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e la sécurité et le profit ? Pourquoi sommes-nous
confédérés
? Et pourquoi, enfin, sommes-nous neutres ? Je voudrais souligner ce
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à la Diète de Stans pour apaiser les deux partis
confédérés
, à la veille d’une guerre civile. Quant au reste de la vie de Nicolas
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rès généralement. Il n’en va pas de même chez nos
confédérés
des petits cantons. Et c’est pourquoi les catholiques n’ont pas eu de
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n présence d’un pauvre illuminé, mais d’un solide
confédéré
qui a fait ses preuves dans la vie quotidienne. Notons ensuite qu’au
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atholique Faber, Zwingli réplique en 1526 : Pieux
confédérés
, Faber adjure Zurich de conserver l’ancienne foi des cantons : mais v
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barbe qui rétablit la paix civile entre les vieux
Confédérés
, en prononçant devant la Diète de Stans un discours plein d’élévation
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— n’est pas un type exceptionnel parmi les vieux
confédérés
, sinon par la rigueur inusitée de sa conscience. C’est un citoyen de
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é1. Le récitant. Le chœur. En ce temps-là,
Confédérés
Prêtez l’oreille ! En ce temps-là, déjà, Comme aujourd’hui ! Mont
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x. Le récitant. Le chœur. Ce soir encore,
Confédérés
Prêtez l’oreille ! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas
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hestre.) Le récitant. Le chœur. Or écoutez
Confédérés
! Prêtez l’oreille ! Tutti. Commence ici le Jeu de Nicolas !
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— Nous avons faim ! Nicolas. — Étrangers et
Confédérés
, qu’attendez-vous d’un plus pauvre que vous ? Le pèlerin. — On di
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par moi, mais le Tentateur exécrable ! (Il crie.)
Confédérés
! Confédérés ! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateur ! (Lumière
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le Tentateur exécrable ! (Il crie.) Confédérés !
Confédérés
! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateur ! (Lumière sur le plan
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r nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse !
Confédérés
, écoutez, écoutez ! (Une moitié du groupe des Suisses se tourne ver
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mman. Le Landamman. — Nous avons huit cantons
confédérés
. Les villes disposent de trois voix : Zurich, Berne, Lucerne. Mais av
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nes et des villes, représentants des huit cantons
confédérés
! Pour la dernière fois en cette année, nous déclarons ouverte notre
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s s’ouvre à nous, je vous adjure et je vous dis :
Confédérés
, faisons taire nos petits égoïsmes, bannissons tout esprit de clocher
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— Au nom de la vénérable Diète des huit cantons
confédérés
! Considérant tous les périls qui nous menacent à l’intérieur comme a
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de Flue. Sujet digne d’intéresser n’importe quel
Confédéré
visiteur de l’Exposition. Or, si ce solitaire a été grand, c’est parc
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els. Il nous reste à connaître beaucoup mieux nos
confédérés
suisses allemands, qui savent souvent tellement mieux que nous ce qu’
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3. Neutralité perpétuelle. — Certes, les premiers
Confédérés
déclarèrent que leur alliance devait, s’il plaisait à Dieu, durer « é
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thard est le grand symbole autour duquel tous les
Confédérés
peuvent s’unir dans leurs diversités », disait notre premier appel. E
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(par Genève), c’est-à-dire de « Eidgenossen », ou
Confédérés
suisses. Les huguenots français voulaient la liberté religieuse d’abo
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e la sécurité et le profit ? Pourquoi sommes-nous
confédérés
? Et pourquoi, enfin, sommes-nous neutres ? Je voudrais souligner cec
25
s manuels. Il nous reste à connaître vraiment nos
confédérés
suisses allemands, qui savent souvent tellement mieux que nous ce qu’
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3. Neutralité perpétuelle. — Certes, les premiers
Confédérés
déclarèrent que leur alliance devait, s’il plaisait à Dieu, durer « é
27
tre l’état d’esprit actuel de la Suisse. Le vrai
Confédéré
est celui qui ne questionne jamais pour ce qui a trait à la défense d
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sein », c’est-à-dire le premier plan d’une Europe
confédérée
. Il serait aisé de développer, de nuancer et de multiplier de tels e
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thard est le grand symbole autour duquel tous les
Confédérés
peuvent s’unir dans leurs diversités… Nous n’avons qu’un seul but : m
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e. La première idée d’une neutralité négative des
Confédérés
apparaît vers 1648, lorsque la Suisse se sépare de l’Empire par le tr
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Si quelque discorde venait à s’émouvoir entre les
confédérés
, les plus prudents interviendront par arbitrage pour apaiser le diffé
32
re des partis méprisait leur sentence, les autres
confédérés
se déclareraient contre lui. (Suivent des clauses relatives à la pro
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commun.) En cas de guerre ou de discorde entre
confédérés
, si l’une des parties se refuse à recevoir jugement ou composition, l
