Réforme. Essayons de les dégager sommairement. Le bu
288
forme dans l’évolution de l’Europe, puis dans les
conflits
actuels. J’ai essayé de vous montrer que sa doctrine représente, en s
289
insignes. Le théâtre individualiste analysait les
conflits
intérieurs de la bourgeoisie des grandes villes ; le théâtre collecti
290
s villes ; le théâtre collectiviste symbolise les
conflits
politiques au sein des foules des grandes nations. Or, nous n’avons p
291
eur du Roman de Tristan et Iseut veut y voir un «
conflit
cornélien entre l’amour et le devoir ». Cette interprétation classiqu
292
’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
conflit
de la chevalerie et de la société féodale — donc le conflit de deux d
293
la chevalerie et de la société féodale — donc le
conflit
de deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 16, le conflit de deux
294
deux devoirs ou même, nous l’avons vu page 16, le
conflit
de deux « religions » —, l’on s’aperçoit que bien des épisodes s’écla
295
emeure le vassal d’un seigneur. D’où naîtront des
conflits
de droit, dont le Roman offre plus d’un exemple. Reprenons l’épisode
296
èse, fort vraisemblable, que le Roman illustre un
conflit
de « religions », nous avons pu préciser et cerner les principales di