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droit de ce qui est « germanique » dans notre vie
confédérale
. Réaction de faiblesse, et néfaste à un double titre. Car d’une part
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ire. Mais alors l’aspect symbolique de la mission
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se dégage et doit être dégagé avec une évidence, une force, une convi
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u Frère Claus, figure centrale symbolisant l’idée
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créatrice de la Suisse. Les cantons personnifiés prenaient la parole
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side donc dans ce fait, qui rappelle notre devise
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: un seul peut être utile à tous. La traduction spectaculaire de cett
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ns, nous dit Dürrer. Nicolas y personnifie l’idée
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, créatrice de la Suisse. Autour de lui, gravitent des figures symboli
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discuter le renouvellement de l’ancienne alliance
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. Nicolas invoque Moïse, qui lui répond longuement en décrivant la cor
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solidarité que symbolise exactement notre maxime
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: un pour tous, mais aussi tous pour un. Nous sommes ici, mobilisés,
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droit de ce qui est « germanique » dans notre vie
confédérale
. Réaction de faiblesse, et néfaste à un double titre. Car d’une part
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le Gothard représente tout un passé de solidarité
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, d’esprit communautaire, de libertés civiques, — tout un passé qui no
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nt de proclamer nos raisons d’être, notre mission
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, et notre volonté de nous en rendre dignes. Mais voici le message du
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le soit dès le départ un grand symbole de l’unité
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pour laquelle nous luttons. Nous voulons que la voix des peuples y re
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e britannique décidèrent que leur simple alliance
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devait être remplacée par une fédération. Un projet de constitution f
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e britannique décidèrent que leur simple alliance
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devait être remplacée par une fédération. Un projet de Constitution f
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h, Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie
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: il n’hésite pas à les proposer en modèle pour l’édification de l’Eu
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t ses prétentions16. Et à chaque fois, l’alliance
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sort renforcée de ces querelles, même très sanglantes. Cette même pro
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n livre éclaire « toute l’Europe » sur la réalité
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. Il est aussitôt traduit en allemand, en français, en hollandais, et
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Quelles sont les raisons d’être de la communauté
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? Si c’est l’ordre à tout prix et l’écrasement légal des opposants et
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e politique, votre geste revêt d’abord une portée
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, et ensuite, et au-delà, il suppose et désigne un horizon européen. L
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pays suisses ; mais, au terme de cette expérience
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, après une dernière guerre civile, il n’a fallu que neuf mois, à un j
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e rester libres à leur manière — et seule l’union
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le permettait. Il y a très loin de cette réalité merveilleusement com
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et non pas : des États souverains à une alliance
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. (Le terme de canton comme État souverain est relativement récent : i
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à exister comme telle dans le cadre de la Suisse
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, donc en fonction d’un libre choix politique, d’un choix d’avenir. El
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stion l’irréversible et inconditionnelle fidélité
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de nos cantons, des inter-relations d’un type nouveau apparaissent dé
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, seulement, il peut être reçu dans la communauté
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, à travers le canton de sa commune. Chaque nouveau Suisse se voit ain
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as eu depuis ce temps de problèmes majeurs de vie
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. À l’autre extrême, le peuple jurassien s’est vu quatre fois dans l’h
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pas de troisième voie possible du type “solution
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” prônée par nombre d’hommes politiques ; il n’y aura pas d’Europe féd