1 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
1 s fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards. Stéphane rendu à la santé écrivait :
2 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
2 s fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous les regards. Stéphane rendu à la santé écrivait :