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se refuse à recevoir jugement ou composition, les
confédérés
devront prendre la cause de l’autre partie. Tout ce que dessus, statu
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trage reçu, le canton intéressé peut requérir les
Confédérés
de le secourir. Cependant… chaque canton n’est pas allié à tous les a
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a besoin d’avoir prompt secours, tous les cantons
confédérés
aideront de toutes leurs forces, comme s’ils étaient nommément appelé
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ique dans cette réaction instinctive des citoyens
confédérés
. Et c’est là l’explication la plus favorable que l’on puisse donner d
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semaine. Sa légende se répand très vite chez les
Confédérés
, puis bien au-delà. Les pèlerins se succèdent auprès de « l’homme de
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tation de la gloire militaire n’empêchent pas les
Confédérés
de se jeter dans les guerres de Bourgogne, et toutes les prédictions
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la Lombardie et la Souabe, sous la domination des
Confédérés
. La puissance militaire des Suisses, à ce moment, paraissait justifie
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non légal, reposant sur le sens civique inné des
Confédérés
et non pas sur des textes, c’était en un mot l’esprit même du fédéral
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tholiques le surnommaient le « bailli de tous les
Confédérés
». Berne se méfiait de ses ambitions. Finalement, une armée catholiqu
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oup plus profonde et virulente que celle de leurs
confédérés
romands. Ces derniers se distinguent de la France tout autrement que
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r un sol longtemps disputé entre la France et les
Confédérés
, finalement demeuré français. « L’un des plus beaux aspects de l’Euro
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(relative) de ceux qui se désignaient comme les «
Confédérés
» (Eidgenossen, compagnons du serment). Le Directoire français, en 17
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s antécédents, une langue, qui nous distingue des
confédérés
, nous ne pouvons vouloir un ordre de choses qui nous engagerait au sa
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isses comme l’événement capital de l’histoire des
Confédérés
. Elle tira les leçons de cinq siècles d’expériences souvent amères, c
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ous les mouvements pour l’Europe unie, fédérée ou
confédérée
. Ce ne fut pas un congrès comme les autres, puisqu’il en résulta tout
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l’Extrait, en 1771, Rousseau est approché par les
Confédérés
polonais, au cours d’une suspension de leur guerre contre les Russes.
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er pour ainsi dire dans toute la nation l’âme des
confédérés
: c’est d’établir tellement la république dans le cœur des Polonais,
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de régler toutes les affaires communes des États
confédérés
, de mener à terme tous leurs procès et de mettre fin, en dernière ins
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d formèrent la Sainte-Alliance, n’étaient pas des
confédérés
: l’absolutisme de leur pouvoir leur défendait d’en prendre le titre.
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thard est le grand symbole autour duquel tous les
Confédérés
peuvent s’unir dans leurs diversités… Nous n’avons qu’un seul but : m
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t par la volonté unanime des peuples et des États
confédérés
. Ce qui est bien loin d’être le cas des souverainetés soi-disant « ab
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sein », c’est-à-dire le premier plan d’une Europe
confédérée
. Il serait aisé de développer, de nuancer et de multiplier de tels ex
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i de leur pays d’origine. Tandis que les premiers
confédérés
, lentement, ville à ville, en trois siècles, étendront le réseau de l
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Si quelque discorde venait à s’émouvoir entre les
confédérés
, les plus prudents interviendront par arbitrage pour apaiser le diffé
58
re des partis méprisait leur sentence, les autres
confédérés
se déclareraient contre lui. En outre, il a été convenu que celui qu
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squ’à ce qu’ils aient été dûment rappelés par les
confédérés
. Celui qui, de jour ou de nuit, aura méchamment causé un incendie, pe
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de ses biens le dommage souffert. Et si l’un des
confédérés
porte atteinte à la propriété d’autrui par vol ou de toute autre mani
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int de faire dommage par sa résistance à l’un des
confédérés
, tous les confédérés seraient tenus de contraindre le contumace à don
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par sa résistance à l’un des confédérés, tous les
confédérés
seraient tenus de contraindre le contumace à donner satisfaction. En
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tisfaction. En cas de guerre ou de discorde entre
confédérés
, si l’une des parties se refuse à recevoir jugement ou composition, l
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se refuse à recevoir jugement ou composition, les
confédérés
devront prendre la cause de l’autre partie. Tout ce que dessus, statu
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a donc un « pays » bien défini : celui des hommes
confédérés
des trois vallées. Pays réel, sinon légal, et qui n’a pas de constitu
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se répandre d’appeler « Schwyzer » l’ensemble des
confédérés
, du nom de ceux d’entre eux qui se sont signalés par leur valeur guer
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trage reçu, le canton intéressé peut requérir les
confédérés
de le secourir. Cependant, il ne peut pas recourir à qui bon lui semb
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a besoin d’avoir prompt secours, tous les cantons
confédérés
aideront de toutes leurs forces, comme s’ils étaient nommément appelé
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e son droit d’alliances extérieures. En 1352, les
confédérés
conquièrent la vallée de Glaris, puis la petite ville de Zoug, et les
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si quelque discorde vient à s’émouvoir entre les
confédérés
». Cela dit — ou plutôt, cela juré devant Dieu —, pourquoi ne pas adm
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ue ce soit un monarque, un État, ou même un frère
confédéré
. On cherche alors l’appui des voisins autonomes, — ceux qui sont disp
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e système de ligues et de pactes pratiqué par les
confédérés
. Car en fait, leur passion de l’autonomie et des libertés politiques
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— pourtant premier garant de leurs libertés — les
Confédérés
se voient tentés d’agir comme une puissance indépendante et conquéran
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tten et leurs alliés Grisons au sud. En 1512, les
Confédérés
envahissent la Bourgogne, assiègent Dijon et imposent une paix désast
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es qui se sont élevées un peu trop haut, chez les
confédérés
, ont été bientôt abattues : Waldmann, Zwingli, Schiner, Jenatsch, cen
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, les Grisons et même Vaud étaient reconnus comme
confédérés
par l’étranger, mais non par les cantons catholiques44. Si la Suisse
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an d’union comme un brandon de discorde entre les
confédérés
. (Tels sont encore les trois reproches majeurs auxquels se heurtent d
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antécédents, une langue qui nous distinguent des
confédérés
, nous ne pouvons vouloir un ordre de choses qui nous engagerait au sa
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ait partie du domaine des Savoie. Conquis par les
Confédérés
, qui se portaient au secours de Genève, en 1530, il demeura pendant p
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assif du Gothard, à cause de toute l’histoire des
confédérés
. Cette armée ultradémocratique, sans caste militaire, toute mêlée à l
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u climats, Français de différents partis, ou même
Confédérés
de différents cantons, nous n’aurions pas grand-chose de commun, pas
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non dans le pouvoir central, mais dans les États
confédérés
. » Il apparaît alors que confédération, loin de renforcer le sens de
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1860 ‰ 1968 ‰ Genevois 49,4 28,9
Confédérés
15,9 39,7 Étrangers 34,7 31,4 Protestants 50,8 39 Catholiques 4
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reste de la Suisse, dont les ressortissants ou «
Confédérés
» forment pourtant le groupe le plus important des actuels citoyens d
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mulet, qui vinrent apprendre aux premiers Suisses
confédérés
à rédiger leurs pactes en beau latin. La vocation de la Suisse est de
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e minorité de Genevois, je crois 27 %, et 44 % de
Confédérés
, c’est-à-dire de Suisses d’autres cantons, et les autres sont des étr
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effets aux frontières historiques de nos cantons
confédérés
. Si le fédéralisme authentique consiste à accorder la dimension des t
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gne, Allemands et Français à Kaiseraugst avec des
Confédérés
venus de toute la Suisse, interdisent par leur seule présence non vio
89
de l’Europe des États plus ou moins « unis » ou «
confédérés
» — dont les ministres nous répètent depuis trente ans qu’elle est né
90
ui évoque une fois de plus l’exemple des premiers
Confédérés
, et de leur Suisse d’avant le secret des banques. C’est cette Europe
91
de l’Europe des États plus ou moins « unis » ou «
confédérés
», dont les ministres nous répètent depuis trente ans qu’elle est néc
92
’intérieur, protéger la liberté et les droits des
confédérés
, accroître leur prospérité commune. » L’article 3 précise que « les c
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de l’Europe des États plus ou moins « unis » ou «
confédérés
», dont les ministres nous répètent depuis trente ans qu’elle est néc
94
édération suisse, voulant affermir l’alliance des
confédérés
, maintenir et accroître l’unité, la force et l’honneur de la nation s
95
de la Suisse, résolus à renouveler l’alliance des
confédérés
» (ont adopté la Constitution suivante). Et je trouve cela bien meill
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sein », c’est-à-dire le premier plan d’une Europe
confédérée
. Il serait aisé de développer, de nuancer et de multiplier de tels ex
97
du serment », et qui désignait alors les Suisses
confédérés
. Pour en revenir à la « décentralisation » annoncée comme une pièce m
98
col ouvert vers 1240, qui ont fourni aux premiers
confédérés
les instruments nécessaires pour exprimer leurs liens jurés, leurs «
99
sabilité. Dans ses ouvrages sur Genève et sur les
Confédérés
, le Contrat social, les Lettres de la montagne et aussi dans son Gouv
100
s ; des régions politiquement adultes, une Europe
confédérée
. Une Europe indépendante, souveraine et dénucléarisée : une défense e
101
col ouvert vers 1240, qui ont fourni aux premiers
confédérés
les instruments nécessaires pour exprimer leurs liens jurés, leurs fo